- Mais comment pouvez vous dire ça Monsieur, répond alors la belle dont les yeux sont passés du vert au rouge.
Toujours en sanglotant elle continue :
- Monsieur Raguet est vraiment le meilleur des patrons, et un homme charmant de plus.
- Ecoutez, vos relations amoureuses n'ont pas à entrer en considération pour votre travail. Et je ne suis pas là, moi, pour entendre vos gémissements parce que votre amant vient d'être arrêté. Et que Monsieur Raguet vous fasse frissonner les ovaires, c'est votre problème, pas le mien. Si vous n'y tenez plus, allez vous tremper le cul dans une bassine d'eau froide et reprenez votre boulot, nous vous payons pour ça !
Sur le coup, la pauvre Julie devient blême, elle sent qu'elle va défaillir. Elle se met alors à pleurer vraiment cette fois en enfouissant son visage dans ses mains et en balbutiant:
- Vous n'avez pas le droit de...
- Suffit ! Tonne alors l'homme sans ménagement pour la brave femme.
C'est plus que la brune ne peut en supporter, elle tombe à ce moment au sol en perdant connaissance. Quand elle revient à elle, elle est toujours allongée par terre, sur l'épaisse moquette, dans le bureau directorial. Le directeur est à coté d'elle, debout qui la toise. A peine a t-elle ouvert les yeux qu'elle entend :
- Bon, votre cinéma est fini ?
Elle met quelques secondes à se souvenir où elle est, pourquoi elle est allongée sur le sol, et ce qu'il vient donc de se passer. Puis, ayant retrouvé la mémoire, elle relève la tête et se redresse en s'appuyant sur le coude. L'homme, un air sévère affiché sur le visage dur, reprend alors d'une voix encore plus dure que précédemment :
- Je vais être très clair, j'ai besoin d'une secrétaire efficace, je dirai même toute dévouée, pas d'une pétasse qui se pâme à tout bout de champ. Je n'ai donc plus besoin de vous, vous allez rentrer chez vous, je vous payerai votre préavis, il vous sera envoyé à votre domicile, ainsi que votre solde pour tout compte. Maintenant relevez vous et disparaissez !
- Mais Monsieur... dit encore la belle en gémissant à nouveau.
- Quoi Monsieur ? coupe le directeur de façon fort impolie, vous ne comprenez pas le français en plus !
- Mais si Monsieur ! Mais pourquoi me renvoyez ? Vous ne connaissez même pas mes qualités professionnelles ! se plaint encore la pauvre fille à qui il semble que le ciel vienne de tomber sur la tête.
- Bien, vous voulez garder votre place. Ah tiens ! dit il en la toisant du haut de son mètre quatre vingt cinq. Nous allons voir de quoi vous êtes capable alors, essayez de faire la meilleure impression possible si vous tenez à votre job, pour le moment je n'ai que de très mauvais a priori sur vous. Relevez vous, c'est indécent votre position !
La belle Julie se relève donc, elle est complètement abasourdie. Elle voit l'homme tourner les talons et aller s'asseoir à sa place derrière le grand et imposant bureau. Elle parvient à se mettre debout, encore toute retournée par ce qu'elle vient d'apprendre, elle s'approche du bureau pour entendre :
- Et regardez vous ! Mais qui voudrait d'une secrétaire de direction telle que vous ? Les yeux rouges, le rimmel qui coule, les cheveux en vrac ! Et que dire de votre jupe remontée ! On voit vos bas, vous faites vraiment pute tiens !
- Oh Monsieur ! S'exclame la pauvrette estimant que ces reproches sont par trop injustes.
- Eh bien quoi ! c'est pas vrai peut être ?
- Mais...
- Il n'y a pas de mais qui soit ! vous avez l'air d'une vieille pute sur le retour, usée par des années de trottoir, mais regardez vous bon sang !
Julie recommence à pleurer en se cachant le visage.
- Bon ça suffit, dehors pétasse ! Crie alors le directeur sans ménagement.
- Mais, pitié Monsieur, vous ne voyez pas que je suis sous le choc de ce que vous venez de m'apprendre ?
- C'est pas une raison ! dehors ou alors cessez de pleurez et reprenez vous tout de suite.
La belle femme fait alors un effort terrible pour se reprendre. Elle cesse doucement de pleurer, relisse sa jupe, passe sa main dans ses cheveux. Une fois cette petite remise à niveau terminée, elle essaye de soutenir le regard de son nouveau patron par son regard franc et clair. Mais elle est vraiment mal à l'aise face à cet homme au regard d'acier. Luc ne parle pas, il a la mâchoire serrée qui contracte les muscles de ses joues. Il fixe durement sa secrétaire jusqu'à ce qu'elle baisse les yeux. A ce moment là, il la détaille de bas en haut en prenant son temps puis il dit :
- Alors, de quoi êtes-vous capable à part gémir comme une truie ?
La brune n'en croit pas ses oreilles, elle n'a jamais eut à faire auparavant à un tel être. Ni le ton employé, ni les mots prononcés, ni les propos tenus ne lui plaisent, bien au contraire. Et pour montrer que ce type lui déplaît au plus haut point, elle ne le regarde même pas pour répondre :
- Mais j'ai quinze ans de bons et loyaux services dans cet établissement au cas où vous ne le sauriez pas Monsieur !
- Oui ! dit il sur un ton narquois.
Puis après quelques secondes :
- Au service d'un voyou. Mais cela ne me dit pas ce que je vais pouvoir faire de vous !
- Mais Monsieur... Essaie alors de placer Julie.
- Il n'y a pas de Monsieur qui tienne. Je cherche une collaboratrice efficace, qui me soit entièrement dévouée, corps et âme, sans préjugé ni a priori. Une femme qui me comprenne au millième de seconde, pas une greluche stupide.
- Mais Monsieur... Essaie encore la pauvre fille.
- Attendez, je vais être très précis puisque vous ne semblez pas comprendre mon discours. Je reçois des clients importants et je veux une secrétaire agréable à regarder ! C'est pas difficile à comprendre je pense ça ! Si ?
- Eh bien, pour quelqu'un qui ne veut pas une jolie plante d'appartement...
- Ca va ! crie alors le directeur, puis il enchaîne :
- Vos sarcasmes, vous pouvez vous les coller au cul. Je veux une femme belle à regarder, qui fasse chienne même. Que les clients que je reçois aient plus les yeux dans son décolleté que sur les petites lignes des contrats. Et si ça ne suffit pas, qu'ils regardent alors sous la jupe, qu'ils touchent si il faut, mais qu'ils signent. Avez vous compris Julie ?
A son prénom elle sursaute et porte alors instantanément son regard dans les yeux fixes de son patron. Mais ne pouvant soutenir un pareil regard, elle rebaisse les yeux, et même la tête à ce moment. Puis, fixant le sol juste devant ses pieds, elle dit assez bas :
- Mais pour qui me prenez vous donc Monsieur ?
- Mais pour une salope, comme les autres, pour une chienne. Vous n'êtes là que pour le décor. Votre boulot, n'importe quel ordinateur peut le faire, je peux très bien me passer de vos services à l'instant même.
- Mais Monsieur... Proteste encore la jolie brune mais avec si peu de conviction.
- Maintenant c'est très simple. Ou vous me dites oui, et on passe à un examen plus approfondi, ou vous sortez sur le champ et la société vous règlera votre dû rubis sur ongle. Vous avez trente secondes pour vous décidez.
Pendant que les secondes s'égrainent inlassablement, le cerveau de Julie fonctionne à plein régime. Bien sûr elle est choquée d'un pareil langage, de tels propos, d'une telle désinvolture. Par ailleurs, elle sait pertinemment qu'à trente-huit ans, elle risque d'avoir un mal fou à retrouver une place pareille, ici elle gagne confortablement sa vie. Elle n'a de soucis pécuniaires que ses placements en bourse. Elle a aussi le crédit de son appartement à terminer dans dix ans, celui de sa superbe voiture décapotable. Et puis, et puis, il y a toutes ces petites choses qu'elle s'offre si souvent, tous ces petits plaisirs qu'elle s'octroie sans compter. Et tout ça envolé parce qu'elle refuserait de montrer un peu ses cuisses alors que sur la plage elle est souvent nue. Non, et même si ce bonhomme l'effraie, s'il la répugne même, tout cela vaut il le coup de se priver de ces petits caprices d'enfant gâtée. Elle en est là dans ses raisonnements quand le patron la surprend encore en disant :
- Trente ! Votre réponse maintenant.
La belle brune relève les yeux et tente encore de soutenir le froid regard qui la transperce presque et balbutie en perdant tout contrôle d'elle même sous le terrible coup qu'elle vient aujourd'hui de recevoir :
- Je reste Monsieur.
- Parfait, allez fermer la porte de mon bureau alors.
Elle tourne les talons et commence à sortir de la pièce en la refermant quand elle entend distinctement :
- Non ! Je ne vous dis pas de fuir, mais de fermer la porte. Nous n'en avons pas fini tous les deux.
Alors, bien à regret, elle ferme la porte et revient se placer devant son nouveau directeur qu'elle apprécie si peu. puis elle enchaîne d'un ton badin et un petit sourire en coin :
- Auriez vous besoin de quelque chose finalement Monsieur ?
- Mais vous n'êtes réellement qu'une stupide boite à bites ou quoi ? Je vous ai dit que si vous acceptiez il y aurait un examen de passage, que croyez vous donc ? Que ce petit entretien qui vous a fait tant pleurer était un test à lui seul ? Non Mais !
Avant de poursuivre, Luc vérifie que ses paroles ont porté. Il se régale à voir la mine déconfite de sa pauvre collaboratrice.
Elle est secouée à nouveau par cet étrange pressentiment que rien de bon ne peut arriver avec un tel tyran. Bien sûr son confort est primordial, mais que va encore inventer ce monstre pour la torturer. Et finalement elle se dit qu'elle va peut être le payer bien cher cet appartement, mais que bon, n'est ce pas primordial d'avoir un toit ? Et au patron de poursuivre :
- Bien, nous allons passer en revue quelques détails qui me tiennent particulièrement à cœur. Tout d'abord, retirez votre veste de tailleur.
- Mais Monsieur, vous n'avez pas le...
- Taisez vous ! Coupe plus que sèchement le directeur qui, poursuivant son idée, continue :
- Retirez donc cette foutue veste je veux voir votre corps, c'est ça ou la porte je vous rappelle !
- Mais... Commence encore Julie en laissant ses yeux hagards se perdre dans le froid regard qui la toise.
Puis, s'étant fait une raison, elle retire sa veste rapidement et la garde à la main. L'homme se lève alors de son confortable fauteuil et vient se placer juste sur le coté de sa secrétaire, se cambre un peu en arrière et lance :
- Oui, votre poitrine semble convenir à première vue.
Puis il se déplace et se positionne juste devant la femme, et d'un geste précis et très rapide, s'empare des deux cotés du col du chemisier, tire fortement de part et d'autre en faisant sauter les trois premiers boutons. Julie se rebiffe immédiatement en essayant de bloquer le mouvement en prenant les poignets de son patron. Puis elle commence à l'insulter :
- Espèce de salaud...
Mais une gifle vient la faire taire. Luc s'est tout de suite dégagé d'un mouvement brusque des petites étreintes sur ses poignets.
- Suffit chienne ! Lance alors le directeur d'un ton ne laissant aucune place à la réplique.
Puis, sur sa lancée :
- Vous allez me montrer vos nichons sans votre soutif maintenant.
La pauvre femme se remet alors à pleurer en croisant ses bras sur sa poitrine. Elle baisse la tête sans répondre en se disant qu'elle doit faire un véritable cauchemar. Voyant que ses ordres ne sont pas suivis d'effets, le patron despotique sort alors un couteau suisse de sa poche, ouvre la petite lame. Julie tremble en voyant le couteau, elle ne sait plus quoi penser et redouble ses pleurs craignant pour sa vie maintenant.
- Retire tes mains pétasse ! crie simplement le cadre lubrique.
Après quelques très courtes secondes, ne voyant toujours pas de réaction de sa collaboratrice, il s'empare, de sa main libre, du fin poignet droit de la belle brune et le repousse le long du corps. Ensuite il fait de même avec l'autre poignet. La pauvre femme n'a toujours pas de réaction, elle semble être déconnectée de la réalité. Puis, et sans ménagement, il s'empare du fin tissu entre les deux seins avec sa main gauche. Il glisse la lame sous le tissu et coupe aussitôt le soutien-gorge qui tombe au sol car il ne comporte pas de bretelles.
- Voilà qui est mieux salope.
A ce moment, il la prend par l'épaule et la fait tourner d'un quart de tour vers la droite. Il range son couteau en regardant sans cesse la belle poitrine ferme qui se soulève au rythme des pleurs de la pauvrette. Et, enfin, il prend le sein droit dans sa main droite et le palpe, le malaxe, teste son élasticité, son velouté. Sans pudeur, ni excitation particulière d'ailleurs, le directeur finit par pincer le téton de plus en plus fort jusqu'à obtenir une réaction. Elle crie alors sous la douleur en sortant de son état second. Tout de suite, elle veut se dégager en attrapant de ses deux mains celle de l'homme pervers. Il cesse donc de lui torturer les seins, puis s'étant reculé d'un pas, ordonne d'une vois terrible :
- Retirez votre jupe maintenant.
Reprenant un peu de poil de la bête, elle redresse la tête, fixe son patron, et lui répond méchamment :
- Et quoi encore !
Une nouvelle gifle, bien plus cinglante que la précédente, vient la rappeler à l'ordre. Sous le coup elle éclate en sanglots en mettant ses mains devant ses yeux. Luc en profite alors pour s'accroupir, prendre à pleine main l'étoffe de la jupe, et d'un geste violent, fait glisser le vêtement sur les longues jambes découvrant ainsi le pubis presque glabre et les bas blancs auto-fixant.
- Espèce de pute ! S'écrie t-il alors, et vous ne portez pas de culotte pour venir au boulot !
Julie entend cette remarque incongrue. Instantanément elle regarde ses jambes pensant que sa culotte à du glisser en même temps que sa jupe, mais elle ne voit rien.
- Mais... Balbutie t-elle d'un air de plus en plus hagard.
- Attendez là ! Ne me dites pas que vous êtes étonnée de ne plus retrouver votre culotte tout de même.
- Mais je vous assure.. Essaye t-elle encore d'expliquer quand elle est coupée.
- Et ça vous faisait mouiller de venir comme ça au bureau ? et que faisiez-vous donc au juste avec votre cher patron ?
Le directeur se régale du trouble de la femme en cet instant. Il sait bien où elle est cette fameuse culotte, puisque c'est lui, quand Julie était évanouie, qui lui a retirée. Et pour l'heure, cette culotte est au fond de la poche droite de son pantalon. La pauvre secrétaire ne comprend vraiment plus rien. Quelle journée, mais quelle journée ! Elle ne se rend même plus trop compte qu'elle est presque nue devant cet homme qu'elle ne connaissait pas il y a encore une heure. Luc ne laisse pas sa proie se reprendre, aussi, en se relevant il continue:
- Et c'est combien la passe ?
- Mais Monsieur... Essaie encore vainement la collaboratrice éberluée.
- Après tout, c'est vous qui avez raison, pour ce que j'ai à vous faire faire, c'est mieux ainsi, la culotte n'est pas obligatoire après tout.
- Mais franchement Monsieur, je suis persuadée d'en avoir mis une ce matin !
- Et elle s'est évaporée peut être ! Allons donc. En fait moi je comprends bien que vous êtes une grosse cochonne en chaleur. Une femelle toujours prête à se faire défoncer le cul comme une bête.
- Non, non, non Monsieur, je…
- Mais si ! et je suis sûr que vous mouillez toute la journée, et même sûrement plus que vous ne pissez.
- Je ne vous permets pas...
- Ca suffit maintenant, vous me faites perdre mon temps. je veux une secrétaire pour exciter les clients, accepter tout ce qui peut les amener à signer les contrats, point barre.
- Mais ça ne va pas...
- Attendez, c'est moi ou c'est vous qui venez travailler sans culotte ?
- Heu... C'est moi, répond alors benoîtement Julie ne sachant vraiment plus du tout ce qui lui arrive et ne sentant pas un instant le piège qui lui est tendu.
- Parfait, donc c'est vous la putain de service. Il n'y a pas à en faire un drame, c'est comme ça, et c'est tout.
Pour la énième fois elle éclate en sanglots en enfouissant sa tête entre ses mains. Luc en profite alors pour lui ordonner :
- C'est bon, allez vous asseoir sur le bureau maintenant.
Et, sans attendre une quelconque réaction, il la prend par la main et lui fait faire les deux pas qui les séparent du bureau. Là, le directeur la prend sous les bras et l'assoit sur le bord du bureau. Julie est comme une poupée gonflable. Elle n'a maintenant plus de réaction. Ses yeux sont fixes et semblent morts.
Voyant que toutes ses manigances machiavéliques ont porté leurs fruits, l'homme ne se gêne plus pour écarter les cuisses de cette belle brune dont il ferait bien un petit tour de manège. Il voit avec plaisir que cette petite moule est absolument sans poils, seule une toute petite touffe décore le pubis, mais la chatte est lisse, toute lisse. Toujours aucune réaction de la belle collaboratrice. Elle semble être dans un autre monde. Luc avance sa main droite vers le sexe ainsi offert. Il entrouvre les grandes lèvres à l'aide de son pouce et de son index. Il s'aperçoit que la zone est sèche, aussi, il remonte son index sur le clito et s'en empare entre ses deux doigts pour le serrer. Sortant un peu de sa transe la secrétaire se rend compte qu'elle est en train de se faire mettre un doigt et elle s'offusque :
- Non mais dites donc !
- Ah vous, taisez vous ! Je vérifie vos capacités de boite à bites. Et vous savez très bien que vous ne servirez plus qu'à ça désormais, non !
- Mais Monsieur... Pleurniche encore la pauvre Julie sans, pour autant, faire un geste quelconque pour protéger son intégrité.
Luc pince alors le clito tout sec et tire violemment dessus.
- Aïe ! crie la collaboratrice en essayant de resserrer ses genoux.
Mais le puissant directeur s'est installé entre les jambes écartées et empêche celles-ci de se refermer. L'effet recherché se produit alors, la chatte commence à s'humidifier, il s'en aperçoit et alors, d'une voix terrible, il porte l'estocade :
- Et vous êtes soumise avec ça !
- Mais non Monsieur, je vous assure que non !
- Vous rigolez ou quoi, vous mouillez quand on vous pince le clito, si vous ne considérez pas ça comme être maso, que vous faut il d'autre alors ?
- Heu...
- Je suis certain que vous jouissez quand on vous donne la fessée !
- Mais...
- Taratata, j'ai pas de martinet ici, mais j'ai ma ceinture, nous allons voir ça !
Et Luc commence à défaire sa ceinture en se reculant d'un pas. Quand la bande de cuir est sortie des passants du pantalon il ordonne encore :
- Retournez vous pour me montrer votre cul de pouffiasse, vite !
- Mais vous n'avez pas le droit de...
- Taisez vous chienne !
Et le patron lubrique l'attrape par le bras et l'oblige à descendre puis à se retourner. Quand elle est face au bureau, d'un geste violent, il la plaque sur le meuble. D'un coup de pied il lui fait écarter les jambes.
- Ne bougez plus. Lâche t il d'un ton impérieux.
Il se déplace encore d'un pas mais sur le coté cette fois. Julie ne bouge plus du tout. Elle est allongée sur le bureau, les fesses en l'air, les jambes écartées, elle ne sait plus du tout où elle est ni ce qu'elle est sensée faire.
Il lève sa ceinture très haut, puis l'abat le plus violemment possible sur le cul rebondi de la brune. Elle pousse un hurlement et porte ses mains sur ses fesses comme pour les soulager. L'homme, lui, envoie son majeur gauche dans la moule entrouverte pour vérifier l'humidité de la grotte féminine. S'apercevant que l'endroit est encore plus mouillé que tout à l'heure, il ajoute d'un ton salace :
- Gagné ! Vous mouillez dès que l'on vous bat. C'était pas difficile à voir vous me direz, j'avais remarqué cela au premier coup d'œil. Vous n'êtes qu'une chienne soumise et maso, vous êtes une traînée, toujours prête pour servir à un homme. Vous n'êtes vraiment qu'une boite à bites !
A ces derniers mots la pauvre brune croit défaillir. Serait-il possible que ce monstre ait raison, qu'elle ne soit qu'une femme perverse, qu'une vicieuse. C'est vrai qu'elle adore le sexe, c'est vrai qu'elle est assez chienne avec les hommes qui lui plaisent, mais tout de même. Et, plus terrible encore, elle se rend maintenant compte que d'être ainsi offerte à ce tyran qu'elle ne connaît pas l'excite d'une certaine façon.
Luc prend une main de la belle et la ramène dans le dos, puis prend la deuxième, les croise et les bloque de sa puissante dextre. Il relève alors encore sa ceinture et redonne un grand coup de fouet. Un nouveau cri déchire la pièce, cette fois, la douleur s'ajoutant à la douleur existante, elle se débat en resserrant ses jambes et en se tortillant dans tous les sens. Mais le patron veille au grain, il a une force phénoménale qui lui permet de retenir cette faible femme sans trop d'efforts. Puis, devenant de plus en plus salace, il lâche :
- Voyez esclave, votre cyprine coule sur vos cuisses.
- Mais non ! Essaie encore de se défendre Julie d'une voix plaintive.
- Non ! Ah bon ! Ne me dites pas que vous avez eu des escargots sur les cuisses cette nuit tout de même !
- Des escargots !
- Eh bien, si ce n'est pas de la bave d'escargot, c'est donc que ça vient de vous alors. C'est bien ce que je disais !
Tout en parlant, il passe son pouce sur la vulve qui suinte maintenant abondamment du jus de femelle pour l'enduire le mieux possible. Puis, sans crier gare, il enfonce son pouce dans le rectum de la pauvre femme. Elle serre les fesses le plus possible mais ce diable d'homme a enfoncé son pouce aussi loin dans les boyaux qu'il lui était permis par la nature. Elle essaie encore de se défendre avec ses pieds. Mais Luc, prévoyant, vient de lâcher les mains qu'il tenait fermement et s'est emparé du joli cou. Et dans une étreinte terriblement douloureuse pour la soumise, il plaque le visage sur le bois dur, bouche contre bureau, empêchant tout mouvement des lèvres.
- Et en plus vous aimez vous faire enculer comme une grosse truie ! Remarquez je comprends, avec le nombres de bites que vous avez dû prendre dans le con, celui ci doit être si large qu'on doit pouvoir y aller à plusieurs !
Il entend à peine quelques sons étouffés provenant de la femme docile. Elle sanglote, gémit, mais rien ne vient le détourner des buts qu'il s'est fixé. Il tourne alors le pouce dans l'anus mis à rude épreuve, plie le doigt à l'intérieur du conduit pour en gratter les parois, le ressort, le rentre à nouveau à toute vitesse, élargit l'entrée par un ample mouvement de rotation.
- Salaud ! Salaud ! Réussit finalement à crier Julie car l'homme a relâché un peu son étreinte, trop occupé qu'il est à préparer le trou du cul.
- Arrêtez votre cinoche ! Je vous en prie, prenez donc conscience que vous n'êtes sur terre que pour servir de boite à bites et vous vivrez mieux !
- Enfoiré...
Et la collaboratrice éclate une fois de plus en sanglot.
- Allez pétasse, vous allez venir me sucer pour que je bande à vous faire exploser le cul après, finit par dire le patron en relâchant le cou de sa proie.
Elle se relève lentement ce qui a pour effet d'agacer encore son directeur qui crie alors:
- Plus vite chienne ! Dépêchez vous de venir me sucer, grosse truie en chaleur.
Et pour son plus grand malheur, Julie, ne sachant plus du tout quelle attitude adopter ni que faire pour arrêter les tortures, vient s'accroupir, un genou à terre, devant son tortionnaire qui a ouvert sa braguette et exhibe maintenant un dard de belle taille alors qu'il ne bande pas encore.
- Aller, sucez cette queue qui vous fait sûrement envie.
- Mais non ! je n'en veux pas...
- Allons donc ! S'écrie t il encore en attrapant à nouveau le cou pour faire entrer sa bite dans la bouche entrouverte.
Puis il ajoute tout en forçant l'entrée buccale :
- Mais si vous en avez envie, regardez vous ! Vous vous êtes accroupie toute seule sans que j'ai eu à vous le demander ! Ne me dites pas que c'est pour faire de la couture !
Julie ne peut empêcher cette grosse queue bien propre de rentrer dans sa bouche. Elle est même étonnée de n'avoir pas un haut le cœur à cette introduction. C'est vrai qu'elle est bonne cette queue, aussi commence t-elle à prendre un tout petit plaisir à l'avoir en bouche.
Luc est ravi ! Il sent que son diabolique piège a fonctionné à merveille. Il est heureux de voir sa secrétaire soumise et docile, elle semble enfin prête à satisfaire tous ses caprices, même les plus osés. Il lâche un instant le cou pour s'emparer d'une poignée de cheveux et imprime lui même le rythme de la pipe qu'il entend qu'elle lui fasse. Maintenant, elle pompe. Elle suce presque goulûment ce pieu de chair. Il semble même qu'elle commence à prendre plaisir à l'opération.
- Vous voyez bien que vous aimez ça bouffer de la queue comme une grosse goulue que vous êtes.
L'homme vicieux au possible, fait faire oui de la tète à la jolie collaboratrice qui ne peut que suivre le mouvement, puis il enchaîne à nouveau :
- Voilà qui est mieux ma chère. Je dois avouer que vous passez brillamment ce premier test.
A ces mots, Julie, devient très anxieuse. Mais que va encore inventer ce satanique bonhomme ? Il n'en a pas encore assez, mais quelle nature a t-il donc pour être si dur, si cruel.
- Maintenant je vais vous piner comme une bonne putain que vous êtes finalement.
Là, la jolie brune s'imagine qu'elle va pouvoir faire en sorte que son épreuve finisse le plus vite possible. Elle s'attend à prendre cette belle queue, tout de même, dans la chatte, elle mouille d'ailleurs à cette idée, mais elle ne veut pas faire plaisir à ce tortionnaire. Dommage qu'il ait pratiqué de la sorte, car sinon, elle aurait bien aimé qu'il lui fasse la cour, il n'est pas mal tout compte fait ce type.
Luc se remet debout sans lâcher les cheveux qu'il a capturé. Il relève sa proie, lui fait faire demi-tour, la penche sur le bureau. De, sa main libre il prend la cuisse gauche de Julie, la plie et dépose le genou également sur le bureau. Mais quelle position est-elle donc obligée d'accepter ! Enfin, elle est sûre de pouvoir le faire jouir très vite et d'être débarrassée de l'infâme.
Il s'empare de sa queue dans sa main gauche, la guide entre les grandes lèvres, l'humidifie en la passant dans la vulve inondée. Puis, d'un geste sûr, il applique son gros gland sur le sphincter, et, avant que la pauvre femme n'ait eu le temps de réagir, enfonce toute sa grosse queue dans les entrailles. Elle pousse un cri terrible. Elle a l'impression qu'elle vient de se faire brûler l'anus, et que son ventre va éclater car la longue bite est venue tout au fond et bouscule tous les organes à commencer par les reins.
- Vous sentez que je vous encule au moins !
L'horrible patron commence tout de suite à limer avec un rythme très soutenu et en allant toujours le plus loin possible. Julie crie à plein poumon, elle sent sa tête tiré par les cheveux en arrière et son trou du cul la brûle comme si on lui avait mis un fer rouge dedans ! Assez vite, Luc se lasse de limer ainsi ce cul si serré, il sait qu'à ce jeu là il ne tiendra pas longtemps, aussi ressort-il sa queue. La femme reprend alors son souffle en pensant qu'elle vient de passer les pires moments de son existence, mais combien elle se trompe ! Il reprend alors sa queue en main, et l'enfourne à nouveau, puis la ressort, et l'enfourne encore. Il joue à ce petit jeu pendant un bon moment. A chaque introduction, la pauvre brune pousse un nouveau cri de douleur et de désespoir. Mais quand tout cela va t il prendre fin ?
- Ah oui, au fait, je n'essaie pas votre chatte car avec tout ce qu'elle a dû voir elle doit être bien trop détendue pour moi.
Et il continue à faire pénétrer son gros pieu de viande dans le petit cul qui commence tout de même à être bien dilaté. Julie a maintenant bien moins mal à chaque introduction. Elle se surprend même à aimer ce jeu pervers.
- Vous aimez ça vous faire enculer sale pute, hein ?
La secrétaire ne veut pas répondre, et surtout elle ne veut absolument pas avouer qu'effectivement elle commence vraiment à prendre goût à ces grands coups de queue dans le cul. Voyant qu'aucune réponse n'arrive, il enfonce à nouveau sa bite tout au fond des boyaux et crie :
- Allez, dites le que vous êtes une belle enculée, allez !
Et à ce moment là, de sa main libre, il frappe la fesse gauche de toutes ses forces et tire encore plus fort sur les cheveux. Elle crie de plus belle, mais comprenant que ses plaintes n'aboutiront à rien avec ce tyran, elle dit tout doucement:
- Oui...
- Non, je veux vous entendre dire que vous êtes une enculée, allez plus vite que ça !
- Oui...
Le monstre frappe à nouveau et tire encore plus les cheveux en arrière. Elle crie encore plus fort, mais voyant que vraiment elle n'arrive qu'à avoir plus mal ainsi elle se décide à murmurer:
- Oui, j'aime me faire enculer.
- Non, je suis Une Enculée, allez plus vite.
- Je suis une enculée, dit-elle alors tout doucement.
- Plus fort, je ne vous entends presque pas.
Et le démon frappe encore la pauvre fesse déjà bien rougie des coups précédent.
- Oui Monsieur, je suis une enculée, finit-elle par dire assez fort cette fois.
- Encore plus fort, criez le.
Et cette fois elle le crie. Et finalement elle commence à sentir des vagues de plaisir embrumer son esprit et envahir son corps. Content de lui, Luc se remet à limer comme un fou. Il laboure littéralement ce petit cul. Il s'en donne à cœur joie. Mais il se dit que cette chienne pourrait bien y mettre aussi du sien. Effectivement, Julie est complètement passive, elle couine tout doucement de plaisir, mais se retient tout de même.
- Allez y, lâchez vous, criez, ne vous retenez surtout pas, laisse t-il tomber d'une voix un peu moins dure semble t-il.
Néanmoins, la brune ne veut pas donner cette joie à son tortionnaire, aussi fait-elle très attention à ne pas crier.
- Criez ! Eclate à son tour le tyran.
Puis il ajoute en continuant son va-et-vient infernal :
- D'une façon ou d'une autre, vous crierez.
Et il claque encore la fesse gauche sans retenue tant il est mécontent à ce moment là, puis il ordonne d'une voix redevenue on ne peut plus dure :
- Allez y, gueulez pétasse !
Et maintenant il redouble de fureur dans ses assauts de sodomite. Et au bout de quelques secondes, autant soumise à l'ordre qu'elle vient de recevoir qu'à ses propres sens, Julie commence à chanter de plus en plus fort. Enfin content d'entendre que cette docile femelle l'écoute complètement, le directeur se laisse aller à son propre plaisir. Il lime, se déplace de quelques centimètres à droite, puis à gauche, comme s'il voulait atteindre tous les recoins du sombre réduit. Il s'éclate, autant par les cris de plaisirs qu'elle pousse maintenant, que par son propre plaisir. Et quelle jouissance d'avoir soumis cette femme en si peu de temps, il est tout fier de lui. La brune ne sait plus où elle est, elle est entièrement dévouée à son corps, à sa jouissance, elle crie de plaisir, de bonheur, maintenant, son anus étant bien rodé, elle s'envoie en l'air. Mais, au bout de dix bonnes minutes de ce régime, Luc sent qu'il va jouir incessamment, aussi il se retire alors prestement et, tenant toujours fermement les cheveux de sa proie, la tire sur le coté. Il s'aide de sa main gauche pour empoigner le bras gauche de la malheureuse et la fait tomber du bureau tout en disant :
- Vous allez me sucer maintenant.
- Oh non...
- Mais si, de toute façon, si ma bite est sale c'est de votre faute alors...
Puis sans plus de précaution que ça, il guide sa queue dans la bouche encore entrouverte, car Julie cherche toujours son souffle, et ordonne après l'avoir introduit sans ménagement :
- Sucez salope, aller, mieux que ça !
Et maintenant complètement soumise, la pauvre femme exécute l'ordre qu'elle vient de recevoir en suçant ce monstre qui détient les clés de son avenir. A peine a t-il ressenti la bouche se refermer sur sa bite que Luc, ivre de stupre, éjacule violemment en plusieurs saccades qui vont directement au fond de la bouche accueillante. Pour éviter toute surprise de dernière minute, il a pris soin de tenir fermement la tête de sa collaboratrice avant de jouir sans vergogne. Julie essaie d'éviter les jets tièdes de sperme, mais maintenue comme elle est, cela lui est impossible et elle se retrouve très vite avec la bouche pleine de sperme et une grosse queue en plus.
- Avalez tout, hein, pas de perte, je me donne du mal pour vous contenter, alors dégustez putain.
Elle voudrait bien faire autrement, mais coincée comme elle l'est, rien n'est possible, aussi, faisant contre mauvaise fortune bon cœur, elle déglutit. Son chibre devenant un peu moins rigide, l'homme vérifie, en le sortant doucement, qu'il est propre et bien net.
- Alors, grosse pute, ne me dites pas maintenant que vous n'aimez pas vous faire enculer !
- Monsieur, franchement je ne sais...
- Allons, allons, pas de chichis je vous prie. Vous venez de prendre un pied gigantesque, ne le niez donc pas !
- Oui c'est vrai, mais...
- Il n'y a pas de mais qui tienne ! Vous êtes une vraie salope, toujours en chaleur, et c'est de cette capacité que j'ai besoin comme je vous l'ai expliqué tout à l'heure.
- Oui, mais tout de même ! comprenez moi, si...
- Stop !, c'est bon là ! Je le connais votre discours, mais non vous n'êtes pas une salope, vous avez fait tout ça par amour pour moi, etc... Non, là je ne vous crois pas, votre véritable nature, croyez mon expérience en ce domaine, c'est d'être une folle de quéquette, une chienne, une vraie pute, un sac à foutre, Un vide-couilles, une boite à bite.
- Mais comment pouvez...
- Ne me coupez pas sans arrêt, c'est pour vous que je vous dis ça, pas pour moi !
Elle fait alors un effort pour écouter ce monstre. De toute manière, il semble bien qu'il détienne une partie des explications qu'elle cherche tant sur elle même.
- Vous aimez vous faire prendre, sucer, lécher. J'ai remarqué également que vous aimiez être contrainte, être obligée de faire ce que l'on vous ordonne. Tout ça n'est pas problématique en soi, la seule chose pour que vous puissiez bien le vivre est d'en prendre conscience et d'accepter cette partie de vous même.
- Je vous assure Monsieur que je ne comprends pas pourquoi je me suis si facilement laissée faire ce matin, je ne suis vraiment pas ce genre de femme, et...
- Et patati, et patata. Mais oui, Vous ai-je violée ?
- Heu... Non, mais...
- Non, bon ! Alors c'est que vous étiez consentante, et comment appelez vous une femme qui couche avec un homme qu'elle ne connaît pas depuis plus d'un quart d'heure, vous ?
- Eh bien... Une salope je crois, mais Monsieur...
- Une salope, nous sommes d'accord. Alors ne me contredisez pas quand je vous dis que votre véritable nature est celle d'une salope tout de même !
- Mais...
- Et que dire des cris de plaisir que vous poussiez quand je vous donnais la fessée ? hum ?
- Ah non ! alors là non !
- Non ? Ah bon, mes oreilles me trahissent maintenant !
- Non Monsieur.
- Eh bien, nous allons donc recommencer. Et sur ces derniers mots il s'empare de la pauvre femme et la penche en la faisant basculer sur sa jambe droite qu'il vient d'avancer.
- Non, pitié, pitié, dit-elle en se débattant et se démenant comme une diablesse.
- Mais si ! nous verrons bien si vous avez raison ou pas, laissez vous faire.
- Non, non, vous avez raison, j'aime ça. mais pitié laissez moi maintenant s'il vous plaît Monsieur, gémit encore la soumise tout en se débattant.
Le directeur la lâche alors et lui dit en la fixant d'un regard dur :
- Donc, comment appelez vous une femme qui jouit sous les coups ? hein ?
- Une masochiste Monsieur, avoue finalement la belle brune complètement perdue dans ses idées.
- J'ai bien envie de vous mettre une fessée.
- Pitié Monsieur, ne faites pas ça, pitié !
- Bon, nous verrons cela une autre fois, pour le moment j'ai un rendez-vous en ville, tachez de ranger mon bureau, vous avez jusqu'à demain Julie.
Sur ce, Luc sort de la pièce après s'être correctement rhabillé sans un seul regard pour sa collaboratrice.
A suivre...
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