Récit de Sarah89
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Bonjour, je me présente, je m’appelle Sarah (c’est en réalité mon deuxième prénom), j’aurais 20 ans en novembre prochain et j’ai décidé de vous confier quelque chose qui m’est arrivé au début de cette année. Je suis en pleine période de doute depuis quatre mois maintenant à cause de ce qui m’est arrivée, c’est à la fois excitant mais en même temps cela va à l’encontre de tous mes principes.
Mais laissez-moi d’abord me présenter plus en détail. Il est toujours difficile de faire son introspection et de délivrer objectivement aux autres la vérité sur qui l’on est vraiment, mais je crois que l’on peut dire que j’ai toujours vécu dans un milieu très protecteur et très aisé. Je suis fille unique, mon père qui est architecte et ma mère qui est instit m’ont toujours choyée, couvée et j’ai toujours été couverte de cadeaux plus que de raison. Ils m’ont offert une éducation « parfaite », m’inculquant les bonnes mœurs, les lois de la bienséance, une éducation très clean en somme mais relativement fermée et très catho.
Le chemin tout tracé, catéchisme, scolarité complète de la maternelle à la terminale dans un établissement privé très serré, autant dire que ma mère ne m’a jamais acheté de string de mon adolescence et que me les achetant en douce dès l’âge de 16 ans, j’avais l’impression de défier l’autorité parentale, c’était le seul acte représentatif de ma « crise d’ado » inexistante donc. Vous voyez un peu le tableau.
En début de terminale, j’ai rencontré Julien (prénom changé, ça m’étonnerait qu’il lise cela mais, sait-on jamais ?)
Avant lui, disons que je n’ai jamais eu de petit-ami, ou seulement quelques flirts anodins, pour faire un peu comme tout le monde et se prouver que l’on peut plaire (même si je n’avais et n’ai toujours aucun doute à ce niveau-là, 1m66, 50kg un 90B bien rempli, des cheveux très blonds et très longs jusqu’à mi-dos et des fesses dont je suis assez fière : je sais donc que je plaît aux garçons)
Bref avant Julien, je m’étais déjà posé des questions sur l’amour mais pas vraiment sur le sexe. Je l’ai présenté assez rapidement à mes parents et cela a tout de suite accroché, lui venant d’un milieu assez similaire au mien. Après 5 mois de baisers adolescents, les choses sont devenues un peu plus sérieuses, et les caresses que l’on pouvait se faire sont devenues de moins en moins anodines. Nous avons fait l’amour et je dois dire que je suis assez heureuse de ma première fois, cela s’est bien passé.
A la fin de l’année 2007, on a tous les deux décroché notre Bac, lui S et moi ES. J’ai intégré une prépa moyenne dans une ville de province assez importante (dont je tairais le nom) et lui une école d’ingénieur post-bac dans la même ville. Du haut de nos 11 mois de couple, nous avons décidé de nous installer ensemble. Et ça a pas trop mal marché globalement, à tous les niveaux même si je sentais que côté sexe j’avais envie de découvrir plus de choses que lui visiblement. En réalité cela a toujours été très correct de ce côté-là mais jamais très imaginatif.
Et puis en janvier dernier, lors de ma deuxième année de prépa HEC, il m’est donc arrivé quelque chose. Pour remettre les choses dans leur contexte, il faut savoir que je n’avais pas fait l’amour avec Ju depuis 10 jours, que j’avais envie mais qu’il était très occupé à bosser pour ses cours.
On avait prévu une petite soirée entre filles le jeudi soir, pour décompresser un peu et faire les folles. Je me suis donc apprêtée, j’ai mis une petite jupe (pas trop courte quand même) un petit haut sympa pour aller danser dans un bar latino.
On s’est pris la tête un peu avec Julien qui n’avait pas l’air très chaud pour me laisser sortir comme ça alors que ma tenue n’avait rien d’indécent. Après l’avoir rassuré que j’aurais une bonne conduite ce soir et que je ne me laisserais pas draguer si l’on m’accoste, je finis par avoir le dernier mot.
Donc sortie entre copines dans un bar dansant latino assez bonne ambiance. On boit un ou deux verres puis d’autres et je dois dire que l’alcool me monte un peu à la tête. On danse collées avec les filles, on se « chauffe » entre nous, on rigole (assez facilement d’ailleurs) et on prend conscience qu’en réalité on est passablement éméchées, et moi plus que les autres.
Certains mecs nous regardent avec insistance mais rien de bien méchant. Et puis le DJ met un petit zouk, et je sens Chloé, (enfin je croyais que c’était Chloé) qui vient derrière moi et m’attrape par la taille pour me serrer contre elle. Quand j’aperçois des mains noires sur mon ventre je dois me rendre à l’évidence et prends conscience que ce n’est pas Chloé, mais après tout ce zouk est anodin, bon enfant et je me laisse prendre au jeu de l’inconnu qui me fait danser. Surtout qu’il danse délicieusement bien. Je me laisse guider.
Les choses deviennent assez vite incontrôlables pour l’inconnu apparemment dont je sens petit à petit le sexe gonfler et frotter avec insistance contre mes fesses. Et là je ne sais pas pourquoi je ne peux pas m’empêcher de m’imaginer le sexe de cet inconnu derrière moi et de le comparer à celui de mon homme. Et même si Julien n’a pas à rougir de son pénis, il ne fait visiblement pas le poids à côté de la queue qui se frotte à moi.
Malgré tout je songe à stopper ce petit jeu qui devient déplacé quand le black me glisse quelque chose à l’oreille, et c’est ce quelque chose je pense qui a tout déclenché.
D’une manière crue et directe qui m’a fait tressaillir et instantanément mouiller, il m’a susurré :
- T’as l’air d’aimer la bite toi, vu la manière dont tu te frottes à ma queue.
Cela m’a mis dans tous mes états, et il a enchaîné :
- Tu la sens ma queue bien dure hein ? Dès que j'ai vu ta tête et ton regard de petite salope, j'ai su que tu étais une chienne en manque de bite.
Le jeu a pris une autre tournure, mon string est trempé, car il continue tout en me parlant de frotter sa queue sous ma jupe.
Ça a été comme un déclic pour moi, comment un homme dont je n’avais même pas vu le visage, a pu me percer à jour aussi bien, car j’ai toujours eu la conviction d’être une salope frustrée et enchaînée, et j’imagine sans me vanter que c’est rare d’en prendre conscience aussi vite, à mon âge.
Je me laisse aller, il m’a à sa botte. J’entends sa voix rauque à nouveau qui dit :
- Viens chez moi tout de suite on s'éclipse et je vais te défoncer comme tu le mérites.
On ne m’a jamais parlé comme ça, je suis excitée comme je ne l’ai jamais été, je crois avec le recul que j’étais en train de me découvrir réellement. Je prétexte à mes copines, qui bizarrement n’ont dû avoir qu’un aperçu de ce qui se tramait réellement que je vais aux toilettes, et je me faufile à la sortie du bar rejoignant le supposé black dont je ne découvre qu’enfin le visage, un visage dur, rongé par l’alcool, ce mec a bien 40, 45 ans facile !!!!
Qu’est ce que je suis en train de faire ?
Peu importe, il continue avec ses insanités qui me font tant frissonner et je le suis, passive et avide de sexe. On arrive à la porte d’un bâtiment modeste, banal et moche d’après mes vagues souvenirs.
Je reçois un texto des filles qui me demandent si j’ai vomi et si je suis tombée dans la cuvette des toilettes. Je leur réponds brièvement que j’étais crevée, que je suis rentrée, et que d’ailleurs j’arrive chez moi dans peu de temps.
L’homme me fait entrer dans son appartement, et vu l’état de l’appart’, je devine instantanément qu’il vit seul.
La porte à peine refermée, il se rue sur moi, et je me laisse faire, je l’ai suivi jusque chez lui sans dire un mot, ça prouve que je dois bien être d’accord très certainement. Il m’attrape par les cheveux, me fait m’agenouiller avec brutalité, ouvre sa braguette, sort sa queue, qui est belle et bien énorme, et m’appuie sur la tête pour me l’enfoncer dans la bouche.
A genoux, affamée de bite, j’essaie tant bien que mal d’engloutir ce gros morceau de chair, sans succès, et il recommence :
- Bouffe-moi la bite sale petite pute et caresse-moi les couilles.
Je suis entièrement soumise à lui. J’aime la manière brutale dont il me traite, cet homme qui pourrait être mon père en définitive. Lorsque je prends conscience de cela, je me sens encore plus chienne que je ne le suis.
Je lèche donc son membre sur toute sa longueur, je gobe ses bourses, je lape son gland, j’essaie d’être la plus salope possible, plus qu’une actrice porno dans les deux ou trois films sur lesquels je suis déjà tombée en voulant télécharger des séries sur internet et que j’ai conservé précieusement bien entendu.
Soudain la porte de l’appartement s’ouvre, et un autre black qui parait un peu plus jeune entre dans la pièce. Le salaud qui est en train de me défoncer a dû prévenir un de ses potes juste avant que je le rejoigne à la sortie du bar et a dû lui promettre qu’il pourrait remplir une petite salope (que je suis) par tous les trous.
L’idée de me faire embrocher par deux gros membres bien dur fait du chemin dans ma tête et me conquiert totalement je dois l’avouer. L’homme qui vient de rentrer me lance :
- Alors c’est toi la chienne bouffeuse de bite ? J’vais me joindre à la partie et je vais te faire crier sale petite pute, je vais te donner ce que tu mérites.
Ses paroles accentuent une nouvelle fois mon excitation. Sans tarder le nouvel arrivant se désape et enfourne sans plus de ménagement sa queue dans ma bouche toute huileuse de liquide spermatique. Je les pompe à tour de rôle pendant qu'ils me caressent les seins et la chatte à travers mes vêtements.
Charles (le premier que j’ai rencontré, c’est son nom) m’ordonne d'arrêter de les sucer, m’arrache mes vêtements et me porte jusqu'au canapé. Il se place derrière moi et je m’attelle à ma tache d’avaleuse de chibre sur son pote. Charles frotte sa bite aux alentours de mon petit minou et me dit :
- Tu en as envie hein?
- Oui !
- Non, dis-moi que tu as envie de ma grosse queue !
- Oh, putain j'ai envie que tu me la mettes profond !
Il se décide alors à me prendre comme la dernière des putes et m’assène de grands coups de reins qui font claquer ses couilles contre mon cul. Il me met de violentes claques sur les fesses en gueulant encore et encore:
- Tiens prends ça, salope et continue de bouffer la bite de mon pote !
J’adore ça, je ne comprends pas que je puisse être devenue une vraie salope en une heure à peine, c’est à croire que c’était caché là au fond de moi depuis mon adolescence. Le tableau est vraiment digne d’un film X quand j’y pense, je suis en train de me faire défoncer par deux grands blacks qui ont une bonne vingtaine d’année de plus que moi, et qui me traitent comme une traînée, je pense à Julien que je suis en train de tromper, sans complexe. Pire, j’aime l’idée de le tromper, alors que c’est mon premier amour… Paradoxal… Alors j’explose :
- Je veux que vous m’enculiez sévèrement, je veux qu’on baise mon cul, ma bouche et ma chatte !
C’en est trop pour l’ami de Charles qui me décharge sur le visage, dans les yeux et dans les cheveux sans crier gare. Je me surprends à nouveau à crier :
- J’adore ça, j’adore qu’on m’en foute plein la gueule !
Et m’entendre gueuler m’acheva et déclencha chez moi un puissant orgasme.
Charles d’une voix primaire au bord de l’explosion dit qu’il n’en a plus pour longtemps non plus. Je le supplie quasiment de venir éjaculer sur mon visage. Il s’approche, attrape ma tête et me fait bouffer sa queue :
- Tiens je viens à peine de la sortir de ton cul catin, t’es la pire des salopes, de celles qui sucent des bites juste après s’être bien fait enculer !
Et dans un dernier râle, il appuie sur ma tête et déverse tout son foutre dans ma bouche, ce à quoi je ne m’attendais pas, en gueulant :
- Avale tout ça, petite garce, tiens t’aime ça le foutre hein !
J’ai l’impression de recevoir une bonne quinzaine de centilitres de son sperme encore chaud. Je fus bien obligée de tout avaler devant la pression des deux hommes, et finalement, avaler ce liquide tout chaud fut une première expérience plutôt satisfaisante. Encore sous le coup de l’excitation ce n’était pas si mauvais !
Les deux hommes m’ont gardé toute la nuit, m’ont baisée et re-baisée au moins quatre ou cinq fois, avec la même brutalité. Je pensais à Julien qui devait se faire du souci, cela m’inquiétait quant à la manière dont je devrais m’expliquer sur le fait que j’avais découché et me rendait folle de plaisir en même temps. De toute façon j’avais coupé mon portable. Cela attendrait demain, je voulais profiter un maximum de cette nuit complètement dingue et surréaliste.
Le lendemain j’étais complètement vidée et épuisée. J’ai menti à Julien en disant que j’avais passé la nuit chez Amandine, car la soirée avait fini très tard et que je ne voulais pas rentrer seule à une heure pareille. Il n’a pas l’air d’avoir de doute.
Je n’ai pas gardé contact avec mes deux baiseurs, mais je me suis découvert une envie de sexe énorme, j’ai des envies furieuses de me faire prendre 3 à 4 fois par jour, et pour combler ce manque que Julien ne peut pas complètement assumer, je me caresse où je peux.
FIN.
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