Récit érotique écrit par Emile Hubert.
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Le patron et le DRH du mari à Nathalie.
Après que je sois tombée (si l'on peut dire) dans ses filets, Gérard devint mon amant régulier et dès que mon mari partait, hop il arrivait. Sachant qu'à chacun de ces déplacements je serais comblée, je n'attendais même plus que Gérard me confirme sa venue. De moi-même je me mettais en petite tenue, ce qu'il adorait. Cet homme, dans le civil très homme d'affaires, PDG, sérieux, imposant, classe, cultivé, aimable, se muait en amant particulièrement jouisseur dès qu'il venait tringler sa petite pute comme il aimait à le dire, usant en permanence d'un langage ordurier. Et moi, prof BCBG, un peu revêche, je me muais en maîtresse soumise et avide qui raffolait des propos obscènes qu'il employait. J'étais folle de lui, de son corps, de ses mains, de ses doigts, de sa bouche, de sa langue… Et que dire de sa queue qu'il imposait à tous mes orifices impatients. J'affectionnais particulièrement l'instant où il tremblait, que sa pine gonflait au summum, et que son foutre jaillissait, m'engluant la bouche. C'est aussi assez peu de dire que j'affectionnais le moment où son énorme gland venait perforer mon anus. Je m'étais habituée à recevoir ce gros pénis de ce coté et désormais, cette pénétration, redoutée par pas mal de femmes, satisfaisait pleinement mes envies. Il me tenait littéralement par les sens…
Lors d'un des voyages de Pascal, Gérard me téléphona, il souhaitait m'inviter au restaurant et me demanda de remettre la robe que je portais lors de notre rencontre. Il faut dire qu'elle m'allait plutôt bien et du fait de son dos-nu m'interdisait le port du soutien gorge, c'était sûrement cela que Gérard souhaitait. Slip en dentelle, porte-jarretelles, bas noirs allaient compléter ma tenue, en attendant qu'il m'en dépouille et qu'il me fasse jouir.
Lorsqu'il arriva, je lui demandais quand même s'il n'avait pas peur que nous soyons surpris ensemble. Il balaya mes craintes. Durant le trajet (qu'il fit une main sur ma cuisse) je l'interrogeai sur l'endroit où nous allions. Je fus surprise de sa réponse, il m'invitait dans un endroit de réputation un peu sulfureuse, un restaurant connu comme un lieu de rencontre pour échangiste (il paraissait qu'il y avait même quelques salons où l'on pouvait consommer sur place). Il me rassura, pas question de m'échanger. Simplement il aimait bien cet endroit intime où la table, de plus, était excellente.
Effectivement l'endroit était intime, un peu tamisé, les femmes étaient dans l'ensemble assez jolies et habillées de façon suggestive. Le repas se déroula fort bien, Gérard était enjoué et ses yeux brillaient d'un éclat que je connaissais bien, c'est à dire très, très prometteur. Il me félicita pour ma robe qui lui permettait de voir mes gros seins libres sous le tissu. Sous les compliments, je les sentais gonfler et les bouts durcir ce qui n'échappa point à Gérard. Il regretta par contre que j'ai mis un slip et me fit promettre pour une prochaine fois de m'en passer. Je promis, évidemment. A la fin du dîner, je passai aux lavabos me refaire une beauté et nous sortîmes. Une voiture se gara au moment où nous allions reprendre celle de Gérard. Un homme en descendit.
- Mais… Entendis-je.
- Ah ça pour une surprise ! Répliqua Gérard, et il enchaîna :
- Tu reconnais Madame S. ?
- Oui, oui bien entendu, notre ami Pascal me l'a présenté lors des vœux.
- Nathalie, tu te souviens de Philippe, notre Directeur du personnel ?
- Oui, effectivement nous avons été présentés.
Je me souvenais effectivement. Pascal avait été obligé de me le présenter. C'était son ennemi juré, celui qui lui avait ravi la fonction qu'il briguait.
- Tu venais dîner ? demanda Gérard.
- Non, non, juste boire un verre, voulez-vous vous joindre à moi ?
- Non, non je te remercie, j'allais raccompagner Madame S… Mais… J'y pense… Pourquoi pas… Nathalie tu pourrais peut-être nous offrir un verre ?
Là, je manquais d'enthousiasme. Philippe s'aperçut de ma gêne et dit :
- Je ne voudrais pas être importun. Ou alors juste un verre pour ne pas vous froisser et je file.
Sur le trajet de retour, je fus boudeuse. Qu'avait-il eu besoin de nous encombrer de son DRH ! Arrivés chez moi, je nous servis trois verres et pris place sur le canapé à coté de Gérard. Celui-ci passa un bras un bras autour de ma taille. A cause de l'autre homme je me sentis un peu gênée. La conversation prit un tour qui me déplut :
- Tu sais que Pascal S. délaisse sa femme ? Attaqua Gérard.
- Non ! Ce n'est pas possible ! Vous êtes une femme superbe pourtant !
- Et encore, tu n'as pas tout vu…
Il essaya de m'embrasser. Toujours gênée, je le repoussai gentiment, trop gentiment, car il parvint à ses fins. Sa langue chercha la mienne, il m'embrassa longuement à pleine bouche, une main se posant sur mes seins. Désorientée, je fermai les yeux pour ne pas voir Philippe en face de nous qui assistait à la scène. Il prit ma main et la posa sur sa braguette. Je sentis qu'il était en érection.
- Caresse-moi, vas-y !
Évitant le regard de l'autre, sans savoir pourquoi, je m'exécutai. D'une main, il ouvrit sa braguette de pantalon, et mit ma main sur sa queue à moitié dure et toute chaude, cela m'excita brutalement :
- Suce-moi Nathalie !
- Oh non, je t'en prie, pas devant Philippe.
- Et pourquoi ? Fais comme si nous étions seuls. Laisse-toi aller, je suis sûr que tu mouilles déjà, non ?
- Oui, c'est vrai, mais je ne suis pas tranquille.
En réponse, je sentis sa main appuyer sur ma nuque. Sa main guida ma tête vers sa queue. Sous la pression mes lèvres se rapprochèrent et comme hypnotisée, je pris dans ma bouche son membre qui doucement durcit entre mes lèvres.
- Allez suce-moi salope, tu aimes ça !
Je ne fis plus attention à rien, j'oubliai même la présence de Philippe et suçai la bite si dure de mon amant. D'une main posée sur ma tête, Gérard me caressait les cheveux. Son autre main dégrafa ma robe. Son autre main me caressa la cuisse. Soudainement je réalisai. Comme une majorité de personne, Gérard ne possédait que deux mains… Donc… Donc celle qui remontait le long de ma cuisse ne lui appartenait pas, c'était celle de Philippe qui jouait avec l'attache de mon bas.
- Non Gérard, je ne veux pas. Tentai-je de protester.
- Tais-toi et suce… Et puis… Laisse-toi faire…
Je sentais à présent les mains de Philippe m'écarter les cuisses et s'introduire dans mon slip, écarter mes lèvres, s'introduire en moi.
- Non, tu es un salaud, je ne veux pas.
- Allons Nathalie, tu vas aimer, tu vas avoir deux bites rien que pour toi, tu en redemanderas.
Et il appuya de plus belle sur ma tête, sa bite s'enfonça complètement dans ma gorge pendant que l'autre me doigtait la chatte. J'entendis Philippe dire :
- Elle parait vraiment bonne, elle est trempée.
- Oui, je me doute, et elle suce merveilleusement bien cette chienne et de plus elle a un cul superbe, tu vas voir, attends, on va la foutre à poil.
Ils me firent relever. Face à moi Philippe saisit ma robe par l'ourlet et commença à me la remonter. Une fois le tissu arrivé à ma taille, je sentis les mains de Gérard prendre l'élastique de mon slip et me le baisser. Pendant que j'enjambai le dérisoire sous-vêtement, je levai les bras pour permettre que ma robe me soit ôtée. J'étais nue et… Plus aucun doute permis, j'allais y passer. Les souvenirs de mes ébats avec Hassan et Aziz me revinrent en mémoire, je m'embrasai. Mes cours demain seraient une catastrophe.
- C'est pour nous exciter que tu as mis des bas, cochonne ! Demanda Philippe.
- Oui, oui c'est vrai… C'est pour vous exciter.
- Je vais te baiser, tu es ma pute, dis-le ! Renchérit Gérard.
- Oui Gérard !
- Dis-le : « je suis ta pute » !
- Oui je suis ta pute ! Répondis-je abdiquant toute pudeur.
- Demande-moi de te baiser !
- Oui Gérard, baise-moi.
Il se ré-assit sur le divan et me fit lui présenter mon dos. Il m'invita à m'asseoir sur son piston. Ce que je fis délicatement en gémissant. Quittant son pantalon sous lequel il ne portait rien, Philippe s'avança queue à la main pour la présenter à ma bouche. Sans être énorme, il n'était tout de même pas mal monté et je n'hésitai pas une seconde à la prendre entre mes lèvres.
- Tu vois Philippe, elle aime ça !
- Oui, tu avais raison, quelle garce !
Gérard me souleva et me lima très fort, me laissant retomber sur son pieu. Tour à tour et parfois en même temps, ils se saisirent de mes seins pour les triturer à loisir à tel point que je n'arrivais plus à sucer Philippe. Gérard me changea de position, il me fit me mettre à quatre pattes et me rentra son chibre jusqu'à la garde, au plus profond comme il savait que j'aimais et je sentis ses couilles sur mes cuisses. Philippe se rapprocha et m'enfonça sa bite dans la bouche, je gémis sous les coups de boutoir.
- Tu avais raison, elle a un cul superbe, je vois sa rondelle s'ouvrir, mets-lui un doigt dans le cul !
- Pas un doigt, je vais l'enculer !
Il se retira et sa langue vint me lécher l'anus, un doigt puis deux m'ouvrirent.
- Non Gérard, je t'en prie ! Protestai-je, consternée de me faire prendre ainsi devant un quasi inconnu.
- Tais-toi, tu vas bientôt me supplier de t'enculer !
Je gémis.
- Tu vois que tu aimes, c'est bon. Demande-le-moi maintenant !
- Oui Gérard, encule-moi ! Demandai-je, domptée.
- Quelle salope, vas-y, encule là cette pute !
- Oui, je vais la mettre profond !
Il retira ses doigts et son gland m'écartela. Je suçai de plus belle Philippe.
- Tu vois, elle aime ça dans le cul.
- Oui, vas-y, mets-lui entière, bien à fond qu'elle le sente passer, fait la gueuler !
Doucement sa queue rentra dans mon cul jusqu'à le sentir complètement puis il commença les va et vient pour me baiser aussi facilement que s'il me prenait la chatte. Le plaisir se diffusa en moi comme une boule qui enfla. Délaissant le membre qui m'emplissait la bouche, je pus feuler à mon aise pendant que Gérard ne me ménageait pas le fondement et qu'il se vida interminablement dans mon boyau. Il resta ainsi en moi sans vraiment débander jusqu'à ce que Philippe éjacule sur ma langue.
- C'est vrai, tu avais raison, elle suce divinement. Louangea Philippe.
- Je ne me trompe jamais, j'étais sûr que c'était un bon coup !
- Et dire que son imbécile de mari ne la saute plus !
- Remarque, on ne peut pas trop lui en tenir rigueur, cela nous la laisse disponible.
Et ils éclatèrent de rire, moi aussi un peu jaune, sous ces compliments salés. Ils se resservirent à boire. Du coin de l'œil je ne pouvais que constater que leurs sexes après un court instant de relâchement reprenaient de la vigueur. Gérard me fit venir vers lui pour le chevaucher. Je m'agenouillai sur le canapé de part et d'autre de lui et à nouveau me laissai aller sur le gourdin de nouveau en pleine forme. Ses mains me caressèrent les flancs, puis il me prit par les fesses pour accompagner mes mouvements d'ascenseur. Je passai mes bras autour de son cou et l'embrassai langoureusement. A un moment, je le sentis écarter mes globes et dire à son acolyte.
- Amène-toi !
Je sentis Philippe dans mon dos. Mon cœur fit un bond dans ma poitrine, je savais ce qu'il allait m'arriver… Quel pied !
- Oui Nathalie, cambre-toi bien, je vois que tu as compris !
- On va te baiser et t'enculer en même temps comme une actrice de porno, tu vois ce que je veux dire.
- Oui Gérard, continue, c'est si bon !
- Je suis certain que tu regardes des films pornos et que tu te branles en voyant des femmes prises par plusieurs types, n'est ce pas ? A ton tour Philippe de l'enculer ! Mets- lui à cette salope !
- Oui prenez-moi comme une salope, je ne mérite que cela. Oui je suis une pute… Aaaaah !
Doucement je sentis sa queue qui me pénétrait l'anus.
- Ton cul est si bon Nathalie, merci Gérard de me l'offrir !
Ainsi je me retrouvai offerte, empalée par la bite de Philippe dans le cul et la chatte grande ouverte par celle de Gérard. Ils accordèrent leur rythme facilement (et en cet instant je compris qu'ils devaient être de connivence) Gérard plutôt de haut en bas et Philippe d'avant en arrière. Et moi la poupée de chair, je rebondissais de l'un l'autre, les reins arqués, souvent la tête renversée en arrière sur l'épaule de Philippe ou leur offrant passionnément ma bouche. Placé derrière moi, Philippe me branlait fermement mon clitoris dressé, ou prenait mes seins pour les malaxer, parfois il les tendait à Gérard pour qu'il en suce les bouts, parfois encore les quatre mains s'occupaient rudement de mes nichons durcis et de leurs tétons qu'ils ne manquaient pas de faire rouler ou de pincer.
J'avais aimé (le mot est faible) être prise en double par Hassan et ses comparses. Mais là c'était autre chose… Tout avec Gérard était fabuleux. Il vit que mon plaisir était intense et m'encouragea à me lâcher et à jouir comme un catin. Je me laissai aller à crier des mots sans suite dans mon propre salon… Quelle décadence !
- AAAAAAAhhhhhhhhh !!!!.Ouiiiiiiiiiiii !!!!!! le salaud !!!! Il m'excite le bout des seins !!! AAAmmmmmhhhh !!! Ohhh Gérard, baise-moi fort… Aiiiiiiieeeeeeeee !!!.Regarde, il me donne des tapes sur les fesses !!! OOOOhhhh !!! Oouuiiiii !!! Et il m'éclate le cul comme une brute !!! OOOuuuaaaahhh !!! C'est trop bon !!! Huuummmmmmmmmmmmm !!! Plus fort je vais jouiiir sur ta queue, aaaahhhh aaahhh !!!
L'orgasme arriva, je ne contrôlai plus rien :
- AAAAAhhhhhhhhhhhh…
Je jouis comme une folle inondant la verge de Gérard sous des ruissellements de cyprine. Pantelante et essoufflée, mais les deux pines profondément fichées en moi j'entendis Gérard dire :
- Tu t'es bien envoyée en l'air petite pute, à nous maintenant !
Comme s'ils voulaient se défouler sur la femelle que j'étais, ils me travaillèrent âprement à fond pour mon plus grand plaisir. Surtout lorsque, au lieu d'accorder un rythme alternatif, ils se mirent à entrer et sortir de mes trous en même temps, semblant vouloir laminer la paroi qui séparait mes deux orifices.
Ils me ramonèrent frénétiquement et trempée de sueur, échevelée, hagarde j'eus encore deux orgasmes avant que ma chatte et mon cul ne reçoivent chacun sa ration de sperme abondant.
Philippe nous quitta peu après puis se fut le tour de Gérard qui me promit de revenir le lendemain. Je sombrai dans un sommeil halluciné.
Le lendemain, le port de lunette noire fut obligatoire pour masquer les ravages de ma nuit. Heureusement je n'avais pas beaucoup de cours ce mercredi matin. Devant ma tête, des collègues et quelques élèves s'inquiétèrent de ma santé. La migraine diplomatique. Je surpris aussi quelques réflexions de lycéens que je pensais plus obtus et moins observateurs :
- Tu parles, elle a dû baiser toute la nuit…
- Tu rêves, les profs de math, ça nique pas… Sauf avec Pythagore et vu son âge il ne va pas lui faire grand mal…
Crétin va ! S'il savait…
L'après-midi, en guise de correction de copies, je m'offris une belle sieste d'où j'émergeai à peu près fraîche. Le temps de me faire séduisante et de m'habiller (juste une paire d'escarpin et des boucles d'oreille, ce fut vite fait) Gérard sonnait à la porte. Il me transporta tout de suite vers la chambre où il me fit l'amour avec tendresse et délicatesse. Nous savourions ensuite un moment de repos, moi alanguie et allongée sur le ventre, lui sur le côté me caressant le dos et les reins, lorsqu'il me demanda :
- Tu as aimé hier, à plusieurs ?
- Tu ne t'en es pas aperçu ?
- Allez, soit sérieuse, réponds-moi !
- Oui Gérard, j'ai beaucoup aimé ce que vous m'avez fait tous les deux. Répondis-je devant son air sérieux.
- Tu aimerais recommencer ?
- Avec Philippe ?
- Oui, lui et d'autres…
- Comment ça d'autres ?
- Oui… D'autres que lui… Et pourquoi se limiter à deux…
- …?
- Je sais, je sais, tu m'entends, je sais que tu es une femme qui aime la queue, je devrais dire les queues… J'avais tout manigancé hier avec Philippe pour en avoir la preuve définitivement et maintenant je suis réellement convaincu que cela te fait mouiller de savoir que des hommes vont bander pour toi et te mettre par tous les trous. Je veux que tu sois ma maîtresse attitrée, je veux pouvoir te baiser quand je veux, mais aussi te voir baiser avec d'autres… Qu'en penses-tu ?
J'entendis une voix, celle de Madame Nathalie S., enfin la mienne quoi, répondre docilement :
- Je ferais ce que tu veux Gérard… Je t'obéirais.
- Je vais te débaucher un peu et quand je dis un peu c'est un euphémisme. J'ai tellement aimé te voir sucer Philippe et te faire enculer que je compte t'inviter a des soirées où tu seras la seule femme pour un groupe d'hommes qui te traiteront comme une pute et je vais même te prêter à des amis ou là aussi tu seras pratiquement la seule femme.
- Oui, oui… Tout ce que tu veux… Dis-je en perdant la tête.
Et l'instant d'après je me repris :
- Mais, mais, et Pascal, il va me jeter dehors…
- Ce n'est pas grave, tu viendras chez moi.
Décidément non ! je ne voulais pas divorcer, allez savoir pourquoi.
- Je me doutais de ta réponse, j'ai une solution pour qu'il ne nous ennuie plus, viens !
Il m'emmena vers le salon ou il introduisit un DVD dans le lecteur. Il s'agissait d'un film amateur, porno certes, même très hard, puisqu'une femme environ de mon âge se faisait prendre par cinq hommes, soit successivement soit simultanément. Parmi les acteurs je reconnus bien sûr Gérard et aussi Philippe ainsi que d'autres type de leur société. Il me passa les meilleurs extraits. Au cours de cette soirée, je pense qu'ils lui firent tout et je pensais vu l'état dans lequel ils l'avaient mise que le lendemain elle avait dû avoir du mal à s'asseoir. C'était donc à ce genre de soirée qu'il voulait me convier. Quel pervers ! Mais après tout, pourquoi pas, avec lui, je crois que je me sentais prête à tout.
A suivre...
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