Récit érotique écrit par Emile Hubert.
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Le mari assiste à la débauche de Nathalie.
Ma vie devint un rêve, un double rêve… Après cette soirée incroyable chez Gérard, avec la sotte complaisance de mon mari, où lui et ses quatre complices me firent devenir leur jouet sexuel, je prévoyais que cette fois mon mari ne serait plus une entrave. J'allais devenir dominatrice à la maison et hyper soumise à mon amant.
Bien entendu Pascal voulut savoir ce qui c'était passé lors de mon… initiation. Il fut servi !
- Mon pauvre chéri ! Si tu savais tout ce qu'ils m'ont fait… Ils m'ont pris individuellement, en sandwich, à trois, tous les cinq en même temps… Comme j'ai joui ! je n'ai jamais autant joui… Moi aussi je les aie fait jouir… je les ai caressés, j'ai léché leur couilles, je leur ai fait toutes les pipes qu'ils désiraient… Il faisait exprès de me faire sucer leurs queues quand elles sortaient de mon cul… Ils ont joui dans ma bouche, je les ai branlés entre mes gros nichons, ils ont aimé… Ma chatte aussi… si tu savais… je ne sais même plus combien de fois j'ai été baisée… Je te parle même pas de l'autre côté… ça été la fête… ils m'ont tous enculé au moins une fois… certain, peut-être plus d'une fois…
Pascal faisait grise mine… mais bandait. Je décidai d'enfoncer le clou.
- Et leurs sexes… si tu savais comme ils étaient montés… ton patron, il a une queue énorme, au moins deux fois la tienne mon pauvre ! il me faisait jouir à en crier dès qu'il me sodomisait… Le type de la sécurité est aussi bien pourvu … sans compter celui que tu ne peux pas voir, ce Philippe que tu as l'air de détester… tu fais pâle figure à côté, sans compter que c'était certainement lui le plus vicieux… il en a bien profité…
Et maintenant le coup de grâce…
- Gérard veut que je devienne sa maîtresse, j'ai déjà accepté. Je compte le voir autant que je le souhaiterais et autant qu'il en aura envie. Tu n'as pas le choix, c'est ainsi ou je te quitte… et là… je ne donne pas cher de ton poste de directeur, même chose si tu me fais des histoires…
Il était livide, je poursuivis :
- Alors, que décides-tu ?
Je le vis s'affaisser et bredouiller :
- C'est, c'est… enfin ! Co… comme tu voudras… j'ai compris… tout est de ma faute… je ne te ferais aucun reproche, promis… je filerais doux… Mais je t'en prie ne me quitte pas…
Gagné ! j'avais gagné et je lui concédai ironiquement :
- J'ai vu que tu bandais quand je t'ai raconté ma soirée, tu aimerais que je te raconte les autres ?
- Oh oui, oui je ne demande que cela !
- Eh bien ! Quand tu auras été sage et que je serais de bonne humeur, je te raconterais tout ce que ton patron me fait ! Tu n'as pas fini d'en entendre, surtout… surtout qu'il a dit que j'allais être sa chose, sa chienne, qu'il me donnerait à baiser à tous ses amis, que j'allais devenir sa pute, qu'il me ferait tout faire… Et j'ai dit oui, oui à tout…Tu te rends compte de ce que tu as raté ? En attendant pour ce soir tu dors dans le canapé.
Être dominatrice n'était pas si désagréable… Un par contre qui était bien dominateur c'était Gérard qui me conviait à chaque déplacement de Pascal pour des parties de baise mémorables où il invitait parfois un, deux ou trois de ses amis. Petit à petit il me fit connaître le trouble de l'exhibition, m'interdisant le port de sous-vêtements (sauf évidemment le porte-jarretelles), m'obligeant à des décolletés outranciers et même au port de mini-jupe (à mon âge !). Sur ses recommandations je fis même des essais avec seulement des bas sous un imperméable (il promit qu'un jour il me le ferait enlever…). Un soir, il vint me chercher à la sortie du lycée, il me reprocha ma tenue un peu stricte, me somma d'être plus affriolante pour aller en cours, et comme punition, je dus le sucer dans la voiture dans une rue adjacente au lycée (un collègue ou un élève aurait pu me voir faire, heureusement il n'en fut rien). Dès lors, pour les cours, l'assiduité masculine fut en nette augmentation. Je fermais les yeux lorsque je les voyais tenter de plonger dans mon décolleté ou que je sentais qu'ils se baissaient derrière moi dans les allées. Lors des déplacements de mon mari, ces séances avaient lieu chez lui, mais aussi chez moi où nue, je devais attendre sa venue et celle de son ou ses invités.
En plus de ces soirées, et bien que Pascal ne soit pas en voyage d'affaires, j'allais chez lui au moins une fois par semaine. Suivant mon humeur, en rentrant au domicile conjugal, je racontais ou non mes ébats à mon mari le laissant ou non me faire l'amour. Lorsque j'étais de très bonne humeur je lui faisais une fellation et dans les cas exceptionnels je le laissais me sodomiser (enfin ! lorsque l'endroit n'avait pas trop souffert de multiples pénétrations).
Facétieuse, un soir je décidai de me pas me laver et de rentrer le vagin et le rectum plein du foutre dont les trois hommes m'avaient fait don. Je l'obligeai à me faire l'amour en baignant dans le suc des autres, je crois que cela l'excita comme jamais. Aussi la fois d'après, je le forçai cette fois à me nettoyer avec la langue avant de lui accorder mes faveurs. Non contente j'en voulais encore plus. Un soir ou mon mari était très, très chaud, je lui demandai :
- Que je te raconte c'est bien ! Mais tu n'aimerais pas voir plutôt ?
Je vis que j'avais touché juste, ses yeux me l'assurèrent. Je le laissai mariner une quinzaine et le samedi suivant, je lui annonçai :
- C'est pour ce soir !
- C'est pour ce soir, quoi ?
- C'est ce soir que tu vas voir Gérard me baiser, je l'ai invité ici.
- Ici ! mais, mais… enfin…
- C'est cela ou tu n'auras pas d'autre occasion de me voir en action.
Il fit contre mauvaise fortune bon cœur. J'en profitai pour l'envoyer chez le traiteur acheter de quoi organiser un repas… pour trois… mon temps allait être consacré à me faire belle… pour Gérard. J'allais mettre le paquet.
Porte-jarretelles, bas noir à couture, ça c'était la tenue de base dans laquelle me sauterai mon amant. J'y ajoutais un redresse-sein qui projeta mon buste vers le haut, un chemisier noir transparent, et une mini… non micro-jupe acquise dans un magasin pour minettes qui couvrait tout juste la partie renforcée de mes bas. Brushing et j'achevais en me maquillant d'une façon que je jugeais outrageuse. Bref pute, je faisais très pute… Pascal en me voyant en bégaya presque :
- Tu… tu vas… rester dans cette tenue ?
- Bien sûr mon chéri… il va aimer… Il adore que je fasse pute. Tu n'aimes pas toi ? Interrogeai-je faussement candide.
A l'heure prévue Gérard sonna. J'envoyai Pascal ouvrir. J'entendis un « bonjour, mon petit Pascal » qui me ravit. Gérard me complimenta en en rajoutant un peu :
- Bonjour ma belle salope, tu es très en beauté ce soir… tout ce que j'aime, très très très salope. Tu es parfaite, il faudra que je t'emmène dans un petit club que je connais. De jolies femmes y vont s'encanailler ou arrondir leurs fins de mois. Tu ne déparerais pas la collection… j'aimerais te voir essayer…
Carrément, il me proposait de faire la prostituée pour un soir. Je savais que j'accepterais cette expérience le moment venu, je commençais moi aussi vraiment à me dévergonder. Je répondis que j'allais étudier cette intéressante proposition… Pascal manqua de s'étrangler.
Apéritif, un second, Gérard, à chaque fois que je passais près de lui pour le servir, glissait la main sous ma jupe pour me palper l'entrejambe. Pour le repas, il me demanda d'ôter ma jupe et mon chemisier. Je le fis avec plaisir. Il ne fut question que de sexe pendant tout le repas, Gérard prenant un malin plaisir à humilier Pascal :
- Tu sais, mon cher Pascal, que ta femme est un coup somptueux et active en plus… Elle ne rechigne pas à l'ouvrage… elle suce divinement et comme elle bien roulée, mes amis en sont friand. Elle les aime bien aussi, surtout ceux qui sont bien montés, n'est ce pas Nathalie ?
J'acquiesçai évidemment… entrant dans son jeu. Il prit son assiette, ses couverts, et vint se mettre à coté de moi, indiquant à mon époux :
- J'aime la peloter en mangeant.
Il tint parole… Tout le repas se poursuivit ainsi, Gérard vantant toujours les attraits de mon corps, de mes seins, de ma chatte toujours (selon lui) affamée, de mon cul (toujours selon lui) particulièrement disponible.
- Car c'est vraiment une folle du cul, je ne sais pas si tu la pratiques souvent, mais moi c'est à chaque fois. Et quand nous sommes en groupe tout le monde y passe ou y repasse. Il y a une fois nous l'avons enculée pas loin de dix fois… Tu te rappelles Nathalie ?
Pour cela oui, je me rappelais j'avais eu du mal à m'asseoir pendant deux jours.
- Elle affectionne particulièrement quand nous sommes plusieurs, si bien que, j'ai un ami qui organise de temps à autre des parties fines où la ou les femmes invitées sont très minoritaires. Je compte y envoyer Nathalie un de ces jours, la connaissant, elle sera partante…
Et il ajouta perfidement :
- Si tu n'y vois pas d'inconvénient, bien entendu…
Pascal fut bien obligé d'y consentir… Et ce fut ainsi tout le repas. Si bien qu'au dessert la conversation s'ajoutant aux attouchements, je me trouvai dans un état de fébrilité terrible. Je dus pourtant patienter, car, au café, Gérard réclama une pipe :
- Comme tu sais si bien les faire.
Donc en femelle soumise, je m'agenouillai entre ses jambes et le suçai sous le regard exorbité de Pascal. Je lui donnai le plus de plaisir possible et lorsque je le sentis se contracter, je le retirai de ma bouche, tirai la langue pour que mon mari puisse bien voir les jets de foutre se déverser. J'engloutis à nouveau l'ensemble et ne restituai sa queue à Gérard que lorsqu’elle fut propre. Nous bûmes le café et Gérard m'envoya me remaquiller annonçant qui il allait me baiser dans la chambre conjugale mais qu'il fallait que je fasse très pute. Il décréta ensuite que Pascal n'assisterait pas au spectacle, en guise de punition pour son manque de discernement de n'avoir pas décelé chez moi la vicieuse qui s'y cachait (là il exagérait un peu). Il dut rester devant la porte à m'entendre gémir puis râler de plaisir quand la grosse pine me perfora et m'amena à l'orgasme. Dès qu'il eut éjaculé, je me remis vite en devoir de le faire bander à nouveau. Gérard devina mes intentions :
- Tu veux que je t'encule devant lui hein !
- Oh oui, je veux qu'il voie ta grosse pine me défoncer mon petit trou…
- Tu as raison je vais l'appeler ! Pascal, viens voir veux-tu ! Ta petite femme à envie de se faire prendre le fion… Sois gentil, prépare-la pour qu'elle se fasse reluire en beauté…
Je le vis au supplice et pourtant il obéit. Une fois que je me fus disposée à quatre pattes, il écarta mes globes et me lécha délicatement l'œillet. Puis un doigt vint doucement en presser le centre et s'introduire avec subtilité. Il prit même la peine de me lubrifier à l'aide du sperme qui ruisselait de ma chatte. Quand Gérard me jugea suffisamment ouverte, il repoussa Pascal, pointa son gourdin contre ma rondelle qui céda volontiers. Le gros gland passa l'anneau distendu et le corps suivit la tête… jusqu'au fond. Gérard ne put s'empêcher de faire remarquer à mon mari que j'aimais beaucoup être enfilée bien à fond et que c'était comme cela que je jouissais le plus et que pour me rendre heureuse pleinement il ne fallait pas avoir une petite bite. Je souriai sous cape. En temps normal Gérard était déjà un as en matière de sodomie, mais là il fit merveille alternant ses rythmes et les profondeurs de pénétration tout en m'encourageant de la voix et du geste, en l'occurrence quelques claques sur les fesses.
- Regarde Pascal, je la lime comme une pute. Ohh que t’es bonne aujourd'hui… Allez bouge-moi ton cul, oui vas-y comme ça c’est bien.
J’obéis en bougeant mes fesses pour l’exciter encore plus.
- Ouiii c’est bon, plus fort, ohh caresse-moi… Claque-moi les fesses… Prends-moi c'est bon ! Baise-moi bien le cul ! Regarde mon chéri, regarde ce qu’il me fait, regarde comme il m'encule avec sa grosse pine… Oooooh comme il me fait du bien ! Défonce-moi ! Baise-moi, je suis à toi. Ouiiiiii… Ahhhhh Ah, oui… c'est trop bon… je vais… je vais… ahhhh !!!
Je jouis en criant et Gérard également lorsqu'il m'inonda les reins. Il se retira et non sans m'avoir fait bien sucer le membre qui m'avait tant donné de plaisir il prit congé en disant à Pascal :
- Si le spectacle t'a plu, dis-le à Nathalie, je me ferais un plaisir de revenir la baiser devant toi, cela m'a énormément excité. Oui vraiment ! Enculer une femme devant son mari c'est toujours très émoustillant.
Dès qu'il fut parti, je me dirigeai vers Pascal, il avait droit à une belle récompense. J'ouvris son pantalon, pris son sexe entre mes mains et alors que j'allais me pencher pour le sucer, il émit un couinement pathétique et se vida entre mes doigts. Je le trouvai pitoyable… et l'informai que pour une fois, je lui aurais permis, s'il avait tenu le coup, de jouir dans mon petit trou.
Je laissai passer quelques jours où je fus plus gentille avec lui et nous reparlâmes de cette soirée. Bien qu'humilié, il se dit d'accord pour une semblable aventure. Je lui proposai perfidement de me faire prendre par deux hommes devant lui, Gérard et un autre partenaire. Il accepta… J'avais fait cette proposition car dès le lendemain Gérard m'avais dit qu'il voulait recommencer et cette fois avec son ami Philippe qui était également l'adversaire professionnel de Pascal. Faire baiser sa femme par l'ennemi du mari, c'était du machiavel tout craché. Le plus difficile pour moi allait être de neutraliser Pascal pour qu'il ne jette pas Philippe dehors…
La promesse de me prendre ensuite de la façon qui lui plairait le plus l'emporta… Il consentit à être le témoin immobilisé de ma luxure. Je me procurai avec l'aide de Gérard ce dont j'avais besoin et attendis avec impatience le samedi suivant. Plus les jours passaient plus mon excitation montait. J'avais conscience de glisser lentement vers la perversité la plus équivoque. Mais à cause de cette prise de conscience j'avoue que je me complaisais à me laisser entraîner dans cet engrenage infernal.
Le vendredi arrivé j'étais tellement échauffée que pour la première fois, j'allais donner mes cours sans culotte. Etant particulièrement attentive je crois (et j'en suis même certaine) que quelques-uns des plus observateurs parmi mes cancres remarquèrent cette absence. La prof étant par définition intouchable, je m'en divertis derechef et… me promis de recommencer.
Le samedi attendu arriva et je m'enfermai dans la salle de bain. Même look que la fois précédente. Toutefois je décidai de me passer de vêtements. Mes invités n'étaient pas conviés pour des mondanités… Donc je les recevrais en porte-jarretelles. En ondulant, je vins rejoindre mon mari, lui demandant de se mettre en jogging sans rien en dessous, il serait plus à l'aise… Quand il revint, je lui rappelai sa promesse de se laisser immobiliser. Je lui demandai de mettre les mains derrière le dos et prestement je lui passai les menottes. Il tenta de regimber… peine perdue ! Tout en me frottant à lui et en lui massant les bas morceaux, je lui susurrai :
- Comme cela, je suis sûre que tu vas être sage pendant que ta petite pute de femme va se faire enfiler… Tu dois être content que je me conduise ainsi, c'est ce que tu voulais… au début… J'ai vite appris non ? il est vrai qu'avec un maître comme Gérard… il m'a promis que les choses iraient encore plus loin. Et puis, de toute façon, si tu n'es pas d'accord, je te bande les yeux mon petit cocu chéri et tu n'auras que le son. Ce serait dommage, je me sens très chaude… et je vais me surpasser…
Que vouliez-vous qu'il fasse ? Au coup de sonnette je le poussai dans un fauteuil ou il tomba lourdement. Toujours en ondoyant j'allai ouvrir. Gérard et Philippe furent ravis de ma tenue. Galamment Gérard m'annonça que j'allais en prendre plein le cul, je lui répondis que c'est ce que j'espérais. Et tous deux me tenant par la taille nous fîmes notre entrée dans le salon. Mon mari voyant son pire adversaire passa par toutes les couleurs avant de se tasser livide et prostré. Il avait bien sûr deviné que mon corps allait lui appartenir sans retenue.
Goguenards, ils saluèrent Pascal. Philippe prit un malin plaisir à le remercier de son invitation à venir baiser sa femme, et comme cela venait du cœur, il n'allait pas se faire prier. Gérard donna le signal du début des festivités en m'interpellant :
- Allez la salope viens nous sucer !
Je débraguettai ces messieurs et m'agenouillai entre eux face à mon mari. Je pris une verge dans chaque main et commençai par les lécher sensuellement pour parfaire leur érection. Lorsque leur rigidité me parut conforme à mes souhaits j'embouchai Gérard, masturbant Philippe puis j'inversai les rôles et ainsi de suite. Qu'est-ce que je pouvais aimer cela ! Au risque de me répéter j'aime sucer, quelle sensation de sentir un ou deux membres palpiter dans sa bouche et entendre leur propriétaire grogner de plaisir. Sans compter le moment à la fois, fantastique, fatidique et redouté ou, gonflé à bloc, le membre expulse son foutre tiède et visqueux…Hummm !
Bien entendu, je dus me distendre les lèvres pour les prendre tous les deux ensemble dans ma bouche et les sucer longuement. Ils firent remarquer à Pascal avec des expressions grossières combien j'excellais dans l'art de la pipe. Puis ils décidèrent de passer à autre chose. Philippe alla retirer deux coussins d'un de nos divans et les posa à même le sol. Gérard me fit mettre en levrette et son majestueux pénis me pourfendit. J'avais beau y être un peu habituée, l'effet était toujours bouleversant et la sensation de plénitude lorsque la trique n'en finissait pas de glisser dans ma chatte ruisselante était fabuleuse. J'en gémis d'aise… enfin pas longtemps car Philippe, évidemment, proposa se pine à mes lèvres qui s'arrondirent pour mieux l'aspirer. Là encore ils firent constater à haute voix combien j'aimais me faire fourrer.
Fatalement, ils intervertirent les places et ce fut Philippe qui me fit jouir le premier. Il me baisait bien, excitant de temps à autre mon clitoris gonflé ou titillant parfois mon anus, prélude à la suite. Autant que je le pouvais, je continuai à pomper Gérard qui lui s'occupaient activement de mes seins. Au bout de quelques changements de postes, ce fut Gérard qui me fit prendre mon pied et là ils se relâchèrent et me firent don de leur foutre.
Nous fîmes une pose, enfin si l'on peut dire, car assise entre eux sur un canapé, je subissais leurs attouchements. Ils me bouffaient littéralement la langue, me faisant rouler la pointe des seins, ou les pétrissant à pleines mains, par moment j'avais des doigts dans tous les orifices, jusqu'à quatre dans la chatte et trois dans l'anus qu'ils voulaient absolument distendre en guise de préparation pour ce qu'ils avaient en tête. Quand l'autre prenait le relais, il me faisait lécher leurs doigts. Je faisais tout, docile…
ils m'emmenèrent devant Pascal et lui annoncèrent qu'ils allaient me prendre en sandwich. Puis, ils firent semblant d'hésiter sur le rôle de chacun en se faisant force de politesses. Finalement ils décidèrent qu'ils me prendraient deux fois ainsi dans la soirée en inversant les trous. Donc le moins membré (si l'on peut dire !) aurait les honneurs de mes reins. Je vis Pascal se raidir quand Philippe lui annonça le plaisir qu'il allait avoir à me sodomiser sous ses yeux… Pour la bonne règle, Gérard me demanda si j'étais d'accord sur la suite du programme. Je répondis (de la façon qu'il attendait) :
- Oh oui je suis d'accord, j'aime tellement quand vous prenez tous les deux ensemble. Je ne suis qu'une cochonne, une grosse salope, une sale pute qui aime se faire enfiler par les deux trous en même temps.
Gérard s'allongea sur les coussins et m'invita à prendre place. Je l'enjambai, m'agenouillai au-dessus de son vit dressé et avec lenteur, je m'assis jusqu'à ce que le sexe disparaisse entièrement dans mon vagin. Une fois bien installée, je me cambrai offrant mon postérieur à Philippe que je devinais impatient. Gérard me demanda d'être plus coopérative. Comprenant fort bien, je me penchai, mes seins s'écrasèrent sur son thorax, et toujours très cambrée, je me pris une fesse dans chaque main et les séparai en grand pour en révéler leur centre palpitant.
Philippe prit place derrière moi. Du pouce et de l'index d'une main, il écarta les bords de mon anus et de l'autre main un guida son pénis entre mes reins. Toujours dans la même position et continuant à me maintenir les miches ouvertes, je j'encourageai :
- Oh ! oui… ouiii… encore… oui… oui… plus loin… oui… pousse… pousse fort… oh ! Oui… ça y est…
Oui ça y était, j'étais parfaitement enculée à fond, le ventre de Philippe collé à moi. Je pus lâcher mes globes et reprendre appui sur mes mains permettant ainsi à mes amants de me tripoter les nichons.
Ils se mirent en mouvement… Que dire ! Celles qui ont déjà pratiqué ce genre de double assaut me comprendront. Le bassin rempli de ces tiges de chair, le double glissement à travers les orifices dilatés, les mains qui vous saisissent, les bouches qui se posent sur vous, appartenir à deux hommes (ou plus) en même temps quelle extase ! Aussi bien physique que cérébrale car sous les yeux de mon mari rendu immobile, ils me limaient énergiquement en me traitant de tous les noms et leur vocabulaire était copieux. Le pire, c'est que cela me transportait et je les encourageai :
Ah ! Aaah ! oui… continuez comme ça… vous me faites du bien… aaah ! Fouillez-moi… fouillez-moi bien les trous à fond… aaah ! écartez-moi… écartez-moi bien enfoirés… Ah ! Ça y’est, c’est bon ! ouiiii encore bande de salauds ! Et toi mon chéri, regarde ta femme faire la traînée… Regarde comme il m'encule… Oh que j'aime ça ! Ils vont me faire jouir ! Donnez-moi vos queues… je suis une pute ! Donnez-moi votre jus… Ouiiiiiii… Aaaargh…
Là, ils venaient de me procurer un orgasme fabuleux. Ils profitèrent de m'avoir réduite à l'état de pantin pour me besogner férocement. Ils s'attendirent mutuellement pour, comble de félicité, me remplir concurremment, la moule et le cul de leur semence. Avec des bruits humides incongrus ils évacuèrent leurs nids douillets. Reconnaissante, je les suçai voluptueusement pour supprimer toutes traces.
Après cette débauche d'énergie, nous avions besoin d'un temps de récupération (enfin, les hommes surtout, car moi…). Je leur servis donc un verre. Ce faisant, je remarquai une grosse tache sur le devant du jogging de Pascal. Il n'avait pu se retenir et le petit cochon avait joui dans sa culotte (menotté comment aurait-il pu faire autrement ?). Je pris un mouchoir de papier pour essuyer les dégâts. Au moment où je glissai la main dans le pantalon, Gérard bondit et avec une vitesse surprenante tira sur le jogging et dénuda ainsi le bas-ventre de mon époux. Gérard fut pris d'hilarité… En forme, Pascal n'était déjà pas doté, le pauvre, d'un membre fabuleux, mais là, après avoir déchargé, c'est vrai qu'il était un peu riquiqui… Philippe s'approcha également et rejoint Gérard dans le fou-rire. Ils ne se privèrent pas de quelques remarques acerbes du genre :
- Avec ça tu ne dois pas lui faire de mal… Ni de bien d'ailleurs !
- Ce n'est pas étonnant que ta femme cherche ailleurs !
- Tu l'as entendu bramer tout à l'heure, Nathalie ce qu'elle aime c'est les grosses bites…
Au manque de réaction de mon mari je me demandai si cette humiliation ne le comblait pas quelque part… à élucider !
Depuis un moment je remarquai que Gérard consultait régulièrement sa montre. Je me préparai à l'interroger quand la sonnette retentit nous faisant (Pascal et moi) sursauter. Je fus à peine étonnée quand Gérard dit :
- Laisse c'est pour moi !
Et se levant il se dirigea vers la porte malgré sa nudité. Philippe me précisa :
- C'est une surprise !
Pour une surprise, c’en était une ! Et de taille (si l'on peut dire…). Gérard revint accompagné de deux hommes de couleur taillés en athlètes. En un éclair je pensai (connaissant la réputation de ces hommes sur la taille de leur virilité) que si la proportion était respectée, ils devaient être montés comme des étalons. Gérard lança :
- Eh bien ma petite Nathalie tu avais prévu de t'amuser aujourd'hui. Ils sont là pour te faire resplendir, commence par les sucer bien à fond !
Puis s'adressant à mon mari :
- Tu vas voir que j'ai raison en qui concerne les grosses bites, ta salope d'épouse va leur assécher les burnes.
Gérard me précisa à l'oreille :
- Ne soit pas inquiète, ils sont sains, donc capote exclue…
Les deux noirs s'approchèrent et ouvrirent leur pantalon. Ouuuuh ! Record battu ! Mis à part dans des films ou en photo, je n'avais jamais vu si gros… Enormes ! Dire qu'il allait me falloir les laisser me prendre par derrière… car je supposais que Gérard voudrait me voir sodomisée par ces deux hommes. Ils allaient me déchirer… Soumise aux ordres de Gérard je me mis à nouveau à genoux et pris les deux queues noires entre mes mains. Du coup, je pus juger de leur taille maximum…impressionnant ! J'enfournai la première, la pompai un instant, puis passai à la seconde. Cela me faisait un peu drôle de caresser ces couilles noires et de lécher des glands d'une couleur inaccoutumée. Je dus les sucer longtemps, ils étaient résistants, parfois Gérard ou Philippe me demandaient de me presser le clitoris ou les seins. Dans ces moments je devais continuer à les piper sans les mains… Plusieurs fois l'éclair d'un flash m'éblouit. Philippe et Gérard prenaient des photos… La quantité de sperme qu'ils envoyèrent fut à l'échelle de la grosseur de leurs testicules. Je ne pus tout ingurgiter, le jus âcre me coula sur le menton et les seins. Ils conclurent avec un accent inimitable que les putains blanches faisaient ça très bien.
A aucun moment leur érection n'avait faibli, l'heure de vérité était proche. Gérard me demanda de me mettre en levrette. L'un des deux noirs se mit derrière moi pris sa bite en main et appuya son gland contre l'ouverture de ma chatte qui s'ouvrit sous la pression. Oooh le monstre ! Et pourtant il me l'introduisit sans violence mais d'une seule poussée, inexorablement et sans marquer d'arrêt. Il me prit par les hanches et commença d'aller et venir. Me sentir posséder par un tel engin me faisait mouiller comme une folle. L'autre vint se placer devant moi et me tendit sa pine à sucer de nouveau. Gérard les fit changer de place à plusieurs reprises, je jouis deux fois… sans pouvoir crier à demi asphyxiée par la trique qui s'enfonçait dans mon gosier à chaque coup de bassin de mon divin baiseur. Gérard leur dit que s'ils le souhaitaient, ils pouvaient m'enculer… Vous pensez ! Celui de derrière, avec un grognement de satisfaction quitta prestement mon sexe et dirige son gland vers mon anus et commença à pousser. Un peu affolée je le suppliai :
- Doucement, doucement tu es trop gros…
Il insista, l'autre me maintint, complice. Il continua à me forcer doucement. Soudain il s'enfonça d'un coup, jusqu'à la garde :
- Je t'ai embrochée ! Je t'encule sale chienne de blanche…
Ahhhhh oui sa grosse bite me défonça. Je tendis ma croupe vers lui et ses couilles qui battent contre ma vulve. Je le sentais au plus profond de moi. Philippe prenait toujours des photos parfois en gros plan de ce monstrueux braquemart d'ébène m'ouvrant le cul. Encore une fois Gérard leur proposa de changer d'orifice. Je pris donc entre mes lèvres celui qui sortait de mon cul et entre mes reins celui que je suçais l'instant d'avant. Je fus singulièrement bien ramonée. Philippe leur demanda aussi de me claquer les fesses, elles rougirent… Ils me refirent ce changement de poste quatre ou cinq fois avant que sur l'invitation de mon amant, jamais à court d'idée salace, ils ne me prennent en sandwich. Comme je l'avais fait précédemment, et toujours devant Pascal qui bandait maintenant, je m'empalai à fond sur le premier pendant que le second se rapprocha de mes reins toujours amènes.
Offerte à ces deux mâles en rut, je me laissai aller et oubliant tout amour propre je m'abandonnai à mon plaisir et à mon excitation. Je me laissai bourrer longuement par ces deux bites raides, multipliant les ondes de plaisir.
Gérard et Philippe s'approchèrent et tendirent leurs queues à sucer, ce que je fis avec plaisir. Ils me laissèrent me déchaîner, les chevaucher à ma guise, m'empaler sur leurs membres raides et tendus puis jugèrent qu'il était temps d'en profiter eux aussi. Un des blacks m'entoura de ses bras et emprisonna mes lolos dans ses mains. L'autre me soutenait sous les fesses... Je râlai et gémissai quand la bite me pistonnait l'anus, je haletai et j'ahanai lorsque l'énorme engin me ramonait le con... Je bavai sur les pines dans ma bouche, j'agitai les membres de façon désordonnée, parfois je me crispai et me tendis, regard révulsé... Un autre orgasme ! J'étais en sueur, honteuse de m'abandonner ainsi à ces deux brutes vicieuses qui me propulsaient au septième ciel. L'objectif était d'ailleurs parfaitement rempli puisque je geignais de bonheur constamment, comblée soit par la bite dans ma chatte qui venait buter tout au fond de mon vagin, soit par la celle qui me ramonait le cul. Je sentis qu'il allait éjaculer entre mes fesses, mais à ma grande surprise, il se retira de mon fondement, se dirigea vers Pascal et lui pinça le nez. Force lui fut d'ouvrir la bouche pour respirer. Erreur fatale puisque l'autre en profita pour lui enfourner sa queue souillée dans la bouche en lui disant :
- Si tu me mords, je te casse la gueule…
Afin d'observer la scène nous nous interrompîmes un moment que Philippe mis à profit pour photographier la scène sous les commentaires scabreux de Gérard. Cela me plut assez de voir mon petit mari obligé de sucer mon enculeur. Du coup je m'agitai sur le membre qui m'obstruait le vagin. Là-bas le noir poussa un grondement et poussa sa verge en avant pour obliger Pascal à avaler ce qu'il allait lui expulser. Quand il se fut vidé, il lui dit :
- Pas mal, petite salope…
Et il prit place sur un canapé. Gérard me demanda à voix haute pour être bien entendu de tous :
- Ma petite Nathalie, veux-tu que l'autre encule ton mari ?
En soi l'idée était drôle, mais trop, c'était trop… je jugeai la mortification de ce soir suffisante… et puis, ils étaient trop montés pour quelqu'un qui manquait de pratique… Gérard en convint et décréta :
- Bon ,c'est comme tu veux, c'est toi qui sera à la place de ton cher et tendre !
Et il ajouta pour l'autre :
- Vas-y, encule-la, casse-lui le pot, je veux l'entendre gueuler !
Il ne se le fit répéter deux fois. Sortant de dessous moi avec souplesse le membre épais prit le chemin de mes entrailles. Il n'y alla pas de main morte, accroché à mes hanches ses va-et-vient furent amples et féroces. Philippe immortalisait toujours mon exhibition. Gérard, lui était près de moi et de temps à autre il me fourrait son sexe dans la bouche, me palpait les roberts, me trifouillait les clitoris ou me pinçait les tétons le tout accompagné de ses gentillesses habituelles :
- Tiens chienne! C’est ton calibre ça, hein ? Ça te l’ouvre bien ton trou de balle... Tu aimes ça hein ? Ça c’est une bite comme tu les aimes hein... T’aimes ça, hein, dis-le !
Je me sentis chavirer... Ce membre qui me défonçait et qui allait de plus en plus loin, ces propos humiliants mais qui m’excitaient malgré moi, la honte que j’en éprouvais, tout cela me fit jouir très vite. Sous leurs yeux satisfaits, je me mis à trembler, tout mon corps se tendit puis fut secoué de spasmes en même temps que je poussais une longue plainte…
- C’est bon... Hein c’est bon salope ! Dis-le! m’ordonna t-il.
Emporté par l’intense plaisir que j’éprouvais, je m’entendis lui répondre comme à l'accoutumée :
- Oh oui... C’est bon... Oui, Ouuiiiii !
Gérard me souleva la tête et me dit :
- Dis que tu aimes, dis à ton mari que tu aimes te faire enculer par des noirs ! Allez dis-le ! Dis-lui que tu seras ma pute ! Allez !
- Oh oui... ce n'est pas vrai ! Ce n'est pas possible ! Ah ! Aaahh ! Aaaaaaaaahh... Oui j'aiiiiime… J'aime le cul ! Chéri, je vais être la pute de Gérard ! Oh... Oooooh... Ooooh la la !
Sans pouvoir me contrôler je me tendis, ouvris la bouche comme si j'allais suffoquer. Cette fois tout mon corps trembla des pieds à la tête en sentant le noir jouir en moi... Une, deux, trois... quatre, cinq giclées successives éclatèrent dans mes intestins... Ah le salaud! Il m'avait mis la dose... Je basculai sur le côté, exténuée, et restai un moment, le corps pesant, complètement molle et l'esprit troublé de ce que je venais de proférer.
Apparemment les deux hommes avaient terminé l'opération Nathalie puisqu'ils se rhabillèrent. Gérard les raccompagna, je le vis, effarée, leur tendre quelques billets. Il les avait payés pour me baiser… Il revint goguenard en disant :
- Je retiendrai cela sur la paye de ton mari.
Comme mon exhibition avec les deux hommes leur avait fait de l'effet, ils tinrent à accomplir ce qu'ils avaient décidé et j'eus droit à mon troisième sandwich de la soirée. Passablement fatiguée, je mis plus longtemps à jouir, mais ce fut quand même très, mais très agréable…
Une fois bien…rassasiés, mes deux amants me laissèrent, sur la promesse de nouvelles soirées de débauches et je me retrouvai seule avec mon petit mari menotté.
Je décidai d'être attentionnée, je me dirigeai vers lui, m'agenouillai et me mit en devoir de m'occuper de ses couilles que je caressai, léchai et gobai un moment. Puis, je me redressai, lui tournai le dos et m'abaissant, je fis pénétrer son membre dans ce qui était d'habitude mon petit trou et qui en cet instant se trouvait fort ouvert. Trop dilatée et plutôt exténuée, je savais que cette fois je n'éprouverais pas d'orgasme, mais j'avais décidé d'en offrir un à Pascal pour le récompenser. Il cria… et je ne cessai de m'empaler que lorsque, ayant diminué de taille, il décula de lui-même. Avant de le détacher, je l'embrassai longuement, histoire de lui faire partager les saveurs de tout ce qui m'était passé dans la bouche. La sienne sentait aussi le foutre…
Je le libérai et au moment o* nous allions sombrer dans le sommeil, il m'avoua qu'il avait beaucoup aimé cette soirée et qu'il me remerciait de n'avoir pas cédé à la tentation de le voir sodomisé. Reconnaissant, il m'autorisa toutes mes frasques futures. Nous fîmes donc une sorte de deal, il m'autorisait toutes mes incartades (ajoutant qu'il serait volontiers voyeur) et je m'engageais à tout lui raconter en détail. Je lui annonçais donc que j'allais profiter pleinement de cet accord et que j'allais m'offrir aux perversions de Gérard. Je lui appris que ce dernier avait des projets pour moi comme me forcer à assurer mes cours nue sous une robe légère ou me présenter à organisateur de partouze pour y être livrée à des groupes d'hommes ou encore m'emmener dans un club libertin pour y jouer le rôle de pute. Je lui appris également que j'allais accepter avec joie toutes ces turpitudes…
A suivre...
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