Texte de Géronimo (Elko)
Le maitre de ma mère.
Salut a tous! C'est Gabriel. Vous vous souvenez de moi ? Je vous ai raconté dernièrement comment j'ai découvert par le plus grand des hasards que ma mère était une salope. J'ai mis Christophe mon meilleur ami dans la confidence et nous avons abusé tous deux de ma mère. Elle m'a avoué après que je l'ai interrogée qu'elle était sous l'emprise du Diable. intrigué, vous l'imaginez bien, j'ai décidé de la suivre dans tous ses déplacements. Isabelle, ma mère, a tenté de reprendre le contrôle de la situation. Nous avons eu une grande discussion où elle m'a demandé de ne pas continuer. Que c'était une folie. Et si ton père apprenait m'a t'elle dit. Elle paraissait vraiment embarrassée et je n'ai pas insisté. Je suis de plus en plus excité quand je la regarde. Je l'observe plus ou moins discrètement toute la journée. Je lui impose de faire le ménage uniquement vêtu d'un tablier blanc et de mules à talons. Plus sexy que ces horribles pantoufles qu'elle a du jeter. Je m'adresse à vous Messieurs, avez-vous déjà demandé à votre épouse de faire le ménage déguisée en soubrette sexy ? Je vous le conseille, c'est très excitant ! Elle s'apprête à sortir. Aujourd'hui, elle est habillée d'une courte jupe blanche avec un haut noir. l fait très beau et elle n'a pas mis de bas. Ce qui m'ennuie un peu, j'aime quand elle met des collants ou des bas. Elle a enfilé des sandales à hauts talons.
-Ou vas-tu? Lui demandai-je.
Elle rougit légèrement.
- Je vais à la réunion de mon association.
Ma mère appartient à une association caritative qui s'occupe des défavorisés et des jeunes en difficultés, beaucoup de bourgeoises comme elle travaillent bénévolement par cette association très connue dans le quartier. Elle sort et je m'empresse d'enfiler mes baskets pour la suivre.
Son cul moulée par la jupe ondule, ses talons claquent sur le trottoir. Suivre ma mère est un vrai plaisir pour les yeux. Plusieurs hommes et des jeunes hommes voir des adolescents la matent sans aucune honte. C'est vrai qu'elle est bien roulée ma mère. Grande, fine, de belles jambes, elle ne fait pas ses 44 ans. Elle rentre dans un local située à la sortie du centre-ville et je m'arrête devant. Sur la devanture, une inscription : LE REFUGE DE LA MISERICORDE. J'hésite une fraction de seconde et j'entre à mon tour en prenant soin de ne pas faire de bruit. Il n'y a personne dans la pièce qui semble être un mélange de salle d'attente et d'accueil. J'entends une discussion étouffée dans la pièce voisine et j'entrouvre discrètement la porte.
La grande pièce ressemble à un débarras. Ou plutôt, devrais-je dire à la caverne d'Ali Baba ! Il y a de tout ! Des fringues, des meubles, des denrées non périssables, un grand lit même au fond de la pièce. Surement une réserve ou l'association entasse tout ce qu'ils pourront donner aux plus démunis. Je découvre ma mère agenouillée devant le type que j'avais aperçu dans la boite échangiste. Il est bedonnant, les cheveux blancs, il doit avoir la soixantaine. Il a sorti son sexe qui palpite devant les lèvres pulpeuses de ma maman. Elle ouvre à peine la bouche qu'il y engouffre sa bite et maman pousse un gémissement étouffé. Sa jupe est retroussée et on aperçoit sa fente. Elle n'avait pas mis de string pour aller rendre visite à ce gros pervers. Il appuie sur la tête de ma mère pour s'enfoncer encore plus loin. Sa queue coulisse entre les lèvres rouges de maman. Il rentre et sort avec régularité en soufflant et en bafouillant des injures a l'encontre de ma mère.
- Quelle petite pute tu fais ! T'es vraiment une chienne.
Ma mère s'applique à sucer cet homme qui l'avilie complètement. Les bruits de succions emplissent la salle. Je sens mon sexe durcir dans mon pantalon comme à chaque fois que je suis le témoin de la soumission de ma mère.
L'homme releva ma mère et lui ordonna d'enlever son haut. Elle s'exécuta, les yeux baissés, découvrant sa poitrine mis en valeur par un magnifique soutien-gorge qui laisse apparaitre la pointe de ses seins ! Maman a vraiment de la lingerie de pute ! Je suis étonnée de la voir attifée de cette manière. Elle, la bonne épouse, la femme respectable. Si papa savait ça.
Il triture les nichons de maman qui pousse un gémissement. Il lui malaxe les mamelons, lui tire la pointe des seins et elle pousse un cri de douleur. Il la retourne et lui claque les fesses.
- Qui suis-je pour toi ? lui lance-t-il d'une voix forte.
- Vous... Vous êtes... Philippe... mon amant, marmonne ma mère d'une voix misérable.
Nouvelle claque sur les fesses. Son derrière devient rouge.
- Et vous êtes mon maitre a qui je dois obéir aveuglement.
- Qui t'as ordonné cela ? crie l'amant ou le maitre, du coup je ne sais plus.
- Mon... Mon... Mari...
C'est comme si je recevais un coup de poignard en plein cour ! Mon père est au courant ! Et c'est lui qui a livré ma mère à ce pervers ? Mais pourquoi ? Encore un mystère qu'il me faudra éclaircir. Décidément ! Je découvre de biens étranges secrets de famille.
Maitre Philippe, puisque qu'il semble que ce soit son nom, courbe ma mère sur une table basse, jupe troussée, dévoilant son cul rougie et lui ordonne de rester dans cette position. Il revient avec un gode rose qu'il tend à ma mère. Celle-ci s'en empare et commence à le sucer comme s'il s'agissait d'une bite. Ses lèvres vont et viennent autour de la queue factice de latex. Philippe lui prend le gode et le fait coulisser rapidement avec une lueur salace dans le regard. Maman doit s'appliquer à sucer la fausse bite. Elle salive dessus. De la bave coule sur son menton. Il fait le tour de la table et enfonce brutalement le gode dans la chatte baveuse de maman. Il fait de nouveau coulisser le gode rapidement. Très vite, j'entends maman qui couine et je la vois qui ondule du cul. Elle pousse un gémissement. Elle halète.
- Oui... Oui... Maitre. Allez y.
- Ou est ton mari en ce moment?
- A l'étranger comme toujours, il n'est que rarement à la maison, gémit ma mère en soufflant.
- Et c'est bien pour ca qu'il t'a confié à moi ! Il ne te fait pas confiance ! Il te connaît trop ! Tu es une vraie chienne en chaleur.
- OUIIIII, crie ma mère en ayant un orgasme foudroyant.
Philippe retira le gode ordonnant à maman de le nettoyer. Elle donna de grands coups de langue, léchant sa propre cyprine. Il la releva la tenant par les cheveux et la poussa vers un grand lit à baldaquin. Elle se retrouva à genoux dessus, la croupe cambrée et Philippe lui ordonna de rester dans cette position. Philippe enfonça son index et son majeur dans la chatte de maman.
- T'es trempée. t'es vraiment une salope.
Nouveau gémissement de maman. Je sors ma bite et commence à me branler.
Le maître de maman sortit de la pièce et revint très vite avec des cordelettes avec lesquelles il lia les poignets et les chevilles de maman aux quatre colonnes du lit. De cette façon, maman était à la merci de son maître. Elle commença a le supplier d'arrêter, qu'elle n'aimais pas être attachée mais Philippe lui enfonça une culotte roulée en boule dans la bouche et ses supplications se terminèrent en gémissements. Il l'humilia encore plus en lui avouant que la culotte était sale, qu'elle avait été portée pendant une semaine par une autre salope comme elle. Intéressant ! Il avait donc plusieurs soumises ce brave homme ?
Philippe empoigna son sexe et s'enfonça dans le con d'Isabelle. Il donna un violent coup de rein et s'enfonça de toute sa longueur. La labourant avec violence. Je me branle comme un forcené, je vais m'arracher la bite si ca continue.je pousse des gémissements mais ils sont couverts par ceux de maman qui hurle presque à chaque aller-retour de Philippe. Son gros ventre claque contre les fesses de maman. Il transpire à grosses gouttes. Il s'active sur ma mère en l'insultant et en la traitant de grosse chienne, de salope. Il sortit et força l'anus de ma mère qui poussa un hurlement étouffé par le bâillon improvisé. Il s'enfonça avec violence dans son cul. Les mains agrippés à ses hanches, il lança en avant son gros ventre. Violant ses reins, Philippe s'enfonçait dans sa croupe. Ma mère gémissait sans discontinuer. Il se retira d'un coup causant une nouvelle douleur à ma mère et fit le tour du lit se mettant devant son visage ravagé. Des larmes coulent sur ses joues et j'ai un sentiment de honte qui m'envahit. Soudain, Philippe se branla au dessus du visage de ma mère, qui les yeux exorbités, tout rouges, fixe la bite de Philippe. Il lâcha une trainée de foutre qui alla s'écraser sur le front de maman et commença à couler sur son nez. Un autre jet plus puissant alla s'écraser sur son menton. J'éjaculai au même moment. Le sperme jaillit allant s'écraser sur le sol.
Philippe libera ma mère et lui ôta le bâillon. Il lui tendit un mouchoir pour qu'elle essuie ses larmes et le sperme. Elle le remercia d'un sourire. Elle se rhabilla, redevenant une bourgeoise respectable.
Philippe tendit sa main et maman la baisa ! Je fus quand même stupéfait d'être le témoin de cet avilissement extraordinaire ! Ma mère était vraiment devenue l'esclave soumise de cet homme et mon père le savait. Pire, il avait ordonné à ma mère de le devenir ! Mais Pourquoi
Ma mère sortit et des que j'en eu l'occasion, je la suivis toujours sans avoir été repéré par Philippe. Je venais de prendre une décision ! J'allais demander de sérieuses explications à ma mère et à mon père des qu'il rentrerait !
A suivre...
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