Traduction d’un texte de Dreamweaver32.
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Il y a des jours où vous savez que vous ne devriez pas travailler et c’est l’un d’entre eux. Le soleil frappe fort et l’intérieur de la cabine du camion est étouffant. Et avoir avec moi deux ouvriers poilus et sales n’aide pas non plus. Joe et Ed sont d’excellents ouvriers, mais leur hygiène laisse à désirer.
Leur conversation, alors que nous nous rendions vers le travail, porte sur leurs dernières conquêtes et de la façon dont ils se sont comportés. A les entendre bavarder, on pourrait croire qu’ils avaient baisé deux stars de cinéma et non de vieilles putes avec qui je savais qu’ils avaient été. Mais je les laisse discuter parce que je trouve leurs histoires extrêmement drôles et que ça m’aide à passer le temps.
Le client habite à bonne distance de mon entreprise, donc nous nous étions arrangés pour passer quelques nuits dans un hôtel bon marché. Je n’aimais pas trop devoir coucher à l’extérieur, mais le prix avait été ajouté à mon devis déjà assez important.
Alors que nous roulons sur un long chemin de gravier bien ratissé, au milieu de grands conifères, je me suis dit que j’aurais dû doubler mon devis. Mince, ils peuvent se le permettre, me dis-je.
- Bon les gars, arrêtez de rire ! Je veux que nous fassions bonne impression ici, d’accord ? Dis-je.
Je souris quand ils répondent tous les deux à l’unisson avec amusement :
- Oui Boss, bien Boss, à vos ordres Boss.
Je tire sur la cloche stylisée à la porte d’entrée de ce qui ne peut être décrit que comme un manoir. La porte s’ouvre. La maîtresse de maison m’accueille avec froideur et me demande ma carte d’identité. Je lui dis que je ne l’ai pas et je lui montre mon permis de conduire à la place. Elle dit avec brusquerie :
- Hummmm, ok Marc ! Tu sembles bien être celui que tu dis être. Et qu’est-ce que tu regardes ?
J’imagine que je dois être bouche bée ou quelque chose comme ça, car elle est magnifique. Elle porte un fin bikini en dessous d’un peignoir éponge qui couvre à peine ses larges courbes. Je ne peux détacher mon regard de son corps pulpeux.
- Désolé Madame, je ne voulais pas vous fixer comme ça. Dis-je en rougissant furieusement.
- Vous êtes ici pour travailler jeune homme, pas pour lorgner mon corps. Et vous feriez mieux de faire du bon travail. Maintenant je vous suggère de demander à vos deux employés de décharger le camion pendant que je vous montre ce que j’ai besoin que vous fassiez.
Dès que je l’ai vue, j’ai su qu’elle serait un problème. Elle tourne les talons et s’éloigne vers la piscine. Mes yeux la suivent tout le long du trajet. Le peignoir est si court que je peux voir la rondeur de ses fesses de chaque côté de son string. Je suis sûr qu’elle a l’habitude d’aller s’entretenir dans une de ces salles de sport sophistiquées qui abondent dans ce coin. Je ne vois aucun bourrelet disgracieux, ses jambes sont magnifiques et sa taille mince. Ses seins sont petits, mais je les aime comme ça. Une bouchée suffit, comme me disait mon père.
Je donne des ordres aux gars pour qu’ils déchargent le camion et je la suis. Ma bite gonfle déjà à la pensée de la voir au lit. Je marche derrière elle, regardant ses fesses danser délicieusement sous son peignoir. Je me dis qu’elle est bien baisable. Mais je ne me fais pas d’idée, elle est bien trop sophistiquée pour ne pas dire qu’elle est une snob de premier ordre. Elle doit avoir au moins quarante-cinq ans, mais elle est bien conservée, des cheveux blonds courts, très bien coupés, et un cul dont certaines femmes moitié moins vieilles seraient fières. C’est juste dommage qu’elle soit arrogante.
- Ok Mike, Marc ou quel que soit votre prénom, c’est ici que je veux le patio. Juste ici, au-dessus de la piscine. Et faites attention à la bordure en marbre, ne l’abîmez pas, elle coûte plus que ce que vous devez gagner en un an. Dit-elle avec sa voix de garce.
Je regarde tout autour. Je suis en admiration. La piscine est magnifique et elle a sûrement raison à propos du marbre. Elle me lance un regard dédaigneux et me rappelle qu’elle nous surveillera depuis sa chaise longue à l’autre bout de la piscine. Elle ajoute que si nous faisons des dégâts, elle en déduira le coût à la facture.
En raison de la chaleur, nous sommes tous les trois dans des shorts en jean coupé, des bottes et des chemisettes amples que nous enlevons presque de suite. La sueur coule en ruisseau et alors que le soleil brille sans pitié, je lui demande si nous pouvons prendre de l’eau fraîche à la cuisine.
- Pardon ? Vous voulez dire que vous êtes tellement idiots que vous avez oublié d’apporter de l’eau ? Eh bien je suis désolé, mais je ne veux pas d’ouvriers en sueur comme vous dans ma cuisine. N’importe quoi ! Il y a un robinet extérieur dont je me sers pour laver mes chiens, utilisez-le si vous le souhaitez. Je vais prendre un verre de limonade, alors remettez-vous au boulot rapidement !
Pendant que nous travaillions, j’avais remarqué qu’elle nous observait attentivement, plus que nécessaire. Je remarquai également que ses mamelons pointaient sous la fine matière de son bikini. Et si je ne me trompais pas, il y avait une tache humide sur son entrejambe. Je me suis demandé à quoi elle pensait.
Elle se lève de sa chaise longue, nous laissant apercevoir le contour de sa chatte se pressant contre le tissu de sa culotte. Elle disparaît dans la maison.
- Putain de merde Marc ! Je ne vais pas travailler pour une salope coincée comme ça. Je crois qu’elle a besoin d’apprendre les bonnes manières, vous ne croyez pas ? Crie Ed avec colère.
Avant que je puisse dire quoi que ce soit, Joe ajoute alors :
- C’est bien vrai mon pote ! Allons-y et défonçons-lui son cul de bourgeoise !
- Ça va pas les gars ? Elle nous dénoncera aux flics et que nous arrivera-t-il ? La prison les gars, c’est là que nous nous retrouverons. Dis-je.
- Pas si nous la faisons bien Boss, pas si nous le faisons bien. Dit Joe qui a un peu plus d’intelligence que Ed.
- Je parie qu’elle n’a jamais vraiment fait plaisir à son mari. Nous la faisons coopérer et nous filmons tout, comme si elle est une participante volontaire. qu’en pensez-vous ?
Ils rejettent toutes les objections que j’avais et nous suivons Madame dans la maison. Son mari a l’air plus âgé qu’elle, probablement dans la cinquantaine et légèrement chauve, mais en bonne condition physique. Ils discutent dans la cuisine et elle a l’air de l’engueuler. Je suppose que son rôle dans la vie est d’écouter sa femme critiquer tout ce qu’il fait. Pauvre con, pensé-je, mais peut-être agira-t-elle différemment avec lui à la fin de cet après-midi, lorsque nous lui aurons appris les bonnes manières.
Ed est le plus grand de nous trois et il est fort comme un bœuf, alors il attrape son mari pendant que Joe et moi prenons la femme pour la jeter sur la table de la cuisine.
- Qu’est-ce que vous faites ? Lâchez-moi tout de suite ! Je vais appeler la police, vous ne pouvez pas nous traiter de cette manière ! Faites quelque chose Geoffrey, allez espèce d’idiot, arrêtez-les immédiatement. Crie-t-elle avec colère.
Son mari essaie en vain d’échapper à l’emprise d’Ed. Mais cela ne sert à rien. Bientôt il a les mains attachées dans le dos et il est bâillonné avec un torchon. Joe et moi attachons Madame aux pieds de la table, écartelée et impuissante. Elle continue à nous insulter alors Joe se penche sur elle et la gifle durement au visage. Puis il dit de manière menaçante :
- Ferme ton clapet, putain de salope ! Nous allons t’apprendre comment traiter des gens comme nous.
Il a un rire diabolique et il commence à couper son bikini avec un couteau pris dans un tiroir.
Elle se met à pleurer et nous supplie d’arrêter, mais quand son corps pulpeux est complètement dévoilé je sais qu’il est trop tard pour tout stopper. Elle est bonne pour un après-midi de sexe violent, que ça lui plaise ou non.
Je ne peux croire que nous allons faire ça. Peu importe à quel point elle peut être garce, mérite-t-elle d’être violée ? Je regarde en silence Joe prendre ses tétons entre ses pouces et ses doigts, les rouler et les pincer. Ses yeux me regardent en suppliant et ma résolution est prête à s’envoler. Mais quand je pense à notre arrivée et à la façon dont elle nous a traités, ainsi que de la manière dont elle parle à son mari, je bande encore plus. Joe lui demande en serrant fort ses tétons :
- Comment tu t’appelles, salope ? Est-ce que nous t’appelons salope ou pute ?
Ses larmes forment une petite flaque sur la table, mais je jure d’avoir vu une goutte de son jus intime scintiller sur sa jolie chatte ouverte à nos regards. Je tends la main pour vérifier. Je glisse un doigt le long et dans sa fente béante et je sens son humidité. Elle gémit de la douleur dans ses mamelons et aussi je soupçonne de mon intrusion grossière dans son sexe humide.
- Jeannette ! C’est jeannette ! Maintenant arrêtez ça ! Vous êtes des animaux ! Ahhhhhh !
Elle crie alors que Joe serre encore plus fort. Je sens les parois de son vagin se contracter autour de mon doigt. Joe se contente de rire et il dit :
- As-tu déjà sucé des bites, Jeannette ? Senti le goût de son sperme ? Avalé son éjaculation ?
- Oh mon Dieu non ! Jamais, c’est dégoûtant, dégradant et contre nature ! Répond-elle.
Mais encore une fois, je sens sa chatte se contracter et plus de jus l’emplir.
Pendant ce temps, Ed a découvert où le couple garde leur caméscope. Il le prépare pour enregistrer la leçon de bonne manière de Jeannette. Joe a enlevé son short et il balance sa queue semi-dressé devant le visage de Madame. Même à moitié dressée, elle est énorme et Jeannette a l’air terrifiée.
- Tu vas me faire bander, salope ! Et n’imagine pas me mordre ou je te ferais payer ! Dit-il en pressant le couteau de cuisine contre sa peau.
- Maintenant, commence à me sucer !
Il met son membre en sueur contre les lèvres réticentes. Une fois de plus, je sens sa chatte se serrer et son jus couler alors qu’elle accepte involontairement la bite rance. Son corps a l’air d’apprécier ce traitement, même si son esprit ne le veut pas. Je commence à la doigter plus rapidement et j’ajoute deux doigts de plus, pour l’ouvrir plus largement, plus accueillante quand le moment sera venu pour sa chatte d’obtenir ce qu’elle désire manifestement.
Quand Ed a fini d’installer le caméscope afin qu’il prenne Jeannette en entier, il se précipite vers nous. Il se déshabille et nous révèle qu’il est excité et prêt pour l’action. Sa bite n’est pas aussi longue que celle de Joe, mais beaucoup plus épaisse. Il se caresse et dit :
- Elle a l’air vraiment juteuse, Boss ! Laissez-moi goûter cette chatte et grignoter son clito !
Sans tarder il baisse son visage vers le trou béant de Jeannette. Il commence à sucer bruyamment ses petites lèvres. A un moment il doit mordre son clitoris un peu trop fort, car elle sursaute et laisse échapper un cri de douleur étouffé par la tige raide de Joe. Cela incite celui-ci à enfoncer plus profondément sa bite dans sa gorge. Et Ed suce et mordille encore plus fort. Quelques minutes passent avant que Joe grogne, tire la tête de la femme sur sa queue en disant d’une voix rauque :
- Oh putain ! Avale mon foutre, salope ! N’en gaspille pas une goutte ou tu le regretteras.
Je regarde Jeannette combattre son envie de vomir et avaler aussi vite qu’elle le peut. Joe se retire et essuie son gland collant sur son visage, laissant ainsi une trace de sperme. Il l’essuie avec son doigt et le remet dans sa bouche.
Je regarde Geoffrey le mari, et je suis surpris de voir qu’il a une érection. Il est excité de voir sa femme maltraitée. Alors je lui demande s’il a déjà eu droit à une pipe de sa part. Il secoue la tête.
- Eh bien, je pense qu’il est temps que nous changions tout cela, Geoffrey. Jeannette est plus que disposée à vous sucer, n’est-ce pas Jeannette ? Dis-je en pinçant ses tendres mamelons.
- Aie ! Enfoiré ! Non, je ne…
Je pince plus fort et je tire ses seins en l’air. Sa protestation se transforme en :
- Ok, Ok, Je vais le faire ! Arrêtez de me faire mal !
- Était-ce un « S’il vous plaît Monsieur » que j’ai entendu à la fin de ta phrase Jeannette ?
- S’il vous plaît Monsieur, je vais le faire, je vais sucer sa bite. d’accord ?
Je laisse ses tétons et je ris alors que le sang se précipite à l’intérieur et la fait pleurer à nouveau. J’amène son mari sur le côté de sa tête et je fais tomber son pantalon et son slip. Son membre en érection tremble à la perspective de sa première expérience orale. Je pense qu’il ne va pas se retenir longtemps dans la bouche accueillante de Jeannette.
C’est à ce moment que Ed choisit d’empaler la chatte juteuse de la femme avec sa grosse bite épaisse. En même temps son pouce rugueux frotte son clitoris. Elle se tortille pour s’éloigner de lui et elle gémit. Comme sa bouche s’ouvre, Geoffrey en profite pour placer sa bite à l’intérieur et l’empêche ainsi de gémir trop fort. Bientôt il lui baise la gorge aussi fort que Joe, mais beaucoup moins profondément. Joe s’assure que la caméra enregistre tout.
Geoffrey éjacule dans la bouche de sa femme et je lui fais tout avaler. Ed jouit dans son ventre, se retire, nettoie sa bite avec ses doigts, récupère son foutre et lui donne à manger aussi. Joe et moi-même avons d’autres plans.
La regarder avaler le foutre chaud et crémeux me fait bander plus que jamais. Je veux sentir cette chatte se resserrer sur ma bite comme elle l’avait fait sur mes doigts. Jeannette est épuisée de se débattre alors nous la détachons. Puis je m’allonge sur la table. Ed et Joe la font accroupir en face de moi, puis il baisse sa chatte sur ma bite bien tendue. Elle mouille vraiment. Je me glisse facilement en elle et je la sens frissonner alors que ma bite tape son col. Brutalement j’attrape ses hanches et je commence à la limer tout en suçant ses mamelons.
Plus je la baise, plus elle devient humide. J’écarte ses fesses exposant ainsi son petit trou à son mari et mes ouvriers. J’appuie mon index sur son anus et elle se crispe immédiatement en devinant ce que je veux faire. Elle crie quand mon doigt se fraie un chemin au-delà de son sphincter résistant. Il glisse profondément dans son cul.
- Non ! Pas ça, salaud ! Arrêtez s’il vous plaît !
Mais en envahissant son trou du cul, je sens les muscles intérieurs de sa chatte serrer ma bite plus fort et un flot de jus tremper mes cuisses. Je regarde Joe et je vois dans ses yeux l’envie de la sodomiser. Je décide de le laisser faire. Après un signe de tête, il monte sur la table. J’enlève mon doigt qu’il remplace aussitôt par sa bite gluante. Jeannette crie à nouveau, mais sa chatte suinte encore plus. Quand Joe l’a bien pénétrée, il baise son cul et n’est pas long à décharger. Ed le remplace, rapidement suivi par Geoffrey trop heureux de pouvoir enfin enculer sa femme.
Ses cris se transforment rapidement en gémissements alors que ma bite martèle sans relâche sa chatte. Elle ne peut pas en supporter beaucoup plus et bientôt elle crie de nouveau, pas de douleur cette fois, mais de plaisir. Elle jouit avec force en même temps que moi. Mon foutre, mélangé à son jus coule sur mes jambes, puis sur la table. Elle s’effondre sur ma poitrine et reste allongée, le souffle court, son corps tremblant toujours sous l’effet de son orgasme.
Dix minutes s’écoulent avant qu’elle ne trouve la force de se relever. Elle me regarde, puis elle regarde les autres en train de se masturber en regardant le film sur le caméscope. Elle comprend que son calvaire n’est pas encore terminé. Quand elle voit son mari fixer avidement les images sur l’appareil, en se caressant comme les autres, elle sait qu’il en veut plus.
J’avais repéré plus tôt des crochets fixés dans le plafond, sûrement les vestiges d’un ancien sèche-linge à l’ancienne. Je me dis alors qu’il est temps de suspendre Jeannette pour qu’elle sèche. Je demande aux gars de l’attacher pour que nous lui donnions quelque chose pour se souvenir de nous. Elle me regarde avec peur, mais je vois aussi une lueur de soumission dans ses yeux. Elle ne l’admettra jamais, mais je sais qu’elle aime que nous utilisions son corps. Elle se demande sûrement ce que nous avons en réserve.
Joe et Ed soulèvent son corps fatigué et le place sous las poulies attachées aux crochets. Ils attachent une corde à chaque poignet et ils les font passer dans les poulies. Puis ils tirent ses bras aussi qu’ils le peuvent. Jeannette se retrouve debout sur la pointe des pieds. La sueur coule sur son corps et son jus coule le long de ses cuisses. Je me dis que cette chienne n’est plus aussi hautaine maintenant.
Cette situation pourrait nous envoyer en prison pour longtemps. Tout d’un coup, la porte de derrière s’ouvre et un inconnu entre. C’est sûrement un de leurs amis. Quand il voit la maîtresse de maison nue et pendue au plafond, quatre hommes l’entourant, nus aussi et arborant d’énormes érections, il crie :
- Qu’est-ce qui se passe ici ? Geoffrey, Jeannette, qui sont ces gars-là ? Dois-je appeler la police ?
Immédiatement et avec aplomb je dois le reconnaître, Geoffrey répond :
- C’est bon Bob ! Tu connais Jeannette, elle peut être une sacrée garce ! Eh bien, ces gars-là lui donnent une leçon. Elle faisait comme d’habitude, en les traitant comme de la merde, donc maintenant ils lui apprennent comment ils se conduisent avec les vraies salopes. Tu sais ce qu’elle a toujours pensé de toi ? Tu peux te joindre à nous, je te donne la permission.
Bob, incrédule, nous regarde. Puis, ignorant les appels à l’aide de Jeannette, il se déshabille rapidement et montre qu’il est prêt à se venger de toutes les remarques désagréables qu’elle a pu lui faire dans le passé. Il s’approche d’elle complètement impuissante et il passe sa main entre ses cuisses humides. Il force ses doigts à l’intérieur de la chatte déjà bien utilisée. Elle le regarde choquée. C’est un ami de la famille, un vieil ami.
Il a quatre doigts enfoncés dans sa chatte et son pouce est pressé cruellement sur le clitoris enflammé. Il ne peut s’empêcher de prendre un de ses tétons dans sa bouche pour le mordre sauvagement. Jeannette crie.
Il a l’air aussi surpris que moi quand le corps de la femme la trahit une fois de plus. Elle a des spasmes et un flot de jus imbibe les doigts de l’homme. Il sourit méchamment et dit :
- Putain de merde Geoffrey, elle adore ça !
Sur ces mots, il met son pouce dans la paume de sa main et il l’insère dans la femme tremblante. La vue de son ami abusant de sa femme excite Geoffrey. Il passe derrière elle et écarte les fesses de son joli cul. Il expose son ouverture anale déjà explorée. Son trou du cul est si bien lubrifié que lorsqu’il pose son gland dessus, il s’ouvre facilement pour lui permettre l’accès. Ed et Joe en profitent pour poser leur bouche sur ses seins et ses mamelons. Ils mordillent avec avidité la chair fraîche, laissant des marques de morsures un peu partout. Pour ma part, je m’applique à bien tout filmer de la déchéance de ma cliente. Elle ne le sait pas encore, mais elle sera bientôt mon esclave sexuel.
Bob se fatigue de la baiser avec sa main alors il la pénètre rapidement avec sa bite bien raide. Jeannette me regarde avec des yeux reflétant l’envie. Elle semble m’avoir accepté comme Maître et je vois qu’elle veut mon plaisir avant tout. Avant la fin de l’après-midi elle me sera totalement soumise.
Ce qui se passe ensuite me surprend complètement. Je vois la main de Geoffrey passer derrière le cul de Bob et un doigt s’enfoncer dans son petit trou. Bob a le souffle coupé et soudain son corps se tend. Je comprends qu’il est en train d’inonder les entrailles de Jeannette de son foutre chaud. Et comme le mari sent son ami jouir si fort avec l’aide de son doigt, il lâche également sa charge dans le cul de sa femme.
Je comprends tout. Je comprends pourquoi elle est si salope. Son mari ne peut la baiser et jouir que quand son ami Bob l’aide et se laisse doigter le cul. Qu’est-ce que ces deux vieux pédés pouvaient faire d’autre ? C’est entre eux et elle évidemment.
Je laisse la vidéo tourner alors que Geoffrey tombe à genoux et lèche le mélange de son propre sperme et celui de son ami entre les jambes de sa femme. Il ne s’arrête que pour prendre la bite de Bob dans sa bouche impatiente et sucer les dernières gouttes de foutre.
Je décide qu’il est temps d’en terminer. Jeannette en a sûrement assez de voir les agissements de son mari et de son ami. j’ai pitié d’elle. Je regarde Ed et Joe qui sont toujours en train de lui tripoter les seins et je leur dis :
- Ok les gars, si vous voulez décharger, alors faites-le dans la bouche de ces deux vieux pédés. Puis vous rentrerez chez vous, j’ai encore à faire ici.
Mes deux ouvriers me regardent avec surprise, mais ils m’obéissent sans rechigner. Ils laissent Jeannette et tournent leur attention vers Geoffrey et Bob.
- On s’en fout où on jouit, patron :
Sur ces mots ils présentent leurs bites bien dures aux vieillards toujours agenouillés entre les jambes de Jeannette pour sucer le foutre l’un de l’autre. Mes gars attrapent chacun une tête et enfonce leurs queues profondément dans la gorge des vieux. Alors que ceux-ci avalent le foutre avec un plaisir évident, Jeannette me lance un regard reconnaissant.
Après s’être vidés et avoir donné une bonne claque aux vieux, je lance les clés à Joe et je lui dis de partir. Quand mes ouvriers ne sont plus là, je dis à Geoffrey que j’ai tout enregistré en vidéo et qu’il doit maintenant se conformer à tous mes souhaits. Il me regarde avec crainte, et je devine qu’il croit que je vais lui faire du chantage et lui demander de l’argent. Mais je ne pense pas à ça du tout.
Je détache les cordes qui tiennent les bras de Jeannette et je lui enlève ses liens. Elle grimace alors que le sang reflue vers ses poignets. Je les frotte doucement. Puis je prends son visage ravagé entre mes mains et je la regarde dans les yeux. Je ne vois que de la soumission. Mon cœur fait un bond, elle est à moi.
Je lui chuchote qu’il faut qu’elle se lave pour me reconduire chez moi. Je lui dis ce qu’il faut qu’elle porte mais qu’elle n’a pas droit ni au soutien-gorge ni à une culotte. Elle essaie d’avoir l’air choqué, mais elle frissonne et dit doucement :
- Oui Maître, je suis à vous. Mon mari ne peut rien faire, vous avez la vidéo. De toute façon il a toujours voulu plaire à Bob plus qu’à moi. Maintenant c’est mon tour, je veux vous plaire, Maître. Vous m’avez montré une nouvelle facette de ma personnalité dont je ne savais pas qu’elle existait. Je ferais tout ce que vous voudrez de moi.
Je souris et j’espère qu’elle comprend dans quoi elle se lance en acceptant mes demandes.
Elle se dirige vers sa chambre et sa salle de bain. Bientôt j’entends l’eau couler. Très vite, les ravages de l’après-midi seront un lointain souvenir. Elle a découvert qu’elle adore être dominée et je l’aiderai à réaliser ses désirs. Je dis alors à Geoffrey que chaque fois que je voudrais sa femme, je l’appellerai ou lui enverrai un texto. Elle sera toujours disponible pour moi, il n’a pas le choix. Honteusement il accepte et il me dit que tant que je ne dévoilerai pas les évènements d’aujourd’hui, il me laissera Jeannette.
Celle-ci revient alors, elle est magnifique. Elle porte une mini-jupe noire avec ce que j’espère être des bas, un chemisier blanc presque transparent et des talons hauts de quinze centimètres. Je lui fais signe et elle vient devant moi. Il s’agit de sa première « inspection » et je peux voir sa nervosité devant son mari et son ami pervers.
- Ne regardez pas ! Ce que je vais faire ne regarde qu’elle et moi ! En fait vous pouvez partir tous les deux !
Je ne peux cacher mon dégoût pour ces deux vieux et je les aide à partir avec un coup de pied bien placé sur leurs couilles pendantes. Quand ils sont enfin sortis de la pièce, leurs mains sur leurs couilles douloureuses, je tourne mon attention vers ma soumise et je dis :
- Reste immobile, les bras le long du corps et les jambes écartées, je veux t’inspecter.
Jeannette rougit à la pensée de mes mains errantes sur son corps presque nu, mais elle m’obéit et se met en position. Je passe derrière elle et je me penche en avant. Je sens ses cheveux fraîchement lavés et son parfum. Je pose mes mains sur ses seins par-dessus le chemisier et je sens ses tétons déjà bien dressés probablement à cause de l’attention reçue tout l’après-midi. Je garde une main sur sa poitrine et je fais glisser l’autre sous sa jupe. Je trouve sa chatte toujours ouverte et gonflée. Sentant la touffe de poils pubiens, je dis :
- Salope, à partir de maintenant tu te raseras, je ne veux plus sentir ça.
Elle hoche la tête et murmure qu’elle comprend. Je pince un téton et je sens sa chatte se resserrer sur mes doigts sondeurs. Un petit filet de jus coule ? Je le récupère sur un doigt et je le goutte, c’est délicieux.
Je recommence à bien bander alors que je me place devant elle et je pousse sur ses épaules. Elle n’a pas besoin d’autres instructions, elle s’agenouille et, avidement, elle enroule ses lèvres autour de ma bite. Elle commence à me sucer avec application. Je crois que je vais bien profiter de cette salope, et pendant longtemps, si je ne me trompe pas.
FIN
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