vendredi 17 juin 2022

Une journée de travail fort chargée Ch. 02

Texte de XMaster, nouvel auteur sur mon blog. Vous pouvez trouver un lien vers ses "captions" sur le site Imagefap dans ma liste de liens.

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L'ancien patron de Julie.

l'atmosphère reste empreinte des cris et chuchotements de la matinée. Le soleil filtre maintenant à travers les stores. La journée s'annonce belle et chaude. Dès qu'elle s'aperçoit de sa vraie liberté, la pauvre Julie se remet à pleurer. mais que lui arrive t-il donc? Quelle est cette force qui la contraint d'une si vilaine manière ? Pourquoi tant de haine de la part de cet homme qu'elle ne demandait qu'à aider après tout ? Pourquoi a t-elle donc joui autant à se faire sodomiser sans aucune douceur ? Pourquoi son monde semble t il l'abandonner ? Et surtout, surtout, qu'est ce qui fait qu'elle prenne autant de plaisir à être traitée de la sorte ?

Elle reste prostrée pendant un long moment, sûrement une bonne heure. Au bout de ce laps de temps, toujours plongée dans ses réflexions et ayant l'impression d'avoir froid, la jolie brune attrape sa veste et la jette sur ses épaules. Il est près de treize heures quand la porte d'entrée du bâtiment s'ouvre en faisant tinter le carillon électronique. La femme toujours nue, ou presque, sort alors de son cauchemar éveillé comme si la foudre venait de la frapper. Elle se dresse sur ses longues jambes et, sans réfléchir, par un réflexe automatique se dirige vers son bureau pour accueillir le visiteur. En sortant machinalement du bureau du directeur elle croit mourir en voyant Monsieur Raguet qui est là, debout devant l'accueil, stoïque comme à l'accoutumée.

- Mais que faites-vous donc dans cette tenue grands dieux ! couvrez vous c'est indécent ! 

A ce moment seulement Julie s'aperçoit de sa tenue. Elle est là, les bras ballants, la veste ouverte qui ne cache rien de sa poitrine, les fesses à l'air, uniquement vêtue de ses bas. Elle se remet encore à pleurer en enfouissant sa tête entre ses mains et a bien du mal à balbutier :

- Mais je vous croyais en prison, Monsieur !

- En prison ! Et pourquoi donc ?

- Mais c'est votre remplaçant qui...

- Un remplaçant ? expliquez-vous, je ne comprends rien. Mais que vous arrive t-il tout d'un coup, Julie ?

- Mais un homme est venu ce matin en m'expliquant que vous aviez perdu votre travail, et que, pire encore, vous aviez été arrêté pour malversation !

- Comment ! Mais qu'est-ce que c'est que cette histoire ? J'étais simplement en réunion à Paris comme prévu, mais cette réunion à été annulée au dernier moment !

- Mais alors, vous faites toujours partie de la maison ?

- Mais bien sûr ! Pourquoi en serait-il autrement je vous prie ? 

Il est intéressant de noter, que bien que la secrétaire ne s'en rende pas compte, vu l'état dans lequel elle est, que l'homme ne semble pas si surpris que ça de trouver sa collaboratrice nue et en pleurs. Et que tout en discutant, il la détaille d'un regard avide et envieux.

- C'est comme je vous le dis Monsieur, ce matin il y avait un nouveau directeur dans votre bureau Monsieur !

- Et vous avez le nom de ce type ?

- Heu... Non ! Tiens c'est vrai je ne lui ai pas demandé !

- Votre histoire est assez bizarre, convenez en. Et que croyez-vous que je puisse penser quand, rentrant à l'improviste, je vous vois nue, décoiffée, visiblement vous ne vous êtes pas embêtée ce matin ! 

C'en est trop pour la pauvre femme brune, elle sent bien que son vrai patron ne la croit pas, et elle comprend surtout qu'elle s'est fait berner par cet imposteur. C'en est vraiment trop ce fois, elle se jette aux pieds de son chef en lui demandant pardon.

- Oui ! Et si ce fameux homme a subtilisé des documents ? hum... Je fais comment moi dans ce cas ?

- Pardon, pardon Monsieur...

- Pardon ! c'est bien beau tout ça ! Mais vous méritez vraiment une punition ! Vous vous rendez compte qu'il a pu voler des documents terriblement important, voir des documents qui peuvent mettre notre entreprise en péril ? Hein... 

La pauvre secrétaire ne sais plus rien faire que de pleurer à chaudes larmes sur les chaussures de son responsable en balbutiant tout le temps :

- Pardon...

- Et tout ça parce que vous n'êtes qu'une femelle en chaleur, peu vous importe notre société, du moment que vous jouissez comme une truie, tout va bien ! Hein... 

Il marque une pause dans son discours pour regarder encore ce superbe corps à ses pieds, puis reprend d'un ton monstrueux :

- Venez avec moi, vous méritez une bonne correction, et je vais vous la donner tout de suite. 

Disant cela, il se baisse, l'attrape par le bras, et la relève. Ensuite, Jean-Pierre la conduit dans son bureau où sont encore restées la jupe et le chemisier qui traînent par terre.

- Putain ! Vous avez du en prendre un sacré coup pour en oublier vos vêtements dans mon bureau. Mais vous ne pouvez donc pas vous retenir quelques heures ?

- Pardon Monsieur... Mais vous savez...

- Aller stop ! plus de simagrées, vous n'êtes qu'une chienne, je vais donc vous dresser. Mais je vous préviens, que cette histoire s'ébruite et je vous mène devant les tribunaux, croyez moi, je ne plaisante pas.

- Mais je n'y suis pour rien, vraiment, je peux...

- Stop, taisez vous ! Ca suffit ! Et si vous faites de la prison, imaginez-vous que ce sera fini les coups de bites à tort et à travers, ça risque d'être dur pour vous... 

A cette dernière phrase il affiche un sourire sadique. Julie rêve, ça ne peut être que ça, c'est un cauchemar et elle va finir par se réveiller, c'est pas possible autrement. Et d'ailleurs, son patron ne lui a jamais montré autant de méchanceté, ce ne peut être qu'un cauchemar, c'est sûr.

Mais c'est pas du tout en rêve que l'homme la place sur son fauteuil directorial derrière son bureau. Il la fait se mettre à genoux sur le siège, les coudes sur le dossier. Elle pleure toujours, Elle a les yeux fermés et essaye de penser plus calmement mais elle n'y parvient pas. Jean-Pierre défait sa ceinture dans un geste nerveux. C'est la première fois qu'il agit ainsi de toute sa déjà longue carrière. Et finalement, il semble aussi mal à l'aise que sa secrétaire. Une fois la ceinture retirée, il en fait deux tour autour de sa main et se prépare à battre sa collègue. En ce moment, Julie, préférerai être morte. Elle est déjà presque morte de honte, elle est nue devant son vrai patron, elle s'est faite sodomiser et battre plus tôt par un inconnu, mais que lui arrive t-il donc ?

- Prends ça salope ! Crie alors l'homme en abattant le cuir de toute sa force.

Ca claque sec. Tout de suite une traînée rouge est inscrite sur les deux fesses rebondies. Julie gueule alors comme une truie qu'on égorge.

- Je vais te soigner moi, tu va voir grosse pute en chaleur.

Et le deuxième coup s'abat avec encore plus de violence. Une deuxième marque vient se superposer à la première. La femme porte ses mains sur ses fesses pour éviter de prendre d'autres coups.

- Retirez vos mains, vite !

- Pitié... 

Un troisième coup s'abat alors sur le dos des mains qu'avait placées la jolie brune. Elle gueule encore plus fort, cette fois elle a des grandes brûlure sur les fesses, mais aussi sur les mains. Dans un mauvais réflexe, elle retire ses mains et se redresse. Le quatrième coup arrive très vite, mais comme elle a bougé, il touche le bas du dos.

- Bouge pas pétasse ! 

A chaque coup de fouet elle crie encore plus fort. Julie a déjà son postérieur sensibilisé par le traitement qu'elle a reçu dans la matinée, là c'est intenable. Le directeur, y prenant vraiment goût, donne une bonne trentaine de coups de ceinture. Puis, ayant une nouvelle idée, ordonne :

- Debout connasse !

Enfin c'est fini arrive t-elle encore à penser malgré toutes les douleurs qu'elle ressent. Donc, elle se met debout de bonne grâce et se tourne vers son chef. Celui-ci à un regard bien étrange. Il ordonne à nouveau d'une voix complètement différente de celle qu'elle connaissait :

- Les mains dans le dos !

Julie exécute l'ordre assez rapidement, elle s'attend à d'autres réprimandes et est maintenant prête à les accepter car elle accepte le fait qu'elle soit coupable. Jean-Pierre donne une superbe impulsion à sa ceinture qui vient fouetter les seins par en dessous. Elle crie à nouveau et ramène ses mains sur sa poitrine.

- T'aimes ça hein ! Espèce de râclure ! 

Et voyant qu'elle a de nouveau ses mains en protection, il s'empare de son dévidoir de scotch sur son bureau. Il laisse tomber sa ceinture et ordonne encore :

- Les mains derrière le dos j'ai dit... Je vais te montrer qui est le maître, pouffiasse ! 

Sans cesser de pleurer elle remet ses mains dans le dos. Il joint les deux mains et entoure les poignets de ruban adhésif. Il prend cinq bonnes minutes pour faire cela car il fait bien plus de cent tours. Ensuite il repose l'objet, ramasse sa ceinture, la reprend comme auparavant et vient se replacer sur le côté de sa collaboratrice.

- Pensez donc que ce pourrait être les flics qui vous inflige ce traitement... 

Puis il relève le ruban de cuir et fouette sans s'arrêter la poitrine de la pauvre femme pendant au moins cinq nouvelles minutes. Heureusement que le bâtiment est désert en se samedi, car c'est un chant tragique fait de cris et de pleurs que l'on peut entendre depuis ce matin.

- Maintenant vous allez me racontez dans le détail tout ce qui c'est passé ce matin. Dit finalement Jean-Pierre fatigué par son exercice.

Et Julie, après encore cinq bonnes minutes passées à se calmer un peu, raconte. Elle raconte en pleurant toute son aventure, tout, dans le détail. Elle a honte de tout raconter mais le fait néanmoins. Elle ne néglige aucun détail, elle donne même ses impressions personnelles, avoue avoir joui quand elle se faisait sodomiser, avoir pris du plaisir à boire le foutre. Dans l'état où elle est, elle dit tout sans se soucier des conséquences tant elle est déboussolée et heureuse de pouvoir se libérer en parlant. Jean-Pierre écoute attentivement le récit qui lui est fait. Il apprécie particulièrement les passages salaces, et surtout, les moments où sa secrétaire s'ouvre à lui en lui dévoilant ce qu'elle a ressenti, comment elle a vécu tout ça, ce qui lui passait par la tête à ces moments là. Quand elle finit son histoire, l'homme se lève et annonce :

- C'est pas croyable ! Vous voulez vraiment que j'avale cette couleuvre ? Tachez de trouver mieux la prochaine fois.

- Mais je vous jure que ce n'est que la vérité.

- Allons, allons, un peu de sérieux. Moi ce que je crois c'est que vous vous êtes fait prendre comme une chienne par un mec que vous avez rencontré il y a peu, et que ce dernier a eu envie de vous piner dans mon bureau, oui !

- Mais non, Monsieur, je vous...

- Ca va... En attendant, c'est une très grave faute. Remerciez moi plutôt de ne pas porter plainte tout de suite, ça oui !

- Merci Monsieur ! finit par dire Julie en baissant les yeux.

Puis, toujours à demi en pleurs elle poursuit :

- Merci de votre gentillesse.

- Vous ressentez bien votre faute j'espère ?

- Oui Monsieur, je suis fautive, c'est moi la seule fautive, vous avez raison.

- Parfait, alors imaginez vous comment vous pouvez me remercier de ne pas porter plainte.

- Heu... Je ne sais pas Monsieur !

- Allons, un petit effort d'imagination ! Avec ce que vous venez d'inventer, comment voulez vous que je n'ai pas le feu en ce moment ? hum...

- Oh non... Pas vous...

- Comment ça pas moi ? 

Là, le directeur se met vraiment en colère et poursuit :

- Je ne suis pas assez bien pour une pute telle que vous peut être ?

- Mais...

- Une pute fait ce qu'on lui demande du moment qu'on la paye, et là, j'ai l'impression de payer fort cher, alors à vous d'être très docile à mes caprices.

- Mais non...

- Allez, hop ! pas de chichis, à quatre pattes !

- Vous n'avez pas le...

- Tais toi chienne puante, à quatre pattes que je t'encule comme tu aimes. En plus là, je te fais un cadeau en t'enculant car tu viens de m'avouer aimer ça plus que tout. 

Julie éclate une fois de plus en sanglots, elle se cache la tête dans ses mains comme à l'accoutumée, une véritable autruche. Voyant qu'elle est complètement perdue, le monstre la prend par le bras sans aucun ménagement lui tirant encore un cri de douleur, et la jette sur le bureau.

- Serre tes cuisses salope, allez plus vite que ça. La femme, devenue très docile, obéit à l'instant.

- Ecarte toi les fesses! Encore une fois, complètement soumise, elle s'exécute en prenant à pleines mains ses belles fesses rebondies et les écarte bien en grand.

- T'impatiente pas, tu vas la prendre dans ton trou du cul, ma queue, précise encore l'homme lubrique qui a sorti son engin et bande déjà comme un âne.

Julie se dit à cet instant que de toutes façons, après ce qu'elle a déjà subi, ce n'est plus qu'une toute petite formalité. Et c'est dans cet état d'esprit qu'elle attend, les fesses écartées, de se faire encore défoncer le cul. C'est sans ménagement que Jean-Pierre introduit son sexe dans l'étroit conduit. Il n'a pas lubrifié l'endroit, mais sa queue passe sans encombre car l'anus est encore bien dilaté par le traitement qu'il a subi quelques heures auparavant. Les premiers assauts de ce sexe, tout de même plus petit que celui de Luc, brûlent à nouveau le sphincter. Mais cette fois, ayant subi bien d'autres outrages, la pauvre secrétaire, perdue dans ses pensées, ne se plaint même pas. Jean-Pierre se contente de limer ce petit cul sans trop d'originalité. De temps à autre il ahane. Puis sentant sa semence monter, il s'exclame :

- Oh putain, quel trou du cul tu as! Salope va... 

Maintenant la jolie et docile collaboratrice jouit à nouveau en gémissant sans arrêt. Elle s'abandonne complètement au plaisir ce qui lui permet d'oublier ses misères. Le pervers patron s'empare à ce moment de la pauvre femme brune toujours par le même bras. Et, tirant de toute ses forces sur le coté, lui fait perdre l'équilibre et la fait tomber sur le sol. La bite à la main il vient se mettre au-dessus du visage où se lit la stupeur et dit sur un ton encore plus méchant :

- Tiens morue, je vais te doucher avec mon foutre. Regarde salope !

Et il jouit. le foutre coule de sa queue et vient tomber un mètre plus bas sur le visage. Elle en a plein partout au bout de quinze secondes, elle a du sperme dans les yeux, qu'elle avait heureusement fermés, dans les cheveux et il y en a même qui s'infiltre dans ses narines.

- Allez grosse truie, ramasse tout ce bon jus de couilles avec tes doigts et suce les ensuite. 

Et encore une fois, totalement soumise, Julie exécute l'ordre qui vient de lui être intimé. Elle se sert de ses doigts comme de petites raclettes et ramène le foutre à sa bouche où elle l'engloutit. Le démoniaque directeur la regarde faire et se régale du spectacle salace. Puis, ayant envie d'aller se vanter chez son ami Luc avec qui il a monté toute l'opération, il décide de se rhabiller et dit alors très brusquement :

- Allez, casse toi maintenant, rentre chez toi !

- Mes vêtements Monsieur?

- Non, t'es qu'une pute, tu vas rentrer chez toi en pute, à poil, en espérant que tu te feras enculer encore sur le chemin !

Et il éclate d'un grand rire sadique. Julie va, dans cette tenue, s'asseoir à son bureau. Une fois assise, pour changer, elle se met à pleurer. Jean-Pierre, ivre de stupre et heureux d'avoir enfin dressé sa jolie collaboratrice dont il avait envie d'abuser depuis bien longtemps, sort de son antre, traverse le bureau d'accueil sans jeter le moindre regard sur son employée et sort du bâtiment. La malheureuse secrétaire pleure encore un bon quart d'heure. Puis, commençant à se calmer un peu tout de même, elle recommence à cogiter sur cette folle journée, sur ce qu'elle a vécu, ce que lui a dit le fameux imposteur. Et elle se rend compte que c'est vrai, son corps aime cette violence, son cul accueille les outrages qui lui sont faits, elle jouit dans cette ambiance plus que bizarre où elle n'est plus qu'un objet sexuel. Et, comme on lui avait si durement fait remarquer, elle mouille quand elle est ainsi avilie, souillée, contrainte. Et même les coups sur les fesses, bien que la brûlant sur le coup, se transforme vite en quelque chose de très agréable. Elle pense aussi que finalement, ce monstre, mais est ce bien un monstre, ou un homme averti qui la guide?, Ce personnage donc, a sûrement raison, qu'en fait elle est bien plus vicieuse et esclave de ses sens qu'elle ne voulait l'admettre jusqu'à présent. Qu'elle est folle de sexe, de perversions, d'insolite, de hard. Qu'elle aime aussi, tout compte fait, être maltraitée, être forcée à faire ce qu'elle aime mais que la morale réprouve, elle sent que là elle a trouvé une excuse pour s'assumer. Ce n'est plus elle qui est vicieuse et perverse, elle est obligée de faire des choses horribles, et elle y prend un plaisir sans nom.

C'est perdue dans toutes ces contradictions et pensées que Julie s'aperçoit d'un coup qu'il se fait assez tard dans l'après-midi et qu'elle n'a toujours pas déjeuné. Elle se rappelle subitement que sa jupe et son chemisier sont restés dans le bureau du patron. Elle y va. Elle ramasse son soutien-gorge qui n'est plus utilisable maintenant, aussi le met-elle de coté pour le jeter chez elle. Ensuite elle ramasse son chemisier mais ne peut pas vraiment le fermer car il manque les trois premiers boutons du haut. Quelle touche elle va avoir dans les transports en communs, pas de soutif, et un décolleté digne d'une vamp d'Hollywood. Ensuite elle met sa jupe et finit par ramasser sa veste qui, heureusement encore, lui permet de masquer un peu le fabuleux décolleté. Après, elle va aux toilettes pour se passer de l'eau sur le visage, refaire son maquillage tout de même, puis elle quitte l'établissement en prenant bien soin de tout fermer à clef.

A l'arrêt de bus, elle est toujours perdue dans ses pensées et ne remarque même pas cet homme qui est venu se coller à elle sur sa droite. L'homme, assez grand, bien bâti, laisse ses yeux se promener dans le décolleté qu'il peut apercevoir. Etant plus grand que Julie, la vue en plongée lui semble bien sympathique. Elle est debout, droite, solidement campée sur ses belles jambes, les bras croisés comme à son habitude quand elle attend le bus à cet endroit. Son sac à main sur l'épaule droite tire encore un peu plus de ce coté la veste. Si elle était moins absorbée par ses états d'âmes elle se rendrait bien compte que ce type louche effrontément sur sa poitrine. Lui, dénué visiblement de toute gène, fixe un bon moment la naissance des seins. Il admire le velouté de la peau, il hume le parfum de cette belle créature.

Bientôt le bus arrive. Il stoppe et les deux personnes montent à l'arrière comme tout bon abonné. Julie s'installe sur la banquette du fond qui est libre, à droite près de la fenêtre. Elle regarde, les yeux dans le vague, à travers la vitre le paysage défiler. Elle ne sent même pas cette nouvelle présence à ses cotés.

Bruno trouve que cette jolie femme brune est bien à son goût. Il la regarde, elle a les mains croisées sur le haut de ses cuisses cachés par la jupe du tailleur. Mais lui, en amateur éclairé, à remarqué qu'elle avait des bas aux très légers bourrelets qui impriment la jupe. De plus, les jarretelles marque aussi très légèrement le vêtement.

La pauvre secrétaire laisse son esprit vagabonder. Elle ne sait pas si elle est bien ou mal, si elle doit s'assumer dans le rôle qu'on lui a dévoilé ce matin, ou si elle doit se battre contre elle même et sa propre nature. En ce moment elle ne fait plus attention à l'image qu'elle donne d'elle et est pratiquement avachie sur le siège de Skaï. Son sac est négligemment coincé entre elle et la vitre, dénudant presque son épaule.

Le type s'enhardit un peu au bout de quelques minutes de voyage en se tournant vers sa voisine. Ne voyant aucune réaction, il décide alors de voir de plus près cette si jolie poitrine qui semble bien libre de toute entrave. De sa main gauche, il s'empare du revers de la veste et le décolle de la peau en regardant franchement à cet endroit.

Une autre fois, Julie aurait giflé cet individu sans autre forme de procès. Mais cet après-midi, dans l'état où elle se trouve, avec toutes les idées qui lui encombrent le cerveau, et tous ces concepts nouveaux qu'elle vient d'apercevoir sur elle même, elle ne réagit pas vraiment. C'est tout juste si elle a un petit mouvement d'épaule gauche qui voudrait décourager son voisin. Mais elle laisse son regard filer sur le paysage.

Bruno écarte alors encore un peu plus le tissu de la peau et dit très doucement :

- Magnifiques vos seins, vraiment de toute beauté !

Ces paroles semblent la faire tout de même sortir de sa léthargie. Elle se retourne vers l'homme et bafouille, très surprise tout de même :

- Je ne vous permets pas Monsieur !

- Mais c'est un compliment, Madame, dit il encore en affichant un large sourire. 

Et Julie se retourne vers l'extérieur sans avoir repoussé cette main qui maintient toujours le revers de sa veste. Bruno comprend à ce moment que cette jolie brunette est une cochonne de première, aussi continue t-il encore toujours d'une voix douce et avec un grand sourire :

- J'ai remarqué que vous aviez des bas, ils ont l'air très jolis aussi d'ailleurs...

La femme n'a toujours pas de réaction apparemment.

- Je suis prêt à parier que vous êtes une sacrée coquine, non ?

- Monsieur, s'il vous plaît... Dit-elle d'une petite voix sans se retourner.

Bruno lâche un instant le revers, mais c'est pour mieux continuer en plaçant sa main sur la cuisse près de lui. Après quelques secondes comme ça, estimant qu'il est en bonne voie, il ajoute :

- Dites, vous me donnez votre culotte ?

- Je n'en porte pas...

- Super! J'adore les femmes coquines qui poussent le jeu en dehors du domicile, comme vous le faites.

Le ton enjoué employé apaise un peu les tourments de Julie. Elle se tourne vers son voisin, et dans un élan assez difficile à décrire lui sourit gentiment, sans arrière pensée. Ce beau sourire met le feu à l'homme. Se sentant compris, il se penche et glisse à l'oreille tout doucement :

- J'adore les femmes très vicieuses...

Puis, prenant du poil de la bête, il glisse sa main sous la jupe et la relève tout en caressant la cuisse doucement. Il murmure encore :

- Ne m'en voulez pas, mais c'est plus fort que moi, il faut que j'aille vérifier que vous n'avez vraiment pas de culotte... 

La caresse est agréable, surtout que juste avant de ressentir la main de son voisin, elle revivait les cuisants souvenirs de la ceinture sur ses seins encore un peu douloureux. Sans pour autant montrer une véritable envie que tout cela cesse, elle articule difficilement :

- En voilà des manières...

- Chut... laissez-vous faire, je ne veux que votre bien... 

La main arrive maintenant tout en haut des cuisses et Bruno peut donc vérifier que cette salope ne ment absolument pas, elle ne porte pas de culotte, pas le moindre petit string, rien. La présence de cette chaude main la réconforte à cet instant. Quelle différence avec ce qu'elle vient de vivre, elle se laisse aller aux caresses.

- Pas désagréable n'est ce pas... Poursuit encore le type aux mains agiles en flattant les grandes lèvres d'un doigt inquisiteur mais doux. 

Elle ne répond pas, mais son corps répond pour elle, Elle écarte ses belles cuisses pour laisser plus de place à cette main visiteuse et douce. Elle se cambre même tout doucement dans un long mouvement lent.

- Ca vous plaît, hein... 

Julie ne fait que soupirer légèrement pour acquiescer. Bruno laisse maintenant son doigt s'insinuer entre les petites lèvres et découvrir toute l'intimité de cette femelle en chaleur qui mouille comme une fontaine.

- J'ai les doigts pleins de votre cyprine, que c'est bon... Dit-il encore très tendrement.

Et ce coquin d'homme continue de plus belle. Son index est maintenant dans la grotte féminine à en faire le tour, et son majeur est sur l'anus dilaté où, à plat dessus, il exerce une pression comme pour le faire entrer perpendiculairement aux intestins. Visiblement, cet individu sait y faire dans les caresses. Le bus est presque désert, mais le chauffeur, dans son rétroviseur fait un immense effort pour voir ce qui se passe à l'arrière sans toutefois pouvoir voir réellement quelque chose. Maintenant la jolie brune a les jambes bien écartées, le dos cambré, elle s'offre impudiquement aux doigts presque magiques de cet inconnu. Son souffle est court, elle miaule doucement comme une chatte heureuse.

- T'aimes ça belle cochonne, hein !

Julie parvient tout juste à minauder un petit "oui" du bout des lèvres. Elle a maintenant un doigt dans la chatte et un dans le cul, et elle se rend compte qu'elle adore ça. Elle repense aussi à ce matin, quand cet homme dur et bizarre lui disait qu'elle n'était qu'une femelle faite pour le sexe. Que sa véritable nature était d'être une vraie chienne en chaleur qui se fait prendre par tous les mâles qui passent. Et si c'était vrai finalement? Et si, après tout, cet imposteur brutal n'avait pas fini par découvrir ce qu'elle même n'avait encore pas vraiment voulu accepter ? Les questions recommencent à se bousculer dans sa tête, mais les vagues de plaisir l'envahissent et elle articule encore :

- Oh salaud ! continue... 

Elle fond littéralement sous la douceur que lui prodigue ce diable d'homme.

- Oui... Tu es une bonne salope, vas-y, laisse-toi aller au plaisir.

Et sur ces dernières paroles, Bruno vient plaquer sa bouche sur la bouche entrouverte de la jolie femme et y fait pénétrer sa langue dans un long et délicieux baiser. De sa main gauche il va tripoter les seins gonflés à la peau soyeuse. Julie à l'impression qu'elle monte au paradis, surtout après cette horrible et infernale matinée. Le contraste est tel entre ses deux bourreaux et ce délicieux coquin qu'elle accepte de se livrer corps et âme.

- Tu me fais bander... Murmure encore ce mutin.

Elle ne répond même pas, elle est au septième ciel sous les doigts magiques qui s'occupe de ses deux trous en feu.

- J'ai envie de toi tout de suite... 

De toute manière, la belle brunette ne sait maintenant plus où elle se trouve. Elle a les yeux fermés et est parvenue à tout oublier, même qu'elle n'était que dans un bus.

- Viens sur moi... 

Et Bruno relâche un peu sa nouvelle conquête pour défaire sa braguette en un clin d'œil et sortir sa queue toute gonflée d'envie. Puis, la prenant par les hanches après l'avoir penchée en avant, enchaîne:

- Viens t'asseoir sur moi...

Julie se laisse guider par cet inconnu si gentil. Elle se lève un peu du siège, sent des mains lui remonter sa jupe sur les reins, passe sa jambe gauche par dessus les genoux de l'homme, et vient s'installer tranquillement sur le vit dressé. La bite entre et le gland va directement au fond de la matrice. La moule est bouillante et pleine de jus de femelle. Le type ne fait aucun effort pour l'introduction, ça rentre comme dans du beurre. Dès qu'il sent sa queue tout au fond, il lâche les hanches et passe ses mains sous la veste pour venir attraper les nichons tout gonflé du désir de cette belle brune en chaleur. Puis il murmure après quelques allers et retours :

- J'aime ce coté insolite... 

Mais, dans l'état où est la secrétaire, rien ne vient plus la choquer. Elle est à nouveau entièrement soumise à ses pulsions sexuelles. Cette fois, le chauffeur s'aperçoit du manège au fond de son bus et en oublie presque de s'arrêter à l'arrêt prévu. un homme entre deux âges monte dans le bus. Deux jeunes filles dehors, attendant un autre bus, n'en croient pas leurs yeux à la vue de ce spectacle qui se déroule dans le fond du bus. L'arrière de l'engin étant surélevé, elles comprennent tout de suite que le mec est en train de baiser cette femme qui semble un peu plus âgée que lui. Le nouveau voyageur, l'instant de surprise passé, se dirige vers l'arrière du véhicule, tout doucement. Bruno continue à encourager Julie de ses caresses sur les seins. Elle est penchée en avant, elle a posée ses bras sur le dossier devant elle et s'aide ainsi pour lever et baisser son cul à un rythme assez rapide. Elle a la jupe relevée, la veste entrouverte qui laisse apparaître ses deux beaux gros seins qui sont en train d'être malaxés de belle manière. Il se livre sans pudeur à une partie de cul digne d'un film porno. Le nouvel arrivant est venu, pendant ce temps là, se placer de l'autre coté de la banquette arrière et ne perd rien du spectacle. Bruno s'est aperçu de sa présence et lance, pas trop fort tout de même :

- Ca c'est de la salope ! hein... 

Julie, quand à elle, n'entend plus rien. Elle jouit sans vergogne de la présence, dans sa chatte, de cette grosse bite. Elle a les yeux fermés. Son amant lâche à nouveau les seins et vient prendre les hanches pour imprimer son propre rythme, plus soutenu cette fois. Le voisin s'est encore approché pour mieux voir.

- Vous pouvez toucher... 

Le nouveau passager laisse alors sa main passer sous le sein gauche de la belle brune, et, coinçant le téton entre son pouce et son index, le pince durement. La femme râle maintenant de bonheur. Le temps semble s'être arrêté, elle a enfin l'esprit libre et est toute dévouée au vice.

- Je vais jouir... Avoue alors Bruno d'une voix qui prouve la véracité de ses dires.

- Oui... Vas-y.... donne moi ton sperme...

- Oui... C'est ça... Viens boire mon jus de couilles... 

Et il aide la belle Julie à revenir s'asseoir à coté de lui. Ensuite, il la prend par la nuque et lui baisse la tête sur sa queue. Elle avale le gros mandrin et se met aussitôt à le sucer en ahanant. Le voisin, dont les ébats lui ont monté à la tête, a sorti, pendant ce temps, sa bite et se masturbe en regardant. Bruno finit par jouir. Il lâche la purée dans la bouche accueillante dans un râle qui en dit long sur le plaisir qu'il ressent. Il maintient toujours fermement la tête de sa voisine sur son ventre. Puis, s'apercevant du manège de son voisin, annonce :

- Attendez, elle va vous sucer aussi...

Puis il guide la tête qu'il tient toujours fermement vers le sexe de ce nouvel arrivant qui n'en croit pas ses oreilles. Et il ordonne gentiment :

- Vas-y, suce le aussi ma belle !

Elle est devenue complètement excitée par toute sa journée et par le foutre délicieux qu'elle vient d'avaler. Elle se laisse encore faire, passe au dessus de son amant, les seins contre cette bite qui vient de la faire jouir, et prend cette nouvelle queue en bouche.

- Putain qu'elle suce bien cette salope ! lâche l'homme très excité aussi.

- M'en parlez pas, je ne la connais pas, mais pour une bonne chienne, c'est une bonne chienne !

Et pendant ce temps là, Julie suce, suce, et suce encore. Elle aspire, caresse la pine avec sa langue, pelote les couilles en même temps, tant et si bien, que moins de trois minutes après qu'elle ait commencé, le voyageur lui déverse sa semence en bouche. Bruno est très content de ce qui vient de se passer, il aide la belle brune à reprendre sa place et commence à remonter sa braguette. L'inconnu rentre très vite sa bite dans son pantalon et se lève pour aller vers la sortie du bus. Julie est prête à recracher le sperme qu'elle a encore en bouche quand elle entend :

- Non, avale, ne recrache pas ! 

Soumise comme elle est maintenant, elle exécute l'ordre sans broncher en avalant tout l'épais liquide. Puis elle essaye de se rhabiller un peu tout de même. et elle entend à nouveau :

- Toi, je t'emmène chez moi ! Tu viens dîner tout de suite car tu me plais vraiment.

- Mais... Commence t-elle à protester quand elle est coupée.

- Pas de mais... Tu viens, je veux te connaître plus.

FIN

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