Traduction d'un texte de Penitr8me.
Un ami de Maître Michael.
Un homme entre dans le bureau un jeudi après-midi. La trentaine, il porte un costume de bonne qualité. J'ai assez vu de costumes sur mes différents Maîtres pour reconnaître ceux bon marché de ceux de bonne qualité. Cet homme est assez fier de lui. J'ai l'impression qu'il s'attend à ce que je m'évanouisse quand il me fait un clin d'œil. Maître Michael a du entendre l'homme qui s'est présenté sous le nom de « Jimbo », car il sort pour l'accueillir et l'introduire dans son propre bureau. Je n'ai pas le temps de commencer quelque chose avant qu'il ne m'appelle pour que je les rejoigne.
Ils sont assis dans deux fauteuils confortables. Mais alors que Jimbo est vraiment assis dans le fauteuil, Maître Michael est lui sur l'accoudoir du sien. C'est quelque chose qu'il aime bien faire pour se trouver plus haut que son interlocuteur. Mais Jimbo a l'air de ne pas s'offusquer de la chose. Il s'enfouit en arrière avec un grand sourire sur son visage.
- Jimbo, que buvez-vous? du Scotch?
- Si vous en avez du bon!
- Deux bons scotchs! Ordonne Maître Michael.
Mes Maîtres m'ont appris à servir des boissons. Ça c'est facile. L'alcool se trouve sur un petit chariot bas dans un coin. Je me dit que Maître Michael veut surement que je fasse la complète. Alors je me penche et je mets bien en évidence mon cul. Je peux sentir leurs yeux fixés sur moi. Je prends et j'apporte précautionneusement sur un plateau en argent le Bowmore âgé de 30 ans ainsi que deux verres. On m'a dit combien coute la bouteille alors je suis un peu nerveuse. Je pose le tout sur la table devant Jimbo et je lui verse deux doigts du liquide. Je me penche afin qu'il puisse mieux voir mon décolleté.
- Ah, du Bowmore! Je suppose qu'il est difficile de trouver du Balvenie de nos jours.
Je verse un verre pour Maître Michael et je lui tends. J'ai l'impression qu'il est ennuyé par la présence de Jimbo. Mais comme il ne me renvoie pas, je reste là à attendre.
- Eh bien Mike, c'est assez inhabituel de trouver une secrétaire qui va te chercher du café, alors servir du scotch... Et en plus c'est une beauté...
Il lève son verre pour porter un toast :
- Aux belles femmes!
Maître Michael fait écho :
- Aux belles femmes!
Puis il ajoute :
- Mais Jimbo, ce n'est pas ma secrétaire...
- Oh désolé, ton assistante administrative ou quelque soit le titre de bureau qu'elle porte. Répond Jimbo en sirotant son verre.
- Non non non, ce n'est pas mon assistante administrative ou ma secrétaire, c'est mon esclave sexuelle.
Jimbo s'étouffe sur son scotch. Mais il essaie de le cacher.
- Hein? Je suppose que ça explique pourquoi tu n'es pas encore marié. Il t'est difficile de trouver une femme qui soit d'accord avec toi et qui veut jouer l'esclave sexuelle.
- Jimbo, pourquoi aurais-je besoin d'une femme alors que je l'ai elle. Elle fait tout ce que je lui dis, Y compris de se taire quand je l'ordonne. Ce n'est pas que tu n'es pas un homme chanceux d'avoir Judy, mais regarde, je vis le rêve ici.
- Esclave sexuelle hein? Une pute?
- Non, plus intéressant. Regarde!
Il se lève, ouvre sa braguette et sort sa bite. Il claque des doigts et me désigne le sol. Je m'agenouille et je commence à sucer sa queue.
- Putain de Dieu!
- Oui, sa langue est agile, elle s'entraine beaucoup.
- Que fait-elle d'autre?
- Tout ce que je lui dis.
- N'importe quoi?
Pour toute réponse, il claque des doigts et m'ordonne :
- A poil!
Je sais qu'il ne faut pas que j'hésite. Je déboutonne d'abord mon chemisier, révélant ainsi un soutien-gorge en dentelle rose avec des balconnets qui laissent déborder mes gros seins. Je le décroche doucement et je laisse mes seins rebondir tandis qu'il tombe au sol. La bouche de Jimbo est grande ouverte. Je suis contente de le voir ébahi même si la situation est dégradante pour moi. Je détache la jupe et la laisse tomber sur le sol. Comme je ne suis pas autorisée à porter de culotte, je suis nue à l'exception de mes bas et de mes talons.
- Présente toi! Me dit Maître Michael.
Je marche lentement jusqu'au fauteuil de Jimbo et je m'arrête à côté. J'écarte légèrement les jambes et je joins mes mains derrière mon dos. Je pousse ma poitrine en avant tout en regardant un point fixe au-dessus de sa tête pour ne pas avoir un contact visuel avec lui pendant qu'il me détaille.
- Oh merde!
- Et oui Jimbo, pas encore marié mais j'ai le temps et je ne me lasse pas de ça.
- Mais comment as-tu fait? Comment as-tu trouvé une esclave sexuelle? Et jusqu'où peut-elle aller? Je veux dire : Que peux-tu lui ordonner de faire? Peux-tu lui demander de se couper un bras?
- Elle a placé une annonce à la recherche d'un gang-bang. Quelques amis et moi-même avons été heureux de lui rendre ce service. C'est vraiment une salope incroyable, elle baise tout ce qui bouge. Elle est toujours tellement excitée que nous devions la garder, en partie pour sa propre sécurité tu comprends. On prend soin d'elle et on la baise. On la fouette aussi, elle en a besoin. Présente-lui ton cul!
Je tourne le dos à Jimbo, écartant un peu plus mes jambes avant de me pencher et toucher du bout des doigts mes orteils au sol. J'ai de belles ecchymoses à cause de deux coups de canne hier soir et quelques coups de fouets la nuit dernière. J'aurais aimé voir le visage de l'homme. Il ne dit rien. Je suppose que sa bouche est encore ouverte.
- Tu devrais l'essayer Jimbo. Est-ce que tu aimerais une bonne fellation? Je crois me rappeler que Judy n'aime pas cela alors ça doit faire longtemps que tu n'en as pas eu. N'est-ce pas?
- Oh elle le fait mais elle n'aime pas ça. Et ça me fatigue de parler de ça. Murmure Jimbo.
- Esclave, suce sa bite!
- Oui Maître.
Je m'agenouille devant le siège de Jimbo. Je ne sais pas s'il va rester là ou se lever. Comme il semble encore un peu ahuri, je tends la main pour déboutonner son pantalon. Ça le pousse à agir alors il ouvre sa braguette, s'avance dans le fauteuil tout en sortant sa queue. Elle est un peu plus petite que celle de Maître Michael, mais il n'a pas à en avoir honte. Elle est dure comme du roc et j'ai du mal à la prendre. Pendant que je le pompe, je ne peux pas voir son visage. Je le titille avec ma langue et je le fais gémir.
- Maintenant Jimbo, je ne peux pas te laisser jouir en elle, pas sans un test pour les MST. Alors tu peux jouir sur son visage ou sur ses seins. Ou alors tu peux mettre un préservatif si tu veux jouir en elle.
- Je peux la baiser?
- Bien sûr si tu mets un préservatif... Et... si tu es sûr que Judy ne s'en souciera pas...
- Bah!
Jimbo me repousse et se lève. Il regarde autour de lui, comme si un lit allait apparaître par magie.
- Où?
Maître Michael lui lance un préservatif encore enveloppé dans son emballage d'aluminium et il lui répond :
- Partout où tu veux, sauf sur mon bureau. J'aime la baiser contre la fenêtre ou sur le dos du canapé pour l'enculer.
- Je peux la sodomiser?
- Oui! Judy ne t'a jamais laissé faire ça non? J'ai peur que tu l'ais effrayée en allant trop vite. Ça lui a probablement gâché sa vie.
Jimbo lui jette un regard méchant. Il arrache ses chaussures et enlève son pantalon. Il attrape mon poignet et me hisse sur mes pieds.
- Puis-je la toucher? Tripoter ses seins?
- Tu peux la toucher comme tu le veux.
Il saisit mes seins comme un petit garçon qui a peur que son nouveau jouet disparaisse. Il serre fort, ses doigts jouent avec mes tétons et les pincent. S'il essaie de me faire mal, il n'a aucune idée de ma résistance à la douleur.
Il me tire derrière le canapé puis me pousse en avant sur le dossier. Par expérience je sais que je dois mettre mes mains dans le dos avant qu'il commence à me baiser.
- Ne l'encule pas à sec! Le préservatif a du lubrifiant, mais commence avec sa chatte. Ou alors je peux te donner la bouteille de lubrifiant.
Je sens des doigts pénétrer mon sexe.
- Dieu! Elle est trempée!
- Ouais, je t'ai dit que c'était une salope, elle mouille pour tout le monde.
Jimbo joue avec ses doigts dans ma chatte, me faisant un peu écarter les jambes. Puis il fait une pause.
- Allez, vas-y! Dit Maître Michael.
Jimbo donne quelques claques violentes sur mon cul déjà meurtri pendant que son autre main pompe ma chatte. Encore une fois, rien de plus que je n'ai l'habitude de subir chaque jour. J'entends la déchirure de la feuille d'aluminium et le son humide d'un préservatif que l'on roule sur une bite. Il se place bien derrière moi et enfonce sa bite violemment dans mon vagin. Mais comme je suis excitée et mouillée et qu'il n'a pas une bite aussi grosse que certains de mes Maîtres, je n'ai pas mal. Il me pilonne plusieurs fois en se penchant et faisant glisser une main sous mes seins pour les agripper.
Puis il se retire et je le sens mettre sa bite sur mon trou du cul et pousser. Même s'il vient de lubrifier sa queue avec mon jus, ça me fait un peu mal et j'étouffe un petit cri de douleur.
- Oh merde, putain de salop, tu la sens bien celle-là! Tiens, prends ça!
Il se raidit. S'il n'avait pas de préservatif, j'aurais senti le sperme inonder mon cul. J'étais contente que le foutre de ce type ne reste pas en moi. Il reste sans bouger un petit moment tout en tripotant mes fesses.
Puis il se retire tout en tenant le préservatif. Comme ça il ne va pas salir le sol. Je ne bouge pas car je sais que si je le fais sans autorisations, j'aurai encore plus d'ecchymoses.
- Alors Jimbo, qu'en penses-tu?
L'homme reste silencieux pendant quelques minutes.
- Tu sais, toi et ton esclave vous devriez venir à la cabane avec moi et Judy. Je suis sûr que toi et Judy aimeriez parler du bon vieux temps.
- Bien sûr, ce serait génial. Qu'elle appelle mon bureau et mette les choses en place avec ma salope.
Je me demande si Maître Michael le veut vraiment. Il ne semble pas que Judy soit une échangiste. Alors je me dis qu'ils vont me baiser tous les deux. Mes Maîtres m'avaient demandé de baiser beaucoup d'hommes et je sais que certains d'entre eux étaient mariés ou avaient des petites amies. Mais ce n'est pas à moi de juger. Je dois juste écarter les jambes sans avoir besoin d'apprécier.
- Salope, viens dire au revoir à Jimbo.
Je me relève de ma position sur le dos du canapé et je marche vers l'homme.
- Au revoir Monsieur! Dis-je les yeux baissés.
Jimbo hésite une minute puis il attrape mes seins et les tripote durement. Il se serre contre moi et met sa langue dans ma bouche. C'est probablement à la fois à cause du scotch et de l'homme, mais je me sens nauséeuse. Je suis contente quand il me lâche et s'en va, tout en disant à Maître Michael que sa femme Judy prendrait contact.
- Tu t'es bien conduite esclave.
- Merci Maître.
- Nous allons partir tôt aujourd'hui. Je te ramène à l'étage et tu te laveras bien pour que je puisse te baiser à nouveau.
- Oui Maître. Mais si Judy appelle, que voulez-vous que je lui dise Maître?
- Je crois que tu peux lui dire que son mari est un connard. Mais si elle n'a toujours pas compris alors elle est un cas désespéré. Tu lui diras que son mari t'a sodomisé dans mon bureau. Elle sait surement qu'il la trompe. De toute façon, je doute qu'elle appelle. Mais si elle le fait, trouve des excuses pour ne pas y aller. Je ne pense plus à elle, c'est moi qui ait fait la meilleure affaire en fin de compte.
- Oui Maître.
A suivre...
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