Texte de Géronimo
La maman poursuit sa soumission.
J'ai eu du mal à trouver le sommeil après avoir été le témoin involontaire de la déchéance de ma mère. Le lendemain en la croisant dans notre maison c'était difficile de ne pas lui dire que je l'avais vu se faire culbuter comme une chienne dans une boite échangiste. Je dois dire que dorénavant je la regardais autrement. Je n'arrêtai pas de la mater et avec un regard neuf, le regard d'un homme. Quand elle s'asseyait dans le canapé pour lire un de ses magasines féminins et qu'elle croisait ses jambes voilées de nylon, je ne pouvais m'empêcher d'essayer d'apercevoir la lisière du bas ou l'attache du porte-jarretelles. Et j'y arrivais presque à chaque fois me provoquant une érection indescriptible. A l'heure de midi, je la regardais en douce en train de préparer le repas et je l'imaginais habillée en soubrette comme dans les films pornos que je regardais. Apres avoir hésité un long moment, j'appelais Chris et lui demandais de venir me rejoindre chez moi.
Il arriva dans l'après midi et après avoir fais la bise à ma mère, il monta dans ma chambre.
- Alors ? Qu'est ce que tu voulais me montrer ?
Je lui fis visionner le film que j'avais pris lors de la soirée de la veille. Il resta bouche bée.
- Mais... mais....On dirait...Putain ! C'est ta mère mec !!!
Il resta un bon moment devant l'écran de mon ordinateur. Je lui donnai des explications et il m'en voulut de ne pas l'avoir prévenu tout de suite.
- Tu étais occupé avec l'autre salope, lui fis je remarquer mi-figue, mi-raisin.
- C'est fou . Lâcha t'il. C'est qui l'autre ? Le gros ?
Je dus lui avouer mon ignorance. Il échafauda alors des théories fumeuses.
- Son amant sans doute mais il n'a pas l'air d'être du même milieu que vous. On dirait un ouvrier. Ou alors c'est son « Maitre », j'ai entendu parler de ca. Il parait que certaines bourges tombent sous la coupe d'amant autoritaire et manipulateur et qu'après ils leurs font faire ce qu'ils veulent .
Je lui confirmais que je connaissais cette histoire sans trop savoir si cela existais réellement.
Des pas dans l'escalier nous firent sursauter et je m'empressai d'éteindre mon ordi.
Ma mère entra et nous demanda si nous voulions un soda. Je me rendis compte immédiatement que Chris regardai ma mère différemment. Elle était vêtue d'un haut blanc qui faisait ressortir son opulente poitrine avec une jupe courte écossaise sur des bas couleurs chair et des talons aiguilles rouges. Nous acceptons le soda et redescendons l'escalier. Chris arriva en bas le premier et il se retourna matant sans vergognes les jambes de ma mère pendant qu'elle descendait les marches. Elle dut s'en apercevoir car je la vis rougir. Nous entrons dans la cuisine et maman nous sert le soda. Elle s'assoit avec nous, croisant ses jambes dans un délicieux crissement de nylon. La jupe courte se retrousse un peu dévoilant une large partie de ses cuisses fuselées. On aperçoit un peu le haut de la jarretière mais maman ne semble pas s'en rendre compte. Par contre Chris et moi nous n'en manquons pas une miette !!! Isabelle lui demanda s'il se plaisait dans son nouveau travail.
Depuis peu, Chris, qui est un peu plus âgé que moi, il a 25 ans, a été embauché dans la Police Municipale de la Ville.
Nous discutons de choses et d'autres. Moi de mes études. Maman est très fier que « son petit garçon » fasse des études de médecine.
Chris vint à parler de son travail. Il est souvent de permanence la nuit et il se mit à raconter à ma mère des anecdotes sur son travail. Cela semblait la fasciner. Il lui parla des SDF qu'ils « ramassaient », les excès de vitesses, les bagarres entres jeunes.
Il me fit soudain un discret clin d'œil que j'interceptai.
- On voit des choses pas banales, aussi.V ous savez qu'à quelques kilomètres d'ici, il y a une boite échangiste ?
Je failli cracher mon soda par terre. Je vis distinctement le visage de ma mère changer de couleur.
- Ah bon, croassa t'elle, non je ne savais pas.
- Vraiment ?
Je regarde ma mère. Elle est devenue blanche comme un cachet d'aspirine. Chris enfonça le clou.
- Pourtant, il m'a semblé vous y avoir vu hier. Dit il d'une voix douce.
Le désarroi se lut sur le visage de ma mère. Elle prit un air outragé.
- Mais enfin, Christophe ! Pour qui me prends-tu ! Tu me vois dans un endroit pareil ? Cela m'étonne de toi ! Ta mère ne t'a pas élevé comme ca.
- Laissez donc ma mère tranquille, lança Chris, elle ne va pas se faire sauter dans les boites à partouze, elle !
De nouveau, elle blêmit et protesta. Elle se leva et voulut mettre Chris dehors. Je me levai alors.
- On t'as vu maman et je t'ai filmé.
Je crus qu'elle allait s'évanouir sur le champ. Chris s'approcha d'elle et lui dit :
- Vous voulez voir le film ?
- Mais... Mais... Que voulez vous en faire de ce film ? bafouilla-t-elle.
- On pourrait le mettre sur internet, suggéra Chris, ca marche bien ce genre de film.
Isabelle se tourna vers moi me regardant avec un regard rempli de pitié me suppliant de renoncer à notre funeste projet. Je ne savais que faire, j'avais honte de me comporter de cette façon avec ma mère mais j'étais aussi complètement excité. Chris continue de parler.
- Ok, on ne le fera pas. Mais soyez gentille, Isabelle, soulevez votre jupe. Depuis tout à l'heure on mate vos jambes et on voudrait voir votre chatte maintenant.
Ma mère protesta qu'il était hors de question qu'elle se trousse devant son fils ! Je dus monter dans ma chambre et descendre mon ordinateur portable pour lui montrer le film. Ce qui la calma aussitôt.
- Alors !! s'énerva Chris. Ca vient oui ? Retrousse ta jupe, salope !
Ma mère commença à soulever tout doucement sa jupe écossaise dévoilant ses longues jambes gainées de nylon. On aperçut très vite le haut des bas. Je bande comme un malade dans mon pantalon à tel point que j'en ai mal. Le string blanc cache à peine sa fente. Chris le baissa. Je découvre que ma mère s'épile. Sa vulve est lisse, rasée. On dirait la chatte d'une jeune fille. Elle est toute rouge mais elle obéit. Elle reste la jupe en l'air qu'elle tient avec ses mains. Chris s'approche et commence à lui malaxer les seins à travers son haut. Il écarta l'étoffe dévoilant le soutien-gorge, blanc, également. Il siffla en le découvrant. Il est à moitié transparent et on aperçoit la pointe de ses seins.
Ma mère reste sans réaction, sa poitrine se soulève de plus en plus vite. Je suis prostré. Indécis. Je dois tout arrêter avant que cela n'aille trop loin ! C'est ma mère quand même! Je le dis à Chris qui me répond, un ignoble rictus aux lèvres.
- C'est une salope qui a le feu au cul avant d'être ta mère !! Regarde, elle mouille comme une fontaine !
Joignant le geste à la parole, il introduisit son index dans la chatte dégoulinante de ma mère et le ressortit, triomphant, me montrant la cyprine maternelle.
Il me dit d'approcher et je m'exécutai. Ma mère baissa les yeux. Christophe a de nouveau enfoncé ses doigts dans la fente de ma mère et il les fait coulisser de plus en plus rapidement. La respiration de ma mère commence à s'accélérer. Elle pousse un petit gémissement en se mordant les lèvres. Elle donna un petit coup de bassin.
- Tu vois, s'exclama Chris, une vrai chienne ta maman !
Je ne réponds pas, interloqué quand même de découvrir ma mère sous cet aspect la. Chris pesa sur les épaules de ma mère et elle s'agenouilla devant lui.
- Et bien qu'est ce que tu attends ? Faut vraiment que je dise ce que je veux?
Maman commença à dégrafer le pantalon de Chris et elle baissa son caleçon. Un sexe épais et raide surgit, se tendant déjà vers ses lèvres. Elle hésita une fraction de seconde, me regardant, puis elle se pencha et engloutit la queue de Chris. Elle commença à le sucer, baissant sa tête sur la bite dressée. La mienne, de bite, est tellement tendue que j'ai l'impression qu'elle va déchirer mon pantalon. Chris donne des coups de bassin pour s'enfoncer encore plus dans la bouche accueillante d'Isabelle. Il appuie sur la nuque de ma mère pour qu'elle aille encore plus loin. Par moment son nez touche le pubis plein de poils de Chris et elle proteste en poussant un grognement étouffé.
Je n'en peux plus et j'extirpe ma bite qui surgit, tendue, luisante de secrétions. Je commence à me branler en regardant ma mère en train de faire une pipe à mon meilleur copain !
Les lèvres rouges d'Isabelle coulisse autour de la bite de Chris. Par moment, elle s'arrête pour lui lécher le gland ou les couilles et replonge dessus. Chris halète et gémit.
- Putain ! quelle salope ta mère ! elle sait y faire, je vais tout lui larguer sur sa petite gueule de bourge !
Je m'approchai de Chris et lançai soudain cette phrase que je regrettai aussitôt .
- Suce-moi, maintenant !
Maman leva la tête, me dévisagea et, alors que je croyais qu'elle allait violemment protester, elle empoigna ma bite de sa main manucurée et elle commença à me branler comme une folle ! Puis elle m'engloutit à mon tour, délaissant Chris, et elle me pompa le dard. faisant des bruits de succions avec sa bouche, elle salivait sur ma queue, me titillait le gland de sa langue. De son autre main, elle me malaxait les couilles. Le manège dura un bon moment. Elle alternait entre Chris et moi. Elle poussait des couinements de bonheur. Puis Chris et moi on la releva et on la poussa vers la table de la cuisine. On la courba, ses seins s'écrasant sur la table. Chris s'accroupit et commença à lui lécher la fente. Maman poussa un petit cri. Pendant que Chris jouait avec le clitoris de ma mère, moi je continuais de me faire pomper. J'ai perdu toute notion de moralité maintenant. Le fait qu'Isabelle, cette femme si belle et si salope soit ma mère n'a plus aucune importance. Je ne pense plus qu'a une seule chose : baiser cette splendide femelle qui n'attend que ca !
Un cri étouffé me fit sursauter ! Christophe vient de pénétrer ma mère, ses mains crispées sur ses hanches, il la besogne en lui donnant de grands coups de reins, s'enfonçant encore plus loin dans sa chatte baveuse. Son ventre claque contre ses fesses. Maman s'active sur ma bite et je me retire précipitamment de peur d'éjaculer. Ma mère halète comme une folle.
- Oui. Oui. Oh Mon Dieu. Vas y, bourre moi. Défonce moi.
Chris accéléra son mouvement de va et vient, grognant comme une bête, ses coups de reins devinrent de plus en plus violent. Il se retira soudain, le souffle court et me fis signe de le remplacer. Je me positionnai devant le cul de ma mère, hésitant, comprenant que j'allais commettre l'irréparable, mais la saisissant aux hanches, je m'enfonçai dans sa fente et commençaità la limer brutalement. Ma mère poussa un hurlement et je ralentis croyant lui avoir fais mal. Mais la seconde d'après, je l'entendis crier :
- Oui mon chéri ! Vas y, défonce ta chienne de mère, fais lui mal !
Je la défonçai comme une brute, lui donnant des claques sur ses fesses dodues. Mes coups de reins font écho avec ses cris. Chris lui se branle en regardant cette scène d'une perversion sans nom.
Je fis encore plusieurs allers-retours dans le ventre de ma mère et je me retirai, haletant, en sueur. On relève ma mère et on décide de changer de pièce. On l'entraine vers le salon. Ses talons claquent sur le sol et elle glissa. Arrivé dans le salon, on la força à se mettre à quatre pattes et Chris, hilare, s'amusa à lui claquer les fesses pour la faire avancer. Elle dut faire le tour du salon, ses gros seins ballotant. Je la relève et lui suce la pointe de ses seins tout en la masturbant de ma main. Derrière elle, Chris lui enfonce son index dans son trou du cul et on la branle ainsi pendant de longues minutes. Elle est dans un état indescriptible quand nous nous arrêtons. Nous la poussons vers le canapé et Chris s'allongea dessus. J'obligeai ma mère (mais était elle réellement contrainte ?) a s'empaler sur la queue de Chris. Elle fit une grimace en sentant le membre de Christophe s'enfoncer dans son ventre. Elle commença à bouger sur la queue de Chris qui lui malaxe les seins. Je m'approche par derrière et je pointe ma bite vers l'ouverture de ses reins. Ma mère le sentit et elle eu un geste d'une obscénité et d'une perversion extraordinaire. D'elle même, elle écarta des ses mains les globes de ses fesses dévoilant l'ouverture de son trou du cul ! Le message était on ne peut plus explicite ! Je posai ma queue sur le sphincter et poussai de toutes mes forces, il céda et je m'engouffrais dans son trou du cul. Ma mère poussa un hurlement déchirant. Chris et moi nous avons commencé à alterner nos coups de bites ; ma mère, haletante, poussa des gémissements de plus en plus forts. Nous suppliant de l'enculer.
Nous avons changé de position plusieurs fois, Chris l'enculant, puis moi puis de nouveau Chris. Maman a soudain poussé un cri bref quand l'orgasme la submergea, la laissant pantelante, haletante.
Maintenant, elle est allongée sur le tapis du salon, la jupe relevée autour de la taille, Salie par les gouttes de sperme. Un de ses bas est filé et l'autre s'est retrouvé tirebouchonné autour de sa cheville. Elle a encore ses talons aiguilles aux pieds. Ses seins sont rouges à force d'avoir été triturés. Chris se branle au dessus d'elle. Il éjacula en poussant un grognement, le sperme jaillit allant s'écraser sur le visage de maman, Elle en reçut sur la bouche, le nez et le front. Elle se releva et s'approcha de moi me prenant en bouche. Elle me suça quelques minutes mais n'y tenant plus, j'éjaculai dans sa bouche. Ma semence éclaboussa son palais et elle avala mon sperme avec un sale plaisir..
Evidemment depuis cette incroyable séance de baise, la vie de famille a radicalement changé. Des que mon père est à l'étranger, c'est-à-dire souvent dans le mois, ma mère devient mon « objet sexuel ». Elle se prête à tous mes caprices ; Elle s'habille en soubrette, petit tablier blanc avec des bas noirs et des mules à talons pour faire le ménage et me servir à manger. Je la baise de toutes les façons. Et l'homme mystérieux que j'ai vu dans le club avec ma mère ? Qui était ce ? J'en ai parlé à ma mère bien sur, je lui ai demandé de qui il s'agissait. Elle a rougi violemment et a baissé la tête. Elle m'a répondu que c'était Le Diable ! Je vous raconterai peut être ça dans une prochaine histoire.
A suivre...
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