mercredi 7 novembre 2018

Juge Kimmy Ch. 02

Juge Kimmy- récit érotique  domination soumission viol chantage Interracial

Traduction d'un récit de Doctor_devon.

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Invitation dans un bar.

Il est passé un mois depuis cette première nuit avec Devon. Mes jours et mes nuits furent remplis de différentes humiliations dont la plupart furent enregistrées sur des bandes vidéo.

Actuellement je prends un peu de repos dans mon lit en pensant aux deux hommes qui viennent de quitter ma maison. Tous les deux étaient de jeunes hommes noirs comme d'habitude. Ils m'ont utilisée comme une vraie pute. Je suis encore couverte de sperme et il commence à sécher sur mon visage. Mon clitoris, ma chatte et mon trou du cul sont endoloris par tout ce que j'ai enduré ces dernières semaines.

Devon a mis en place un système avec mot de passe. Si quelqu'un se présente à ma porte et me dit le mot « Gémeaux », je dois le laisser entrer et faire ce qu'il veut.

Les deux garçons noirs connaissaient le mot et me l'ont dit. Ensuite ils ont passé l'heure suivante à me maltraiter. En les comptant, j'ai été baisée par sept hommes différents aujourd'hui. Parfois certains des hommes étaient déjà venus. Mais il y avait aussi de parfaits inconnus. Une fois, il y eu même un homme que j'avais condamné des années plus tôt lorsque j'étais procureur.

Perdue dans mes pensées, je remarque à un moment que ma main est descendue sur mon clitoris douloureux et enflé. Je le titille encore! Une fois de plus, cette humiliation, que je déteste tellement et dont je ne peux plus me passer, revient. Une fois de plus, je commence à pleurer tout en masturbant mon sexe bien abusé.

Ce n'est plus la chatte propre et peu utilisée d'autrefois. Ce n'est plus que la chatte d'une salope maintenant.

Pendant que je me masturbe, le sperme des deux hommes noirs dégouline sur mes doigts. Involontairement, je lève ma main vers mon visage et j'étale le foutre sur ma figure et mes lèvres. Cette auto-humiliation est devenue fréquente pour moi entre mes viols. Je sais que je suis malade. Ce que j'ai en moi n'est pas normal. J'ai même pris un rendez-vous pour voir un psychologue mais je me suis arrêtée sur son parking. Et là, en plein jour, j'ai remonté ma jupe à ma taille et je me suis masturbée pendant que l'heure du rendez-vous passait. L'humiliation et la peur que quelqu'un me voie m'a menée vers d'autres sommets. J'ai eu un orgasme intense. Ensuite je suis repartie du parking pour ne jamais revenir.

Maintenant je sens qu'un autre orgasme se prépare. Je pense à mon petit ami Éric. S'il savait, ça lui briserait le cœur. Je voudrais rompre avec lui mais Devon ne me laisse pas faire. On dirait qu'il s'est rendu compte qu'en me laissant garder Éric comme petit ami, ça augmentait mon sentiment d'être une vraie salope. Encore une humiliation et une excitation supplémentaire... Je commence à gémir et je dis tout haut :

- Allez salope, abuse de cette chatte.

C'est tout ce qu'il me faut pour jouir encore.

La sonnerie du téléphone me ramène à la réalité. Pas celle de mon portable mais celle du téléphone que Devon m'a donné. Il m'a dit que je devais l'avoir avec moi tout le temps et que je devais répondre de suite. Sinon je recevrai une punition que je n'oublierai jamais. J'attrape le téléphone rapidement.

- Bonjour! Oui?

- Pourquoi t'as mis si longtemps à répondre au téléphone salope?

- Désolé... J'étais... dans la salle de bain.

Devon m'ordonne de bien me laver puis comment m'habiller et où aller ce soir. Alors que je raccroche, je me rends compte qu'il m'a donné l'adresse d'un bar bien fréquenté. C'est nouveau pour moi car mes rencontres avec lui ou ses amis étaient toujours dans des lieus privés. La peur et l'excitation me saisissent, et pendant un moment je me demande si je ne vais pas me masturber à nouveau. Mais en regardant ma montre, je réalise que je n'ai pas beaucoup de temps pour me préparer. Je me dirige alors vers la salle de bain.

J'arrive au bar à 19 heures précises. J'ai maintenant plus peur qu'autre chose. Le bar est au milieu du quartier noir, où il y a plus de délinquants qu'ailleurs. En fermant la portière de ma voiture, je regarde mon reflet dans la fenêtre. Je porte un petit haut qui laisse mon nombril exposé. J'ai aussi un grand décolleté. La jupe que je porte est vraiment très courte. Elle laisse apparaître le haut de mes bas. Bien sûr, je n'ai pas de soutien-gorge et ma culotte est en soie blanche. Je suis aussi beaucoup trop maquillée mais Devon veut que je ressemble à une pute.

Le videur à la porte me regarde comme si je ne suis qu'un morceau de viande. J'ai des frissons dans le dos, ou plus exactement dans ma chatte. Il ne dit rien et me laisse passer. Il y a à peu près 25 personnes dans le bar. Je remarque que je suis presque la seule personne de race blanche. Mais il y a une autre femme, assise à la table de Devon avec deux autres hommes. Je m'approche d'eux. L'un des gars se lève et je me glisse sur la banquette. Je souris presque quand je vois notre disposition, gars, fille, gars, fille, gars. Ils continuent leur conversation comme si j'étais là depuis tout le temps.

Je les observe. Un des hommes fait facilement 125 kilos de muscles, l'autre n'est pas loin derrière lui. J'ai l'impression qu'ils sont à la fin de l'adolescence. Je me demande d'ailleurs comment ils ont pu entrer dans le bar. La fille est très belle. Elle est blonde mais je me demande si elle est vraiment majeure. Ses yeux sont vitreux et je vois dans son regard qu'elle est ailleurs. Elle est probablement droguée.

Pendant qu'ils discutent, un de hommes met sa main sur ma cuisse et la déplace vers ma chatte. Ce mouvement fait remonter ma jupe et dévoile ma petite culotte blanche et mes porte-jarretelles. Sans réfléchir, j'essaie de fermer mes jambes. L'autre homme le remarque et il attrape mon autre jambe. Tous les deux ils placent une jambe sur les miennes et ainsi je suis écartée sur la banquette. Le premier homme commence alors à caresser ma chatte. A ce moment précis le barman arrive avec un nouveau pichet de bière. Il regarde ma petite culotte exposée et un regard vicieux s'affiche sur son visage. Mon Dieu, je suis exposée et tripotée en public. L'effet de cette humiliation est presque instantané, je mouille.

Les hommes rigolent de voir ma chatte si humide, mais Devon n'est pas content.

- Pourquoi essaies-tu de fermer les jambes salope?

Je balbutie, ne sachant que répondre.

- Touche toi salope! Montre-leur comment tu aimes te maltraiter!

Au même moment, un homme m'arrache ma culotte et me la fourre dans ma bouche. Ma chatte est maintenant complétement exposée. Le barman est toujours là et la fille me regarde avec un sourire. Oh mon Dieu, je vais vraiment le faire. Ma main descend sur mon sexe et je commence à me masturber. L'humiliation est plus forte que ce que j'ai connu. La fille me regarde en se léchant les lèvres. Je me souviens avoir pensé que j'étais assez vieille pour être sa mère. Les hommes enlèvent mon haut et expose ma poitrine. Ils se mettent à caresser mes seins. Je regarde vers le bar. Quelques hommes sont en train de suivre le spectacle. Quand mes yeux reviennent sur notre banquette, je me rends compte que la jeune fille est partie. Puis je sens une main sur ma cuisse. Hein? Elle?

- Non s'il te plaît, pas ça! Dis-je.

Devon et ses copains ont juste ri. Bien que je n'aie jamais baisé avec un homme noir avant Devon, un homme reste un homme. Cependant j'ai toujours eu peur d'une chose. Le sexe avec une autre femme est une chose que j'ai toujours refusé. Je trouve même cela dégoûtant. Pourtant, très vite, la fille met sa langue dans ma chatte. Je veux bouger mes les deux hommes de chaque côté de moi me tiennent. La blonde sait ce qu'elle fait. Elle me lèche avec un professionnalisme que peu d'hommes ont. Des cris fusent dans la salle et je vois que tout le monde observe. Je vois même la caméra à laquelle je me suis habituée. C'est trop pour moi, j'ai un puissant orgasme.

La fille se relève et s'approche de moi. Elle enlève ma culotte de ma bouche et elle force sa langue à la place. Ainsi je peux goûter mon jus. Cette autre humiliation me fait jouir de nouveau.

Je suis ensuite conduite dans une arrière-salle où il y a deux lits jumeaux. Je remarque tout de suite les liens en cuir aux quatre coins ainsi que l'alèze en plastique. Je suis complétement déshabillée et placée sur le lit, mes bras et mes jambes attachés aux quatre coins.

- Tu vas être une vraie salope ici. Dit devon.

En même temps, il colle une petite cuillère sous mon nez. Je sais qu'il s'agit d'une substance dopante qui permet d'aiguiser les sens et de résister à la douleur. Je commence à me détourner, mais quand je vois son regard méchant, je me dis qu'il ne vaut mieux pas. Je renifle. Ça me brule le nez et je ressens l'effet presque immédiatement. Je sais que ça me gardera éveillée, ça m'empêchera de m'endormir. Une autre cuillère pour mon autre narine et je renifle sans hésitation. Je sais aussi que tout est filmé. Le chantage et mon esclavage viennent de s'accentuer.

Environ la moitié des hommes sont entrés dans la pièce. Je remarque qu'ils donnent chacun un billet de vingt dollars pour avoir le droit de tirer un numéro dans un panier. Mon Dieu! Il me vend pour vingt dollars la baise. Ma tête est engourdie, les effets de la drogue augmentent. Ma chatte est en feu et je voudrais la toucher mais je ne peux pas bouger. Je suis une pute bon marché, une salope. Une fois de plus l'humiliation me fait encore mouiller.

La jeune fille n'a pas perdu de temps et elle s'est déshabillée. Elle monte à califourchon sur mon visage. Elle m'étouffe presque avec sa chatte. Je n'ai pas le choix et je commence à lécher une chatte pour la première fois de ma vie. Je ne peux voir qui, mais je sens une bite entrer dans mon sexe. Elle est grosse et me fait un petit peu mal. La douleur et l'humiliation de devoir manger cette jeune chatte m'excite trop et j'ai encore un orgasme. La jeune fille va continuer de chevaucher mon visage jusqu'à ce qu'elle ait eu trois orgasmes. Puis une queue a remplacé sa chatte. J'ai maintenant une bite dans ma bouche et dans ma chatte.

Cela dure toute la nuit. De temps en temps, on me fait respirer une autre cuillère de dopant. Je n'ai pas vraiment le choix, je dois la renifler. Bien que j'aie perdu le compte des hommes qui m'ont baisée, je sais que c'est beaucoup plus que ceux qui étaient dans le bar quand je suis entré. Je ne peux que supposer que d'autres sont arrivés dans la nuit quand ils ont su qu'il pouvait baiser une femme blanche pour vingt dollars. J'ai avalé tant de sperme que je suis gavé. Et j'en suis complétement couverte. Devon a laissé les hommes qui ne pouvaient pas payer pour me baiser, se masturber et éjaculer sur n'importe quelle partie de mon corps. J'ai également perdu le compte du nombre d'orgasmes que j'ai eu.

Devon me dépose chez moi peu après 6 heures du matin. J'ai été violée pendant 10 heures. J'entre dans ma maison et je m'assois dans ma baignoire. Je commence à faire couler l'eau pour me nettoyer, mais je regarde mon corps recouvert de sperme. Mes cheveux sont emmêlés et poisseux. Le sperme sèche partout sur mon corps, il dégouline de ma chatte et de mon cul. Si vous êtes attentifs à mon histoire, vous vous doutez de ce qui va se passer ensuite. J'attrape mon gode sur le côté de la baignoire et sans aucune préparation je l'enfonce dans ma chatte. Je crie presque de douleur, pas parce que le gode est très gros mais parce que ma chatte est à vif. Je tremble encore sous les effets du dopant et les larmes commencent à couler sur mon visage couvert de foutre pendant que je me viole moi-même. Je claque mon clitoris et pousse le gode aussi loin que possible. Je me débats dans la baignoire en me disant : « Je suis une salope qui n'a jamais assez de bites, d'abus et d'humiliation ».

Sur cette pensée, j'imagine une foule qui me regarde et au milieu, mon petit ami Éric. Ça me cause un nouvel orgasme.

A suivre...

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