mardi 29 août 2023

Le bois de Boulogne.

 Récit écrit par Lesbicamille.

*****

Fin 2011, j'avais alors 21 ans, j'ai connu un homme un peu plus pervers que les autres de son âge : Fausto.

Contrairement aux filles, mes goûts pour les hommes est restrictif, je n'aime que les matures, très matures. Celui-ci était un retraité de 68 ans très vert, il voyageait beaucoup sur son bateau, sa vie était partagée entre le nord de la région parisienne et ses voyages. Un visage émacié, buriné, peu de cheveux, pas très grand, mince... Pas l'homme que l'on remarque vraiment, mais très pervers dans ses propos, il savait m'exciter, au grand malheur de ma culotte…

Je jouais avec lui par mails, la fréquence de nos échanges était de plus en plus proche et la tension montait. Je me surprenais à contrôler plus souvent ma boite mails, il me racontait tellement de choses et savait me faire raconter mes vices ou fantasmes les plus intimes, sur moi et ce que je pouvais savoir sur ma mère aussi… Bref, il était entré dans ma vie de tous les jours... Du lever au coucher, mais aussi dans ma culotte… Je mouillais rien qu'en voyant un de ses mails non lu...

Après quelques mois de correspondances sans tabou, il voulait me voir, je ne parle pas des photos les plus coquines que je lui envoyais, mais il voulait qu'on se rencontre. J'étais très surprise, je m'amusais avec lui et lui avec moi, mais de là à le rencontrer… J'avais un peu peur… Ça ne m'intéressait pas vraiment…

Pour me rassurer il m'avait donné son n° de téléphone, celui de sa plaque minéralogique, sa ville, mais ça ne m'amenait pas grand-chose… Il devait repartir en voyage sur son bateau et ne devait pas revenir avant plusieurs mois, il me mettait la pression tous les jours, c'était dans ma tête maintenant, j'y pensais un peu tout le temps… Et j'ai finalement accepté.

Nous avions rendez-vous place de la porte Dauphine vers 21h00, près de l'université. J'habite pas loin, mais j'avais oublié qu'il ferait nuit en novembre... C'est idiot, mais je vais quand même passer en voiture et si ça m’inquiète trop ou s'il n'est pas seul, je ne m'arrête pas.

J'arrive dans mon Austin en roulant doucement. Je cherche sa voiture, un 4x4 japonais avec des plaques 93. Je passe l'université et je vois la voiture garée devant le RER sur la place. J'arrive doucement à sa hauteur, il m'a vu dans son rétro, j'avais décrit ma voiture au toit blanc. Il sort aussitôt de sa voiture et vient au-devant de moi sur la route. Je vais pas lui rouler dessus et je suis bien obligée de m'arrêter. Il vient à la portière et me dit qu'il va me laisser sa place, qu'on sera mieux pour discuter dans la sienne.

Il sort, je me gare à sa place, et je vais à sa vitre et lui dit que malheureusement je ne peux pas rester plus d'une demi-heure, car mes parents m'attendent. Je mens bien sûr. Il semble contrarié, mais me dit que ce n'est pas grave et me dit de monter dans la voiture, ce que je finis par faire.

Il démarre. Je m'étonne, mais il a vu la voiture de police qui tourne sur la place et il ne peut pas rester en double file. Mais au lieu de rester dans le coin, il rentre dans le bois de Boulogne par la route du lac. Je suis un peu saisie, mais il se met à me parler et je ne me rends pas compte de suite qu'il a l'air de chercher quelque chose, je pense à une place, mais il s'arrête à la hauteur d'un chemin qui s'enfonce dans le bois et le prend.

Il roule une centaine de mètres, et quand il s'arrête je me retourne et constate qu'on ne nous voit plus de la route, il éteint toutes ses lumières et se penche sur moi pour m'embrasser.

J'avais pas vraiment envie de l'embrasser, me laisser caresser à la limite, mais bon, pas vraiment attirant, mais il me coince contre la portière et tente de déboutonner le haut de ma robe. Je suis bloquée, il est rapide, quand je bloque une main l'autre se place entre mes cuisses... Là il résiste et y reste, ses doigts sont déjà en train de frotter ma chatte à travers ma culotte, dans cette voiture, dans la pénombre, l'ambiance est assez propice, mais je me débats, je suis en colère. Il s'en fiche et nos jeux de mains deviennent ridicules après tout ce que l'on se racontait par mail, il me le dit et de guerre lasse je le laisse caresser par-dessus la culotte mais bien que je tienne cette main il la passe sous ma culotte et doit sentir que je mouille déjà.

Il entre ses doigts et me fait du bien. Je me laisse aller le dos contre la portière et le laisse faire. Il ouvre totalement ma robe boutonnée, remonte mon soutif au-dessus des seins les faisant jaillir. Il me les suce tout en me branlant. C'est tellement bon, il s'y prend bien, puis il ouvre sa braguette et sort son sexe bandé, recule son siège, et passe sa main derrière ma tête pour la diriger sous le volant avant de rentrer son truc dans ma bouche.

Je suis complètement en biais, pas bien. Pour plus de confort je me mets à quatre pattes, les genoux sur le siège passager. Mon compagnon en profite pour relever ma robe par-derrière. Le dos nu il peut passer sur le côté pour caresser mes seins qui pendent dans cette position. Il descend ma culotte jusqu'aux genoux, ne pouvant aller plus bas, et plus à l'aise ainsi, il peut glisser sa main sur mes fesses, entre mes cuisses. Mais je réalise en même temps que de ce fait je dois avoir les fesses nues devant la fenêtre passager.

Il me fouille de ses doigts, devant, derrière, je suis hyper excitée, aussi je m'active sur son sexe, mais pas trop, je ne veux pas que cela finisse trop vite, ma main droite sent la dureté de son engin, ma bouche, tantôt happe une bonne partie de son sexe, tantôt joue avec son gland, l'enveloppant de la langue, tout en branlant doucement le reste de sa verge. Il apprécie, s'arrêtant souvent de me caresser pour mieux se laisser aller sur le dossier et profiter pleinement.

Tout à mon affaire, je sens soudainement de l'air frais sur mes fesses, je veux relever la tête, mais il me la maintient sur son sexe. Je sursaute, des mains touchent mes fesses, mes cuisses. Des hommes parlent entre eux, et je comprends que Fausto a ouvert la fenêtre à des voyeurs qui devaient être là à regarder depuis un moment. Mes fesses sont à la fenêtre et son esprit pervers n'a pas manqué de profiter de la situation.

Il continue à me maintenir, tirant même un peu plus ma robe que j'ai maintenant sur la tête. Les voyeurs ont tout mon corps jusqu'au cou à leur disposition. Je ne sais pas combien ils sont, mais je sens pas mal de mains qui me tripotent, les seins pendants dans le vide, les cuisses, le ventre, et bien sûr ma chatte et mes fesses. Je mouille de plus en plus, Fausto bouge tout seul dans ma bouche à coup de reins, comme il peut. Je n'ai plus le courage de m'occuper de sa verge, trop prise à ressentir mon plaisir d'être ainsi fouillée, tripotée par tous ces gens. Heureusement mon visage est sous la robe, je ne pourrais les regarder.

Mais Fausto est au bout et se laisse aller dans ma bouche. Je pensais pas qu'il y serait resté, mais l'excitation de la situation, pour lui qui regardait ce que l'on me fait, a dû être trop forte pour avoir le temps de sortir.. Seulement, surprise, je m'étrangle, et je pars en quinte de toux, je suis obligée de me relever et de sortir la tête de la robe. Rouge écarlate, assise sur le siège passager, j'essaie de reprendre mes esprits tout en regardant autour de moi, robe ouverte, seins sous le soutien, la culotte sur les cuisses.

Un silence étonnant règne quelques secondes, le temps qu'ils me regardent, peut-être un peu étonnés de mon âge apparent. Moi j'en vois trois qui sont à me regarder, et un autre qui arrive et s'informe auprès des autres de la situation, ils doivent se relayer les infos par SMS quand il se passe quelque chose, parce que je vois deux autres personnes qui arrivent, sortant de l'obscurité, d'une autre direction, devant la voiture.

Très inquiète, je m'affaire à essayer de boutonner ma robe, mais un pan est coincé sous mes fesses. Je suis en train de les soulever quand ma portière s'ouvre d'un coup.

Je tourne la tête. L'un d'eux m'attrape le bras droit, m'empêchant de fermer ma robe. Aidé d'un second, ils me sortent de la voiture. Je vois six hommes, le premier me tient par la taille sous la robe pendant que son complice tire la robe en arrière et l'enlève, vient le tour de mon soutien, ma culotte reste coincée aux genoux.

Aussitôt, celui qui me tient par la taille glisse ses doigts dans ma chatte déjà mouillée par ces mains que j'ai eu tort de laisser me tripoter par la fenêtre, mais la situation était tellement excitante que je ne pouvais rien faire, laissant encore une fois mon corps prendre le dessus sur ma raison.

Je ne sais pas quoi faire, j'ai été trahie par ce salaud de Fausto qui voulait jouer avec moi, et regarder d'autres le faire. Je n'ai pas le temps de me poser la question de ce qu'il va se passer que l'homme me retourne, me pousse contre la voiture et me fait m'allonger sur le siège passager. Il tire mes jambes dans le vide de façon que mes fesses soient juste au bord du siège, offrant au choix, mes fesses et ma chatte à la portière, ma culotte est tombée aussi, dernier rempart symbolique depuis longtemps sur les genoux. Le 4x4 est haut, et ainsi positionnée je suis à la bonne hauteur pour eux.

Ma tête est de nouveau près du volant, sur la cuisse de Fausto. Il ne fait rien et regarde. Tout cela a été très vite, une ou deux minutes pour que je me retrouve à disposition. Justement je sens une verge à l'entrée de ma chatte.

On me pénètre sans douceur. J'accueille cette queue avec plaisir, tout cela m'avait bien excitée, et j'avais besoin de sentir cela. Mais je ne manifeste pas de satisfaction, je suis quand même inquiète de la suite. Je suis secouée à plat ventre sur ce siège, je subis, je laisse faire cette queue qui me claque les fesses, mais il sort et envoie son sperme sur mes fesses. Un autre entre aussitôt et me prend comme une chienne à grands coups. Je vois devant moi que des hommes regardent aussi du côté chauffeur, je ne sais pas combien sont arrivés depuis tout à l'heure, l'attroupement autour de la voiture a dû en attirer d'autres. Et mon manque de résistance les a encouragés à me prendre pour une bonne salope excitée.

Fausto sort de la voiture pour céder sa place. Un type s'assoit la braguette déjà ouverte, le machin dehors, il se glisse sous ma tête et essaie de mettre son sexe dans ma bouche. Je suis toute à mon plaisir, et il me dérange, j'ai pas envie de participer, je ne veux que me faire pénétrer, envahir, mais il ne l'entend pas comme ça et m'oblige à prendre son sexe. Je commence à gémir, je ne peux retenir le plaisir qui monte, qui monte, malgré les changements successifs, les uns après les autres prennent ma chatte insatiable. Ils ne tiennent pas, trop excités à regarder, à attendre leur tour, ils ne me pénètrent que pour baiser cette jeune salope et se vider.

Pendant ce temps, l'autre au volant bouge tout seul dans ma bouche en me tenant la tête, je n'ai ni l'envie ni la force de réagir. Il éjacule aussi dans ma bouche, je crache par terre, écœurée.

Un autre a pris la place dans ma bouche, j'ouvre à peine les yeux pour voir, je suis complètement en délire de ces queues qui me bousculent, se succèdent. Puis, enfin, l'un d'eux s'intéresse à l'anus. De ses doigts il fait pénétrer le sperme que j'ai pris sur les fesses, délicatement il entre ses gros doigts, un puis deux, il me prépare. Puis, ohh ! Je sens quelque chose d'énorme qui distend mes parois. Et il insiste, au point que j'arrive à dégager ma tête pour me retourner, et là, un gros black souriant s'essouffle à essayer de me pénétrer. J'ai mon petit derrière complètement rempli, il pousse un peu et revient, et recommence. Il me pénètre de plus en plus, jusqu'à ce qu'il parvienne à tout rentrer. Je reste bouche ouverte limite tolérable, je me cambre au mieux pour diriger mes fesses en fonction de la douleur, il prend ça pour du plaisir et commence son va-et-vient dans mes reins. 

Je n'ai pas repris le sexe de celui qui s'est assis au volant, je suis obligée de gouverner les aller et retours de ce concombre, il doit être aussi gros et long. Je me suis redressée sur mes bras, mes seins pendent et ballottent au rythme de ses entrées sorties. Le torse ainsi relevé est visible de tous ceux qui sont autour de la voiture, mes seins, mon visage tendu vers le plafond, la bouche ouverte sans son, comme pour aspirer l'air, je subis ce beau sexe surdimensionné.

Je suis en pleine vue dans cette voiture. Quelqu'un a allumé le plafonnier. Je continue à recevoir le sexe du black, de mieux en mieux, j'ai moins mal et je recommence à apprécier cette verge qui m'assène inlassablement ses coups de marteau, à fond, je recommence à gémir, ce gémissement quasiment ininterrompu, coupé un instant à chaque secousse dans mes reins. Les yeux mi-clos, je vois les mateurs prenant des photos avec leurs téléphones.

- "J'aime, continue!" lui dis-je dans un souffle, "continue salaud !"

Les gens rient ou commentent autour, je n'entends pas bien dans ce brouhaha et je m'en fiche. Je me connais, je suis partie, j'ai envie, envie, envie ! Excitée, je rebaisse la tête sur le pantalon du type au volant et je reprends cette verge molle maintenant, mais mouillée que j'englobe. Je m'active, le lèche, le branle, le gland enveloppé de ma langue, il ne résiste pas à ce traitement et se lâche dans ma bouche, je continue à le branler, bien a fond pour qu'il termine totalement.

Voyant cette démonstration en pleine lumière, un autre fait sortir celui-ci pour se mettre à sa place, sa queue est prête, tendue, mouillée aussi, il me la rentre dans la bouche.

Le black hésite, et sort. Je suis étonnée, je ne l'ai pas senti éjaculer, mais ma déception est courte, car il rentre dans ma chatte trempée. Je n'ai pas encore eu mon orgasme, mais c'est tellement bon de garder son explosion, être toujours limite, les pénétrations successives précédentes dans ma chatte étaient trop rapides pour me laisser arriver à la jouissance, mais me donnait du plaisir constant. Là, le black à l'air disposé à aller au bout. C'est délirant, j'ai encore sorti la verge de ma bouche, la branlant machinalement, accélérant, ralentissant, au rythme de mes pénétrations, mes sensations, la pressant en fonction de mes montées.

Le black me laboure, expression que je n'aime pas, mais il me laboure, je ne sais pas quoi dire d'autre, mon ventre est secoué de plus en plus violemment, je me suis redressée encore, les deux bras tendus, appuyés sur le siège, le visage tourné vers le plafond, vers la lumière, bouche ouverte comme pour happer l'air, les yeux grands ouverts, attentionnée, en attente de l'orgasme qui arrive… qui explose! 

Je m'écroule et laisse mon visage revenir se reposer sur les genoux du type au volant. Il n'ose même pas me déranger, je reste comme ça quelques minutes, imaginant que tous les yeux étaient fixés sur moi en pleine lumière, me voyant hurler de plaisir lorsque le plaisir arrivait à son paroxysme, les seins tendus, bouche ouverte, dressée et matée par la grosse queue du black…

FIN

3 commentaires:

  1. Récit bien écrit et excitant. Y a t-il une suite ?

    RépondreSupprimer
  2. J'ai déjà lu une histoire dans le même genre, est-ce que vous savez si ça se passe réellement comme ça au bois de Boulogne ?

    RépondreSupprimer

Merci de vos retours