dimanche 19 février 2023

La naissance d'une esclave Ch. 05

 Texte de Dom Star

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Les deux chiennes.

Suite au coup de téléphone de Clara, la femme de mon patron, je décidai de le rencontrer. Il était étonné des propos tenus par sa femme. Il réfléchit un court instant et me demanda d’attendre le lendemain pour reprendre contact avec sa femme. 

Le lendemain sur mon bureau, à mon arrivée, reposait un paquet avec une enveloppe scellée. Dans ce paquet une caméra numérique avec un disque dur permettant 4 heures d’enregistrement en haute définition, dans le pli juste quelques mots et non signé :

- Je veux tout voir, tout savoir, tout entendre, je compte sur vous ! 

Je demandai une autorisation d’absence pour le lendemain après midi et donnais rendez-vous à Clara chez moi.

Le soir en rentrant chez moi je passai chez le fournisseur pour « pouliches ». Après une brève conversation sur les avantages et inconvénients de la cravache, j’achetais deux colliers pour esclaves ainsi que deux longues laisses, deux bustiers en cuir avec lacets dans le dos. Ces bustiers mettaient en valeur les seins sans les cacher, de véritables petits balconnets de plaisir. Deux jupettes en cuir, fendue sur le côté complétèrent ces achats. J’avais l’intention de les mettre sur une note de frais bien spéciale pour mon patron !!! Surtout la location de la voiture !

Je présentai la journée du lendemain à ma femme et elle n’était pas sans s’inquiéter de ce qui l’attendait. Je profitai lâchement de la situation. Plusieurs fois, elle vint, câline, en murmurant :

- Tu vas loin, trop loin ! Je ne pourrai pas faire cela ! Pas comme ça ! 

Alors je sortis ma cravache et après quelques coups bien assénés sur ses fesses et même un sur ses seins, elle m’annonça sa totale obéissance pour le lendemain. Jamais je n’avais douté de sa soumission. Restait le problème de Clara ? Irait-elle jusqu’au bout ? A voir.

Le jour J, Clara sonna chez nous vers 14 heures. Ma femme l’accueillit, elles échangèrent les bises habituelles, et pourtant je voyais bien que les lèvres de Clara frôlaient celles de mon épouse. J’intervins en leur disant de rentrer et de se mettre nue.

Clara me regarda avec un air de refus bien prononcé. Je ne lui laissai pas le temps de réagir et je hurlai :

- A poil !  

Voyant ma femme se déshabiller, Clara commença sa mise à nu.

Finalement, j’eus devant moi deux femmes nues. Clara, dans un réflexe pudique cacha ses seins et son pubis avec ses mains. Un coup de cravache sur celles-ci, laissèrent apparaître ses seins lourds et son pubis bien trop poilu à mon goût. Je questionnai ma femme sur sa capacité à rendre cette toison plus excitante rapidement. Elle me répondit qu’elle pouvait la raser et laisser un peu de poil juste au dessus de la chatte. Je lui donnai mon accord. J’assistai à un rasage de Clara, debout, les jambes écartées, ma femme s’activant autour des lèvres du sexe.

A la fin, content du spectacle j’osai glisser un doigt dans la fente de Clara, et sans surprise je la trouvai mouillée. Elle me regarda en disant :

- Comment, vais-je expliquer cela à mon mari ? 

Cette femme m’étonnait, elle se laissait traiter comme une chienne, et elle se préoccupait de l’opinion de son mari sur sa toison pubienne !!!

Commença alors l’habillage de ces deux garces. Je serrai fortement les corsets sur leurs seins. Ceux de ma femme, de tailles respectables avaient l’air de vouloir exploser hors du corset, ceux de Clara avaient pris la forme de respectables petits melons. Toutes les deux avaient les tétons au dessus du corset. Je leur demandai de passer de très petits strings noirs. Dans leur tenue de cuir, elles étaient diablement excitantes. J’adorais la fente des jupettes qui remontait très haut sur la cuisse. Cette habillage les avaient excitées et j’avais devant moi deux collégiennes pubères. 

Je leur présentai alors les colliers en cuir, je passai le premier à ma femme. Le résultat était splendide, une vraie chienne, à surtout bien tenir en laisse. Ma femme tint à placer le collier de Clara. Je la vis s’activer sur son collier, et je vis aussi la main de Clara chercher l’entrejambe de ma femme. Je les laissais badiner quelques instants. Puis j’annonçai notre départ en voiture.

La capote de la voiture était fermée, elles ne risquaient pas d’être trop vite remarquées par le voisinage. Je demandai à ma femme de passer à l’arrière droit et à Clara à l’avant droit. Luc était à notre rendez-vous. Clara, intimidée par la présence d’un jeune homme, me questionna du regard. Je le présentai comme le reporter du jour, la mémoire des instants à venir. Je rappelai à mes deux chiennes que les ordres de Luc étaient des ordres, qu’elles ne s’amusent point à l’oublier !!!

Nous prîmes la direction d’une nationale où transitaient énormément de poids lourds. On m’avait raconté, au bureau, que certaines aires de parking ressemblaient à des baisodromes en plein jour. Arrivés sur la nationale, je baissai la capote pour profiter du beau soleil. Et surtout pour essayer de faire profiter les autres usagers de mes passagères. Je demandai alors à Clara de glisser ses fesses vers l’avant et de bien écarter ses jambes. Je lui dis qu’elle pouvait placer ses pieds sur le tableau de bord.

- On va tout voir !  s’écria-t-elle.

- C’est tout à fait ce que je veux ! répondis-je.

Le spectacle était charmant, une femme en mini jupe noir, string noir, les jambes bien écartées laissait voir ses jambes quasi intégralement, son sexe masqué par ce bout de tissu, les seins bien à l’air et offerts à tout passant. Je demandai à ma femme de faire de même. 

Je doublai lentement un premier camion. Sans effet. Pour le second, je décidai au préalable de klaxonner violement. Puis j’avançai la voiture à la hauteur de la cabine du camion. Je vis le chauffeur se préparer à m’agonir d’injures.

A la vue du spectacle de ces deux femmes, jambes en l’air, il resta la bouche ouverte, les yeux rivés sur les attributs de mes passagères. A la fin il me fait un petit signe du pouce, sur ce, je me laissai dépasser par le camion et me glissai derrière lui.

- Les filles, je veux que vous excitiez ce chauffeur. Faites ce que vous voulez, mais je veux qu’il bande à péter son pantalon. Je veux qu’il nous fasse stopper à la prochaine aire de parking.

Profitant du peu de circulation, je me portai à nouveau au niveau de la cabine et attendis. Je jetai un clin œil à l’arrière et je vis ma femme tenir ses seins, les caresser, sortir un bout de langue coquin pour se lécher les babines (de vrais chiennes vous disais-je), d’écarter ses jambes, avancer son bassin pour bien montrer son string. Luc ne perdait aucun détail de ces mises en bouches érotiques.

Clara démarra plus timidement. Elle, aussi, se caressa les seins, mais sans grande conviction. Je la sermonnai alors en lui promettant une fessée mémorable si elle n’elle n’y mettait pas plus du sien dans cette partie. Serait-ce le mot fessée, mais en tout cas je vis Clara oser un peu plus. Elle promena son doigt sur sa chatte, au dessus du string. Elle monta et descendit le long de sa fente. Elle glissa un doigt dans le string, le ressortit puis lentement le porta à ses lèvres pour le lécher avec passion. Le chauffeur suivait tout cela avec avidité. 

La circulation m’obligea à repasser derrière le poids lourd. Je félicitai les filles et leur demandai d’oser encore plus ! A nouveau à la hauteur de la cabine, je vis alors Clara, littéralement écartelée, tendre son string pour que le fin tissu sépare ses lèvres. On vit alors deux lèvres de chair rose séparées par une bande de tissu noir. Clara se saisit alors de ses lèvres et tira sur celles-ci pour les écarter au maximum. Luc, quasiment debout dans la voiture, filmait ces plans avec grand professionnalisme…hum grand voyeurisme…

Ma femme, elle, avait décidé d’ôter son string, et présenta son sexe glabre avec un doigt qui caressait son clitoris. Elle avait porté son string à sa bouche et elle jouait avec ce bout de tissu. Son jeu était assez excitant, mais je préférais celui de Clara. Je lui annonçai que je punirais son manque d’imagination érotique !

Sur ces entrejambes, notre chauffeur me fit comprendre par signe qu’il allait stopper à la prochaine aire et que je devais le suivre. Je suivis le camion sur la voie d’accès au parking, notre camion se dirigea vers une zone voisine de bosquets d’arbres. Je me garai, et visiblement notre chauffeur attendait que nous soyons les premiers dans l’arène. Au jugé, je dirigeai ma troupe vers une petite clairière visible depuis le parking. Je tenais me deux chiennes en laisse, et je voyais avec surprise et plaisir deux hommes descendre de notre camion. Un de petite taille, le chauffeur et un grand costaud à l’air bestial. J’expliquai alors la règle du jeu que je venais d’inventer.

- Voila, nos cobayes sont deux, la première qui fait jouir son partenaire en le suçant a gagné. Donc l’autre sera fouettée jusqu’à la jouissance du deuxième !

Mes chiennes n’avaient plus l’air aussi joyeuses !!! Les deux hommes arrivèrent rapidement dans leur combinaison de travail. Ils eurent un air surpris en voyant ces deux femmes tenues en laisse. Je leur expliquai que je sortais mes chiennes et qu’elles étaient à leur disposition, s’ils acceptaient la présence de la caméra
.
Le grand s’approcha de ma femme, je vis ses grandes mains s’avancer vers sa poitrine. Il lui malaxa les seins sans douceur et je remarquai une petite lueur d’angoisse dans les yeux de ma femme. D’une main il sortit son sexe en érection, un assez bel engin bien veiné et déjà, il obligea ma femme à le sucer.

L’autre homme était aux mains de Clara, et c’est le terme exact. Il se tenait debout bien cambré et Clara avait déboutonné sa combinaison pour sortir son sexe. Celui-ci était flasque. Clara me regarda, implora presque mon aide du regard. Elle prit le bout du sexe dans sa bouche, joua avec sa langue sur le gland mais visiblement rien ne marchait.

A côté, les choses allaient bon train, ma femme avalait le membre qui entrait dans sa bouche, à chaque sortie elle glissait un coup de langue sur cette belle queue. A un moment, elle prit le gland et se caressa les tétons avec. Visiblement, notre homme ne pouvait plus se retenir et il éjacula une énorme quantité de foutre sur le visage et la poitrine de ma femme.

Je me tournai vers Clara, malgré tous ses efforts, le sexe restait mou. Je pris ma cravache et appliquai un coup sec sur ses fesses. Je continuai la punition, à chaque coup de cravache on avait l’impression de voir le sexe gonfler légèrement.

Je demandai alors aux chiennes de quitter jupette et string, de ne rester qu’en corset.

A cette vue, le grand reprit des forces, sa queue se mit à se tendre à l’horizontale. Quant à Clara, son affaire progressait. Mes coups de cravaches sonnaient sur de la chair et cela excitait son partenaire. Son sexe grossissait dans la bouche de Clara et on voyait celle-ci mettre toute son énergie à le pomper.

Le grand s’était approché de ma femme, je voyais sa grosse main jouait avec sa chatte, glisser un doigt dedans, le ressortir, lui fourrer dans sa bouche en lui disant :

- Tu mouilles salope !

Tous ces gestes étaient brutaux, ma femme n’avait que des regards affolés. Visiblement c’était la première fois qu’elle se faisait tripoter par un vrai inconnu et pas par un partenaire choisi. Je pris un grand plaisir à la voir ainsi manipulée.

- Et ton petit trou ? Comment est-il ? 

Je vis alors l’homme retourner ma femme, s’accroupir, écarter les fesses et lui glisser un doigt dans le cul. L’homme ressortit son doigt, le lécha abondamment puis se cracher dans la main pour aller humidifier le trou du cul de ma femme. Elle ne broncha pas, mais ses fesses ne reculaient pas sous les assauts des doigts. A ce moment, l’homme plaça un préservatif sur sa queue avec adresse, attrapa ma femme sous les genoux en se tenant derrière elle, la souleva en écartant les jambes de ma femme, et dirigea ses fesses vers son sexe tendu. Quelle force il avait ! Doucement il fit descendre le cul de ma femme sur sa queue. On l’entendit murmurer :

- Ma bite est à l’entrée de ton cul… tu sens mon gland qui te force… ca y est il est entré… alors ça te plait salope… 

On ne voyait plus la bite de l’homme, il avait les fesses de ma femme collées à lui.

- Tu sens mes couilles au porte de ton cul, hein ma salope !

Il se mit à soulever et laisser redescendre ma femme avec un rythme de plus en plus rapide. Je me plaçai devant ma femme et effectivement le spectacle valait le coup d’œil !!! Je voyais sa chatte grande ouverte, ruisselante de cyprine et son cul pénétré par cette belle queue.

Bientôt ma femme se mit à encourager son enculeur :

- Vas y… oh c’est bon… elle est grosse dans mon ventre… plus fort… ahhhh tes couilles je les sens… j’ai le cul en feu… trop bon… ahh… je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiis… 

Elle poussait des cris à affoler un troupeau d’éléphants. Je vous avoue ma jalousie à la voir ainsi jouir par le cul et je l’enviais presque…

Luc ne perdait pas un instant de cette scène, il filmait tout, tout en s’astiquant la queue comme un malade…

En fait depuis un petit moment, quelques voyeurs s’étaient approchés de notre clairière et ils ne perdaient pas une miette du spectacle.

L’homme continuait son va et vient. La jouissance de ma femme durait encore.

Subjugué par ce spectacle, je n’avais pas vu un homme s’approcher derrière Clara, qui continuait à pomper son chauffeur. Elle se tenait accroupie, l’homme s’était allongé, les fesses de Clara au dessus de lui. Il regardait la chatte de Clara tout en se masturbant.

- Elle est belle ta chatte… j’aime les chattes des femmes mures…  j’aimerai que tu me pisses dessus… oh oui une grande giclée de pisse dans ma bouche… Murmura-t-il pour Clara.

- J’aimerai coller mes lèvres à ton sexe… te sentir pousser pour uriner… couler ton urine dans ma bouche… chaude comme toi.

Je vis les fesses de Clara bouger, visiblement elle appréciait les paroles de l’autre inconnu et cela devait l’exciter. Je décidai d’intervenir. Je lui demandai de se laisser aller et de pisser sur cet homme. Son regard était très expressif mais je ne comprenais pas le sens de son expression. Je remuai la cravache et soudain je vis un liquide dorée arroser l’homme. Celui-ci essaya d’avaler le maximum d’urine qu’il pouvait et on le vit jouir à grandes giclées de spermes. Le chauffeur, sur ce, excité par ce, certainement, premier spectacle, éclata en râlant dans la bouche de Clara. Elle continua à le pomper soigneusement, jusqu’au retrait volontaire de notre chauffeur.

L’homme arrosé approcha sa bouche de la chatte de Clara et se mit à la lécher consciencieusement. Visiblement il aimait la pisse et Clara avait décidé de jouer le jeu. Elle réussit à faire jaillir quelques gouttes d’or. Deux autres voyeurs s’enhardirent et s’approchèrent d’elle la bite à la main. Je pensai la voir hésiter mais non !

Elle se redressa, alla vers eux et prit un sexe dans chaque main. Elle regarda froidement ces hommes tout en les branlant. Je m’approchai d’elle et je continuai mon jeu de dressage :

- Tu dois faire jouir ces hommes en même temps sinon… la CRAVACHE ! 

Je la regardai masturber ces 2 queues avec application, le regard porté sur les visages des hommes. Je remarquai qu’elle aimait la position accroupie, les jambes accroupies. Moi aussi, car elle nous présentait sa chatte bien ouverte et son beau cul bien charnu. Je bandai depuis un bon moment et j’avais bien envie de baiser son cul. Je jetai un regard à ma femme, j’étais rassuré (hum…), son costaud continuait à lui pilonner le cul et son ami le chauffeur avec une ardeur retrouvé tentait de glisser sa queue dans la chatte de ma femme. Je remerciai mentalement ces chauffeurs qui utilisaient des préservatifs. 

Délaissant ce spectacle je me tournai vers Clara, la relevai, soulevai sa jupe et présentai ma queue sur son anus. Je l’avais déjà baisé mais pas enculé. Je mouillai un doigt et le glissai dans son cul. Tout de suite après je poussai mon gland contre son anus, je l’entendis protester, qu’elle n’aimait pas cela. Je n’écoutai rien et forçai son cul avec une forte poussée. Je me retrouvai à moitié dans son boyau chaud.

Je lui demandai de continuer à masturber les 2 hommes et j’invitai Luc à se faire sucer car décidément, ce pauvre jeune homme manquait d’initiative. Quel spectacle, la femme de mon patron enculée, suçant un jeune et branlant deux inconnus. Je commençai à reculer ma queue et quand je sentis que mon gland allait sortir, je le repoussai doucement en avant. Je poussai jusqu’à coller mes couilles à ses fesses. Je restai un instant comme cela puis je me lançai dans une série de va et vient rapide.

Clara cria un instant avant que Luc ne lui replaça sa bite dans la bouche, avide visiblement de jouir au fond de cette femme mature. L’amateur d’urine vint compléter le tableau en nous léchant, moi mes couilles et Clara sa chatte et son cul. Je ne résistai pas longtemps à ce régime et je jouis fort au fond de ses entrailles, suivi de peu par Luc et les deux hommes qui arrosèrent le corps de Clara de belles quantités de sperme.

Apres quelques instants utilisés à récupérer je regardai ma femme. Elle était enculée et baisée par nos deux chauffeurs et un troisième larron lui caressait les seins tout en se faisant branler. Elle n’était donc pas en train de s’ennuyer. Luc, quant à lui faisait des effets de caméra, il filmait sa queue qui sortait de la bouche de Clara, lui demandait de garder la bouche ouverte pour bien cadrer le foutre au fond de la gorge de Clara, puis il filmait toutes ces taches de sperme sur le corps de Clara.

Plus tard, dans la voiture sur le chemin du retour, les femmes avouèrent avoir bien joui. Clara déclara avoir fait jouir 4 hommes en même temps. Ma femme, médusée, la regarda. Je déclarai alors :

- Ma chérie, tu as trois trous et deux mains, la prochaine fois tu devras faire jouir 5 hommes !!! 

- Et quant à vous Clara, nous vous ramenons chez vous ! 

Clara à ces mots, protestai vivement qu’elle devait se laver, se changer avant de rentrer. Je lui annonçai que son mari l’attendait pour s’occuper d’elle et qu’il allait en plus avoir un film de ses activités en plein air. Clara se mit alors à pleurer. Le dressage commençait pour elle…

Plus tard dans la soirée je recçus un premier texto de mon patron :

- Je l’ai baisée sans la laver, film excellent, bon boulot !

Et un peu plus tard :

- Un week-end dans notre maison de campagne vous intéresse-t-il ?

FIN

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