Texte de Dom Star
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La surprise du chef.
Mon patron avait tenu sa promesse pour une invitation à un diner intime. Il souhaitait provoquer une réaction de sa femme. Il aurait souhaité la voir se libérer et donner libre cours à tous ses fantasmes.
Pour cela je m’étais procuré un punch planteur martiniquais d’une grand douceur mais redoutable par ses effets euphorisants. Tout le monde connaît bien ses effets. J’avais l’intention de servir notre hôtesse plus de raison. Mais je me gardai bien d’en avertir mon patron.
Pour cette soirée, je tenais à ce que ma femme soit nue sous sa robe. Je savais que mon patron serait ravi de cette initiative. Je demandai à ma femme d’être très attentive à notre hôtesse.
Nous arrivâmes vers les 8 heures du soir. Je fus agréablement surpris par notre hôtesse. C’était une belle femme mature d’environ 40 ans, bien en forme avec une superbe poitrine bien mise en valeur dans un chemisier blanc légèrement transparent. Elle portait une jupe plissée très classique juste au dessus du genou.
Nous prîmes notre apéritif, et je constatai avec plaisir que mon patron s’était assis face à ma femme. Celle-ci en profitait pour jouer avec ses jambes, les croisant, décroisant, légèrement écartées. Le regard de mon patron avait du mal à quitter l’entrejambe de ma femme. Quant à moi je discutai avec notre hôtesse des banalités quotidiennes tout en veillant à ce que son verre soit toujours rempli.
Profitant de l’actualité, je lançai la conversation sur le droit à la fessée pour les enfants. Chacun donna son avis et le débat commença à bien prendre, l’alcool aidant. Lentement j’orientai le débat vers la fessée en générale et surtout comme source de plaisir. Notre hôtesse déclara alors qu’elle n’avait jamais été fessée. Mon épouse lui déclara alors tout de go :
- Quel dommage, pour moi c’est une source de grand plaisir de sentir des mains d’homme frapper mes fesses. La limite entre la douleur et le plaisir est bien mince.
Mon patron en profita pour remplir nos verres et je vis bien que notre hôtesse avait bien du mal à rester cohérente. Ma femme jouait avec le feu en racontant sa dernière fessée avec force détails. Je vis mon patron devenir cramoisi, certainement la peur d’être annoncé comme spectateur.
Nous passâmes à table et effectivement le repas serait intime, la table était minuscule. Nous étions vraiment très proches l’un de l’autre. Mon patron assis à coté de ma femme et en face j’étais contre mon hôtesse. Celle-ci annonça qu’elle ne comprenait pas pourquoi son époux avait insisté pour diner sur cette table où nous étions serrés comme des sardines en boîte.
Dés le début du repas je remarquai que la main gauche de mon patron passait souvent sous la table. Je fis tomber ma serviette et je vis les jambes de ma femme écartées et une main qui lui caressait le sexe. Je tentais alors de faire du genou à ma voisine. Au premier contact, je sentis sa jambe fuir. Au deuxième, sa jambe resta contre la mienne. Certainement l’effet de du punch qui commençait .
Le repas se déroulait bien et le champagne excellent ne cessait de remplir nos verres. Je glissai ma main sur la jambe de ma voisine, je sentis un raidissement soudain des muscles sous le tissu du bas, mais je continuai ma caresse très douce. Mon patron relança alors le débat de la fessée. Il expliqua que certains actes méritaient vraiment une correction et que c’était le seul moyen de punir le ou la coupable d’un acte délictueux. Ma main progressa vers le haut et je remarquai avec plaisir qu’elle ne portait pas de collant, car je venais de sentir sa peau sous mes doigts. Je la regardai et je vis bien qu’elle commençait à rosir. J’atteignis sa culotte et j’essayai de glisser un doigt vers sa chatte. Elle eut alors un fort mouvement de recul et renversa son verre.
- Ma chère, que vous arrive-t-il ? Demanda alors mon patron.
- Rien, rien un sursaut stupide et peut-être trop d’alcool ! répondit notre hôtesse.
- Je vais vous expliquer. lançai-je.
Mon hôtesse posa sa main sur mon bras certainement pour m’avertir qu’elle ne voulait pas que je donne la vraie raison.
- Votre femme se laissait caresser la jambe et quand je voulus toucher son sexe elle a eu ce recul brutal ! Annonçai-je crument.
A ces mots mon patron se leva et visiblement joua très bien la comédie du mari bafoué. Après avoir sorti quelques propos peu amènes sur les femmes, il déclara qu’une punition immédiate était nécessaire.
Ma femme se leva et prit les mains de notre hôtesse dans ses mains et cria, presque hystérique :
- Une fessée une fessée…
Elle attira notre hôtesse vers le centre de la table. Notre hôtesse était au bord des larmes et n’arrêtait pas de me rejeter la faute de ce sursaut. Mon patron se leva, passa derrière sa femme, l’obligea à se lever et à se pencher sur la table. La tête de notre hôtesse fut alors à quelques centimètres du visage de ma femme. Mon patron souleva sa jupe et la tint levée.
- Mon ami, vous me mettez dans une position honteuse !
Elle commença à pleurer. Ma femme, doucement lui embrassa le visage avec une grande douceur en lui répétant que ce n’était pas grand-chose, une petite fessée. Mon patron déclara alors :
- A vous de jouer mon petit, je vous dois bien cela !
Je contemplai ce fessier avec ses deux fesses bien rondes cachées par une très jolie culotte en soie. Doucement je fis glisser la culotte vers le bas.
- Mon dieu, quelle honte, vous laissez un homme me déshabiller, quel mari êtes vous donc ? murmura notre hôtesse.
A la première claque sur ses fesses nous entendîmes un sanglot. Ma femme prit alors l’initiative de l’embrasser doucement sur les lèvres. Sans aucune réaction, notre hôtesse continuait à sangloter. Les baisers de ma femme, sur les yeux, les joues, les lèvres se firent plus insistant. A la deuxième de mes claques, nous eûmes la surprise de voir notre hôtesse répondre aux baisers de ma femme. Elle, aussi, se mit à l’embrasser doucement sur les joues, sur les yeux, puis doucement sur les lèvres. Quel beau tableau que ces deux femmes, qui se tenaient les mains, courbées au dessus d’une table. L’une avec une jupe relevée sur le dos et une culotte à mi-jambe et l’autre cambrée avec ses jambes bien écartées.
Je cessai de donner la fessée et laissai les femmes s’embrasser. Les baisers devinrent de vrais patins. Ma femme fit le tour de la table, sans lâcher les mains de notre hôtesse. Elles se retrouvèrent debout, leurs lèvres soudées. Visiblement elles nous avaient oubliés. Ma femme lâcha une main et se mit à caresser le dos de notre hôtesse en descendant doucement vers ses fesses. Bientôt elle posa sa main sur une fesse et la massa lentement. Notre hôtesse fit de même sur la poitrine de ma femme. Elle caressa un sein presque tendrement. Ma femme, alors se sépara de notre hôtesse et enleva sa robe. Elle apparut nue sur ses hauts talons. Ensuite elle entreprit de déshabiller notre hôtesse. Mon patron était statique et muet devant ce show.
Doucement ma femme déboutonna le chemisier en laissant de petits baisers sur la gorge de notre hôtesse. Elle découvrit un soutien-gorge avec ouverture sur le devant. Quant la fermeture lâcha, deux beaux seins apparurent. Ma femme doucement prit un téton dans sa bouche et le suça goulument. A notre surprise, notre hôtesse glissa sa main vers le sexe de ma femme. Pour lui faciliter le travail, elle écarta bien ses jambes et bientôt on devina bien que quelques doigts s’étaient glissés dans sa chatte. Je sentis bien que mon patron voulait intervenir, mais je l’en empêchai.
Nous nous asseyâmes pour regarder ce spectacle. Ma femme entraina notre hôtesse vers un canapé. Elle finit de déshabiller sa partenaire. Notre hôtesse poussa ma femme sur le canapé et se mit à l’embrasser sur tout le corps. Bientôt on vit sa bouche collée au sexe de ma femme. Elle lui glissa ensuite deux doigts dans la chatte pendant que sa langue léchait le clitoris bien dressé de ma femme.
- Je ne connaissais pas ces talents à ma femme, cela doit être un souvenir du pensionnat de bonnes sœurs ! déclarait mon patron.
Et visiblement ces talents le faisaient bander. Je voyais bien qu’il avait du mal à se contenir. Je lui demandai alors de se déshabiller et d’aller aider sa femme à s’occuper de la mienne. Je vis alors mon patron caresser presque amoureusement les seins de ma femme. C’était presque ridicule de le voir nu et bien bedonnant avec ces 2 femmes. Ma femme lui caressa le sexe et de temps à autre lui pressait les couilles.
Au bout d’un moment elle l’attira dans sa bouche. Notre hôtesse continuait à s’occuper de sa chatte.
Je ne pouvais plus rester spectateur. Le cul de notre mature m’attirait trop. Je me déshabillai et m’approchai derrière notre hôtesse. Elle était accroupie sur le canapé, les fesses vers le haut. Je lui caressai son fessier et doucement je m’approchai de son sexe. Oh qu’il était mouillé. Une vraie fontaine, dans laquelle je n’eus aucun mal à glisser trois doigts. Elle accueilla cette gâterie visiblement avec plaisir. Mais je la laissai pour rejoindre ma femme.
D’autorité je lui mis mon sexe dans la bouche et invitai mon patron à me rejoindre. Quel plaisir de voir ma femme sucer alternativement un sexe puis l’autre. Ses tentatives de nous prendre à deux restèrent vaines. Très vite nous jouîmes sur son visage. Elle était couverte de sperme bien épais. Je passai ma main sur ce foutre, et je la tendis à notre hôtesse. Elle ouvra bien grande sa bouche et je lui enfournai 3 doigts chargés de sperme. Elle me suça les doigts avec un intérêt réel. Ce spectacle faisait rebander mon patron.
- Chéri, mets-toi à 4 pattes et offres ton cul à mon patron ! ordonnai-je.
Elle obéit et telle une petite chienne remua son cul devant le sexe de mon patron. Visiblement, il choisit de l’enculer lentement. A ce moment notre hôtesse cria :
- Moi aussi je veux une queue, une queue dans ma chatte…
Je lui montrai mon sexe en piteux état pour une pénétration. Alors elle prit la bouteille de champagne qui trainait sur la table et me dit :
- Cela doit pouvoir me satisfaire.
Je lui enfonçai alors doucement la bouteille dans la chatte. Elle était là à 4 pattes avec une bouteille dans le sexe et ne ménageait pas ces encouragements pour que je la fasse jouir. Devant ce spectacle, nous entendîmes un grand "han" annonçant la jouissance de mon patron.
Il se retira de ma femme rapidement, du sperme coulait encore de son sexe. Je demandai à ma femme de nous montrer son cul. Alors elle se tourna et nous présenta son cul, les fesses bien ouvertes. On vit son anus dilaté d’où suintait une belle quantité de sperme. Je poussai la tête de notre hôtesse vers ce beau cul. Notre hôtesse après un instant d’hésitation se mit à lécher la raie de ma femme. On voyait sa langue nettoyer chaque petite goutte que laissait échapper l’anus. Elle glissa même sa langue dans l’anus de ma femme. Ma femme apprécia fortement ce petit lavement. On voyait ses doigts caresser son clitoris vigoureusement.
A ce spectacle mon sexe banda fortement et je retirai brutalement la bouteille et je pénétrai fortement notre hôtesse. Mon patron lui aussi avait repris des forces et je le vis glisser son sexe dans la bouche de ma femme. Nous formions une bien belle chenille. A mon grand étonnement je vis notre hôtesse prendre la bouteille de champagne et la diriger vers le cul de ma femme. J’arrêtai mon va et vient pour mieux observer. Elle avait longuement léché le petit trou de ma femme, il était donc lubrifié par sa salive et le sperme de son mari. Le goulot pénétra très vite, les premiers centimètres aussi. Mais après je vis bien qu’elle poussait fort pour faire entrer la bouteille. Je vis l’anus de ma femme se dilater.
Elle abandonna sa succion pour exprimer son désaccord. Je vis alors mon patron se saisir des épaules de ma femme pour l’empêcher de bouger. Sa femme retira un peu la bouteille puis la repoussa un peu plus loin. Je vis que le corps de la bouteille n’était plus très loin de pénétrer ma femme. Ses cris oscillaient entre la douleur et le plaisir. Mon patron encouragea sa femme en lui criant qu’elle l’excitait et c’est vrai que son sexe avait l’air très tendu. La vision de ma femme le cul écartelé par une bouteille n’était pas pour me déplaire. Notre hôtesse continua ses lents va et vient, poussant toujours un peu plus loin sa bouteille. Ma femme haleta et je vis que sa chatte humide coulait, elle prenait son pied, la garce !!! Je redoublai d’effort pour bourrer la femme du patron, et à grand coups de queue je tapai mes couilles contre ses fesses.
- Oui, elle est bonne cette queue, plus longue que celle de mon mari, elle me fait du bien, aaaahhh c’est bon, je vais jouir, vous entendez mon cher, je vais jouir d’un autre homme ! voila ce qu’elle hurlait presque.
Je lâchai tout mon sperme au fond de sa chatte, elle poussa de petits cris et son mari se masturbait comme un fou en nous regardant. Ma femme aussi poussait son cul vers la bouteille et hurlait à son tour sa jouissance. Mon patron explosa de foutre, il nous arrosa de jets puissants. Il fallut quelques instants pour que cette tension retombe. Ma femme était allongée, une bouteille de champagne dans le cul, notre hôtesse était littéralement anéantie, son cul lui aussi en l’air, les hommes avaient le sexe en berne.
- J’ai le cul en feu ! ne cessait de murmurer ma femme.
Je m’approchai alors d’elle et lui demandai :
- Cette punition était-elle bonne ?
- Oui mon amour, oh oui ! répondit-elle.
Par pure malice j’appuyai encore un peu sur la bouteille, juste pour bien voir son anus dilaté à l’extrême. Je pensais qu’il en avait fallu pas mal de grosses bites dans son cul pour accepter un tel engin…
La soirée se termina sur ces entre-fesses…
Le lendemain, la journée au boulot fut surtout utilisée pour récupérer de la veille. Mon patron était passé me féliciter pour cet excellent repas. Mais ma surprise arriva plus tard. Sur le coup de 16 heures je reçus un appel de la femme de mon patron. J’eus un sentiment d’angoisse car je me souvenais de son état d’ébriété…
- Mon cher, hier soir fut une révélation ! Je n’avais point connu autant de plaisirs depuis mes années d’internat au lycée de jeunes filles. Alors au risque de vous surprendre j’aimerai vous revoir. J’ai téléphoné avant à votre femme, et elle m’a raconté dans quelle situation vous vous amusiez à la placer. Je sais que je suis une femme mature, mais j’ai grande envie de combler quelques lacunes. M’accepteriez-vous comme deuxième esclave ? »
Je vous laisse deviner ma réponse…
A suivre...
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