Traduction d'un texte de Sadkins116 et Rebeccasm. Les illustrations sont de Rebeccasm.
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Préparation avant le week-end en famille.
La semaine passe vite et les enfants reviennent le lendemain. Jessie est épuisée d'enseigner à l'école pendant la journée et de faire la pute le soir. La journée d'aujourd'hui a particulièrement été pénible.
Janice lui a fait manger sa chatte ce matin, et elle n'a pas été autorisée à se nettoyer le visage. Elle a du faire ses cours avec le jus de Janice séchant sur sa figure. Et pour vraiment s'assurer que Jessie passe une mauvaise journée, Janice a remis ça à la pause du déjeuner.
Dans l'après-midi, au début de son dernier cours, Maître X a activé le vibromasseur pendant toute l'heure. Au moment où la sonnerie résonne, Jessie n'est plus qu'un tas de loques. Dès que les étudiants sont sortis de la classe, elle attrape son sac et elle se rue vers sa voiture. Ne voulant pas se changer sur le parking de l'école, elle se rend sur un parking un peu plus loin et enfile ses habits de pute. Jessie déteste retrouver Buck et le motel. Depuis le premier jour dans la rue, sa popularité a explosé. Hier, elle n'a même pas eu à faire le trottoir. Une file d'attente l'attendait quand elle arriva. Elle travailla sans arrêt jusqu'à ce que Buck lui dise de rentrer chez elle. Elle est contente, qu'après ce soir, elle ne soit pas obligée de revenir avant lundi.
La semaine de Marcus n'a pas été meilleure. Il porte à présent des vêtements féminins, sauf lorsqu'il est au travail. Et même, il porte quand même des sous-vêtements féminins. Le mardi, Maître John lui a dit qu'il devait se rendre au travail en femme et ne se changer qu'à l'arrivée et avant son départ.
Mercredi, Maître John l'a emmené au médecin pour son injection hebdomadaire d'hormones et autres drogues.
Ce traitement fait vraiment une différence. Sa masse musculaire a considérablement diminué, ses mamelons et ses seins sont hypersensibles. Maintenant, il bande rarement sauf quand il suce la bite de Maître John. Après le rendez-vous médical Marcus s'est rendu à son travail mais avait du mal à se concentrer. Chaque homme qui passait près de son bureau lui faisait perdre sa concentration sur son travail. Son esprit se demandait à quoi ressemblait le sexe de l'homme et comment il était quand il bandait.
Aujourd'hui, Maître John a invité deux hommes pour jouer au poker et il leur a laissé enculer Marcus l'un après l'autre. Celui-ci était tellement excité qu'il a joui plusieurs fois. Après le départ des hommes il s'est effondré et s'est mis à pleurer sur son sort.
Maître X lui a demandé de prendre un jour de vacances pour qu'il soit prêt quand les enfants arriveront. Marcus ne sait pas à quoi s'attendre. Il espère seulement que leurs Maîtres respecteront leur accord et qu'ils le laisseront seul avec Jessie pendant quelques jours. Il a peur de ce qu'il devient.
Lorsque Jessie rentre à la maison après sa soirée au motel, Marcus a le souffle coupé en la voyant. Elle ne porte qu'un débardeur sale et troué qui ne la couvre pas beaucoup. Son visage et sa poitrine sont rouges et il y a plein de taches de sperme sur son corps. Elle a l'air épuisée et démoralisée. Les yeux de Marcus commencent à se remplir de larmes en se disant qu'ils n'ont plus de choix. Il s'approche de sa femme pour la serrer dans ses bras.
- Est-ce que ça va Jessie?
La femme se met alors en colère et crie :
- Comment penses-tu que j'aille Marcus? Je viens juste de baiser la moitié des hommes de la ville et pour couronner le tout Buck m'a fait sucer dix hommes à la suite pour terminer la soirée.
- Je suis tellement désolé Jessie, mais je ne peux rien faire jusqu'à ce que nous trouvions un moyen de nous en sortir. Répond Marcus.
- Oh, et il y a eu pire que ça. Monsieur ASH ou plutôt Monsieur « trouducul » était mon premier client aujourd'hui. Il est tellement dégoûtant que j'ai presque vomi quand je l'ai vu. Il a payé pour utiliser tous mes trous et je crois qu'il a pris des photos. Ajoute Jessie alors que de grandes larmes coulent sur ses joues.
- Oh mon Dieu Jessie, c'est terrible. Dit Marcus.
- C'est pas le plus terrible. Il a payé 3000 dollars à Buck pour m'avoir chez lui tout un week-end. Vendredi prochain je dois aller chez lui et y rester jusqu'à dimanche. Tu ne sais pas à quel point cet homme est malade.
Jessie pleure encore plus fort.
- Je ne peux plus supporter ça Marcus. Ce n'est pas ce que je voulais. Je vais parler à Maître X. Je ne veux pas être une prostituée. Je voulais seulement être soumise, pas baiser toute la ville.
- Jessie, tu ne peux pas, il va nous détruire. Supplie Marcus.
- Alors tu crois que devenir une prostituée ne me détruit pas? Il faut que ça cesse maintenant. Je vais au bureau allumer l'ordinateur.
- Ce n'est pas ce que je voulais dire. Oui, se prostituer c'est ignoble. Mais si nous n'obéissons pas, il nous prendra tout et il nous laissera sans abri, sans emploi et banni par nos familles. S'il te plaît, réfléchis à ce que tu vas faire. Demande Marcus.
Jessie regarde l'apparence de son mari debout devant elle. Il est en string et bas résilles. Ses cheveux sont coiffés comme une femme et son visage maquillée comme une salope.
- Écoute Marcus, je vais parler à Maître X et essayer de faire en sorte que je ne travaille plus dans la rue. Je ne peux pas continuer à baiser 10 ou 20 hommes toutes les nuits. S'il te plaît, n'essaie pas de m'arrêter.
Marcus hoche la tête et s'éloigne. Jessie marche dans le couloir et entre dans le bureau.
Maître X savait que la journée d'aujourd'hui serait difficile et il pensait que Jessie se rebellerait. Il sait que l'arrangement avec son voisin dégueulasse allait l'achever. Il écoute la conversation du couple et attend que Jessie apparaisse sur son écran d'ordinateur.
Jessie allume le PC et se connecte au site de Maître X. Elle peut le voir assis à son bureau, le dos tourné. Elle s'agenouille sur le sol et elle attend qu'il la voie.
- Que veux-tu esclave? Demande Maître X.
- S'il vous plaît Maître X, je ne peux pas continuer à me prostituer dans la rue. Je n'en peux plus, ça doit cesser. Je... nous ne nous sommes pas inscrits pour cela. Dit Jessie, suppliante.
Maître X essaie de se retenir de rire. Toutes les activités de la semaine dernière de Jessie ont été enregistrées. Il a filmé chaque homme qu'elle a baisé ou sucé.
- Alors, dois-je comprendre que tu refuses d'obéir. Demande-t-il sévèrement.
- S'il vous plaît Maître X, je ne peux pas être une prostituée. Nous gagnons assez d'argent pour payer les études de Julie et Kévin. Je vous en prie, laissez-moi payer sans avoir à faire le trottoir. Supplie Jessie.
- Donc ça signifie que tu refuses? Demande Maître X tout en préparant une vidéo pour son esclave nu et agenouillé.
Jessie attend que son Maître ajoute quelque chose lorsque la vidéo apparaît sur son écran en haute définition.
- Oh mon Dieu! S'exclame l'enseignante alors que le film la montre en train d'être baisée par deux grands hommes noirs. L'un enfonce sa grosse bite dans le cul de Jessie alors que l'autre pointe la sienne sur son visage. Il éjacule son foutre dans sa bouche et sur son visage. La figure de la femme reflète à la fois de la douleur et du plaisir alors que sa langue poursuit la grosse queue qui commence à débander. Jessie se regarde lécher le gland et sourire, puis utiliser ses doigts pour ramasser le reste de sperme et le manger.
- S'il vous plaît Maître X, ne dévoilez pas cette vidéo, je risque la prison.
Jessie pleure maintenant et supplie son Maître d'avoir pitié d'elle.
- Tu connaissais le marché. Si tu refuses d'obéir, tu es libre, mais je peux faire tout ce que je veux de tout ce que j'ai enregistré. Je garde aussi tous vos biens : épargne, maison, tout. Alors non tu n'es pas obligée de te prostituer. Tu peux arrêter si tu le désires.
Jessie est sous le choc. Elle demande :
- S'il vous plaît Maître X, y a-t-il un moyen de s'arranger? S'il vous plaît, je ferais n'importe quoi.
- Donc tu veux cesser d'être une pute et que je paie les dépenses pour tes enfants? C'est ça?
- Oui Maître X, s'il vous plaît!
- Ok, mais notre accord pour ce week-end n'est plus valable. Tu feras ce que je te dis quoi qu'il arrive. Avec ton mari, vous devrez obéir à chaque ordre. C'est votre dernière chance. Si toi ou ta lopette de mari désobéissez, je vous prends tout.
Ainsi Maître X cimente sa domination sur ses esclaves.
- Oui Maître X, nous allons obéir et nous comprenons les conséquences si nous désobéissons. Dit Doucement Jessie en baissant les épaules.
Son esprit et son corps s'accordent maintenant pour dire qu'elle est son esclave.
- Bien! Je sais que tu as un arrangement avec ton voisin, M. ASH. On le garde, mais on va l'aménager. Sinon je pense que tu vas avoir une belle carrière en tant que star de cinéma. Au moins, tu n'auras pas à baiser tout le monde mais seulement les bites et les chattes que je choisirai. Déclare Maître X.
Jessie baissa la tête, tout esprit de rébellion parti. Elle acquiesce et continue de fixer le sol. « Au moins, je ne serai pas arrêté pour prostitution » pense-t-elle.
- Je t'écoute esclave! Es-tu d'accord?
- Oui Maître! Murmure Jessie.
- Je t'ai à peine entendu, et « oui Maître » quoi esclave?
- Oui Maître, votre esclave accepte de faire les films que vous voulez avec qui vous voulez. Déclare Jessie d'une voix claire.
- En outre il y a une autre chose dont je dois te parler. Toutes les limites mises dans le contrat sont caduques. Toi et ta lopette de mari allez faire tout ce que je commande, sans question ni hésitation.
Jessie perd son souffle. Elle sait quelles limites elle a mis dans le contrat et elle tremble en pensant qu'on peut lui demander de faire ces choses. Elle n'est pas sûre des limites de Marcus, mais elle sait qu'ils n'ont pas le choix.
- Oui Maître, toutes les limites ont disparu. Gémit Jessie.
- Bien, maintenant au lieu d'aller rendre visite à ton voisin le week-end prochain, nous allons trouver autre chose. Chaque jour tu iras le voir pendant trois heures et tu seras une bonne salope. Je lui ai parlé et il connaît les limites, mais tu feras tout ce qu'il voudra. Si tu ne le fais pas, tu es à la rue. Compris esclave?
- Oui Maître, votre humble esclave ira chaque jour voir le voisin et lui obéira.
Content Maître X glousse :
- Bon je dois dire que je suis d'accord avec Maître John, tu es très bien couverte de sperme. Ne te lave pas avant demain, j'ai entendu dire que c'est bon pour la peau. Maintenant, va chercher ton mari pour que je puisse vous donner vos instructions pour l'arrivée de vos enfants.
- Oui Maître! Répond Jessie avant de sortir du bureau.
Quand Marcus voit revenir Jessie à quatre patte, il remarque son expression et sait que tout ne s'est pas passé bien. Quand elle arrive au salon elle se met à pleurer.
- Maître X veut nous voir au bureau. Dit-elle.
Marcus suit sa femme et s'agenouille à côté d'elle face à l'écran d'ordinateur. Maître X jubile tellement il est facile d'asservir cette famille. Les parents devant lui se sont complètement rendus, leurs enfants le seront bientôt.
- Écoutez les esclaves, voici vos instructions pour le week-end. Vous ne porterez rien que ce que j'approuve et ça inclut rien et la nouvelle garde-robe de la lopette. Vous ne vous opposerez à rien de ce que vos enfants diront ou feront. En fait vous allez les encourager. Vous ferez tout ce qu'ils suggèrent. Il n'y a aucune limite à ce qu'ils suggèrent. Jessie, tu te présenteras tous les jours à 11 heures chez M. ASH et tu reviendras à 14 heures. Tu obéiras à tous ses ordres. Marcus, tu porteras culotte, bas et soutien-gorge tout le temps, sauf instruction contraire de ma part. Tu devras t'assurer que tes enfants voient tes sous-vêtements féminins au moins deux fois. Tu dois également t'assurer de sucer une bite toutes les douze heures, mais ça ne doit pas être le même sinon ça ne compte pas. Tu ne refuseras aucun ordre ou suggestion.
Marcus est agenouillé, la bouche ouverte. Il n'arrive pas à croire ce qu'il entend.
- S'il vous plaît Maître X, qu'en est-il de notre accord ? Nous devions être libres tout le week-end.
- Eh bien, tu peux remercier ta salope de femme. Elle n'aimait pas son deuxième emploie donc nous avons renégocié les conditions. Vous ferez exactement ce que je dis et il n'y a plus de limites. Toutes les limites du contrat ont disparues. Si vous refusez quoi que ce soit, vous perdrez tout ce que vous avez et vous serez soit à la rue soit en prison. Vous allez travailler tous les deux pour moi comme nouvelles stars de porno et vous ferez n'importe quoi avec qui je veux.
Maître X attend que ses paroles entrent dans la tête de Marcus puis il continue :
- En retour, je rétablirai le financement des études de vos enfants. Cependant je vais peut-être avoir des exigences auprès d'eux aussi.
Marcus regarde sa femme. Celle-ci a les yeux fixé sur le sol, perdue et honteuse.
- Je vous enverrai ces règles plus tard. Imprimez-les te gardez-les à portée de main. Je n'accepte rien de moins que la perfection.
- Oui Maître X! Répond le couple à l'unisson.
Jessie lève le bras et éteint l'écran. Elle se lève et sort du bureau, suivie de Marcus. Ils entrent dans leur chambre et Jessie s'effondre sur le lit. Son corps lui fait mal et son esprit est vide. La pensée de ce qui va se passer alors que les enfants seront à la maison lui donne des frissons.
Marcus s'assied à côté de sa femme sur le lit.
- Ne t'inquiète pas ma chérie, nous y arriverons.
Il essaie de soutenir sa femme mais lui-même ressent le même sentiment d'impuissance qui consomme Jessie. Il se lève et va à la salle de bain pour faire couler un bain pour sa femme maltraitée. Il espère que ça l'aidera. Quand il revient dans la chambre, Jessie est profondément endormie. Les abus constants de la semaine ont fini par la terrasser.
*****
Julie fait ses bagages pour rentrer chez elle. Jamais elle n'avait eu plus envie de revenir chez ses parents que ce jour. La semaine avait été terrible. Lundi était le jour où Jason l'avait obligée à se déshabiller dans la rue et lui avait donné les règles auxquelles elle devait obéir. Julie passa presque toute la nuit de lundi à mardi à raccourcir ses jupes et ses robes à la longueur requise.
Le lendemain matin elle essaya de trouver un moyen d'aller en cours sans trop dévoiler son corps. Toutefois comme l'emploi du temps était le même que le lundi, elle n'aurait pas e temps de se changer. Donc Julie s'habilla comme ordonné et elle se rendit en classe.
Une chose est certaine, sa nouvelle garde-robe attira beaucoup l'attention. D'habitude, personne ne la remarquait, mais le mardi, presque tous ses collègues de cours s'étaient retournés pour la regarder. Sa jupe, longe de seulement 25 centimètres ne se retrouvait qu'à 7 centimètres en dessous de son cul. Ses seins, sans soutien-gorge menaçaient de sortir de son chemisier avec les trois boutons du haut enlevés.
Julie rougit de honte quand elle entendit les remarques vulgaires des gars et les murmures des filles s l'appelant « chienne ». Elle garda la tête baissée et s'assit au fond de la classe. Dès que le cours fut terminé, elle se précipita dehors et se dirigea vers son prochain cours. Il se trouvait de l'autre côté du campus et elle dut se dépêcher pour y arriver sans être en retard. Elle dut garder les bras croisés sur tout le chemin pour éviter que sa poitrine sorte du chemisier. Cette fois-ci, quand elle s'est assise au fond de la classe, Plusieurs gars se sont assis tout autour d'elle. Elle essaya en vain de cacher son corps, mais la jupe étant si courte, ses efforts étaient vains.
Des que la cloche sonna, Julie regarda attentivement l'horloge. Elle courut vers la porte et dans le couloir. Sept minutes n'étaient pas beaucoup de temps et elle doit faire presque un kilomètre pour se rendre au studio de Jason. Julie était au portail de l'université quand le professeur du cours précédent l'arrêta :
- S'il vous plaît professeur, je suis en retard et je ne peux pas m'arrêter pour discuter maintenant. Répondit Julie en essayant de dépasser l'enseignant.
- Non Julie! Attends! Je dois te dire que ta tenue d'aujourd'hui est inacceptable. D'où je me tenais dans la pièce, je pouvais tout voir. Déclara le professeur BUTLER en essayant d'attraper le bras de Julie quand elle le dépassa.
- Je suis désolé professeur, je ferai plus attention demain. S'il vous plaît, je dois y aller, j'ai un rendez-vous. Dit la jeune fille en retirant son bras de son emprise.
Même si la conversation n'avait duré que quelques secondes, Julie savait qu'elle devrait courir pour arriver à l'heure. Elle retira ses talons et commença à courir, laissant derrière elle des étudiants et des professeurs abasourdis.
Quand finalement elle quitta le campus, sa jupe n'était plus qu'une ceinture. Ses seins, son cul et sa chatte étaient bien visibles, mais elle ne s'arrêta pas et ne tenta pas de remettre ses vêtements, sa peur d'être en retard l'emportant sur toute pudeur.
Julie arriva à la porte du studio et s'arrêta pour remettre ses talons. Elle était à bout de souffle et couverte de sueur. Ce qui l'avait vraiment effrayée, c'est que son corps était en feu. Comment pouvait-elle être aussi excitée à l'idée de courir presque nue sur le campus? Julie remit sa jupe en place, couvrit ses seins et franchit la porte. La pièce était vide alors Julie se précipita dans le studio et appela :
- Jason ? Je suis là.
- Tu es en retard de trois minutes environ. Tu seras punie pour ça un peu plus tard. Déshabille-toi et monte sur scène.
Julie ne voulut pas aggraver son cas alors elle enleva rapidement son chemisier, sa jupe et ses chaussures puis elle se précipita sur la scène.
- Que voulez-vous que je fasse? Demanda-t-elle.
- Est-ce que je t'ai dit de parler salope? Tu parles seulement quand on te parle. Tu viens de gagner une autre punition. Continue comme ça et tu ne rentreras peut-être pas dans ta chambre avant les cours.
Jason rit quand il vit le regard paniqué que lança Julie.
Le reste de la nuit fut un calvaire pour la jeune fille. Ça commença doucement, avec principalement diverses poses d'elle nue.
Puis vinrent les menottes et un bâillon. Les photos dégénérèrent à partir de là. A la fin de la nuit, Julie était suspendue au plafond, face vers le sol. Ses bras et jambes étaient attachés au-dessus d'elle, la forçant à se cambrer. Jason appréciait les cris de douleur de Julie lorsqu'il lui fixait des pinces avec des poids suspendus.
Les cheveux de la jeune lui tombaient sur le visage, cachant ses larmes. Elle releva un instant la tête et vit dans le studio un grand homme noir qui tapotait une cravache dans sa main. Elle trembla à cette vue. Son corps n'était plus en mesure de résister aux orgasmes qui la tordaient, affaiblissant de plus en plus son esprit.
Jason taquina l'esclave dans son studio. Il adorait comme le corps suspendu cédait aux sensations malgré la volonté de la jeune fille. Après son premier orgasme, chaque nouvelle pose et humiliation la fit jouir à nouveau de façon toujours plus intense que la précédente. Jason sourit à Jamal, l'homme noir qui attendait son tour pour jouer avec la jolie étudiante.
A la fin de la séance, le corps de Julie était couvert de marques rouges et les larmes coulaient sur ses joues. Jason relâcha lentement le corps épuisé et le posa sur le sol. Julie gémit de douleur alors que chaque centimètre de sa peau lui semblait à vif et que chaque contact l'irradiait.
Lorsque Julie retourna à sa chambre tard dans la nuit, son esprit et son corps étaient surchargés de sensations. Son esprit était en colère d'avoir été traitée comme une esclave, et son humiliation et le traitement subi ne fit qu'augmenter sa colère.
Toutefois son corps était à l'extrême opposé de son esprit. Il tremblait de tout ce qui c'était passé. Ça avait commencé le matin alors qu'elle était à peine habillée. Puis courir sur le campus en s'exposant avait aggravé la chose. Mais ce qui enfin l'a excité au plus haut niveau, ce fut la séance photo. Le corps de Julie était déjà excité à son arrivée et se déshabiller et se faire photographier avait augmenté la chose. A la fin de la séance, Julie avait eu plusieurs orgasmes. Il semble que Jason avait fait en sorte de la maintenir toujours près de la jouissance.
Et là dans sa chambre, alors que son esprit se rebellait, ses mains étaient sous sa jupe et travaillaient fébrilement sur son clitoris pour jouir de nouveau. Plus elle était en colère, plus elle s' activait sur sa chatte. Quand l'orgasme vint, les yeux de Julie roulèrent dans sa tête et son esprit arrêta de fonctionner. Les éclairs massifs de plaisir traversèrent son corps d'une extrémité à l'autre.
Julie repense à ce soir-là en faisant ses bagages. Elle est confuse. Elle avait détesté chaque moment mais avait aimé aussi. Jamais auparavant dans sa courte vie, elle n'avait eu de tels orgasmes. C'est comme si Jason avait capturé son esprit et l'avait rendue impuissante face aux réactions de son corps.
Mardi fut mieux, mais ce fut marginal. Elle n'avait pas pu se rendre au studio, mais Jason l'avait appelé plusieurs fois et lui avait fait faire des choses humiliantes. Ça avait commencé à la bibliothèque. Il la suivait pendant qu'elle étudiait. Tout d'abord, elle avait dû montrer ses seins.
Julie détestait suivre ses ordres mais son corps réagit déjà et sa chatte commença à couler. Ensuite, Jason lui fit retirer son haut et marcher dans une rangée de livres. Au moment où il partit, elle était nue et se masturbait sur le sol, les jambes écartées et sa bouche ouverte alors qu'elle jouissait.
A chaque cours Julie devait faire quelque chose, saisir la bite du gars assis à côté d'elle, aller dans les toilettes des hommes et s'y déshabiller avant de les utiliser.
De nouveau, quand Julie rentra dans sa chambre, elle se déshabilla et commença à se masturber. Son corps était de nouveau hors contrôle et avait besoin d'être libéré. L'esprit de Julie détestait ça , mais ne pouvait pas résister.
Maître X avait d'autres idées cependant. Ce soir-là il observait Julie nue sur son lit. Les doigts de la main droite de la jeune fille poussaient le vibromasseur rose dans sa chatte dégoulinante alors que sa main gauche pinçait ses tétons. Il attendit que Julie soit sur le point de jouir avant de lancer une vidéo où on la voyait attachée.
Julie s'assit sur son lit au début de la vidéo. Elle était choquée par ce qu'elle voyait. Elle sauta de son lit pour éteindre son ordinateur. Mais un message apparut :
« Arrêtez la vidéo et elle sera envoyée à tous vos contacts. »
Julie se figea à mi-chemin. Elle ne peut pas laisser cette menace se produire. Alors elle se regarde avoir des orgasmes à cause du sexe puis de la douleur. Un nouveau message s'affiche :
« Tu n'es plus autorisée à jouir sans ma permission. Aujourd'hui tu as pu, demain tu demanderas la permission. »
Julie regarda l'écran et pensa : « Mais comment ont-ils su? ». Elle s'assit sur le lit en regardant la vidéo passer en boucle. Elle s'endormit cette nuit-là avec l'image d'elle-même jouissant encore et encore.
Le mercredi, elle retourna au studio. Cette fois elle joua l'esclave. Elle fut attachée sur un tabouret, les jambes écartées et son corps bien exposé.
Deux hommes se relayèrent pour la fesser, l'exciter, la baiser, la dégrader et la soumettre. Chaque fois qu'elle les implorait de pouvoir jouir, ils arrêtaient. Encore et encore ils la poussèrent à la limite de l'orgasme jusqu'à ce qu'elle les implore de la baiser dans n'importe quel trou, n'importe où et à n'importe quel moment. Elle leur jura de les servir et de servir leurs enfants, leurs amis ou tous ceux qu'ils voudront. Finalement, elle resta nue sur le col, couverte de sperme.
Nous sommes maintenant vendredi et elle vient de recevoir les instructions de Jason. Elle ouvre lentement le courrier électronique :
« Julie,
Je sais que tu vas chez tes parents ce week-end. Juste pour que tu ne nous oublies, tu vas avoir quelques règles à suivre. Mais auparavant, je veux que tu t'arrêtes au studio avant de partir pour prendre quelques objets.
Voici les règles à suivre :
Ne prends pas la peine d'emporter des culottes ou des soutien-gorges, ils ne sont pas autorisés.
Seulement des robes ou des jupes et tu sais déjà quelle est la longueur à ne pas dépasser.
Dans le week-end, tu t'exposeras nue au moins une fois à chaque membre de ta famille.
Tu suivras l'exemple de ton frère et tu seras d'accord avec tout ce qu'il dira ou suggérera.
Tu vas essayer de séduire ton père.
Tu obéiras à n'importe quel ordre, peu importe qui le donne.
Bon week-end et suis les règles.
Jason. »
Julie relit le courrier encore et encore en essayant de comprendre comment elle va pouvoir garder son secret sas enfreindre les règles. Elle commence à pleurer, mais au fond de son corps une étincelle d'excitation se développe.
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Kévin attend que Maître X le contacte. Au cours de la semaine, il lui a fait faire plusieurs choses pour l'humilier. Kévin détestait tout ce qu'il était obligé de faire, mais à mesure que la semaine passait, son humiliation l'excitait. Maître X ne l'a pas laissé éjaculer de toute la semaine et maintenant il est prêt à faire n'importe quoi pour jouir.
Tout a commencé le lundi quand il a dû aller acheter des sous-vêtements féminins. Et ses instructions étaient claires, il devait demander l'aide d'une employée, lui demander de le suivre dans les cabines d'essayage et lui demander son avis.
Le reste de la semaine il dut porter ses nouveaux sous-vêtements. Toutefois pour les mettre, il devait aller dans des toilettes publiques, mettre la lingerie et attendre que quelqu'un le voit ainsi pour pouvoir sortir.
Le mardi, Maître X lui ordonna de se rendre dans un glory-hole et de sucer des bites pendant une heure. C'était la chose la plus humiliante qu'il ait jamais faite. Rien que l'idée d'avoir le sexe d'un autre homme dans la bouche le faisait vomir. Mais il n'avait pas le choix. Le reste de la journée, il ne put pas regarder les gens dans les yeux. Mais au moins c'était des bites anonymes, et personne n'avait vu son visage. De plus Kévin avait été réellement soulagé de ne pas avoir à avaler le sperme. Il préférait l'avoir sur le visage plutôt ,que dans le ventre.
Quand il fut autorisé à sortir du glory-hole il n'eut pas le droit de se laver. Donc il passa le reste de la journée recouvert de sperme.
Le mercredi, Kévin avait plusieurs examens. Maître X l'avait laissé tranquille à l'exception du plug anal qu'il avait gardé dans son cul toute la journée.
Jeudi il est redevenu un jouet pour son maître. Il dut se rendre dans un bar gay et sucer trois queues avant de partir. Fini l'anonymat et il dut aussi avaler leur sperme.
A présent il est assis sur son lit en sous-vêtements féminins, dans l'attente des ordres de Maître X. « Mon Dieu, que vais-je dire à papa et maman? Julie va se moquer sans relâche quand elle me verra. Je déteste ça, je ne suis pas soumis. J'espère qu'on va me laisser tranquille pour le week-end? » pense-t-il.
Kévin sursaute quand son ordinateur lui indique qu'il vient de recevoir un mail.. Il se lève et ouvre le message :
« Esclave Kévin,
Tu te souviens de mes instructions de le semaine dernière pour Christy? l'as-tu appelé pour qu'elle vienne? Assure-toi que mes ordres soient suivis ou tu sais ce qui va arriver. Pendant une semaine, je t'ai donné un aperçu de ce qu'est l'autre face de la domination-soumission. C'était nécessaire et maintenant j'ai encore plus de vidéos compromettantes.
Ce week-end, ta formation en tant qu'apprenti va débuter. Christy ne va être que le début. Tout se passera bien si tu es totalement obéissant et si tu obéis à chaque ordre sans poser de question.
Je veux que tu sois le mâle alpha à la maison. Tu prendras en charge toute activité de ton arrivée à ton départ. Pour t'aider tu iras chercher un paquet à l'Association des Étudiants. A l'intérieur se trouve une oreillette Bluetooth et un téléphone. Tout est connecté et dès que tu l'allumeras je serai en contact. Tu dois garder ce matériel avec toi à tout moment.
Assure-toi d'avoir toujours une chemise avec une poche. Le téléphone sera dans cette poche avec l'objectif photo vers l'extérieur. Une fois allumé, je vais pouvoir tout contrôler, regarder et écouter tout ce qui se passe. Je te parlerai à travers l'oreillette. Je te le répète encore une fois, suis mes instructions à la lettre. Si tu le fais, je te garantis que tu auras le week-end de ta vie.
Tu vas humilier ton père aussi souvent que possible, en t'assurant bien qu'il sache que tu es responsable.
Tu ne diras jamais mon nom et tu ne parleras de moi à personne.
Tu ne diras rien de ton statut d'esclave et de notre arrangement.
D'autres règles viendront, mais c'est tout pour le moment.
Maître X. »
Kévin relit le message plusieurs fois. Il sait qu'il vaut mieux qu'il n'oublie pas les règles. Il les imprime puis il ouvre sa valise. Il doit revoir ce qu'il a pris comme vêtements.
Dès qu'il a fini, il appelle Christy WILSON. Il est surpris que ce soit Janice WILSON qui réponde. Il pensait qu'elle serait toujours à l'université.
- Bonjour Mme WILSON, ici Kévin GRABAS, Christy est-elle à la maison? Dit Kévin poliment.
- Oh bonjour Kévin! Comment va ta mère? Répond Janice en souriant en pensée de la domination qu'elle a sur sa mère.
- Elle va bien je suppose. Je ne l'ai pas vue depuis un moment. Je rentre à la maison ce week-end et j'aurais aimé voir Christy.
- Donc tu n'as pas parlé récemment à ta mère?
- Nous nous sommes téléphonés la semaine dernière, mais l'école me tient trop occupé. Répond-il en se demandant pourquoi Janice WILSON est si intéressée par sa mère, alors qu'il sait qu'elles se détestent et sont en compétition à l'université.
- Oh je suis sûre que ta visite sera amusante. Je vais aller chercher Christy. Dit Janice.
- Bonjour Kévin. Je n'ai pas eu de nouvelles de toi depuis un moment. Comment vas-tu?
Le garçon peut sentir un pincement nerveux dans la voix de la jeune fille.
- Hé salope, C'est comme ça que tu réponds à ton Maître? Crie Kévin.
- Non Maître, je suis désolé. Répond doucement la jeune fille pour que sa mère n'entende pas.
- C'est mieux. Je rentre chez moi aujourd'hui et je veux que tu me retrouves là-bas. Je veux que tu portes ta jupe la plus courte, un haut court, tes talons les plus hauts et pas de sous-vêtements. J'arriverai dans deux heures. Ne sois pas en retard ou je te fesserai jusqu'à ce que tu ne puisses plus t'asseoir pendant une semaine. Si tu arrives avant moi, entre et discute avec mes parents jusqu'à ce que j'arrive.
Puis Kévin ajoute :
- Oh une dernière chose! Assure-toi de garder les jambes écartées. Je veux que tu exhibes ta chatte jusqu'à ce que j'arrive.
- Oui Maître! Répond Christy alors qu'un frisson la parcoure.
Elle déteste chaque minute où Kévin la maltraite, mais elle ne peut pas résister quand il lui ordonne de s'humilier. Depuis qu'il l'a prise en charge au lycée, elle ne peut plus résister à ses ordres.
Kévin sait que sa salope va l'attendre chez ses parents. Il attrape son sac est sort de sa chambre. Malgré tout ce qu'il a vécu cette semaine en tant qu'esclave, son corps est incroyablement excité. Il ne sait pas vraiment tout ce qui est prévu, Mais Maître X a le contrôle et il ne peut rien refuser.
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Julie quitte sa chambre peu de temps après avoir reçu ses instructions. Elle se dirige vers sa voiture et roule jusqu'au studio. Elle se gare sur le parking et regarde ce qu'elle est tenue de porter. La mini-jupe couvre à peine sa chatte et le chemisier est si fin et à moitié déboutonné qu'il laisse peu à l'imagination. Elle prend une profonde inspiration et pénètre dans l'antre du loup
L'intérieur du studio est sombre et il faut quelques secondes à ses yeux pour s'habituer à la pénombre. Elle se dirige vers l'arrière-salle et voit Jason qui travaille à son bureau. Elle marche lentement et se place devant lui. Elle reste debout sans rien dire. Elle suit les règles et ne parle pas avant qu'on lui parle. Elle reste comme ça environ cinq minutes avant que Jason relève la tête.
- Oui esclave, que veux-tu? Demande l'homme d'un ton bourru.
Il jette un coup d'œil à la jeune fille tremblante qui se trouve devant lui. Ses seins sont à peine contenus dans le chemisier et sa jupe dévoile ses longues jambes attrayantes.
- S'il vous plaît Monsieur, vous m'avez dit de passer prendre des affaires à emporter chez moi. Murmure Julie.
- Ah oui, le sac est à côté de la porte. Dit Jason en désignant un sac de sport.
Il ajoute :
- A l'intérieur il y a des choses dont tu auras besoin. Tout d'abord un téléphone portable. Il est programmé pour me contacter dès qu'il est allumé. Tu le garderas toujours avec toi. Il y a aussi une oreillette Bluetooth et des jouets qui se passent d'explications que tu utiliseras quand je te le dirai. De plus, le sac est équipé d'une caméra qui se connecte à ton téléphone. Tu peux le déposer, mais tu dois t'assurer que l'objectif couvre toute la pièce où tu te trouves. Je te surveillerai et te donnerai des instructions par intermédiaire de l'oreillette.
Jason sait aussi que Maître X surveille toute la maison par vidéosurveillance. Mais ils ne veulent ps que Julie sache que ses parents sont déjà des esclaves.
- Souviens-toi des règles et suis-les. Si je te surprends d'en enfreindre une, tu sais ce qui t'arrivera. Maintenant sors d'ici, j'ai du travail.
Jason la congédie d'un geste de la main. Julie reste quelques instants avant de se retourner, d'aller vers le sac et le ramasser. Elle est sur le point de franchir la porte pour retourner à sa voiture quand Jason lui crie :
- Attends esclave! Sors les boules de geisha et mets-les dans ta chatte. Je veux que tu les gardes jusqu'à ce que je te dise de les enlever.
Julie se fige sur place. L'ordre de Jason la prend par surprise. Elle le regarde et quand il fronce les sourcils, elle sait qu'elle ne doit pas résister.
Elle laisse tomber le sac sur le sol et s'agenouille pour l'ouvrir. Elle fouille dedans et sort un téléphone avec une oreillette et deux plugs. Finalement elle sent sous sa main deux grosses boules attachées ensemble par une ficelle. D'une des boules sort une autre ficelle de quinze centimètres. Julie n'a eu que peu expériences sexuelles dans sa vie y compris la semaine dernière. Elle peut les compter avec les doigts de ses deux mains. Elle se demande si elle va pouvoir mettre les boules en elle. Elle regarde Jason avec un regard suppliant, en priant pour qu'il change d'avis. Mais un sourire diabolique s'affiche sur le visage de l'homme, alors Julie sait qu'elle n'y échappera pas.
- Bon, petite salope, tu devrais peut-être les mouiller d'abord. Mets les dans ta bouche et salive bien.
Julie sait qu'il ne vaut pas mieux protester alors elle porte les boules à sa bouche pour les avaler. Jason se moque de la jeune étudiante qui a les joues gonflées et qui ressemble à un écureuil qui mange des noix.
- Bon ça suffit! Mets les dans ta chatte et sors d'ici! Ordonne le photographe jubilant entre deux gloussements.
Julie retire les balles de sa bouche. Elle prend la première et la frotte de haut en bas sur sa petite fente. Elle est surprise de voir à quel point elle est mouillée. Avant toute cette histoire, elle pensait rarement au sexe, et si elle le faisait, c'était généralement quand elle sortait avec des amis. Mais après tout ce qu'elle a vécu ces derniers jours, le sexe est toujours dans son esprit et son corps est constamment excité.
Il lui faut environ trente secondes pour que la première boule soit complètement dans sa chatte. Elle se sent déjà bien remplie, mais elle doit maintenant insérer la deuxième. Julie s'arrête quelques instants pour permettre à son corps de s'adapter à l'intrus. Puis elle commence à pousser la seconde boule. Cette fois-ci, plus elle enfonce l'objet, plus sa chatte mouille. Juste avant que la boule ne soit à l'intérieur, le sexe de Julie se met à trembler et la jeune fille halète alors qu'un orgasme imminent menace de traverser son corps. Elle reste immobile pendant quelques instants alors que son corps est sur le point d'exploser et elle tente de se contrôler.
Jason observe son esclave qui lutte pour ne pas jouir et pour éviter l'humiliation de son corps qui la trahit.
- Dépêche-toi salope, j'ai autre chose à faire aujourd'hui. Et tu ferais mieux de ne pas jouir sans permission.
Julie est au bord d'avoir un orgasme, mais elle ne veut pas désobéir à l'homme. Avec deux doigts elle pousse fortement et la boule entre enfin dans sa chatte humide. Julie s'effondre sur le sol alors que les boules remplissent son sexe. Mais elle réussit quand même à ne pas jouir et à remettre ses idées en place.
Elle lutte pour se relever, chaque mouvement menaçant de la pousser à la jouissance. Il lui faut presque cinq minutes avant de se risquer à faire un pas. La sensation des grosses boules en elle lui envoie des vagues de douleur et de plaisir à travers son corps jusqu'à son esprit. « Oh mince, comment vais-je pouvoir faire des choses avec ces boules en moi » pense-t-elle.
Avant qu'elle ne puisse répondre à sa question, Jason frappe son cul avec une raquette.
- Bouge-toi esclave, tu dois rentrer chez toi!
Julie crie de douleur, mais ça lui permet de se réveiller. Elle attrape le sac et se précipite vers la porte.
A suivre...
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