mercredi 14 novembre 2018

Ma mère Martine - La réalité. Ch. 02

Ma mère Martine - récit érotique - humiliation - contrainte - bourgeoise -soumission.

Récit de Gabrieldutour

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Les pervers du net ont kidnappée ma mère.


Peu après que ces salauds aient abusés de ma mère par ma faute, je fais les 100 pas dans le salon ne sachant que faire. Je tourne en rond en me maudissant de cette saga écrite sur elle dans le but de donner du plaisir aux internautes. J’étais bien naïf et maintenant, j’en fais les frais. Tout se paye. Je suis écœuré. La seule chose que j’espère, c’est qu’ils la ramèneront demain comme ils me l’ont dit.

J’avais décidé d’arrêter de narrer les mésaventures de Martine, mais songeant au bonheur des lecteurs, je me décide de vous raconter la suite de cette nuit particulièrement perverse.

En effet, après l’avoir saoulée, humiliée et baisée par tous les orifices, ces ignobles salopards ont décidé d’emmener ma mère dans un lieu secret afin de pouvoir terminer leur nuit de cul. Ma mère est résignée et ne s’est pas défendue. Ils l’emportent nue et encore recouverte de sperme de la tête au pied comme un vulgaire sac à patate, l’un lui prenant les jambes, l’autres les bras.

Ils l’emmènent à peine remise de ses émotions. Humiliée, vaincue et résignée à son sort, elle ne se débat pas lors de cet odieux enlèvement. En plus, elle a été filmée et ces salauds lui font du chantage avec ça, menaçant de montrer les photos si quoi que ce soit est dit sur cette histoire. Bref, il s’agit d’un complot bien vicieux.

Captive de ces pervers, ma mère est donc emmenée dans une fourgonnette qui démarre en trombe comme si ces salauds étaient pressés d’arriver à ce fameux lieu secret. Ils roulent une bonne vingtaine de kilomètres. Pendant ce temps, ceux qui sont derrière avec elle ne perdent pas leur temps. Ils en profitent pour la baiser à nouveau. Ma mère est assise, nue sur l’un d’entre eux qui la pénètre, son copain d’en face lui malaxe ses énormes seins recouverts du sperme de tout à l’heure.

La route devient accidentée et la moindre secousse accentue sa pénétration. Les mains de l’homme en face d’elle se perdent dans l’énorme paire de mamelles aux larges auréoles brunes. Il est heureux de pouvoir pétrir, malaxer cette paire de seins qui l’avait fait fantasmer dans les histoires. Il en avait profité pour se branler plusieurs fois entre ses nichons et comptait bien recommencer.

Ma mère gémit de plaisir à sentir les doigts s’enfoncer dans sa lourde poitrine. Elle a du mal à réaliser ce qui lui arrive, elle, la bourgeoise, la mère de famille bien comme il faut, victime d’un enlèvement après avoir été violée à cause et devant son propre pervers de fils. Le pire, sans doute, c’est qu’elle éprouve un certain plaisir à être traitée comme la dernière des truies, à être possédée par plusieurs hommes à la fois. Elle qui avait eu une sexualité ordinaire voire morne, la voilà au centre d’un gang-bang organisé puis d’un odieux rapt. Elle a subi plusieurs sodomies alors qu’elle ignorait et méprisait cela avant. Elle a même pratiqué, bien malgré elle, des fellations et ne s’est pas mal du tout débrouillée. Elle est heureuse aussi que ces gros seins attisent autant la convoitise. Elle n’aurait jamais imaginé être une héroïne de cul sur le net, faisant fantasmer de nombreux lecteurs et être au centre des plus ignobles perversions.

Mais hélas pour elle, les histoires de son propre fils se sont retournées contre elle. Elle sait très bien que la nuit n’est pas terminée et que son corps va être utilisé pour procurer du bonheur à ses kidnappeurs.

Les voilà qui arrivent enfin d’ailleurs près d’une vieille maison sur le point d’être rasée et perdue dans une zone artisanale. La fourgonnette s’arrête et les pervers sortent ma mère en la prenant par les pieds et les mains, toujours comme un sac mais visage face au sol. On la porte comme ça et ses énormes seins pendent et ballottent lourdement. Elle entrevoit d’autres véhicules. Elle est attendue visiblement par beaucoup de monde.

En entrant, ils débouchent directement sur une grande salle qui devaient être une salle à manger. La salle est d’ailleurs remplie d’hommes : des relations entre pervers du net sans doute. Il y’a un matelas aussi et de l’alcool. Ils ne leur manquaient plus que Martine. C’est pour cela qu’ils applaudissent en la voyant arriver et portée de la sorte.

- La pute aux gros seins est enfin arrivée !

Ma mère est donc posée sur le ventre sur le matelas puis relevée sans ménagement.

- Il fallait emmener le fils ! Il doit voir sa mère se faire baiser comme dans les histoires ! S’insurge un des pervers.

Un autre lui répond :

- Non, ce petit salaud ne verra pas la scène cette fois ! Mais il ne perd rien pour attendre lui aussi. Ce qu’il faut d’abord, c’est que sa mère devienne comme dans ses histoires et là, elle n’est pas très salope ! Cette nuit, il faut lui montrer que désormais et à partir de maintenant, son but ne sera que de se dépraver et d’être soumise aux hommes.

Celui qui semble être le chef, un grand brun à la chemise rouge, exhibe ma mère afin de montrer ses atouts. Tous reluquent cette femme bourgeoise, brune, d’1m64 et à l’énorme poitrine. Il s’empare de ses gros nichons et les montre à l’assemblée.

- Regardez, j’ai rarement vu une paire de loches aussi grosse.

Ma mère ne se défend pas et laisse exhiber ses gros seins. Il lui pétrit longuement les mamelles afin d’exciter l’assemblée. Puis il pelote ses fesses en gémissant comme un ours. Il la force à se mettre à quatre pattes, le cul face à l’assemblée. Il peut ainsi exhiber l’anus encore ravagé suite à la baise de tout à l’heure. Il insiste aussi sur son sexe bien rasé et soigneusement entretenu.

- Voilà une bourgeoise à votre disposition. Et en plus, celle sur qui vous avez tous fantasmé : la propre de mère de Julien. Vous allez pouvoir disposer d’elle jusqu’à demain. Ses trous, sa bouche et ses gros seins n’attendent que vous maintenant. N’oubliez pas de la faire boire pour la rendre un peu plus chaude !

Là, il l’allonge sur le matelas et donne le signal. La scène est orgiaque. Martine est à quatre pattes, se faisant enculer à la chaîne par des mâles en rut. Devant elle, trois hommes la queue entre leurs mains les enfonçant tour à tour dans la bouche de ma mère. Elle doit les sucer pour les satisfaire. Ils finissent par lui éjaculer avec une force inouïe sur le visage. Elle a envie de vomir mais se retient. « Après tout, ne doit-elle pas devenir une salope » se dit-elle pour se remonter le moral. Elle sent à plusieurs reprises le sperme envahir ses entrailles de même que dégouliner le long de ses fesses et de ses jambes. Son anus est ravagé et elle ne sent pas même plus les sexes la pénétrer à répétition. Elle continue à sucer des bites et toujours à quatre pattes. Son visage est méconnaissable tant il est recouvert de foutre. Sa mâchoire lui fait mal à force d’ouvrir la bouche et d’accueillir des bites aussi énormes.

Ensuite, elle se met à genoux et accueille plusieurs bites entre ses énormes seins. Ma mère entame une série de branlette espagnole à la chaîne tout en pompant un sexe enfourné dans sa bouche. Elle presse ses gros seins entre les bites qu’elle doit branler. Le gars au camescope numérique n’en perd pas une miette. Il fait un gros plan sur les va et vient d’une queue entre les grosses loches de ma mère. On ne voit ainsi qu’une énorme paire de seins branlant une bite. On voir aussi les mains de ma mère, aux ongles vernis, presser ses mamelles en les soulevant avec ardeur. Sa poitrine est vraiment grosse et le sexe de l’homme pourtant très gros, semble ridicule entre les gros seins de ma mère. Il finit par éjaculer abondamment sur l’opulente poitrine. Le sperme se répand entre ses seins et dégouline sur ses tétons et sur son ventre. La poitrine de ma mère semble être l’attraction principal de cette soirée. La preuve en est cette queue de pervers en rut, attendant leur tour d’être branlé entre ces deux superbes mamelles.

Pendant une bonne heure, les seins de ma mère sont soupesés, malaxés, triturés et pétrit par des mains avides. Malgré le foutre, certain embrassent et sucent ces loches dont ils ont tant rêvé. La poitrine malmenée, ma mère tente de repousser les pervers mais elle est rapidement immobilisée. On lui saisit les bras et les pervers se relaie à nouveau pendant trois bons quart d’heures à se branler eux même entre ses nichons à leur merci désormais.

Sa bouche est également possédée par une queue constamment qui fait des va et vient l’empêchant de crier. Inutile de préciser l’état de sa poitrine à la fin. Son beau visage est méconnaissable tant il y’a de sperme, sa poitrine et son ventre pareil. Mais ce n’est pas fini, car les pervers veulent à nouveau la sodomiser. Et ils le font en la retournant à quatre pattes. L’effet de l’alcool se fait sentir et ma mère ressemble à un zombie, insensible aux actions de ses kidnappeurs. Elle se fait ainsi ramoner le cul pendant une bonne heure sans réagir tout en suçant machinalement des queues introduites dans sa bouche. Elle est ensuite possédée par tous les trous à la fois. Sa chatte, sa bouche et son anus et ce, jusqu’à ce que le dernier de ses kidnappeurs ait finit de la baiser.

Vidée, fatiguée, l’assemblée se disperse laissant ma mère sur le matelas poisseux en train de dormir bras et jambes écartés. Les traînards encore en forme en profite pour la baiser une dernière fois pendant qu’elle dort. De toute façon, au pire, ils pourront se soulager grâce aux nombreuses images accumulées de cette nuit.

On la ramène donc à la fourgonnette en la portant à moitié endormie. Elle est ramenée dans la demeure familiale et déposé sur le tapis du salon. Elle dort à moitié et l’un des pervers glisse une enveloppe entre ses deux gros seins.

- Voilà des consignes pour ta mère et de l’argent car elle a bien baisé pour une bourgeoise coincée ! Avec de la chance, on va pouvoir arriver à la faire devenir comme dans tes histoires et sinon plus, oui bien plus !

-Mais, vous n’en avez pas fini avec elle ?

- Non, on a décidé de la dépraver jusqu’au bout. On va faire en sorte que ton père n’en sache rien car il gagne de l’argent et entretient bien ta mère. Il faudra qu’elle arrête de travailler un jour car il va falloir qu’elle se consacre à nous satisfaire mais tout est indiqué dans la lettre !

- C’est horrible, c ‘est ma mère vous réalisez ?

- Oui, nous on la voit comme une truie que l’on peut baiser facilement, qu’elle a de gros seins et que si t’es pas content, fallait pas écrire ces histoires de cul sur elle.

On regarde tous ma mère étalée dans le salon. Je regarde ensuite ces salauds repartir.

Le lendemain, ma mère et moi n’avons pas reparlé de l’incident. Ce qui est sûr, c’est qu’elle est partie au travail habillée sexy voire provocante, maquillée, en mini-jupe, les jambes à l’air et des sandales à lanières. Elle a mis un tee-shirt noir moulant au gros décolleté. On voit le haut de ses gros seins qui ne demandent qu’à sortir. Mais quelque chose m’ennuie. Ce n’est pas sa tenue car même si elle est ma mère, c’est aussi une femme. Elle a le droit d’exhiber ses charmes et cela pour le plus grand bonheur des hommes qui la matent dans la rue.

Non, ce qui m’agace, c’est cette marque entre ces deux grosses loches et qui est bien visible par tous. Oui, cette marque rouge qui n’est autre que la trace des frottements laissée par les innombrables bites qui se sont branlés entre ces deux seins.

A suivre…

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