Ma mère Martine - récit érotique - humiliation - contrainte - bourgeoise -soumission.
Récit de Gabrieldutour
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Les pervers du net ont kidnappée ma mère.
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Les pervers du net ont kidnappée ma mère.
Peu après que ces salauds aient abusés de ma
mère par ma faute, je fais les 100 pas dans le salon ne sachant que faire. Je
tourne en rond en me maudissant de cette saga écrite sur elle dans le but de
donner du plaisir aux internautes. J’étais bien naïf et maintenant, j’en fais
les frais. Tout se paye. Je suis écœuré. La seule chose que j’espère, c’est qu’ils
la ramèneront demain comme ils me l’ont dit.
J’avais décidé d’arrêter de narrer les
mésaventures de Martine, mais songeant au bonheur des lecteurs, je me décide de
vous raconter la suite de cette nuit particulièrement perverse.
En effet, après l’avoir saoulée, humiliée et
baisée par tous les orifices, ces ignobles salopards ont décidé d’emmener ma
mère dans un lieu secret afin de pouvoir terminer leur nuit de cul. Ma mère est
résignée et ne s’est pas défendue. Ils l’emportent nue et encore recouverte de
sperme de la tête au pied comme un vulgaire sac à patate, l’un lui prenant les
jambes, l’autres les bras.
Ils l’emmènent à peine remise de ses
émotions. Humiliée, vaincue et résignée à son sort, elle ne se débat pas lors
de cet odieux enlèvement. En plus, elle a été filmée et ces salauds lui font du
chantage avec ça, menaçant de montrer les photos si quoi que ce soit est dit
sur cette histoire. Bref, il s’agit d’un complot bien vicieux.
Captive de ces pervers, ma mère est donc
emmenée dans une fourgonnette qui démarre en trombe comme si ces salauds
étaient pressés d’arriver à ce fameux lieu secret. Ils roulent une bonne vingtaine
de kilomètres. Pendant ce temps, ceux qui sont derrière avec elle ne perdent
pas leur temps. Ils en profitent pour la baiser à nouveau. Ma mère est assise,
nue sur l’un d’entre eux qui la pénètre, son copain d’en face lui malaxe ses
énormes seins recouverts du sperme de tout à l’heure.
La route devient accidentée et la moindre
secousse accentue sa pénétration. Les mains de l’homme en face d’elle se
perdent dans l’énorme paire de mamelles aux larges auréoles brunes. Il est
heureux de pouvoir pétrir, malaxer cette paire de seins qui l’avait fait
fantasmer dans les histoires. Il en avait profité pour se branler plusieurs
fois entre ses nichons et comptait bien recommencer.
Ma mère gémit de plaisir à sentir les doigts
s’enfoncer dans sa lourde poitrine. Elle a du mal à réaliser ce qui lui arrive,
elle, la bourgeoise, la mère de famille bien comme il faut, victime d’un
enlèvement après avoir été violée à cause et devant son propre pervers de fils.
Le pire, sans doute, c’est qu’elle éprouve un certain plaisir à être traitée
comme la dernière des truies, à être possédée par plusieurs hommes à la fois.
Elle qui avait eu une sexualité ordinaire voire morne, la voilà au centre d’un
gang-bang organisé puis d’un odieux rapt. Elle a subi plusieurs sodomies alors
qu’elle ignorait et méprisait cela avant. Elle a même pratiqué, bien malgré
elle, des fellations et ne s’est pas mal du tout débrouillée. Elle est heureuse
aussi que ces gros seins attisent autant la convoitise. Elle n’aurait jamais
imaginé être une héroïne de cul sur le net, faisant fantasmer de nombreux
lecteurs et être au centre des plus ignobles perversions.
Mais hélas pour elle, les histoires de son
propre fils se sont retournées contre elle. Elle sait très bien que la nuit n’est
pas terminée et que son corps va être utilisé pour procurer du bonheur à ses
kidnappeurs.
Les voilà qui arrivent enfin d’ailleurs près
d’une vieille maison sur le point d’être rasée et perdue dans une zone
artisanale. La fourgonnette s’arrête et les pervers sortent ma mère en la
prenant par les pieds et les mains, toujours comme un sac mais visage face au
sol. On la porte comme ça et ses énormes seins pendent et ballottent
lourdement. Elle entrevoit d’autres véhicules. Elle est attendue visiblement
par beaucoup de monde.
En entrant, ils débouchent directement sur
une grande salle qui devaient être une salle à manger. La salle est d’ailleurs
remplie d’hommes : des relations entre pervers du net sans doute. Il y’a un
matelas aussi et de l’alcool. Ils ne leur manquaient plus que Martine. C’est
pour cela qu’ils applaudissent en la voyant arriver et portée de la sorte.
- La pute aux gros seins est enfin arrivée !
Ma mère est donc posée sur le ventre sur le
matelas puis relevée sans ménagement.
- Il fallait emmener le fils ! Il doit voir
sa mère se faire baiser comme dans les histoires ! S’insurge un des pervers.
Un autre lui répond :
- Non, ce petit salaud ne verra pas la scène
cette fois ! Mais il ne perd rien pour attendre lui aussi. Ce qu’il faut d’abord,
c’est que sa mère devienne comme dans ses histoires et là, elle n’est pas très
salope ! Cette nuit, il faut lui montrer que désormais et à partir de
maintenant, son but ne sera que de se dépraver et d’être soumise aux hommes.
Celui qui semble être le chef, un grand brun
à la chemise rouge, exhibe ma mère afin de montrer ses atouts. Tous reluquent
cette femme bourgeoise, brune, d’1m64 et à l’énorme poitrine. Il s’empare de ses
gros nichons et les montre à l’assemblée.
- Regardez, j’ai rarement vu une paire de
loches aussi grosse.
Ma mère ne se défend pas et laisse exhiber
ses gros seins. Il lui pétrit longuement les mamelles afin d’exciter l’assemblée.
Puis il pelote ses fesses en gémissant comme un ours. Il la force à se mettre à
quatre pattes, le cul face à l’assemblée. Il peut ainsi exhiber l’anus encore
ravagé suite à la baise de tout à l’heure. Il insiste aussi sur son sexe bien
rasé et soigneusement entretenu.
- Voilà une bourgeoise à votre disposition.
Et en plus, celle sur qui vous avez tous fantasmé : la propre de mère de
Julien. Vous allez pouvoir disposer d’elle jusqu’à demain. Ses trous, sa bouche
et ses gros seins n’attendent que vous maintenant. N’oubliez pas de la faire
boire pour la rendre un peu plus chaude !
Là, il l’allonge sur le matelas et donne le
signal. La scène est orgiaque. Martine est à quatre pattes, se faisant enculer
à la chaîne par des mâles en rut. Devant elle, trois hommes la queue entre leurs
mains les enfonçant tour à tour dans la bouche de ma mère. Elle doit les sucer
pour les satisfaire. Ils finissent par lui éjaculer avec une force inouïe sur
le visage. Elle a envie de vomir mais se retient. « Après tout, ne doit-elle
pas devenir une salope » se dit-elle pour se remonter le moral. Elle sent
à plusieurs reprises le sperme envahir ses entrailles de même que dégouliner le
long de ses fesses et de ses jambes. Son anus est ravagé et elle ne sent pas
même plus les sexes la pénétrer à répétition. Elle continue à sucer des bites
et toujours à quatre pattes. Son visage est méconnaissable tant il est
recouvert de foutre. Sa mâchoire lui fait mal à force d’ouvrir la bouche et d’accueillir
des bites aussi énormes.
Ensuite, elle se met à genoux et accueille
plusieurs bites entre ses énormes seins. Ma mère entame une série de branlette
espagnole à la chaîne tout en pompant un sexe enfourné dans sa bouche. Elle
presse ses gros seins entre les bites qu’elle doit branler. Le gars au
camescope numérique n’en perd pas une miette. Il fait un gros plan sur les va
et vient d’une queue entre les grosses loches de ma mère. On ne voit ainsi qu’une
énorme paire de seins branlant une bite. On voir aussi les mains de ma mère,
aux ongles vernis, presser ses mamelles en les soulevant avec ardeur. Sa
poitrine est vraiment grosse et le sexe de l’homme pourtant très gros, semble
ridicule entre les gros seins de ma mère. Il finit par éjaculer abondamment sur
l’opulente poitrine. Le sperme se répand entre ses seins et dégouline sur ses
tétons et sur son ventre. La poitrine de ma mère semble être l’attraction
principal de cette soirée. La preuve en est cette queue de pervers en rut,
attendant leur tour d’être branlé entre ces deux superbes mamelles.
Pendant une bonne heure, les seins de ma
mère sont soupesés, malaxés, triturés et pétrit par des mains avides. Malgré le
foutre, certain embrassent et sucent ces loches dont ils ont tant rêvé. La
poitrine malmenée, ma mère tente de repousser les pervers mais elle est
rapidement immobilisée. On lui saisit les bras et les pervers se relaie à
nouveau pendant trois bons quart d’heures à se branler eux même entre ses
nichons à leur merci désormais.
Sa bouche est également possédée par une
queue constamment qui fait des va et vient l’empêchant de crier. Inutile de
préciser l’état de sa poitrine à la fin. Son beau visage est méconnaissable
tant il y’a de sperme, sa poitrine et son ventre pareil. Mais ce n’est pas
fini, car les pervers veulent à nouveau la sodomiser. Et ils le font en la retournant
à quatre pattes. L’effet de l’alcool se fait sentir et ma mère ressemble à un zombie,
insensible aux actions de ses kidnappeurs. Elle se fait ainsi ramoner le cul
pendant une bonne heure sans réagir tout en suçant machinalement des queues
introduites dans sa bouche. Elle est ensuite possédée par tous les trous à la
fois. Sa chatte, sa bouche et son anus et ce, jusqu’à ce que le dernier de ses
kidnappeurs ait finit de la baiser.
Vidée, fatiguée, l’assemblée se disperse
laissant ma mère sur le matelas poisseux en train de dormir bras et jambes
écartés. Les traînards encore en forme en profite pour la baiser une dernière
fois pendant qu’elle dort. De toute façon, au pire, ils pourront se soulager
grâce aux nombreuses images accumulées de cette nuit.
On la ramène donc à la fourgonnette en la
portant à moitié endormie. Elle est ramenée dans la demeure familiale et déposé
sur le tapis du salon. Elle dort à moitié et l’un des pervers glisse une
enveloppe entre ses deux gros seins.
- Voilà des consignes pour ta mère et de l’argent
car elle a bien baisé pour une bourgeoise coincée ! Avec de la chance, on va
pouvoir arriver à la faire devenir comme dans tes histoires et sinon plus, oui
bien plus !
-Mais, vous n’en avez pas fini avec elle ?
- Non, on a décidé de la dépraver jusqu’au
bout. On va faire en sorte que ton père n’en sache rien car il gagne de l’argent
et entretient bien ta mère. Il faudra qu’elle arrête de travailler un jour car
il va falloir qu’elle se consacre à nous satisfaire mais tout est indiqué dans
la lettre !
- C’est horrible, c ‘est ma mère vous
réalisez ?
- Oui, nous on la voit comme une truie que l’on
peut baiser facilement, qu’elle a de gros seins et que si t’es pas content,
fallait pas écrire ces histoires de cul sur elle.
On regarde tous ma mère étalée dans le
salon. Je regarde ensuite ces salauds repartir.
Le lendemain, ma mère et moi n’avons pas
reparlé de l’incident. Ce qui est sûr, c’est qu’elle est partie au travail
habillée sexy voire provocante, maquillée, en mini-jupe, les jambes à l’air et
des sandales à lanières. Elle a mis un tee-shirt noir moulant au gros
décolleté. On voit le haut de ses gros seins qui ne demandent qu’à sortir. Mais
quelque chose m’ennuie. Ce n’est pas sa tenue car même si elle est ma mère, c’est
aussi une femme. Elle a le droit d’exhiber ses charmes et cela pour le plus
grand bonheur des hommes qui la matent dans la rue.
Non, ce qui m’agace, c’est cette marque
entre ces deux grosses loches et qui est bien visible par tous. Oui, cette
marque rouge qui n’est autre que la trace des frottements laissée par les
innombrables bites qui se sont branlés entre ces deux seins.
A suivre…
J ai adoré
RépondreSupprimerElisa
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