Texte de Xmaster.
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Soirée en boite.
Béatrice vient de fêter son cinquantième anniversaire il y a tout juste une semaine. Cette femme d'un mètre soixante huit, aux cheveux courts méchés blonds et châtain passe encore pour jolie malgré son ventre un peu trop rond et ses fesses un peu trop plates. Mais Béatrice est une femme qui sait se vêtir pour masquer ses imperfections et mettre en valeur sa poitrine généreuse qui a encore fière allure. De plus, bien souvent, ses grands yeux marrons allume le feu dans le regard des hommes qu'elle croise, et ça, pour Béatrice, c'est un plaisir dont elle veut jouir le plus longtemps possible.
Évidement, Richard, son mari, n'apprécie pas bien que son épouse ait ce regard allumeur. Et il vit mal les petits jeux de séduction de sa femme. A cinquante trois ans, avec un peu d'embonpoint, il sait pertinemment qu'il n'a plus le physique d'un play-boy, mais il aime encore sortir avec sa femme dans les night-clubs, se pavaner à ses cotés le samedi après-midi en ville ou le dimanches dans les ruelles chaudes de la ville. La vie pourrait presque être idyllique, les revenus d'une secrétaire et d'un technicien qui, sans être faramineux, restent très corrects, un pavillon en périphérie de la ville avec un intérieur coquet sans être excessif, de quoi partir en vacances, quelques amis pour les soirées d'hiver, bref, une vie somme toute confortable. Surtout que leur deux enfants sont pratiquement élevés, l'aîné est déjà parti de la maison, et seul le cadet a encore sa chambre dans la maison, mais il ne l'occupe que rarement étant étudiant dans une autre ville.
Mais ce que Richard déteste, c'est lorsque son épouse commence à abuser de l'apéritif. Ce qu'il hait, c'est lorsqu'elle devient agressive, allumeuse, provocante. Bien sûr Béatrice met toujours ça sur le compte de l'alcool et va souvent jusqu'à s'excuser les lendemains, mais Richard ne peut refréner ses souvenirs, surtout que lui boit bien moins, et, de toutes façons, supporte mieux l'alcool.
Depuis quelques années déjà, certaines soirées, au lieu d'être calmes et enjouées, se finissent plutôt mal. Est-ce un besoin impérieux de se rassurer sur sa féminité et son pouvoir de séduction qui pousse cette femme, au look plutôt bourgeois, à littéralement, draguer en boîte sous les yeux de son mari ? Est-ce un fantasme particulier qui l'amène à séduire des nord africains ou des noirs ? Est-ce la peur d'une forme de monotonie dans sa vie qui dirige Béatrice vers ce coté glauque qui est à l'opposé de ce qu'elle a choisi de vivre ?
Toujours est-il que Richard, blessé par les excès de son épouse, supporte de plus en plus mal les frasques de Béatrice. Lors de la dernière sortie, il a même fini par rentrer à pied, laissant sa femme se débrouiller pour gérer une situation qu'elle avait tout de même crée. Bien sûr, le lendemain de cette soirée fut aussi très animé. Béatrice éprouva de la honte pour sa conduite, surtout qu'elle n'avait plus aucun souvenir entre le moment où son époux était parti et le lendemain matin dans le lit. Bien évidement elle avait demandé pardon et avait même promis que cela ne se reproduirait plus.
Or, ce samedi soir là, après un dîner en tête à tête dans un petit restaurant chinois, le couple décide d'aller faire un tour dans la vieille ville. Après avoir prit un cocktail dans un bar feutré, l'alcool semble commencer à exciter Béatrice qui implore son mari de finir la soirée en boîte. L'homme, après avoir fait promettre à son épouse de bien se tenir, fini par accepter au terme d'une longue négociation.
La soirée commence doucement, encore assez peu de clients, et Béatrice profite de la piste vide pour danser sur les airs de sa jeunesse qui reviennent à la mode en force. Richard s'ennuie quelque peu, mais de toutes façon, la musique l'empêcherait de pouvoir discuter, donc il se contente de regarder sa femme se trémousser et il ne fait pas attention aux mouvements dans le club.
Quatre arabes viennent de rentrer et se sont installés à la table juste derrière le couple. L'un d'entre eux, visiblement attiré par la femme blonde qui danse sur la piste, se place au bord de la piste et observe en souriant les déhanchement qui font virevolter la jupe courte, montrant ainsi les longues jambes gainées de nylon. Béatrice s'aperçoit qu'elle a attirée l'attention de ce bel arabe et commence à en ajouter encore par des gestes plus coulés et sensuels, bientôt elle lui adresse un grand sourire. L'homme vient alors danser à côté d'elle en cherchant visiblement un contact plus charnel. Et, tout en lui posant doucement la main sur l'épaule, il lui dit d'une voix forte pour surmonter le volume de la musique :
- Bonjour vous... Vous dansez toujours aussi bien...
- On se connaît ?
- Je vous vois de temps en temps ici avec votre mari...
Les deux personnages continuent à danser sous les yeux de Richard qui commence à ne pas apprécier la hardiesse de cet inconnu, surtout quand il voit l'homme prendre les hanches de son épouse pour la faire se trémousser de façon encore plus lascive et que cette dernière se laisse faire. Le serveur vient détourner l'attention de Richard et celui ci commande deux whisky-coca. Puis il reprend l'observation de sa femme et voit celle-ci venir vers leur table en tenant l'homme par la main.
- T'emmerdes pas à commander quelque chose, Ahmed nous offre un pot à sa table...
La voix de la blonde n'est pas très clair, et le fait qu'elle soit obligé de crier pratiquement pour se faire entendre amplifie encore la déformation dûe à l'alcool.
- Bonjour... Votre femme m'a parlé de vous.
- Bonjour...
"Tu penses", se dit Richard dans son fort intérieur, "toi mon coco tu es plutôt en train d'essayer de te faire ma femme oui". Mais faisant contre mauvaise fortune bon cœur, il accepte l'invitation en descendant de sa chaise haute et en suivant l'homme.
La soirée avance doucement pour Richard qui voit sa femme boire les verres qui lui sont servis un peu trop vite à son goût. Bien sûr les quatre hommes sont très sympathiques avec lui, mais ils les sent tout de même tous très attirés par sa blonde épouse. Béatrice a l'impression d'être au paradis. Certes l'alcool amplifie cette sensation, mais les regards embrasés des hommes, leurs mouvements qui amènent leurs mains toujours plus près du corps désiré, leurs paroles flatteuses sont autant d'hommages qui font frissonner cette femme de cinquante ans. De plus, et bien qu'elle n'en est pas vraiment conscience, le fait qu'ils soient arabes lui donne l'impression de vivre une sorte de conte des milles et une nuits et lui échauffe le sang.
Les quatre hommes sont excités par cette femme qui rit à chacune de leurs paroles, ils comprennent très vite qu'ils font partie des fantasmes de la blonde. Chacun s'imagine avoir une opportunité avec cette femme, mais chacun sait aussi qu'il va falloir éliminer le mari pour aller plus loin, néanmoins, aucun des quatre ne tient à déclencher les hostilités avec l'homme, de peur de voir la femme lui échapper.
Ahmed, celui qui a accosté la femme en début de soirée, prends bientôt en main les opérations. Voyant que Béatrice se trémousse sur le haut tabouret, il se met debout et vient prendre la blonde par la taille en lui disant à l'oreille d'un ton sans appel :
- Viens on va danser tous les deux...
Richard supporte de plus en plus mal cette situation. Entre les mains qu'il comprend baladeuses des quatre mecs et l'attitude juvénile de sa femme qui se laisse draguer sous ses yeux, il commence à penser qu'elle est réellement une vieille salope et il se rend compte que, si ce soir elle était sortie seule, il y a longtemps qu'elle se serait laissé embrasser par un des quatre jeunes hommes, dont le plus âgé, Ahmed, n'a pas plus de trente-cinq ans.
Il suit d'un regard assidu l'évolution sur la piste de son épouse et de l'arabe. Ahmed sort le grand jeu pour étourdir cette blonde qu'il sent chaude est prête à bien des choses ce soir. Profitant un rythme un tant soit peu plus rock, il entame quelques pas de danse lui permettant de laisser ses mains prendre contact avec la majorité des parties du corps désiré. Et à chaque attouchement, il vérifie que la femme est bien réceptive à ses messages tactiles et sensuels. Les mains qui frôlent son corps et semblent vouloir l'explorer toujours un peu plus loin, donnent des vagues de frissons qui parcourent la colonne vertébral de Béatrice.
Bientôt elle sent une douce chaleur envahir le bas de son ventre, irradier ses reins. Elle commence à perdre pied et a de plus en plus de mal à gérer sa danse. Et à la fin du morceau elle fait signe à son compagnon de jeu qu'elle veut aller se reposer. Ahmed décidant de mettre à profit l'exaltation de la femme qu'il a détecté, plaque sa main sur la fesse droite de sa cavalière et la laisse en place pendant le court trajet de la piste à la table. Il sent la contraction des muscles à chaque pas, la fine dentelle de la culotte sous la robe légère, et comme cette femme ne fait aucun geste pour lui retirer la main, il comprend qu'il va falloir jouer serré pour évincer le mari.
Béatrice s'assoit totalement troublée par la présence furtive de cette main à l'instant. Elle sait son sexe inondé et a l'impression que sa cyprine commence à envahir toute sa vulve. Elle boit une grande rasade de son verre qui ne désemplit pas. Elle sent alors la chaleur de la main gauche d'Ahmed qui vient de se poser très haut sur sa cuisse gauche sous la table.
Le danseur est venu reprendre sa place, à droite de la blonde et à gauche de son mari. Dès son arrivée, il ne s'est assis que d'une fesse sur le grand tabouret, et a tout de suite placer sa main gauche sous la petite robe légère et sur la cuisse. Très discrètement il commence à explorer la zone à la recherche de la chatte qu'il aimerait mouillée. La blonde fixe son mari, elle est encore plus troublée par la main de l'homme qui commence à s'aventurer de plus en plus près de son sexe, puis, comme prise d'une idée subite, elle annonce assez fort :
- Il faut que j'aille au petit coin...
- Si tu as besoin d'un coup de main n'hésites pas à me demander, Répond du tac au tac Ahmed suffisamment fort pour que le mari puisse entendre.
La blonde se lève avec un grand sourire qu'elle adresse au bel arabe sans regarder un seul instant son époux, puis se dirige vers les toilettes.
- Dis donc! Tu veux un coup de main ?
Richard s'adresse à l'homme sur un ton méchant d'où sa jalousie pointe.
- Oh, c'est pour rire, ta femme n'arrête pas de me parler de toi tu sais...
- Ouais... Mais cette salope danse pour allumer les mecs sur la piste.
- Oui... C'est vrai qu'elle allume un peu tout de même...
- Je trouve aussi !
- Tu sais, toutes les femmes sont des salopes finalement quand on regarde bien, tu ne crois pas ?
- T'as peut être raison... Ce soir elle se conduit vraiment comme une allumeuse !
- Ouais... Et à ta place je ne me laisserai pas humilier devant tout le monde !
Cette fois, ça y est, Richard est remonté à bloc et prêt à en découdre avec sa bourgeoise dès qu'elle reviendra.
Béatrice arrive aux toilettes et attend que la pièce se libère, en fait elle n'a pas réellement envie d'uriner, mais ce soir par contre, elle a une grosse envie de laisser son coté femelle en chaleur s'exprimer, et elle est venue dans l'unique but de retirer sa culotte en espérant bien que son ardent cavalier recommencera ses caresses dès qu'elle sera de retour.
La porte s'ouvre, une petite femme brune sort et laisse la porte ouverte, la blonde s'engouffre dans la pièce, retire prestement sa culotte et la jette dans la petite poubelle prévue pour les protections périodiques. Puis, électrisée par son audace, elle retourne d'un pas rapide à la table.
Richard rumine sa colère et se prépare à traiter son épouse de salope dès que cette dernière aura la moindre attitude équivoque envers les quatre hommes de la table. Béatrice fixe effrontément Ahmed avant de reprendre sa place en s'arrangeant pour que sa courte robe cache le moins possible la chair de ses cuisses dont elle est généralement assez fière, et en s'assurant que le bel arabe apprécie tout ce qu'elle fait pour lui.
L'homme a parfaitement reçu le message. Il attend quelques secondes, puis se tourne vers le mari pour capturer son attention en lui proposant un toast, il en profite pour glisser à nouveau sa main gauche sur le haut de la cuisse. Sentant que la belle écarte ses jambes pour mieux l'accueillir, il va directement au contact du sexe pensant rencontrer les contreforts de la culotte. Pendant une fraction de secondes, il affiche sa surprise, puis, se maîtrisant parfaitement, il entreprend de dégager le clitoris de son pouce.
Comme la blonde s'avachie de plus en plus sur la table, tenaillée qu'elle est par les ondes de plaisirs émanant de son bouton d'amour, le mari, toujours sous pression et cherchant à terminer la soirée au plus tôt, en profite pour dire d'une voix autoritaire :
- Dis ! Tu ne peux pas te tenir mieux que ça !
- Ça va ! Je fais ce que je veux !
- Tu cherches quoi exactement là ? A passer pour une traînée ?
- Si t'es pas content, t'as qu'à rentrer, connard...
Et sur ces mots, Béatrice se lève maladroitement pour retourner danser. Ahmed qui comprend tout de suite le profit qu'il peut tirer de la situation, s'empresse de dire à l'homme blessé par les mots humiliant de sa femme :
- Laisse... C'est le whisky qui parle là...
- Attends ! Tu ne crois tout de même pas que je vais laisser cette salope me parler de la sorte !
- Je crois que tu es aussi énervé qu'elle, le mieux serait que tu ailles prendre un peu l'air... T'inquiètes pas, je veille personnellement sur ta femme, il ne lui arrivera rien.
- Elle me fait tellement chier ce soir que j'ai bien envie de lui donner une petite leçon et de rentrer sans elle.
- Si tu veux je peux la ramener dans un petit quart d'heure, histoire qu'elle comprenne... Mais tu as raison, elle mérite une leçon cette salope !
- Bon! Je vais pisser moi.
Et Richard se lève. Il n'a pas fait trois pas qu'il se rend compte qu'il a tout de même trop bu ce soir, et le trajet jusqu'aux toilettes se révèle bien périlleux.
Ahmed suit l'homme d'un regard amusé et inquiétant. il se dit qu'il devient impératif que l'homme s'en aille car il a une furieuse envie de se faire cette vieille salope qui n'arrête pas de l'allumer. Dès que le mari est entré dans les toilettes, il se tourne vers la piste pour voir où en est cette chaude blonde sans culotte.
Béatrice, tout en dansant joyeusement, se laisse approcher par un homme assez corpulent. Bien que l'homme ne lui plaise pas du tout, elle est très heureuse de voir son pouvoir de séduction opérer avec toujours autant de force. Et que le bonhomme ait les mains baladeuses lui aussi, l'enchante totalement.
Ahmed regarde le manège de l'homme qui a visiblement lui aussi un bon coup dans les carreaux. Cependant il ne veut pas non plus laisser échapper cette proie, il a d'autres projets en tête pour elle.
Richard a un mal fou à se tenir debout devant la cuvette. Il perd l'équilibre une seconde et est obligé de lâcher sa verge pour tendre le bras et éviter d'aller dans le mur du fond la tête la première. Ce faisant, un pan de chemise se place dans le jet d'urine, et il fini par mouiller son pantalon. Le temps qu'il réagisse, il a une grosse marque d'humidité sur le haut de son pantalon.
Ahmed se lève et va rejoindre la blonde sur la piste. Dès qu'il arrive derrière elle, il passe ses bras musclés autour de sa taille et danse ainsi en indiquant bien à tout le monde, et au gros homme en particulier, que cette femelle lui appartient.
Béatrice se sent comme prisonnière, cela la trouble et l'excite encore d'avantage. Maintenant elle se laisse complètement guider par ce bel homme dont elle a une irrésistible envie. tout en se trémoussant, elle frotte ses fesses contre le sexe de l'homme qui est plein de promesses.
Le mari rage contre lui-même dans les toilettes. Il s'en veut d'avoir vraiment trop bu, et ressent une honte indicible qui le dessaoule quelque peu. Il n'a plus qu'une envie, se sauver en courant. Il sort du cabinet, et, rasant les murs, se dirige droit vers la sortie où, justement, le videur ouvre la porte pour laisser sortir d'autres clients. Richard en profite pour balbutier un salut rapide et sort dans la rue. Là, l'air frais le saisit et semble le dégriser encore un peu plus. Mais les effets de l'alcool qui empêche son cerveau de fonctionner normalement sont toujours présents, et sont même plus pernicieux. Il se dit que sa salope de bonne femme n'aura qu'à se faire raccompagner par les mecs à qui elle a tant fait les yeux doux. Et il se dirige vers la voiture.
Ahmed danse toujours de la façon la plus lascive possible en tenant la blonde, mais il s'est tourné de telle façon qu'il peut voir le mari gênant sortir des toilettes et partir comme un voleur. Ne sachant pas encore trop quoi penser de cette fuite, ni si elle est définitive ou juste temporelle, il décide d'avoir plus d'information et ramène la femme, toujours dans ses bras, à la table. Là, il commence à la questionner :
- Je viens de voir ton mari sortir, vous êtes garé où ?
- Oh ! Laisses-le, c'est un connard...
Et Béatrice penche sa tête en tendant ses lèvres. L'homme ne peut pas faire autrement que de l'embrasser. Il en profite pour explorer ce sexe offert avec ses doigts gauches, mais très adroits, et presser le sein gauche à sa disposition de sa main droite, combinant pression et relâchement au rythme de son fougueux baiser. Mais, bien qu'il cherche à faire perdre la tête de cette femme en chaleur, il n'en oublie pas pour autant qu'il court des risques si le mari revient maintenant, aussi il cesse son baiser pour revenir à son sujet de préoccupation en disant :
- J'ai une énorme envie de toi ma jolie cochonne, mais j'aimerai être sûr que ton mari est bien parti, tu es garée où s'il te plaît ?
- On s'est garé dans la rue, juste avant le club, tu sais devant le petit restaurant qui est là...
- Et tu as quoi comme voiture ma belle ?
- Une clio blanche...
- Attends moi là, je vais voir si il est parti ou pas...
Ahmed embrasse à nouveau fougueusement la femme en lui malaxant durement le sein, puis se lève d'un bond et se dirige vers la sortie.
A suivre...
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