Récit de Fugazi.
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J'avais connu Emilie l'hiver passé sur les pistes de ski. Tout de suite ça a été le flash pour moi, tant elle était belle. Assez grande, de longs cheveux noir, des yeux gris vert, une magnifique poitrine et surtout, surtout, un cul mes amis, un cul à faire bander un mort !
Elle fut d'abord réticente à mes avances, car elle avait 21 ans et moi j'en tapais 10 de plus. Mais finalement, elle succomba et cela faisait maintenant 9 mois que nous sortions ensemble. Nous étions un couple heureux et beaucoup de mes amis m’enviaient, car ils fantasmaient tous sur Emilie.
De mon côté, j'étais également comblé, sauf peut-être pour une chose. Emilie était plutôt du genre vieux jeu au lit. Il fallait éteindre la lumière et pas question de positions fantasques. Elle avait été élevée par des parents très croyants, et pour elle, l'amour se résumait à la position du missionnaire.
C'est pas dur, je dus attendre près d'un mois avant d'arriver à la faire me sucer et je ne vous parle pas de sodomie. Plusieurs fois j'avais tâté le terrain en tentant d'y enfiler un doigt, mais Emilie s'y était toujours refusée. Bref, tout ça n'était pas bien grave, et je me disais qu'avec le temps elle changerait et se lâcherait un peu plus. Je l'espérais vivement, car moi j'étais plutôt du genre "pervers" et j'adorais faire des trucs osés.
Nous étions à la fin septembre et le week-end suivant c'était l'anniversaire de ma chérie. J'avais repéré sur internet le site d'une veille ferme transformée en un gîte rural avec chambres d'hôtes. Sans hésiter, j'avais téléphoné pour réserver et faire la surprise à Emilie. Au téléphone le patron me dit que ça tombait mal, car il pensait justement fermer à cette date et se rendre avec sa femme et sa fille chez ses beaux parents. Mais finalement, il me dit que les affaires sont les affaires et qu'il resterait seul pour nous recevoir.
Et c'est par une chaude journée que nous arrivâmes à ce petit coin de paradis. Mr.Planchaud, le propriétaire des lieux nous accueillit avec un grand sourire. C'était un homme de 55 ans mais on lui en donnait facilement dix de moins. De larges épaules, une chevelure frisée avec une petite queue de cheval et une tenue très décontractée.
Nous avons commencé par aller nous changer dans notre chambre. Emilie enfila sa petite jupe à fleurs qui la rendait encore plus sexy, puis nous sommes allaient rejoindre Planchaud sur la terrasse pour prendre l'apéritif. Il nous avait préparé un punch maison et Emilie, qui ne buvait quasiment jamais d'alcool, fût d'abord un peu réticente, mais je lui dis que nous étions là par nous amuser et elle accepta finalement de prendre un verre.
Tout de suite, le courant passa entre nous et le patron. Ce gars avait une culture extraordinaire et il n'arrêtait pas de parler littérature et histoire avec mon amie. Emilie ne remarqua même pas qu'il lui avait servi un autre verre. Tout en causant Planchaud nous dit qu'il serait plus simple de se tutoyer et nous tendit sa main en nous disant « maintenant c'est Serge ».
Ensuite, il nous invita à passer à table. Comme il était seul, je l'invitai à prendre son repas avec nous ce qui ravit Emilie. Le souper se passa dans une ambiance très joviale. Nous riions pour de rien, le vin coulait et tout le monde était d'excellente humeur.
A la fin du repas, Serge se leva pour débarrasser, Emilie, sans hésitation, voulu l'aider, mais en se levant, la tête lui tourna et elle nous dit en riant :
- Je crois que j'ai besoin d'un bon café !
Planchaud se marra et répondit :
- Si tu arrives à me porter les assiettes à la cuisine sans les casser, je te promets un bon café.
Et c'est ainsi qu'ils disparurent tout deux. Il s'écoula peut-être deux minutes lorsque j'entendis la voix de mon amie s'exclamer :
- Hé mais ça va pas !
Puis elle réapparut sur la terrasse avec un air choqué. Elle me fixa et dit :
-Tu te rends compte, il a passé sa main sous ma jupe et m’a touché le cul !
Et c'est là que je n'ai pas compris ma réaction. Au lieu de bondir à la cuisine pour demander des explications, je suis resté figé, la regardant sans dire un mot. Surprise de ma réaction, elle insista :
- Non, mais tu as entendu, il m’a mis la main au cul !
Oui j'avais entendu et ces paroles eurent pour effet de me faire légèrement bander. Je me levai, la pris par la taille, me penchai sur elle et dis à voix basse :
- Retourne à la cuisine !
Elle se recula un peu et parut complètement désemparée par ma réponse :
- Que… que je retourne à la cuisine ? Mais t'imagines ce qui va arriver ?
Je lui fis un sourire et insistai :
-Vas-y, fais-le pour moi.
Je lui passai une main dans le dos et la poussai légèrement dans la bonne direction. Elle s'éloigna gentiment, puis juste avant de pénétrer dans la cuisine stoppa et me regarda. Je fis un hochement positif de la tête et elle disparu.
Il s'écoula à peine deux à trois minutes avant que de petits gémissements me parviennent aux oreilles, et ces gémissements-là, je les connaissais par cœur :
- Bon sang ! Elle le fait ! Me dis-je.
A vrai dire, je n'y avais pas cru. Je m'étais attendu à la voir revenir en me traitant de pervers. Mais non elle était seule avec cet homme de 34 ans son aîné et je ne pouvais qu'imaginer ce qui se passait entre eux.
Soudain, j'aperçus un trou dans le mur qui séparait la cuisine du salon. Ce trou se trouvait en hauteur et devait certainement être fait pour recevoir un futur tuyau de ventilation. Doucement, je pris une chaise, montai dessus, et collai mon visage par l'ouverture et là… Bon sang quelle vision !
Emilie était assise sur la table, sa jupe relevée jusqu'au bas ventre, les jambes bien écartées avec sa petite culotte qui pendait à un de ses pieds. Quant à Planchaud, il avait sa tête enfouie entre les cuisses de mon amie, et lui bouffait sa chatte à grands coups de langue.
J'étais comme fou, ma bite durcit en une fraction de seconde, j'enfilai ma main dans mon short et commençai à me branler. De voir Emilie se faire lécher par un mec qui aurait pu être largement son père, m'excita tellement que je déchargeai presque instantanément. Rapidement, je descendis de mon poste d'observation, me nettoyai avec des serviettes et m'empressai de reprendre place. La position n'avait pas changé, ouf, je n'avais rien manqué du spectacle.
Emilie commençait à jouir de plus en plus fort. Planchaud, de son index droit lui branlait son petit clito tout en continuant à la bouffer, elle était en extase, la tête en arrière en laissant sortir de grands gémissements.
Quant à moi, devant de telles images, il ne me fallut pas longtemps pour bander à nouveau. Cette fois je baissai carrément mon froc, et me caressai énergiquement le sexe en ne perdant pas une miette de ce qui se passait devant moi.
Serge se leva, tira une chaise à lui, grimpa dessus, et sortit sa bite. Bon dieu quel engin ! Elle était dressée bien droite et devait mesurer dans les 25 cm ! Il passa sa main derrière la tête d'Emilie et lui dit :
-Allez, suce-moi à fond !
Sans rechigner, mon amie enfila ce sexe dans sa bouche et commença à lui faire une pipe de derrière les fagots. Et dire qu'à moi, il m'avait fallu des nuits entières pour arriver à ça !
Maintenant Serge enfilait lui-même sa queue bien au fond de la gorge d'Emilie. Tout en lui tenant la tête il envoyait de grands coups de reins amenant mon amie presque au bord de l'asphyxie :
- J'ai tout de suite vu que t'étais une vraie p'tite cochonne ! Allez, avale là complètement !
Emilie suçait aussi fort qu'elle le pouvait, la bite de Planchaud était maintenant entièrement dans la bouche de mon amie, Serge était aux anges :
- Oui, oui, comme ça ! T'es vraiment douée, j'vais te faire ta fête !
Il la prit sous les épaules, et la coucha sur la table :
- Passons aux choses sérieuses, j'vais te baiser comme tu le mérites !
Et sans plus attendre, d'un seul coup, il pénétra mon amie. Serge était plutôt du genre costaud, et envoyait d'immenses coups de queue au fond de la chatte d'Emilie qui ne retenait plus ses cris :
- Oooh !!! Ouiiiii ! Ouiiii ! C’est trop bon !
- C'est bon ça hein ! Dis-moi que c'est bon ! Dis-le moi que tu la sens bien ma grosse queue !
- Ouiiii! J'la sens bien ta grosse bite ! Enfonce-la moi plus profond !
Les coups de Serge s'accélérèrent de plus en plus. Il tenait mon amie plaquée à la table tout en continuant à lui matraquer sa chatte. Puis, d’un coup sec, il leva le petit top de mon amie, laissant apparaître ses deux jolis seins. Il commença par sucer les tétons qui s’étaient durcis, puis, continua en les mordillant légèrement. Il demanda :
-Sors-moi ta langue !
Emilie lui sortit sa langue que Serge enfila dans sa bouche en l’aspirant. Ensuite, il lui lécha le visage en disant :
- Bordel c'que t'es bonne ! J'vais te défoncer !
Moi, je continuai à me branler de plus en plus fort. Jamais je n'aurais osé imaginer un seul instant assister à un tel spectacle !
Serge se redressa sur ses genoux et lança :
-Fous-toi à quatre pattes !
Encore une fois, sans hésitation, Emilie lui obéit. A peine fut-elle en position, qu'il commença à la fesser assez violemment ce qui fit réagir mon amie :
- Ah ! Ouh ! Tu m' fais mal !
- Ta gueule ! J'sais que tu aimes ça ! Hein t'aime ça des claques sur ton p'tit cul ! Allez dis-le que tu aimes, dis-le !
- Ah ! Oui, j'aime ça ! Tu peux me fesser tant que tu veux !
Les fesses d'Emilie devenaient rouges sous les coups de Planchaud, mais il me semble que cela la faisait jouir encore plus.
-J' vais te refoutre ma queue ma salope ! T'en a pas encore assez pris !
- Fous-la-moi ! Oui prends-moi !
Et Serge lui planta à nouveau la bite dans sa fente. Il la tenait fermement par les hanches et ses couilles venaient taper les fesses de mon amie. Tout en la baisant, il lui crachait sa salive à l'entrée de son p'tit trou, puis lui dit :
-Aplatis-toi encore plus que je voie ton trou du cul !
A ces paroles, Emilie tenta de réagir:
- Non, s'il te plaît, j'aime pas de ce côté !
Planchaud de sa main gauche, appuya fortement sur le dos de mon amie, la forçant à s'aplatir:
- Tu vas te baisser oui ! Plus tu résisteras, plus ça te fera mal. Tu l'as jamais fait ?
- Non, jamais, mais s'il te plaît, j'veux pas, tout ce tu veux, mais pas ça !
J'étais comme fou ! Emilie, la fille que j'aimais, essayait de se débattre, et moi j'assistais sans broncher, pire encore, ça m'excitait deux fois plus. Je me souviens avoir laissé échapper ses paroles :
- Allez ! Fous la lui dans le cul !
Serge tenait mon amie d'une main et de l'index de l'autre, commença à tourner sur la fleur de l'anus d'Emilie. Elle tenta encore une fois de protester :
- J'ten supplie, pas ça !
Mais à ces mots Planchaud enfila son doigt dans le p'tit trou et commença un léger va et vient :
- T'es trop crispée, tu vas avoir mal, détends-toi bon sang! De toute façon, tu vas y passer !
Alors, entièrement soumise à cet homme, mon amie se laissa complètement aller:
- D'accord, mais vas-y doucement !
Planchaud avait maintenant deux doigts bien enfoncés dans le trou du cul d'Emilie et lui branlait son anus :
- Tu vois qu'c'est bon ! Hein c'est bon comme ça aussi, dis-le !
Les doigts experts de Planchaud faisaient leur effet et Emilie commençait à jouir :
- Ooooh, oui c'est bon, c'est bon !
- J'vais t'le péter ton p'tit cul, fais-moi confiance !
-Vas-y, fais ce que tu veux avec moi, j'suis à toi !
En réponse, Serge présenta sa bite à l'entrée de l'anus de mon amie, et l'enfonça doucement à l'intérieur. Emilie se cramponna à la table :
- Aie! Ça me fait mal, doucement s'il te plaît, doucement !
- T'inquiète, ça va aller, t'es par la première p'tite cochonne que j'encule !
Sa queue était maintenant bien enfoncée dans le p'tit trou de mon amie et il commença à accélérer le mouvement :
- Et alors p'tite salope ! T'as toujours mal ? Hein, t'aimes toujours pas ça ? Tu veux toujours que j'arrête ? Hein, allez répond moi !
Emilie était un plein orgasme, elle transpirait et je pouvais voir son jus qui coulait entre ses cuisses :
- Ah ah ah ah ouh ah non, t'arrête pas, c'est trop bon, vas-y plus fort !
Serge n'en demandait pas plus, il passa ses bras autour de la taille d'Emilie et lui asséna de violents coups de rein :
- T'es la plus chienne que je n'ai jamais enculée ! Bordel, je sens que tu vas me faire venir !
Emilie était prête à partir dans les pommes tant elle jouissait :
- Ah ah ouh, vas-y lâche tout dans mon p'tit trou si tu veux !
Mais Serge se retira, tourna Emilie, la coucha sur le dos, et vint se mettre à califourchon sur elle, ses deux genoux sur les épaules de mon amie :
-Non, c'est pas dans ton cul que je veux venir, j'veux que tu bouffes toute ma semence, allez ouvre grande ta bouche !
Emilie écarta le plus qu'elle pouvait ses mâchoires, et Planchaud commença à sa branler:
- Aaaaah ma salope c'est bon, j'vais venir, j'vais venir aaaaah !
Et un immense jet de sperme gicla au visage de mon amie qui, comme promis, avala tout ce qu'elle put.
C'est aussi à ce moment-là que de mon côté, j’éjaculai pour la deuxième fois. Rapidement, je redescendis de mon perchoir, m'essuyai à nouveau et allai reprendre place sur la terrasse. Planchaud arriva le premier et avec un grand sourire me dit :
- Le café va arriver, Emilie le termine !
Et à peine cinq minutes après, mon amie réapparut sur la terrasse avec le plateau. Elle se rassit près de moi et me prit la main. Planchaud, remarquant que je voulais être seul avec elle, prétexta un besoin urgent. Une fois seul, je lui dis :
- Tu as été merveilleuse !
Surprise, elle me demanda :
- Mais, tu nous as vu ?
- J'ai tout vu, c'était fabuleux, j’ai joui deux fois. Et toi ? Tu as aimé il me semble ?
Emilie baissa un peu les yeux :
- Jamais je ne me serais cru capable de faire un truc pareil, et en plus avec un vieux, mais je dois l’avouer, ce gars-là m’a fait monter au ciel.
Il y avait juste le début qui me manquait, alors je lui posai la question :
- Dis-moi juste comment ça a commencé.
Elle m'expliqua :
-Lorsque je suis retournée à la cuisine, Serge s'est avancé vers moi, m’a collé à lui en passant ses deux mains sous ma jupe. Il a commencé par me peloter les fesses, puis a fait glisser ma culotte le long de mes jambes. Ensuite il m'a assise sur la table et m’a écarté les jambes et…
Je l’interrompis :
- Chuuut depuis là j'ai tout vu.
Je lui collai un baiser et lui dit :
- Et si l’occasion se représente, tu serais prête à le refaire ?
- Si tu me le demandes comme ce soir, je ferais tout ce que tu veux, je suis à toi.
Je me penchai sur elle, et lui soufflai :
- Alors j’aimerais que nous finissions la nuit tous les trois.
Elle me sourit et me répondit :
- Et bien arrange-toi avec Serge, moi, je vous attends à la chambre.
Et elle s’en alla. Planchaud revint prendre place et marqua sa surprise de ne pas voir Emilie :
-Tiens, elle est déjà montée se coucher ?
A mon tour, je me levai et lui dit :
- Non, elle est montée nous attendre…
Et nous montâmes tous les deux la rejoindre.
Je me suis décidé à vous écrire mon histoire qui est absolument véridique, car je suis certain que vous êtes beaucoup à rêver de voir votre femme se faire prendre sous vos yeux.
Vous vous dites certainement que ça n’arrivera jamais croyant que votre conjointe n’est pas du tout du genre à ça, et bien croyez-moi, avant cette soirée, Emilie était la fille la plus pudique que j’ai connue, et pourtant…
FIN
Superbe texte bien excitant, elle va rapidement evoluer sous la conduite de son amant je pense, il y a une suite ?
RépondreSupprimermm bien joui aussi en lisant
RépondreSupprimerJ’ai plus ou moins l’âge de Serge, je vous rejoins quand vous voulez pour un petit trio, hum😜
RépondreSupprimerTrès beau récit commun à évoluer votre relation depuis cette expérience ?