mercredi 5 mai 2021

La nouvelle vie de Julie Ch. 04

 Texte de gkcdqho

 *******

Une fois la porte de sa maison encore fermée, Pierro tire un coup sec sur la laisse sans rien dire de plus. Devant son inaction il tire une nouvelle fois en la fixant de ses yeux durs. Julie comprends enfin et déboutonne le poncho qui tombe à ses pieds. Julie doit être nue devant lui quand ils sont seuls.

Il tire encore sur la laisse. Cette fois Julie comprend tout de suite ce qu’il veut, elle s’agenouille devant lui. Julie lui déboutonne et ouvre sa braguette. Son short tombe à ses pieds libérant son sexe. Immédiatement, elle le prend en bouche et s’applique à le sucer pour le faire bander.

- Tu as une jolie baraque de bourge. Je vais m’y plaire.

Julie la suce longuement, l’esprit empli d’image de tout ce qu’il va pouvoir lui faire. Comme lorsqu'ils étaient chez lui, Pierro reprend rapidement le contrôle. Il la pousse sans ménagement contre le mur de l’entrée. Julie se retrouve enfouie sous son gros ventre à subir ses assauts qui vont vibrer le mur. Julie n’arrête pas de saliver, ça coule partout le long de son cou et entre ses seins. Pas une seconde il ne sort de sa bouche pour lui permettre de reprendre correctement son souffle. Il se sert d'elle pour se vider une fois de plus les couilles.

- On va inaugurer les lieux comme il faut.

Pierro se retire de sa bouche et se branle devant son visage écarlate et couvert de sueur. Après quelques coups de poignet, il grogne et son sperme jaillit à gros jets qui viennent s’écraser sur le visage de notre Julie. Certaines giclées la manquent et tachent le mur derrière elle. Les premiers d’une très longue série.
Une fois son éjaculation terminée, elle s’applique à bien lui nettoyer le sexe.

- Ça vous a plu, maître.

- Oui, tu es très agréable à fourrer par la bouche. Tu es bien plus agréable à regarder comme ça. Ce n’est pas tout ça, il est où le lit du cocu.

- Je peux me nettoyer le visage avant, maître.

- Bien sûr que non. Je vais te prendre le cul dans le lit conjugal comme ça, pendant que tu ressembles vraiment à la grosse chienne adultère que tu es.

Dans la chambre, il la pousse brusquement dans le dos, la renverse sur le lit. Julie le sent monté derrière elle. Il s’agenouille au-dessus de Julie et écarte ses fesses avec ses mains. Il joue avec le plug qu’il s’amuse à tirer légèrement pour écarter son anus rougi. Il finit par arracher le plug et présente son gland devant la petite porte de ses reins grande ouverte.

- S’il vous plaît, pas à sec.

Julie sent la pression de son gland augmenter et se frayer un chemin dans son anus. Elle pousse un long gémissement plaintif.

- Je t’aurais craché dans le cul si tu t’étais adressée avec moi avec respect. Mais ne t’en fais pas, d’ici à demain, tu n’oublieras plus jamais de m’appeler maître ou monsieur. Et avec tout le sperme que ton cul a gardé, ce ne sera pas un bon enculage à sec.

Pierro prend possession de son cul avec force. Il va aussi fort, vite et profond que possible. Il cherche à la faire hurler. Julie essaie d’étouffer ses gémissements dans le matelas, elle sert les draps entre ses dents, mais il veut que tout le monde puisse entendre comment il la possède. Il attrape ses cheveux et tire sa tête en arrière lui faisant pousser un long cri aigu.

- Cris, salope. Je veux que tout le monde dans le quartier t’entende. Je veux qu’ils comprennent tous que tu n’es pas une bourge comme eux, mais une vraie pute.

Julie essaie de se contenir, mais il ravage tellement son cul qu'elle ne peut que couiner sous ses assauts. Il l’écrase de toute sa masse, malgré tout ça elle prend son pied comme jamais. Julie finit par perdre complètement pied.

- Oui ! Oui ! OUI ! Plus fort. Éclate mon gros cul. Je suis ta salope, ta chienne ! Inonde mon cul de pute avec ton foutre !

Pierro se lance dans un pilonnage d’une sauvagerie folle, son cul va éclater. Mais c’est bon. C’est si bon ! Il finit par craquer en hurlant.

- Tiens, pends ça dans ton cul, grosse chienne !

Il lui inonde les intestins de toujours un peu plus de foutre, l’emmenant dans une jouissance terrible qui la laisse presque inconsciente.

Julie n’a le droit de quitter sa chambre qu’en début de soirée pour faire à manger. Durant le temps où il savoure ce qu'elle lui a préparé, elle est sous la table à le sucer. Cet homme est une véritable machine pour être capable d’encore bander, d’avoir encore envie d'elle. Quand il a terminé, il sort son sexe de sa bouche, se lève, prend l' assiette de Julie au-dessus de laquelle il s’astique pour y déposer une bonne couche de sperme.

- Ton nouveau régime alimentaire. Tous tes repas seront désormais assaisonnés au foutre, que ce soit le mien ou celui d’un autre homme venu te tirer.

Il pose l’assiette là devant elle et retourne s’asseoir.

- Bon appétit.

Après tout ce qu'elle a déjà fait et subi, elle n'est pas plus dérangée que ça à l’idée de se nourrir d’un plat assaisonné au sperme.

Soudain Julie entend la porte de la cuisine qui donne sur la pelouse, poussée. Ce n’est que le fidèle dogue allemand des voisins âgés. Il reste à la fixer dans sa posture dénudée la croupe en l’air et toute souillée. Elle a toujours eu peur de ce chien.

- Va chez ton maître, allez !!

Le froid de son museau la fait sursauter et se cabrer. Stupéfaite, Julie ne sait pas pourquoi elle regarde par là, et voit son sexe grossi sorti de son fourreau et d’une taille plus imposante que celle de Pierro. Julie n’aurait jamais imaginé qu’un animal, bien que de cette taille, puisse avoir un phallus aussi gros. L’effet de surprise passé, elle le chasse de la maison.

Pendant que Julie fait la vaisselle, lui est dans le salon à regarder la télé. Dès qu'elle revient auprès de lui, il lui demande de le sucer puis de le chevaucher. Julie n’a le contrôle qu’au tout début. Elle se retrouve rapidement écrasée sur la table basse à se faire saillir à grand coup de reins. Il se finit en jouissant tout au fond de son puits d'amour en grognant.

Après l’avoir sucé et nettoyé, il la force à reprendre sa position, couché devant lui sa moule ruisselante de sperme jusqu’au moment où il souhaite aller se coucher. Le moment de se reposer n’est pourtant pas encore revenu, car il décide de lui reprendre le cul. Une fois encore il ne la ménage pas.

La délivrance arrive enfin. Après avoir rempli ses intestins d’un peu plus de sperme et avoir remis le plug en place, il roule sur le côté. Julie l’entend s’endormir pendant qu'elle est toujours à nettoyer sa queue. Julie n’a pas la force de bouger pour aller se laver, elle s’endort à son tour.

Bien plus tard dans la nuit Julie se réveille sur le ventre. Elle n’avait pas pensé à passer sous les couvertures et son cul est à moitié à l’air. Julie jette un coup d’œil vers la fenêtre et ne voit que l’obscurité. Qu’est-ce qui l’a réveillé?

Un souffle chaud sur ses cuisses la fige. Une truffe humide plonge entre elles, elle sent une langue râpeuse tremper son entre jambes, effleurant le plug qui en dépasse de son anus. Bon dieu. Le chien !

Julie bondit hors du lit et se retourne pour voir l’ombre du chien avec ses deux pattes avant sur leu bord du lit, sa tête tourne vers elle et il se met à grogner. Comment est-il entré ?! Pierro n'a pas refermé la porte de la cuisine ? Il va la bouffer, merde!

Julie se précipite dans le couloir quatre à quatre dans le noir. Le bruit de ses pattes sur le parquet se fait proche. Elle tourne vers la droite, dans le salon. Julie se prend les pieds dans elle ne sait quel coussin et elle se vautre sur le sol. Immédiatement, le chien est sur elle, elle tente de ramper sur le tapis, tendant ses mains devant elle pour trouver un quelconque objet contondant. Les crocs du chien se referment sur sa nuque, elle se fige de peur.

Il ne serre pas. Enfin pas trop. Juste assez pour faire mal sans la faire saigner. Ses grognements s’arrêtèrent lorsqu'elle stoppe tout mouvement. Sa gueule la relâche, elle s’apprête à se relever lorsqu’il grogne encore. Julie s’immobilise à nouveau, et il se tait.

Julie sent son souffle brûlant descendre le long de son dos nu, jusqu’à ses fesses, elle tente de bouger, il grogne, elle stoppe. OK ? Elle a compris le message. Elle lui laisse le temps de la renifler partout, et il lui foutra la paix. Sa truffe prend de grandes inspirations en reniflant le cul de Julie. Un truc de chien quoi. Elle choisit de patienter, mal à l’aise.

Sa langue reprend son travail, il lui lèche les cuisses, léchant si fort que ça en devient bon. Sa langue s’infiltre partout et très vite elle se retrouve entre peur et plaisir à tendre presque son cul dans sa direction. Soudain il effleure sa grotte, elle gémit et tend ses fesses vers lui. Il reprend son travail avec plus d’ardeur, elle couine comme la dernière des catins, le cul en l’air. Julie n’a jamais eu de meilleurs léchages de moule de sa vie.

Quelques secondes plus tard, alors qu'elle gémit d’extase, elle le sent se décoller de sa moule et prendre une grande inspiration. C’est fini, elle le regrette presque. Julie se redresse à quatre pattes pour se relever quand elle sent le chien s’abattre sur son dos.

L’effet de surprise faisant, et ne sachant comment réagir elle reste strictement immobile, ou tout au plus elle gesticule de gauche à droite pour le chasser.

- Spartacus, oh non pas toi ! va-t-en de là, non, pousse-toi, je t’en prie...

Julie a peur de se lever, elle sent son gland mouillé et perlant de gouttes de liquide buter contre ses cuisses et ses fesses. Sa respiration et son stress montent autant que l’animal halète, excité par la femelle offerte qui lui est donnée.

Ce n'est qu'après plusieurs essais infructueux que la pointe de son sexe vient entre les lèvres de sa chatte trempée. C'est ce contact qu'elle comprend réellement que ce chien va vraiment la saillir! S'agrippant autour de sa taille avec ses pattes de devant, il la tient si fermement qu'elle n'a que peu d'espoir de se dégager.

Julie cède alors à la panique, tentant de se soustraire à cette saillie, mais elle ne fait pas le poids. Elle beau tout essayer pour le faire descendre et se relever, rien à faire, il est vraiment très lourd et s’agrippe à elle de toutes ses forces l’immobilisant. Julie tremble de peur, elle sanglote de résignation, les larmes coulent sur ses joues. Malgré son appréhension, elle a le réflexe d'ouvrir les jambes et d'arquer le dos, s'offrant ainsi involontairement à la saillie.

Julie sent sa grotte d'amour s'ouvrir. Aidé par son attitude soumise, la bête amorce sa pénétration. Il se penche lourdement sur son dos, ajustant sa position pour obtenir un effet maximal. Julie sent la pointe chaude de sa bitte frotter sur sa vulve, taquinant ses grandes lèvres. Encore un peu tremblante, elle baisse la tête et regarde entre ses jambes.

Julie sursaute car dans cette position, sa bitte, raide et dégoulinante de sperme, lui semble immense et démesuré pour son puits d'amour. Julie ne sait pas comment sa grotte a pu l'avaler, mais elle est convaincue d'être dilatée au maximum.

Julie se met alors à crier, davantage de peur que de douleur, mais le membre canin continue d'avancer dans son conduit sous ses coups de butoir qui manquent à chaque assauts de lui faire perdre l’équilibre.

Il n'est qu'à mi-chemin et elle est déjà remplie et ne pourra certainement pas en absorber davantage. Mon Dieu quel engin, plus grosse que celle de Pierro déjà bien monté, mais ce chien il l’avait énorme. Julie écarte ses jambes du mieux qu'elle le peut pour faciliter la pénétration, mais elle ne peut pas faire grand-chose car le mâle lui dicte sa volonté. Il faut bien le dire, la pénétration du membre canin est facilitée par les restes de sperme de Pierro.

Ses craintes se sont volatilisées, Julie n'est plus qu'une chatte béante enserrant dans son corps une verge bestiale et palpitante qui la fait transpirer. Maintenant, Julie veut que ce chien la mette, la bourre, lui fasse mal... L'expérience reste insatisfaisante et incomplète tant que sa pine démesurée ne se sera pas enfoncée jusqu'à la garde. Le chien en bon géniteur s'y emploie si bien qu'elle se retrouve vite embrochée jusqu’à la garde, ses couilles ballottant sur ses grandes lèvres.

Sa chatte enserre convulsivement sa bitte alors qu'elle se laisse aller l'orgasme. Julie jute abondamment et sanglote à la pensée de la saillie que cet animl est en train de lui prodiguer.

-OH ! Oui ! Baise-moi ! Baise-moi comme une chienne! " Crie Julie, sans se soucier d'être entendue par Pierro.

Julie est sur le point de se mettre à hurler comme une femelle en chaleur. Le robuste mâle la pistonne de plus en plus frénétiquement, elle soupire en poussant des Ah, des Oh alors qu'il lui pilonne son puits d'amour sans ménagement. Ses seins ballottent en tout sens, et lorsqu'elle penche sa tête, elle constate que ses petites lèvres s'étirent et bavent de sperme à chaque retrait de sa verge et l'accueillent goulûment lorsqu'elle replonge en elle. Sa chatte brûle sous la friction de cette bitte qui va et vient en accélérant sans cesse. Son amant la pilonne encore et encore, elle en perd la notion du temps, sa tête tourne, sa vue est floue.

A chaque coup, un cri de jouissance s’échappe de sa bouche. Julie bascule dans un orgasme au moment où son partenaire réussit à introduire son nœud en s'enfonçant au plus profond de son ventre. Il s'arrête inerte et soudé à sa femelle, les couilles écrasées contre son clitoris.

Sortant de sa torpeur, Julie prend soudainement conscience que c'est son nœud qui gonfle. Julie est liée à son violeur! Le nœud gonfle toujours, étirant son vagin d'une façon assez douloureuse. Julie crie, elle se tortille sous lui, tentant de le déloger de son puits d'amour, mais sans succès. Elle hurle lorsque son nœud eut atteint son maximum, lui dilatant les chairs au maximum, il doit avoir la taille d'une orange.

La bête est solidement attachée aux replis de son intimité, elle ne se retirera qu'au moment où sa femelle sera inondée de foutre. Julie se résigne à son sort et s'appuie contre lui. Alors qu'elle prend un super pied, se foutant de tout le reste, Julie sent de longues et puissantes giclées de sperme lui envahir le ventre la faisant jouir une énième fois. Pendant tout le temps où ils sont liés, son amant continue à éjaculer et à la remplir !

Julie se perd dans des pensées immondes et perverses alors que le sexe de son amant la libère dans un bruit de succion et qu’une quantité non négligeable de sperme se déverse le long de ses cuisses.
Julie est sonnée, du moins pas autant que lorsqu'elle entend la voix de Pierro :

- Ah bien la salope ! J’en ai pas loupé une miette ! Je crois que tu es bien chienne. J’ai plein de projets pour toi...

De toute façon, Pierro a fait de Julie sa chienne, elle le sait, elle le sent. Julie retourne ce coucher sans se laver tellement elle est épuisée.

A suivre...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Merci de vos retours