Texte de Verovidecouilles
Une surprise pour la belle-mère.
Le lendemain, mon mari était absent, car il avait été invité à assister un grand prix de formule 1 qui se déroulait à l’étranger. Guy m’avait proposé de l’accompagner, bien sûr, mais ayant tout de suite réalisé que c’était là une belle occasion pour me gorger du foutre de son fils durant tout un week-end, j’avais décliné poliment en essayant de cacher ma joie du mieux que je pouvais (heureusement que Guy n’avait pas, comme son fils, pour habitude de mettre sa main dans ma culotte à tout moment, sans quoi ma chatte de salope m’aurait trahie : elle était trempée !). Guy ne rentrerait donc que dans la soirée de dimanche. Puisque j’avais refusé, Guy avait invité Rémy. Mais les deux nuits à l’hôtel étaient réservées pour une chambre double, et vu que j’ai passé le week-end à faire la pute pour Rémy, j’imagine que celui-ci a dû de son côté préférer la perspective de dormir dans le lit de son père plutôt qu’avec son père…
Guy m’avait annoncé la bonne nouvelle en début de semaine et j’y ai pensé pendant tout le reste. Ce fameux vendredi soir donc — celui où j’ai perdu mon pucelage anal — j’avais tout préparé pour profiter au maximum du temps dont je disposais. En rentrant du travail, je me suis vite déshabillée pour revêtir la tenue que j’avais prévue. Assez succincte, à vrai dire: un caraco noir en dentelle totalement transparent ainsi que des bas à coutures, noirs également, tenus par un porte-jarretelles très mince de couleur identique. Mon maquillage était très appuyé, notamment j’avais mis un rouge à lèvres rouge vif: je voulais que mon « récipient à sperme » soit bien apprêté pour quand Rémy viendrait s’y soulager et qu’il voit bien mes lèvres s’activer autour de sa queue. En y pensant, je salivais d’avance ! Des mules à très hauts talons complétaient ma tenue. J’avais négligé de mettre une culotte et je faisais très chienne.
Quand Rémy est rentré à la maison, il m’a trouvé dans cette tenue. Je me suis aussitôt agenouillée pour dorloter sa bite et ses couilles avec ma langue. Il a bandé très rapidement. Tout en léchouillant ses bourses, j’ai demandé si je pouvais les lui vider. Il a accepté et il m’a rapidement inondé la bouche de son sperme, ce qui m’a fait piailler de bonheur et de reconnaissance. J’ai tété son gland jusqu’à ce qu’il me retire ma sucette, puis il s’est mis en peignoir, sans rien en dessous. Ça m’a émoustillée et je me suis assise sur le fauteuil pour tripoter ma vulve humide, les jambes bien écartées, posées sur les accoudoirs. Il est venu à côté de moi et il a introduit ses doigts dans ma chatte et dans mon cul. Je suintais de désir. Tout en fouillant mes orifices, Rémy a murmuré :
- Ce que tu m’excites, petite traînée ! Le pied que je vais prendre quand je vais gicler dans tes trous de pute…
Je lui ai souri amoureusement. Oh Oui ! Avoir le vagin bien rempli par sa bite. A cette pensée, je le sentais qui bâillait d’envie. Et puis accueillir Rémy dans mon cul et le laisser y répandre son foutre, c’était le cadeau que je mourrai d’envie de lui faire.
- Oui mon amour, je suis ta pute…
J’ai vu sa bite à nouveau gonflée sortir de son peignoir et je me suis immédiatement penchée pour la pomper avec avidité. Rémy s’est écrié :
- Encore ? Tu es vraiment insatiable! J’ai envie de te baiser, moi !
- Pardonne-moi mon chéri… C’est que j’aime trop ton sperme…
- Si c’est du foutre à avaler qu’il te faut pour que je puisse te décharger dans la chatte, tu vas en avoir !
Rémy a pris son téléphone portable. J’étais curieuse de savoir ce qui allait se passer, mais pas au point d’interrompre la pipe gloutonne que je faisais à mon amant ! Quelqu’un a décroché à l’autre bout et Rémy a dit :
- Salut, Pierre ! Je ne te dérange pas ?
Silence.
- Parfait ! Dis-moi, je t’appelle au sujet de ma belle-mère… je t’en ai parlé, tu sais, la bouffeuse de sperme… oui… eh bien je ne m’en sors plus ! Elle est tellement salope qu’elle passe son temps à me traire du matin au soir ! En ce moment elle essaie de se bâfrer de mon jus pour la deuxième fois de la soirée, alors que ça ne fait même pas une heure qu’on est ensemble. Pas moyen de lui remplir la chatte et le cul tellement elle est gourmande.
Silence.
- Évidemment qu’elle raffole du foutre ! Je te l’ai dit, je passe mon temps à juter dans la bouche de cette pute.
J’ai émis un gémissement sourd pour confirmer les dires de Rémy.
Cette conversation m’excitait, ça me plaisait que Rémy décrive à cet ami prénommé Pierre la putain que j’étais devenue et que j’étais heureuse d’être. J’ai calmé le rythme de mes succions pour mieux savourer, pour que Rémy n’éjacule pas trop tôt.
- Ça tombe bien ! T’as qu’à passer te les faire vidanger par ma pute.
Silence.
- Au contraire, cher ami ! C’est toi qui me rends service ! Je vais peut-être enfin pouvoir la baiser !
Silence.
- Comment ? Bien sûr que non que ça ne la dérange pas ! Tiens, pour te le prouver, c’est elle-même qui va te le demander.
Long silence.
J’ai arrêté de sucer. Rémy a ôté son sexe de mon gosier pour me tendre le téléphone. Je suis restée stupéfaite. Ça me sidérait qu’il puisse me demander un truc pareil ! Qui pouvait bien-être cet ami avec lequel Rémy venait de parler de moi en termes très crus et qu’il me demandait de convier pour une partie de jambes en l’air ? Un copain de fac sans doute… Néanmoins, j’avoue que l’idée de devenir le jouet de deux jeunes hommes le temps d’une soirée m’a séduite, d’autant que je me sentais très disposée à assouvir leurs moindres caprices. Et puis j’avais promis à Rémy que je serai bien gentille, je ne l’oubliais pas. Après quelques hésitations, j’ai fini par prendre le téléphone :
- Bonjour monsieur.
- Bonsoir petite pute ! Alors, il paraît qu’on a du mal à s’empêcher de sucer des bites? A dit doucement une voix grave.
- Oui, c’est dur de se retenir, j’aime trop ça… J'en veux toujours plus. Ai-je répondu sans réfléchir.
L’homme a ri.
- Tu vas être contente alors, ça fait trois jours que je n’ai pas joui et j’ai les couilles bien pleines, tu peux me croire. Ça te dirait que je vienne les essorer dans ta gueule ?
- Oh Oui! S’il vous plaît… Ai-je murmuré.
Mon esprit chavirait totalement. Je savais que Rémy voulait que je me montre très salope et j’essayais d’être à la hauteur. Mais dans le même temps, j’avais l’impression de ne plus m’appartenir, l’impression que celle qui parlait au téléphone avec cet inconnu était une autre. En fait, c’était ma vraie nature qui émergeait péniblement. J’ai repris en minaudant :
- Ce serait bien si vous pouviez venir, j’ai très envie de vous faire gicler avec ma bouche.
- D’accord, puisque tu insistes, je vais venir! T’embêtes pas pour l’adresse, je sais où t’habites. Par contre, pour que tu n’ouvres pas à n’importe qui, on va convenir d’un code, ok ? Je frapperai deux coups, puis trois coups, puis quatre coups. Compris ? Maintenant repasse-moi ton maître, petite chienne.
Rémy a repris le téléphone, son ami lui a dit quelque chose, il a ricané et a dit « à tout de suite » avant de raccrocher.
Je n’ai pas songé à reprendre ma fellation : je n’arrivais pas à imaginer que dans quelques minutes, un homme que je ne connaissais pas allait venir chez moi pour profiter de mes charmes, parmi lesquels figuraient mes talents buccaux. Ça me paraissait incroyable ! Le pire, c'est que je souhaitais vraiment que ce Pierre vienne me faire subir les derniers outrages ! En quelques semaines, Rémy avait fait de moi une nymphomane qui, sur simple demande, acceptait de se livrer au premier venu. Mon cœur avait beau battre la chamade, je n’envisageais pas une seule seconde de refuser de me plier à tout ce que mes mâles pourraient exiger de moi, à commencer par les sucer autant qu’ils le désireraient, bien sûr.
Durant le petit quart d’heure qui s’est écoulé avant que son copain n’arrive, Rémy a réajusté son peignoir et s’est installé dans son fauteuil préféré. Je suis restée assise au milieu du salon, perdue dans mes pensées, mais je voyais bien aussi que Rémy m’observait avec une curiosité amusée. Soudain, au milieu du silence : toc, toc… toc, toc, toc… toc, toc, toc, toc…
- Tâche de ne pas me décevoir… M’a glissé Rémy tandis que je me relevais pour aller ouvrir à son invité.
Habillée comme une putain, je me suis approchée de la porte, j’ai respiré un grand coup et j’ai ouvert. J’ai cru m’évanouir tellement le choc a été violent ! Sur le pas de la porte, l’œil narquois, se tenait Pierre D***, 46 ans, le directeur de l’hôpital de M***, mon patron !! Voilà pourquoi la voix au téléphone m’avait paru si familière ! La tête me tournait en repensant à ce que je lui avais dit quelques minutes auparavant. Et que dire de la tenue dans laquelle je lui avais ouvert la porte.
Sans faire de manière, mon patron s’est avancé vers moi et a plaqué sa main contre ma chatte :
- Surprise de me voir, ma chère ? Faut pas… Rémy m’a raconté quelle salope tu étais, et d’après ce que j’ai pu entendre lors de notre petite conversation téléphonique, il a dit vrai. Pas la peine de faire ta mijaurée, ça fait longtemps que j’ai envie de te faire goûter ma bite, et c’est pour ce soir, crois-moi !
Pierre m’a palpé la chatte, le cul et les seins pendant quelques instants, puis il est entré dans le salon où l’attendait Rémy. Après l’avoir salué, il lui a offert un verre puis il m’a ordonné de m’asseoir sur le canapé, les jambes bien ouvertes. J’ai obéi, mais je m’inquiétais pour la suite. Comment ces deux-là avaient-ils fait pour se rencontrer ? (J’ai eu la réponse le lendemain: Rémy a tout simplement attendu un soir que je quitte mon travail pour aller voir mon patron. Il a prétendu que c’était une affaire urgente au sujet de sa secrétaire, et Pierre l’a reçu. Là, Rémy a raconté en détail sa vie avec sa nouvelle putain et il lui a proposé — en toute simplicité — d’en profiter. « Inutile de te dire qu’il a accepté avec joie! » m’avait précisé Rémy en me racontant l’histoire)
Pour l’heure, Rémy et Pierre sont venus se placer face à moi. Ils ont commencé à tenir des propos salaces, me traitant de salope et de pute, m’annonçant qu’ils allaient me baiser par tous les trous et que j’avais tout intérêt à me montrer bien mignonne. Chacune de leurs paroles m’électrisait l’esprit et me procurait dans le bas-ventre des ondes de chaleur qui me rendaient lascive. Puis ils ont commenté mon corps, en tout cas mes seins, mes fesses et ma vulve qui, je le sentais, débordait de ma liqueur. Pierre l’a remarqué :
- On dirait qu’elle mouille, ta chienne !
- En permanence ! A répondu Rémy joyeusement.
- Regarde ! les poils autour de son vagin sont trempés… Quelle pute ! a insisté Pierre.
Sur ce, Rémy m’a ordonné de me caresser la chatte. Je le faisais régulièrement devant lui, mais devant lui tout seul ! La présence de mon patron m’a fait un peu hésiter, mais je savais qu’en tripotant ma moule juteuse, j’allais les stimuler et qu’ainsi ils me rempliraient l’estomac de leur foutre. Pendant que je me branlais, j’ai pensé que dès lundi la vie au bureau ne serait sans doute plus la même, car je savais bien que Pierre n’en resterait pas à cette soirée : il m’avait sous la main 8 heures par jour et 5 jours par semaine…
Ça m’a excité et j’ai senti l’orgasme arriver. A ce moment-là, Rémy m’a dit d’arrêter. Avec Pierre, ils se sont approchés du canapé. Rémy s’est assis à ma droite, Pierre à ma gauche. Ils m’ont peloté les seins, le ventre, la chatte, le cul, les jambes. Les quatre mains qui me parcouraient comme si j’étais une poupée de chair me faisaient ronronner de plaisir. Leurs doigts ont ensuite investi mes orifices. Lorsque Pierre m’a enfoncé le majeur dans l’anus, j’ai ouvert en grand mes jambes que j’ai posées sur leurs genoux, en bonne salope avide de pénétrations en tout genre que j’étais déjà. Ils ont mis chacun deux doigts dans ma chatte puis ils ont tiré doucement chacun de leur côté pour me l’élargir et pouvoir, selon Rémy, « mieux explorer le fond de mon vagin de pute ».
- Elle est encore étroite pour son âge ! Tu la baises souvent ? A demandé Pierre.
- Jamais ! Je ne peux pas, elle me fait toujours juter dans sa bouche avant ! Impossible de la tringler tellement elle me pompe le nœud.
Ils ont éclaté d’un rire gras.
- Et tu l’encules ?
- Pas plus, et pour les mêmes raisons. Elle est vierge de ce côté-là. Mais avec ton aide, ce ne sera plus le cas encore très longtemps.
Rémy et Pierre ont encore ri, puis ils ont continué patiemment à explorer mes orifices avec leurs doigts. Bien vite, j’en ai eu deux dans le cul. Hummm ! Les mots manquent pour décrire à quel point ça me faisait mouiller qu’ils me traitent comme un morceau de viande, comme une bête d’étal. Je me sentais ouverte de la chatte et du cul comme jamais auparavant. Rémy a poursuivi ses explications :
- Mais t’inquiète pas ! Que ces deux autres trous soient provisoirement délaissés, ça lui plaît à cette salope. Elle adore bouffer ma queue. Hein, salope, t’aimes ça me vider les couilles ?
Mon excitation était telle que j’ai définitivement perdue toute retenue. J’ai réclamé en criant :
- Oh oui, je vous en prie ! Donnez-moi vos bites à sucer !
Pierre m’a dit sournoisement :
- Attention Véronique ! Si tu me suces, tu sais que je vais te gicler mon sperme en pleine gueule et que tu vas devoir tout avaler... Or, je te l’ai dit tout à l’heure, j’ai les couilles vraiment pleines. C’est ça que tu veux ?
- Oui ! Oui ! Venez vous vider dans ma bouche ! J’avalerai tout, je le promets !
Rémy a semblé ravi de ma docilité.
- Une vraie serpillière à foutre. A-t-il commenté.
- Oui Rémy, je raffole du sperme, je voudrais en avaler des litres, tu sais… Vous allez m’en donner plein, hein ? Vous allez bien me remplir de jus…
Ils n’avaient pas cessé de me doigter la chatte et le cul pendant que je parlais et j’ai eu mon premier orgasme de la soirée.
Pierre s’est levé en disant :
- Ta pute me fait bander comme un taureau. Je peux me soulager dans sa bouche ?
- Mais je t’en prie… t’as entendu, salope ? Va le sucer !
Je me suis mise à genoux et Rémy est resté derrière moi, assis sur le canapé. Pierre s’est déshabillé en un temps record pour faire apparaître une belle bite bien gonflée. Elle était beaucoup moins épaisse que celle Rémy, mais incontestablement plus longue. Une belle tige appétissante, en tout cas ! Comme Rémy me l’avait appris, je me suis avancée pour lui lécher ses couilles poilues.
- Pas si vite ! M’a dit Pierre.
Qu’est-ce qui n’allait pas encore ? Quel caprice voulait-il m’imposer, celui-ci ? Je n’ai pas tardé à le savoir. Avant que je puisse le toucher, j’ai dû renifler sa bite et ses couilles. Une forte odeur a envahi mes narines. Ça sentait la sueur, l’urine et le sperme séché. Il fallait vraiment avoir faim pour sucer une bite pareille. Bien sûr, c’était mon cas et je trépignais d’impatience. J’avais envie d’avoir sa bite dans la bouche, moi !
Pendant quelques minutes, j’ai dû humer les moindres recoins de son sexe négligé. Puis il m’a fait bouffer ses couilles et lécher son gland au goût âcre qu’il a fini par enfourner dans ma gorge. Je dis bien dans ma gorge ! Je n’avais pas l’habitude (pas encore…) car avec Rémy cette pratique était impossible. Mais avec Pierre, les choses étaient différentes : plus fine, sa queue pouvait pénétrer plus loin. En l’occurrence, j’avais littéralement son gland au milieu de la gorge, bien au-delà de la luette. En me maintenant la tête, il s’est enfoncé encore un peu plus loin et mon nez est venu toucher les poils de son pubis. J’étouffais et je me suis débattue. En appuyant vivement sur le ventre de Pierre, j’ai réussi à me dégager pour reprendre mon souffle. J’ai senti Rémy se lever dans mon dos. Il m’a brusquement saisi les poignets sans dire un mot et me les a attachés avec la ceinture de son peignoir.
- Une pute doit savoir sucer une queue bien à fond. Parfois, les hommes aiment éjaculer directement dans l’estomac de leur suceuse. Pierre va t’apprendre…
- Avec joie… A conclu ce dernier.
Sans que désormais je puisse me défendre, Pierre a de nouveau introduit sa bite au fond de mon gosier.
- Nettoie-moi bien la queue, sale chienne ! Voilà, comme ça… Bordel ! T’as vu ça Rémy? Je ne l’ai pas lavée depuis plusieurs jours, mais ça ne l’empêche pas de me la bouffer jusqu’aux couilles.
Mon instinct de suceuse m’avait tout de suite indiqué comment ouvrir ma gorge pour laisser passer la queue de Pierre et j’étais fière de montrer que maintenant elle coulissait plus facilement dans mon gosier. Ma « leçon » a duré de longues minutes. A certains moments, Pierre se branlait carrément dans ma gorge à un rythme effréné, puis il ralentissait et m’enfonçait sa verge le plus loin possible. Il ne me laissait respirer qu’après que mon nez soit venu buter contre son pubis. Pour me reposer il me laissait lui téter la pine, comme j’aime. J’avais de la bave qui coulait à profusion sur mon caraco et la mouille qui dégoulinait le long de mes cuisses finissait de me rendre toute glaireuse. Fidèle à mes nouvelles habitudes, j’ai couiné comme une chienne quand il m’a finalement remplie de sa délicieuse purée en maintenant sa queue bien enfoncée dans ma gorge. Pas besoin d’avaler, il m’a tout giclé directement dans l’œsophage. Et il n’avait pas menti au niveau de la quantité.
- Aaahh ! Je débande, mais elle tête encore ! Quelle merveilleuse putain ! Aucune femme ne m’avait jamais aussi bien sucé ! Y a encore des progrès à faire, mais ça va me changer de ma femme et des stagiaires. Dire que c’est ma secrétaire… Elle n’a pas fini d’en avaler, de mon foutre ! S’est exclamé Pierre.
« J’y compte bien! » me suis dis-je en moi-même, tout en espérant que la prochaine fois, il éjaculerait sur ma langue afin que je puisse savourer sa semence. J’ai pensé qu’à présent ça allait être au tour de Rémy de venir se soulager dans ma bouche, mais il s’est simplement contenté de me délier les mains et de m’ordonner de me mettre en levrette. J’ai posé mes avant-bras sur le sol et j’ai tendu ma croupe pour bien faire saillir ma fente. Je devais faire très chienne, car Pierre reprenait déjà de la vigueur. Rémy a dit :
- Maintenant que t’as eu ta ration de foutre, je vais te baiser, petite garce !
Rémy s’est mis derrière moi, il a placé son gland sur l’entrée béante de mon vagin de pute (désolée si ce mot revient souvent dans mon vocabulaire, mais c’est ce que je suis) et il s’est enfoncé en moi lentement, centimètre par centimètre. Contrairement à ce que je croyais, ma chatte n’a eu aucun mal à accueillir sa queue épaisse. Elle était aux dimensions exactes de sa queue, elle formait un fourreau parfait pour la bite de mon amant, et j’ai soupiré d’aise. Quand ses couilles ont touché mon clitoris, j’ai su qu’il était bien au fond et j’ai crié :
- Ouuii ! Vas-y maintenant, ramone-moi la chatte avec ta grosse bite ! Baise ta femelle comme elle le mérite.
Rémy a commencé par me limer doucement. Sa bite frottait bien contre mes muqueuses vaginales et c’était exquis. Que c’était bon d’avoir une bite dans le ventre, surtout depuis tout ce temps (en effet, Rémy ne m’ayant rien dit à ce sujet, dans le doute, je ne baisais plus avec Guy, et je le suçais encore moins : j’avais trop peur de ne pas pouvoir m’arrêter à temps).
- Ouaahh ! Salope ! Tu pompes aussi bien avec ta chatte qu’avec ta bouche, à ce que je vois !
C’était vrai ! Je sentais ma moule se contracter autour de son membre comme pour l’aspirer bien au fond. Rémy s’est mis à me pilonner un peu plus fort en me tenant par la taille. J’ai senti l’orgasme monter dans mes reins.
- Salope ! Ce que c'est bon de te baiser… Je crois que je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps… Ça y est, je vais te gicler dedans… Ouuuhh ! Tiens ! Prends ça dans ta chatte de pute…
Il s’est enfoncé en moi au maximum, son gland a buté contre mon utérus. J’ai senti les palpitations de sa queue contre les parois distendues de mon vagin et son foutre brûlant s’est déversé au fond de mon trou. J’ai hurlé de bonheur avec l’impression de m’évanouir. Rémy est resté à l’intérieur de moi le temps de se vider complètement les couilles. Pendant ce temps il a déclaré à Pierre :
- Putain ! Sa chatte est une vraie trayeuse à sperme ! Je te la conseille !
(J’ouvre ici une parenthèse pour vous dire que c’est le surnom de ma chatte : trayeuse à sperme. Au vu des centaines d’éjaculations que mon vagin a recueilli depuis, je trouve que ça lui va assez bien. Vous connaissiez déjà le surnom de ma bouche — récipient à sperme — et j’aurais très bientôt l’occasion de vous dire quel est celui de mon cul…).
J’ai senti Rémy presser sa queue pour faire sortir les dernières gouttes de sperme dans mon ventre. Il s’est ensuite retiré et un courant d’air frais est entré dans mon vagin qui était resté béant après le passage de Rémy. Un peu de sperme s’en est échappé et a coulé sur le sol.
- Ramasse, traînée !
Huuumm ! J’aime quand il me parle comme ça ! Je me suis exécutée avec plaisir sous le regard des deux hommes. Toujours à quatre pattes et le cul bien relevé comme une chienne en chaleur, j’ai lapé les gouttes de sperme répandues sur le tapis. Après, j’ai mis à plusieurs reprises deux doigts dans mon vagin pour récupérer le plus de foutre possible. J’adore être une salope. En tout cas, le spectacle a dû plaire à mon patron car sa bite était de nouveau tendue à bloc. Assis sur le canapé, l’œil lubrique, il m’a demandé :
- Ça te fait mouiller d’exciter le mâle, hein ? Petite raclure à sperme ! Tu veux faire ta salope, eh bien je vais t’en donner l’occasion… Viens me sucer, et à quatre pattes !
Tandis que je m’avançais vers lui, Pierre a mis un préservatif sur le bout de sa queue.
- Mets-le-moi avec ta bouche. Avec ça, tu seras sûre de ne pas en perdre une goutte. Tu vois comme je suis gentil avec toi, petite pute ?
Rémy a applaudi l’idée. Je la trouvais pas mal non plus, sauf que je déteste l’odeur du caoutchouc. Mais je crois que je suis prête à tout si ça me permet d’ingurgiter du foutre ! La croupe toujours relevée, j’ai fait de mon mieux pour faire coulisser la capote le long de sa bite. Une fois en place, je me suis mise à la sucer. L’odeur du caoutchouc était encore plus écœurante que lorsqu’un peu plus tôt j’avais goûté à sa bite négligée (de toute façon, j’allais devoir m’y habituer car Monsieur le Directeur avait une certaine prédilection pour les jeux un peu cra-cra !). Je me suis cependant forcée à caresser avec mes amygdales son gland recouvert de caoutchouc du mieux que je pouvais (être une bonne putain, cela demande parfois des efforts).
Pendant ce temps, Rémy était venu se placer derrière moi pour jouer avec mes trous. Il s’est servi du mélange poisseux contenu dans mon vagin pour humecter mon anus, puis il a commencé par me pénétrer d’un doigt, puis de deux et enfin de trois. De temps en temps, il les retirait pour cracher dans mon cul ouvert. Ça y est, cette fois, je sentais que, après ma chatte, c’était au tour de mon petit cul de passer à la casserole. Rémy a confirmé :
- Je vais t’enculer, traînée ! Je suis sûr que tu es une très bonne anale.
Je me suis concentrée sur la queue que je suçais, pleine d’appréhensions mais excitée et curieuse quand même. Rémy m’a écarté les fesses et sans plus de précaution il a transpercé mon œillet encore vierge avec son gros gland. Heureusement que la bite de Pierre me bâillonnait, sans quoi j’aurais hurlé.
Mais le plus dur était fait. Rémy s’est enfoncé dans mon boyau qui a fini par accueillir sa bite toute entière. Il est resté quelques instants immobile afin de laisser mon sphincter s’habituer à sa présence, puis il a commencé à me fouiller les entrailles avec son pieu. Mon vagin de pute était crispé par l’orgasme qui s’annonçait déjà et je tortillais du cul comme une chienne.
C’était la première fois que je baisais avec deux hommes et la sensation était fabuleuse. Embrochée de part en part, j’avais l’impression d’être une poupée soumise à leur volonté, un simple objet de plaisir dont ils pouvaient disposer à leur guise. La queue de Rémy bougeant dans mon cul me faisait un bien fou et celle de Pierre m’empêchait de pousser des cris, de plaisir cette fois.
Pierre a fini par ouvrir les vannes. Il a bredouillé :
- Tiens, salope !
J’ai senti sur ma langue la capote se remplir de sperme chaud. J’ai dégluti sa queue et, fascinée, j’ai commencé à suçoter le paquet de sperme épais contenu dans le réservoir de la capote, j’ai joué avec en le faisant rouler avec ma langue contre mon palais, puis j’ai entrepris d’enlever la capote pendant que Rémy continuait de m’enculer (ce qui n’était pas très pratique !). Sans cesser de bourrer mon cul de salope, Rémy a dit :
- Non mais, elle se croit tout permis !
Il m’a claqué les fesses à plusieurs reprises. Pendant qu’il me donnait la fessée, il me questionnait :
- Tu crois sans doute que tout t’est dû, petite pute ? T’as perdu ta langue ? Tu ne peux pas demander poliment à Pierre de te donner son foutre, plutôt que de te ruer dessus comme une affamée ? Espèce de chienne mal élevée !
Voilà maintenant qu’il me réprimandait comme une gamine devant mon patron ! Si on m’avait dit un jour que cela me plairait je ne l’aurais pas cru, mais là, j’étais au comble de l’excitation. Rémy a arrêté de bouger.
- Allez ! Demande !
J’ai réfléchi un instant à ma phrase afin qu’elle soit la plus servile possible et j’ai levé les yeux vers Pierre :
- Est-ce que je peux nettoyer votre capote, s’il vous plaît monsieur ?
- Mais oui, tu peux, petite pute. Tu ne l’as pas volé. A-t-il répondu.
La queue de mon amant bien calée au fond de mon trou du cul, j’ai enlevé délicatement la capote de Pierre en faisant attention de ne rien renverser, et avec un peu de répugnance, je l’ai portée à ma bouche. Le sperme a coulé sur ma langue. Il avait un drôle de goût, mais il était encore tiède et j’ai tout avalé avec gourmandise. J’ai ensuite retourné la capote pour la lécher sous le regard silencieux des deux hommes.
- Elle a tout avalé ? A finalement demandé Rémy, toujours immobile dans mon cul.
- Bien sûr ! A confirmé Pierre.
Rémy a semblé très satisfait de ma prestation puisqu’il lui a suffi de quelques va-et-vient pour balancer sa purée au fond de mon cul. J’ai senti son sperme chaud se répandre dans mon intestin, je me suis un peu caressé le clito et j’ai joui avec une rare intensité. Rémy s’est retiré de mon cul et est venu s’asseoir à côté de Pierre. J’ai fixé mon enculeur dans les yeux, j'ai fait pénétrer mes doigts dans mon cul dilaté et je les ai portés à ma bouche pour recueillir son offrande. Rémy m’a traité de chienne affamée et de vicieuse puis il m’a dit :
- J’ai adoré t’enculer, mais ça n’a pas été facile : tu es serrée ! Pierre va donc se charger de t’élargir le cul et pour ça, il t’enculera tous les jours. Comme ça, quand tu rentreras du travail, je saurai que tu as la rondelle bien ouverte et je te déchargerai dans le cul à mon tour. Tu es d’accord ?
- Oui, mon amour…
- Tu verras, tu ne pourras bientôt plus t'en passer…
La suite des réjouissances s'annonçait bien. J’allais donc devoir me soumettre aux désirs d’un deuxième « éducateur » que je devinais aussi pervers que le premier. Je sentais que j’allais adorer et j’ai frémi de plaisir à cette idée, tout en recommençant à me toucher comme une collégienne. Rémy a préconisé à Pierre de ne pas hésiter à se servir aussi de ma chatte et de ma bouche et à faire de moi sa pute personnelle.
Ensuite, Pierre s’est rhabillé. Pendant qu’il reboutonnait sa chemise et refaisait son nœud de cravate, j’ai dû lécher son sexe encore poisseux. Lorsqu’il a enfilé son caleçon, c’est moi-même qui ai rangé sa bite et j’ai encore embrassé son sexe à travers le tissu avant qu’il ne remette son pantalon. Pierre a tapoté ma joue comme on l’aurait fait avec un animal (une chienne par exemple) et il m’a demandé de ne pas être en retard au bureau lundi, car il avait hâte de m’enfiler par tous les trous.
Finalement, il a salué Rémy et il est parti. Je n’y ai pas prêté attention, et pour cause,j’étais revenue m’installer confortablement entre les cuisses de Rémy. Sa queue avait été un peu souillée par mon cul et j’ai donc entrepris de la nettoyer comme je l’avais fait avec celle de Pierre. J’étais définitivement mâtée, je le savais, et je me suis bien appliquée. Je parcourais vicieusement de ma langue chaque repli de son sexe débandé, je tétais le gland, je suçotais délicatement le prépuce, je couvrais aussi chaque parcelle de ses couilles ridées de baisers plus tendres les uns que les autres et je me suis même surprise à leur chuchoter « mes petites chéries ».
La bite de Rémy a fini par regrossir sous l’effet de mes caresses buccales. J’en ai profité pour entraîner Rémy dans ma chambre. Là, il m’a baisée dans le lit conjugal jusqu’à ce qu’il me jute dans la chatte. Je me suis endormie dans les bras de mon amant vicieux, l’entrejambe englué par son sperme.
A suivre...
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