Texte de Claire de ma lune
Les inconnus.
Un internaute m’a suggéré de faire lire mes récits à mes amants et je trouvais l’idée plutôt excitante, ce fut en fait pire que cela. Ils ont été à la fois flattés et vexés, de la façon dont je les décrivais, mais surtout, ils ont eu accès à une chose à laquelle je n’avais pas pensé, ce que je ressentais.
J’étais presque plus gênée de leur révéler mes sensations et mes envies, que de me faire baiser. Je ne regrette pas pourtant de l’avoir fait et je suis même allée jusqu’à leur faire lire les innombrables mails que j’avais reçus où certains n’hésitaient pas à me faire des propositions de scénarios vraiment torride.
Ce fut finalement ce qui mit le piment qu’il manquait jusqu’alors car soyons honnête, je ne leur faisais lire que ceux qui m’excitaient vraiment, autant dire, moins de 10% de ceux que je recevais.
L’un des tous premiers scénarios qu’ils me firent réaliser, fut de les sucer en extérieur les yeux bandés. Je pensais que l’on allait faire ça dans la campagne ou dans un bois et là je me suis bien trompé, car le lieu fut le parking d’un restaurant routier. Je ne sais pas à qui, ni combien de sexe j’ai pu sucer, mais par contre, j’ai mouillé comme une folle à le faire et je ne sais pas s’ils étaient encore tous là quand mes amants m’ont sautée dans la voiture sans m’enlever le bandeau, mais rien que d’imaginer que ça pouvait être le cas, j’ai eu un de ces orgasmes qui m’a foudroyée.
Je reconnais que ce soir-là, je n’en ai eu qu’un, mais il m’a littéralement coupé en deux. Ils ont remis cela une fois rentré, mais le désir n’y était plus. C’était la première fois finalement que je faisais ça avec de vrais inconnus que je ne voyais même pas et je n’avais qu’une hâte, c’était de recommencer.
Ils m’ont baisé comme ça plusieurs fois les yeux bandés à leur appartement, mais il me manquait le frisson de l’inconnu. Dans mes rêveries, je ne pensais plus qu’à ça, je me voyais toute nue au milieu d’inconnus lubriques, abusant de moi. Franchir le pas est autre chose, mais cela m’obsédait de plus en plus.
Je leur ai demandé de renouveler la séance du parking, mais ils m’ont répondu qu’il fallait prendre son temps, sinon que je n’avais qu’à y aller toute seule.
Ils m’ont fait languir plus d’un mois avant de me remmener dehors, en me promettant que là ce ne serait pas trois routiers que je sucerais, mais sûrement davantage et qui me baiseront peut-être aussi. Je regrettais ce soir-là d’être venu en jeans, mais un regret de très courte durée, car toutes mes fringues ont fini dans le coffre.
Un gros frisson m’a parcouru le dos quand ils m’ont mis le bandeau et quand une dizaine de minutes plus tard, ils ont garé la voiture. Ils sont sortis à l’extérieur et je suis restée ainsi pendant un petit moment, seule à l’intérieur. Je ne savais pas ou j’étais et je commençais à me faire plein de film dans la tête, j’avais peur et pourtant cela m’excitait vraiment. J’ai enfin entendu des bruits de pas et des hommes qui discutaient :
- Ils nous ont pas menti, elle est à poil dans la voiture !
La portière s’est ouverte et ils m’ont faite sortir. Je ne savais ni où j’étais, ni avec qui et pourtant j’adorais. J’ai rapidement eu un sexe dans la bouche et des mains sur mes seins et mes fesses et un homme qui demandait si on pouvait me la mettre où on veut. Et Hussein a répondu :
- Partout elle aime ça !
On m’a allongée sur une table je suppose, et l’un d’eux a lancé :
- Eh les mecs, si on lui rasait la touffe on y verrait mieux !
J’ai voulu me redresser pour protester, mais j’ai juste failli m’étouffer avec le sexe qui s’est enfoncé dans ma gorge.
Quand j’ai senti les premiers coups de rasoir sur mon pubis je me suis raidie, mais je n’osais pas bouger. Pour m’être déjà fait le maillot plusieurs fois, je savais qu’il suffit de pas grand-chose pour se couper, alors je les laissais faire et malgré moi je mouillais.
- On y voit pas mieux comme ça, l’escalope à l’air et juteuse à point !
J’ai entendu :
- Attendez les mecs, faut mettre les capotes !
Ils m’ont tiré vers le bord de la table et ont commencé à me prendre l’un après l’autre pendant que Khaled me disait à l’oreille :
- Ça te plaît que ces salauds te baisent, qu’ils bavent sur toi comme des porcs, attends qu’ils s’attaquent à ton cul, tu vas aimer !
Je ne sais pas si c’est les paroles ou les mecs qui s’agitaient entre mes cuisses, mais je jouissais pas violemment comme la dernière fois, mais plus longtemps et en plusieurs fois.
On m’a libéré la bouche pour me retourner et me mettre le cul au bord de la table. Le premier qui m’a investi l’anus l’a fait plus doucement que ce que mes amants me faisaient d’ordinaire et ouvrant la bouche pour la première fois, je lui demandais de ne pas m’enculer comme une pucelle. J’ai senti comme une agitation derrière moi :
- Vous avec entendu les gars, elle veut se faire ramoner la dame, faut lui en mettre un coup !
Et pendant je ne sais pas combien de temps, ils se sont relayés entre mes fesses avec une réelle ardeur.
Ce soir-là, pour la première fois, j’ai découché, car premièrement mon mari était en déplacement pour trois jours, et deuxièmement je n’en pouvais plus. La séance a dû durer 2 ou 3 heures, je ne sais pas trop, mais c’était vraiment très dur surtout quanq le plaisir est au rendez-vous.
Je suis d’ailleurs restée trois semaines sans venir voir mes amants qui malgré mes remerciements regrettaient d’y être allé un peu fort. Je leur ai dit que j’espérais que l’on pourrait remettre ça, mais pas tout de suite, et que je comptais sur eux pour que ce soit aussi bien voire encore meilleur. Et pourquoi pas le mois prochain quand Serge sera revenu du Cameroun.
Cette histoire est totalement vécue, et je remercie celui qui en a donné l’idée à mes amants.
A suivre ...
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