mercredi 15 juin 2022

Nathalie Ch. 06

  Récit érotique écrit par Emile Hubert.

 *****

Nathalie subit un gang-bang pour une promotion pour son mari.

Il m'expliqua quel dessein machiavélique avait germé dans son esprit. La femme sur l'écran était l'épouse de l'ancien directeur commercial. Bien qu'il n'en fût rien (Pascal, paraît-il, avait toutes les qualités voulues), Gérard allait lui faire croire que sa promotion en tant que directeur commercial serait subordonnée à ma participation à une soirée comme celle que je venais de visionner. Il ajouta ensuite :

- Comme ton mari, cette fois, va être obligé de te demander ça, je te fais confiance pour gérer au mieux la suite de tes relations avec lui, pour que les nôtres en soient grandement facilitées.

Je fus doublement émoustillée. Premièrement je tenais ma vengeance, mon petit chéri allait filer doux comme un agneau et deuxièmement la soirée que me promettait Gérard allait être, à n'en pas douter torride.

Le week-end passa et le lundi soir je vis revenir Pascal avec un air de chien battu. Je buvais du petit lait. Avec duplicité, je l'interrogeai sur sa triste mine. D'après lui des petits soucis et la prochaine décision du conseil d'administration le perturbait… Tu parles !

Tous les jours j'attendais. Le mercredi il me sembla décidé, mais non. J'en arrivais presque à me faire des illusions, allait-il me sacrifier sa carrière ? Et puis vint le vendredi et le « Nathalie, il faut que je te parle » tant attendu arriva.

- Nathalie, il faut que je te parle… Je crois que je suis sur le point d'être nommé Directeur Commercial.

Avec hypocrisie, je me réjouis.

- Mais, mais… Ce n'est pas simple à dire, mais… Enfin, je… La femme de l'ancien directeur était la maîtresse du PDG…

- De Gérard ? Celui que tu as invité ici, ah bon ! Je ne vois pas en quoi nous sommes concernés.

- Euh… hé bien… Voilà… Je n'aurais le poste que si tu passes une soirée avec le patron… Fit-il d'une toute petite voix.

- Mais tu délires…

- Ce poste est vraiment important pour moi.

- Et ma dignité, qu'en fais-tu ?

Là, j'y allais un peu fort.

- Je sais… Je sais… Mais…

- D'abord tu me fais faire l'amour devant toi par un type rencontré sur le net, puis deux. Cela avait tellement l'air de te plaire que j'ai fait une erreur d'appréciation. Tu me l'a fait payer très cher, tu t'es montré odieux pendant des mois. Et maintenant tu voudrais que…

- Je regrette, je t'assure que je regrette, pardonne- moi…

Je fis semblant d'hésiter.

- Bon après tout, si c'est la chance de ta vie… Et puis, heureusement, ce Gérard, n'est pas si mal de sa personne… Mais je te préviens, que si par la suite tu me fais le moindre reproche je te quitte.

- Oh merci, merci ma chérie… Je te promets de ne plus t'en parler…

- C'est pour quand cette obligation mondaine ?

- Demain ! Mais…

- Mais ?

- Euh, il faudra que ce soit moi qui te conduise chez lui… Et… Et il faudra que… Que tu sois nue sous ton manteau.

Gérard avait bien fait les choses.

- Eh bien, eh bien… Les choses seront on ne peut plus claires… C'est tout ?

- Non…

- Quoi encore ?

Je savais qu'il était au supplice.

- Il m'a dit que… Qu'ils seraient plusieurs…

Je laissai un silence pesant s'installer et repris :

- Bon écoute-moi bien, Tu veux me faire passer pour une traînée ! Alors je vais vraiment mal me conduire, comme une vraie pute, ils ne seront pas déçus, Monsieur le directeur, je ne les empêcherais de rien, tu m'entends, ils pourront tout me faire… J'espère qu'ils me donneront beaucoup de plaisir…

L'air penaud de Pascal me ravit et plus tard une fois couchés, sa tentative de rapprochement fut vertement repoussée.

Le lendemain matin j'allai chez le coiffeur et optai pour une coloration acajou de quelques mèches escomptant une allure un peu moins sage. J'étais conviée pour dix-huit heures ce qui me laissa le temps de bien me préparer. J'avais regardé avec attention le maquillage des actrices et mannequin des sites pornographiques. J'allais faire à l'identique, un peu plus soutenu, peut-être… Tellement je voulais faire salope. Pratiquement à la loupe j'examinai mon entre-jambe. Parfait ! Rien n'avait repoussé. Au lieu d’être complètement nue, j'adoptai le porte-jarretelles et les bas noirs à couture, plus les talons aiguilles que Pascal m'avait convaincu d'acquérir. Les ongles soigneusement vernis, une paire d'anneaux aux oreilles, j'étais parée pour le sacrifice, enfin si l'on peut dire…

En entrant dans le salon je vis dans les yeux de Pascal que j'étais remarquablement désirable. Une petite bosse fit son apparition. Je ne résistai pas au plaisir de me moquer :

- Mais… Mais tu bandes mon chéri… C'est moi qui te mets dans tous tes états… Il ne faut pas, tu sais très bien que ce soir, ce n'est pas pour toi que je me suis faite belle… C'est pour ton patron…

Et jusqu'à notre départ, je restai dans cette tenue. Il n'empêche que cette attente me plongea dans un état étrange mêlé de désir et d'inquiétude. 

Lorsque Pascal décida du départ, une boule d'angoisse me tordit le ventre et remonta dans ma gorge. Il se gara juste devant chez Gérard. Sans un mot je descendis. Je me retrouvai sur le trottoir, seule devant cette immeuble. J'allais me jeter dans la gueule du loup, sachant que les hommes qui m'attendaient seraient particulièrement vicieux et lubriques à souhait.

Interphone… 

- C'est Nathalie.

- Monte, c'est au dernier étage !

Ascenseur… Une seule porte… Il habitait tout l'étage… J’étais nouée… Un dernier instant d'hésitation… Sonnette… Drrriiiing… Silence… J'ai peur… Ouverture de la porte… Gérard :

- Entre !

L'air amusé, Gérard me prit, me fit défaire mon manteau, puis me le retira. Il recula pour m'admirer et poussa un « hummm » de satisfaction, puis il dit ironiquement :

- Vous êtes superbe Madame S, superbe et… Très bandante… Tu vas être la reine de la soirée.

Et me prenant par la taille, il m'entraîna vers une porte qu'il ouvrit. Il s'effaça un peu et me mit la main aux fesses pour me faire entrer dans cette pièce. Aux quatre hommes présent dans la pièce, il me présenta ainsi :

- Je vous présente Nathalie S., la femme de notre futur directeur commercial qui vient nous divertir. Regardez comme elle est belle. Elle vient aimablement se mettre à notre entière disposition, alors je compte sur vous pour que vous en profitiez sans aucune modération et qu'elle passe une soirée mémorable. De toute façon elle sait qu'elle ne doit attendre de nous aucune réserve ni compassion.

Un des convives, du service de sécurité je crois, parut enchanté :

- Elle est bien roulée, tu nous gâtes.

- Et attends de l'avoir vue à l'œuvre… Je peux te garantir que ce soir tu repartiras les burnes asséchées.

En plus de Gérard et de ce type, les deux autres étaient également de la société, un comptable, je crois et un commercial qui serait bientôt sous les ordres de mon mari. Le dernier de la bande était Philippe qui m'adressa un clin d'œil. Gérard proposa à l'assistance de me faire voir ce qui m'attendait. Les rires égrillards fusèrent et les cinq hommes se mirent à se déshabiller. Je pus m'apercevoir alors que ces hommes avaient un point commun : la taille de leur sexe. Ils étaient tous bien proportionnés. Trois fois cinq égale quinze, j'allais déguster. Il n'en demeurait pas moins vrai que Gérard était le mieux loti, suivi de très près par Joël le vigile, les trois autres étant sensiblement de la même longueur, même si les diamètres variaient un peu. Enfin, pour résumer ils me paraissaient tous au-dessus de la moyenne et dans tous les cas, c'était mieux que ce que j'avais à la maison.

Ils s'approchèrent et les premiers contacts me firent frissonner. Les cinq hommes m'entourèrent et leurs mains se posèrent sur moi et commencèrent à me caresser. Mes seins et mes fesses furent des cibles privilégiées. Les premiers furent soupesés, tâtés, manipulés, les secondes pétries caressées et évidemment écartées. Un homme m'attira pour me rouler une pelle. On me demanda d'écarter les jambes. Des doigts commencèrent à fureter sur mon pubis et ma vulve. D'autre s'immiscèrent dans le sillon de mes fesses. Mes mains furent prises et refermées sur des queues tendues. Les doigts fouineurs se firent investigateurs. Un moment un homme m'embrassait, Philippe m'étirait les tétons, Gérard avait introduit trois doigts dans mon vagin trempé et Joël deux dans le fondement. Le dernier avait saisi un caméscope et filmait la scène.

- Suce-les ! Commanda Gérard.

Je m'agenouillai et commençai de déposer de légers baisers sur l'extrémité des verges, puis mettant les glands à jour, j'entrepris de les lécher langoureusement et enfin me distendant les lèvres j'embouchai l'un après l'autre les dards épais. Je tendis les mains vers les sexes gonflés dont j'avais tant envie et les caressai quelques instants avant de me mettre à les aspirer tour à tour, continuant à masturber les triques et les bourses encore pleines.

Lentement je pris les belles pines entre mes lèvres, puis les fit voluptueusement glisser entre mes joues serrées avec la ferme intention de les absorber entièrement. Encouragée de façon salace par les hommes, le gland du premier commença à s’introduire au fond de ma gorge. J'avalai jusqu'à temps que mon nez touche les poils pubiens du type, puis j'entamai un doux va-et-vient buccal. Je repassai ensuite à un autre à qui je pratiquai la même technique. Je passai ainsi de l'un à l'autre un moment, agenouillée entre les cinq hommes, jusqu'à ce que Joël, le plus impatient, se poste derrière moi, me fasse cambrer, jambes bien écartées, et s'introduise précautionneusement en moi, ce qui s'exécuta sans de difficulté vu l'état dans lequel le désir m'avait mis. Je sentis l'imposant sexe m'envahir, et l'impression de plénitude fut bien celle que j'attendais.

Autant que mes bâillons de chair me le permettaient, je geignais de plaisir encourageant les allées et venues que mon baiseur me faisait subir cramponnée à ses hanches, poussant ma bouche vers une autre queue de rencontre. 

Philippe jugea qu'il était temps de changer de position. Il demanda à Joël de se retirer et m'emmena vers un fauteuil où j'allais me faire reluire. Quand je me fus assise, il ouvrit en grand le compas de mes jambes et m'enfila d'une seule poussée, Gérard et le comptable me donnèrent leur pines à branler pendant qu'ils me malaxaient les lolos, Joël et le dernier hommes se mirent à la hauteur de mon visage pour se faire sucer alternativement ou simultanément m'obligeant à me distendre les lèvres pour les absorber ensemble.

De temps à autre je leur échappais pour encourager Philippe.

- Oh ! je la sens énorme, vas-y pousse, cloue-moi complètement, mets-la-moi à fond, ooooh… C'est terrible, je mouille comme une folle, oh oui vas-y je t'en prie, encore…

Toute résistance était vaine et de toute façon, je serais le jouet de ces cinq vicieux aussi longtemps et de la manière qu'ils le souhaiteraient, je m'abandonnai à leur stupre.

Philippe jouit le premier, vite remplacé par un autre. Sûrement à cause de ce changement de membre je jouis également. Fort excité par ce que je lui avait fait avec ma bouche, il quitta précipitamment ma chatte pour venir se déverser sur ma langue. L'homme que je masturbais demanda à Gérard s'il y avait moyen de me sodomiser. Vous pensez bien que Gérard donna son accord. Il convia même les autres à me prendre de cette façon au moins une fois dans la soirée en vantant la disponibilité de mon petit cul.

Jean-Luc m'encula me faisant pousser une clameur vite étouffée par la bite de Gérard. Joël s'était couché sous moi et prenant mes nichons à pleines mains me baisait à fond. Trois hommes, tous mes trous bouchés comme je l'espérais. Gérard éjacula le premier sur ma langue en longs traits blanchâtres, juste avant que j'atteigne en criant, moi aussi la jouissance, puis ce fut le tour de Joël qui ne put se contenir plus longtemps et m’inonda le ventre, pratiquement en même temps que Jean-Luc qui me remplit les intestins.

Ouuuhh ! les salauds ! ils bandaient toujours. Je n'en avais pas fini avec eux. 

On me tendit un verre, je bus, c'était fort, c'était bon, je passais de bras en bras, des mains me parcouraient, des doigts s'infiltraient, des bouches m'embrassaient, des langues me léchaient, je remarquais que les hommes bandaient de plus en plus, on me pétrit les seins, on me les suça, on me les pinça, on me fourra une queue dans la bouche, elle sentait ma mouille, on me palpa les fesses, on me plongea trois doigts dans la chatte, puis dans le cul, les hommes étaient visiblement déchaînés d'avoir à leur merci une partenaire aussi disponible et ils en profitaient largement sous l'œil froid du caméscope. Me prenant par la taille, Gérard m'entraîna.

- Viens, je vais m'occuper de toi ! Dit-il.

Il me coinça contre une cloison, passant un bras sous mon genou il me fit lever une jambe, et après avoir tâtonné un peu m'embrocha debout. Clouée au mur, il me violait littéralement de son gros sexe à grands coups de butoir en émettant des grognements de satisfaction. Il me demanda de passer mes bras autour de son cou, et de nouer mes jambes autour de sa taille. Me tenant par les fesses, il continua à m'emmancher le long du mur sous le regard et les commentaires grossiers des autres que je pouvais voir par-dessus son épaule, et qui présentaient des érections impressionnantes. A un moment, il me décolla du mur et s'y adossa comme pour se reposer. Je n'eus par le temps de me demander pourquoi, je sentis un thorax contre mon dos et une verge contre la raie de ses fesses et lorsque Gérard les écarta de plus belle, je compris ce qui allait se passer. Je n'eus pas le temps de protester, une belle pine, celle de Joël se fraya sans pondération et sans arrêt un chemin dans le conduit déjà une fois possédé. Je n'étais plus reliée à la terre que par les deux bites sur lesquelles j'étais fermement enfichée. Les deux hommes se mirent à me soulever, puis me laisser retomber pour qu'à chaque fois je m'empale profondément en poussant des halètements rauques. Malgré la position inconfortable, la double pénétration simultanée de mes orifices me fit éprouver des ondes de jouissance extraordinaires. 

- Aaaaah que c'est super, oui oui ouiiiii, encore, plus haut, laissez-moi retomber de plus haut, Ah mes salauds, qu'est-ce que vous me faites, qu'est-ce quevous me metteeeez, aaaah c'est trop, je pars… Je jouiiiiiis…

A peine ma jouissance retombée, Gérard se retira la pine encore raide, et Joël en profita, lui aussi pour me coincer contre le mur où m'ayant demandé de me cambrer, il me sodomisa debout, les seins écrasés contre le mur jusqu'à temps que je le supplie de me prendre autrement la position devenant trop incommode. Il se retira de mon rectum, et m'invita à l'accompagner sur le tapis du salon où il me proposa de me mettre en levrette, ce que je fis, percevant parfaitement ses desseins. Je vis Gérard le membre à la main venir vers moi et m'ordonner :

- Allez Nathalie, tu vas donner ton petit cul à Joël, écarte bien les miches, fait voir ta rondelle…

Adroitement, je me penchai en prenant une fesse dans chaque main pour dévoiler mon anus rougi et resté entrouvert par les premières pénétrations. Il ajusta l'extrémité de sa pine et débuta l'inexorable intromission anale.

Gérard se glissa sous moi et j'eus la grande satisfaction d'être mise par les deux plus gros calibres de la soirée. Les trois autres vinrent devant moi pour se faire pomper tour à tour.

- Regarde comme elle m'ouvre son cul ! Et en grand encore ! Dit Joël.

- Elle adore ça se faire astiquer… Reprit Philippe.

- Ce qu'elle adore, c'est les bites, elle aime ça qu'on lui en mette partout, pas vrai ? Ajouta Gérard.
 
- Oui, j'aime vos grosses queues, oh oui ! Joël encule-moi bien, j'en ai envie depuis ce que je suis arrivée.

- Quelle salope la petite femme de Pascal. Ne t'en fais pas ma belle, nous allons te faire devenir un véritable trou à bite bien comme il faut. Tu vas devenir folle de nos queues !

- Oooooh, je ne demande pas mieux…. Répondis-je.

Une fois de plus je ressentis cette sensation délicieuse d'être réduite à l'état d'objet dont ces hommes usaient et abusaient virilement. Ce soir-là, ils étaient vraiment déchaînés et tout en m'imposant leurs sexes dans mes différents orifices ils m'humiliaient copieusement en proférant des grossièretés et des insultes qui n'avaient pour but (atteint) que de faire monter l'excitation générale et d'accentuer la disponibilité de celle qui s'offrait sans retenue. Joël et Gérard me taraudaient frénétiquement en rythme pendant que Philippe et les autres m’enfilaient leurs membres jusqu'aux amygdales.

Finalement j'expulsai les membres de ma bouche pour pousser une longue clameur de jouissance accompagnée par Joël qui déchargea dans mon cul qu'il laissa libre et ainsi donc lubrifié pour que Philippe prenne la place. Gérard se retira de dessous moi pour lui aussi laisser la place à un autre. En fait il avait choisi d'éjaculer dans mes reins et attendait que Philippe ait conclu. Celui que je suçais m'éclaboussa le visage, Je sentis le foutre de Philippe couler dans mon rectum. Vite Gérard reprit la place et me bourra en me traitant de vide-couille. Lui et celui avec qui il combinait sa pénétration m'amenèrent encore à  un orgasme énorme tandis que les deux hommes se vidaient dans leurs étuis respectifs. Trempée de sueur, je restai un moment allongée sans réaction. Avec complicité Philippe me tendit à boire. Gérard amena de quoi nous accorder une collation réparatrice. Soudain, je me rendis compte que cela faisait plus de trois heures que je me faisais baiser…

J'émis le vague souhait de partir.

- Et puis quoi encore ! Tu veux partir, tu veux partir… Tu ne peux pas nous laisser comme ça… dit Joël.

- Et puis, ne t'inquiète pas pour Pascal, il sait que tu es entre de bonnes mains et que tu baises… Compléta cyniquement Gérard.

Jean-Luc et Denis se mirent à m'étreindre afin de faire renaître mon désir.
 
- Vous me faites trop jouir, je ne peux pas refuser vous le savez bien. Répondis-je confuse.

- Tu veux encore faire des trucs cochons ?

- Si vous voulez.

- Tu sais que ce n'est pas bien comme réponse, est ce que tu veux faire des trucs cochons ?

- Oui je veux faire tous les trucs cochons ou vicieux que vous voudrez me faire faire. Admis-je résignée et échauffée par les propos pervers.

Et j'ajoutai en regardant Gérard :

- Mais plus par-derrière, j'ai eu mon compte.

- Promis, juré ! Rétorqua ce dernier.

Philippe se leva, alla chercher deux chaises qu’il mit côte à côte avec un écartement d'une cinquantaine de centimètres. Il m'invita ensuite à monter en mettant un pied sur chaque chaise. Ensuite, il me demanda de m'accroupir en tenant les dossiers. Dans cette position je réalisai que ma bouche était à la hauteur de leurs sexes et que de l'autre côté je pouvais être prise très profondément. Ils me laissèrent un moment dans cette position dégradante plaisantant sur l'ouverture de ma moule. Le caméscope tournait toujours…

Le premier, Philippe me présenta sa queue à sucer, ce à quoi je m'adonnai sans mes mains toujours cramponnées aux dossiers. Philippe ironisa sur ma voracité qu'il rythmait en me tirant par les cheveux et m'appuyant sur la tête. Puis il délaissa ma bouche pulpeuse et faisant le tour m'investit d'une seule poussée. C'est Jean-Luc à son tour qui m’enfourna sa bite entre mes lèvres et ainsi ils entamèrent un mouvement tournant ou j'étais toujours pénétrée par une tige dressée tandis qu'une autre m'était fourrée dans la bouche.

Je n'étais à nouveau plus qu'un jouet entre leurs mains immorales et je songeai que j'étais une vraie salope, mais que j'aimais ça et que Gérard apprécierait mon comportement et que cela lui donnerait envie de me plier à d'autres expériences. Autant que je le pouvais, je râlais et me laissais aller aux orgasmes que ces séducteurs me faisaient éprouver. Eux aussi se mirent me remplir de leur abondante éjaculation, tout d'abord ce fut Jean-Luc dans mon vagin distendu puis presque aussitôt Philippe dans ma bouche qui ne put absorber la totalité de la sauce salée qu'il essuya sur mes joues. Denis et Gérard prirent place dans ma bouche aux lèvres luisantes pendant que Joël me pinçait les mamelles et me besognait puissamment. Celui-ci sortit son organe de mon con ruisselant et sans avertissement me plongea sa queue dans le cul resté bien entendu on ne peut plus ouvert par les enfilages successifs et ma position. Je protestai :

- J'avais dit plus par-derrière !

- Ah ! Moi je n'ai rien promis, je croyais que cela n'était destiné qu'à Gérard ! Rétorqua-t-il en mentant effrontément et il ajouta :

- Allez, bouge ton cul comme tu sais si bien le faire !

- Oui c'est cela, remue bien, il va te défoncer la rondelle jusqu'à ce que tu hurles.

- Vas-y Joël, encule-la à fond, fais la bramer !

- Mets-lui bien, explose-lui le trou du cul, elle en raffole la salope !

Et il continua donc de m'enculer me faisant aller et venir sur son dard par un mouvement de balancier qui ne s'interrompit que pour laisser la place à Denis qui déchargea sa semence dans mes entrailles pendant que cette fois je pris mon pied en hurlant. Joël vint rejoindre Gérard pour une double pipe qui s'acheva lorsqu'ils me jouirent sur le visage me souillant de traînées blanchâtres, brillantes et visqueuses que je léchai avec servilité.

Tous assouvis, cette fois ils me laissèrent tout le loisir de partir. Gérard ne voulut pas m'accorder une douche, pour que Pascal puisse se rendre compte de ce que j'avais vécu. Je fis le tour de mes amants pour les embrasser une dernière fois. Ils me firent des compliments et m'assurèrent de leur disponibilité pour me sauter dès que Gérard leur en donnerai l'occasion.

Il y en eut…

A suivre…

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