La nouvelle vie de Christine - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte
Christine se fait baiser au bureau par son collaborateur.Ce matin-là, nous arrivâmes sur la parking à 8h20 et stationnâmes au même emplacement que d'habitude. Christine s'assit de nouveau derrière, son chemisier ouvert, ses gros seins à nu. Elle était assise derrière moi, face à l'autre porte de la banquette arrière, elle avait une jambe sur mon dossier et l'autre sur le haut de la banquette arrière. Ainsi, avec les jambes écartées à 45 degrés, sa jupe étant plus courte que d'habitude à ma demande, elle exposait sa petite culotte.
Nous attendîmes Marc.
Il arriva bientôt, se gara à côté de moi et sortit de sa voiture tout souriant. Ma vitre étant déjà baissée, je lui dis de monter derrière de l'autre côté.
- Ok. Dit-il.
Il contourna la voiture et ouvrit la portière arrière puis se glissa à côté de sa collègue torse nu. Admirant la pose il dit avec un large sourire :
- Bonjour Christine!
- Bonjour Marc.
Elle répondit lentement tout en déplaçant ses mains sur la boucle de ceinture de son collaborateur.
Le sourire de marc s'élargit encore plus alors qu'il devinait ce qu'allait faire la femme .Après avoir défait la ceinture, ma belle-mère ouvrit le pantalon puis tira sur la chemise et la déboutonna. Marc avait une poitrine ferme et peut-être un petit peu trop d'embonpoint. Christine tira sur le pantalon ainsi que sur le caleçon de son collègue jusqu'à ce qu'ils soient en tas par terre. J'étais impatient de la voir se servir de sa bouche.
- Puis-je me mettre autrement maître?
Bien sûr, je l'autorisai à se mettre dans une meilleure position. Elle se retourna à quatre pattes, son cul pointant vers la fenêtre, sa tête au niveau de la verge qui grossissait à vue d'œil. La queue de marc avait une taille et une circonférence normale, presque semblable au gode violet. Toutefois où le gode avait une pointe, sa bite avait un grand dôme rose avec deux grosses veines sur toute la longueur de son membre.
Christine tendit la main et, avec ses doigts minces, attrapa le sexe de son assistant pour la première fois.
Appuyé contre le siège, celui-ci dit :
- J'attend ce moment depuis lundi Christine.
Le membre de Marc avait atteint sa taille maximale dans la main féminine. Ma belle-mère ferma les doigts et branla le sexe à quelques reprises avant de baisser la tête à 5 cm de son gland. Marc laissa échapper un petit jappement quand il sentit l'humidité de la langue de Christine sur sa verge.
- Oh merde! Dit-il le souffle coupé.
Mais la langue disparut, descendant le long de son membre jusqu'aux testicules. Je savais ce qu'il ressentait. Ma belle-mère était une excellente suceuse et ses yeux fermés me le confirmèrent.
Christine passa cinq bonnes minutes à lécher les couilles, le membre et le gland afin que son sexe soit bien lubrifié de partout. Ensuite elle leva la tête pour la placer juste au-dessus de l'arbre dressé, elle retira ses mains et attendit que Marc la regarde.
Celui-ci ouvrit les yeux afin de voir pourquoi elle avait disparu.
Christine croisa son regard et lui dit :
- Ceci est pour vous remercier de service que vous m'avez rendu Marc.
Et elle laissa tomber sa tête, ouvrant la bouche afin d'engouffrer le sexe raidi, jusqu'à ce qu'il heurte le fond de sa gorge, la bâillonnant. Puis elle remonta pour prendre de l'air.
Ensuite, retenant son souffle, elle mit ses lèvres autour du gland en le serrant puis elle descendit sa bouche de 7 cm, épluchant ainsi le prépuce. Elle saisit la queue avec sa main gauche et fit à Marc l'une de ses fellations humides et expertes.
Il lui restait une bonne vingtaine de minutes pour faire éjaculer son partenaire. Mais je savais, même sans regarder le visage congestionné de marc, que ça n'allait durer qu'un peu plus de dix minutes environ.
Je me tournai sur mon siège afin d'avoir une vue correcte sur l'action et j'allumai la caméra sur mon smartphone afin de garder un souvenir de la scène.
Aucun des deux ne me vit les filmer, Christine suçant sans s'arrêter et Marc gardant les yeux fermés depuis le début. Donc les douze prochaines minutes, j'enregistrai ma belle-mère prostituant sa bouche et je saisis le moment où le collaborateur commença à trembler, pas loin de tout décharger.
- je vais éjaculer! Dit-il en ouvrant les yeux sans même se rendre compte que je filmais.
Il rajouta :
- Où puis-je le faire? C'est pour bientôt!
Son corps se contracta et il poussa son bassin en avant, enfonçant plus profondément sa bite dans la bouche de Christine
- Balancez tout dans sa bouche et elle avalera comme une bonne pute. N'est-ce pas salope?
- Mmmmmmppphh ummmmmpppphh. Marmonna-t-elle en se préparant à goûter le sperme de son assistant.
Marc pris la tête de sa patronne entre ses mains et dit :
- Voilà Christine, avalez tout.
Il eut trois ou quatre soubresauts et j'enregistrai les joues de ma belle-mère se remplir.
Finalement, elle ingurgita tout, la bite toujours fermement ancrée au fond de sa gorge.
- Salope? Montre à Marc que tu as apprécié son foutre. Demandai-je tout en continuant de filmer.
Elle leva la tête, laissant apparaître la bite couverte de salive. Puis elle ouvrit la bouche et inclina la tête afin qu'il puisse voir la gorge vide.
- Vous êtes vraiment une grosse salope Christine n 'est-ce pas?
Ce n'était pas vraiment une question mais plutôt une affirmation maintenant qu'il voyait autrement sa patronne.
- Vous pouvez y aller Marc, j'accompagnerai moi-même Christine au travail. On se revoit demain. Dis-je.
- D'accord! Répondit-il en s'habillant à la hâte et en quittant ma voiture.
Je donnai à ma belle-mère son soutien-gorge et elle finissait de s'habiller lorsque nous arrivâmes quelques minutes plus tard au bord de son immeuble de bureau. Je me garai le long du trottoir et je donnai à Christine les instructions pour la journée :
- Quand il sera 9h15, je veux que tu m'appelles et que tu mettes le haut-parleur. Ensuite tu demanderas à marc de venir à ton bureau. Tu lui diras que de sucer sa bite ce matin t'a fait complètement mouiller. Et tu lui montreras en étant assise sur ton bureau, évasant les jambes et écartant ta petite culotte.
- Oui maître
C'était la réponse que je voulais entendre.
- Et je te suggère d'être réellement mouillée car je demanderai à Marc de vérifier.
- Oui maître. Répondit-elle à nouveau.
- Ensuite à 11h00 tu iras voir marc pour lui dire que tu vas aux toilettes pour te masturber. Avant d'aller déjeuner il devra attendre à son bureau que tu lui apportes ta petite culotte à 12h00. Je lui demanderai si tu as respecté mes ordres. D'accord?
- Oui maître.
- Enfin à 16h45, après m'avoir appelé et mis le haut-parleur tu demanderas encore à Marc de te rejoindre dans le bureau. Là tu auras quinze minutes pour avoir un orgasme et demander à ton assistant d'éponger ta chatte avec ta culotte. Je veux que tu sois dans ma voiture à 17h05 sans faute. Tu as tout compris?
- Oui Maître.
- Tu ferais bien de te presser, tu dois me téléphoner dans 13 minutes.
Elle sauta de la voiture et pénétra rapidement dans l'immeuble.
Je repartis vers le parking afin d'attendre son appel.
Pile à l'heure mon téléphone sonna et je répondis immédiatement :
- Oui salope! Suis-je sur haut-parleur?
- Oui Maître.
- T'es-tu amusée avec ta chatte?
- Un petit peu Maître.
- Bon. Appelle Marc.
J'écoutai et je l'entendis ouvrir la porte et crier à travers la pièce :
- Marc, puis-je vous voir dans mon bureau cinq minutes s'il vous plaît.
Elle semblait un peu nerveuse de devoir faire de telles choses au travail mais je savais qu'avec le temps elle s'y habituerait.
Quelques secondes plus tard, j'entendis la porte se fermer et un bruit qui ressemblait à un mouvement de papier sur le bureau. Puis Christine parla :
- Marc, j'ai pensé que vous voudriez savoir que d'avoir sucé votre bite ce matin m'a fait tellement mouiller qu'il est juste que je vous le montre.
D'autres bruits se firent entendre. Je supposais qu'elle était en train d'écarter sa culotte. Je dis au téléphone :
- Salut Marc.
- Euhhhh. Salut. Répondit-il confus.
- Ne vous inquiétez pas, je voudrais juste que vous fassiez certaines choses pour moi aujourd'hui?
- Lesquelles? Demanda-t-il.
- Je veux juste vous parler dans la journée afin de m'assurer que Christine respecte bien mes ordres. Ça vous va?
- Oui, pas de problèmes. Dit-il intrigué.
- Ok. Pour l'instant j'espère que Christine est sur son bureau, les jambes écartées, en train de vous montrer sa chatte?
- Oui exactement.
- Elle vous a dit qu'elle avait mouillé lorsque qu'elle vous avait sucé? Est-ce que sa chatte est vraiment humide?
- Euhhhh. Je pense que oui. Dit-il d'un ton peu convaincant.
- Pouvez-vous vous rapprocher et vérifier qu'elle est vraiment mouillée?
J'attendis alors qu'il devait se rapprocher d'elle. Puis il confirma :
- Oui elle est trempée.
- je vous remercie Marc, vous pouvez la laisser maintenant.
J'entendis la porte s'ouvrir et se fermer alors qu'il sortait. Je dis avant de raccrocher :
- Très bien Salope, je te rappelle plus tard.
A 13h05, j'appelai Christine qui répondit à la troisième sonnerie. J'ordonnai :
- Salope, met moi en ligne avec Marc
- Oui maître. Tout de suite.
La ligne cliqueta et soudain la voix de Marc dit bonjour.
Je lui demandai :
- Dites-moi Marc ce qui est arrivé à 11h00 aujourd'hui?
Il répondit d'une voix étouffée :
- Christine est venue me voir à mon bureau pour me dire qu'elle allait aux toilettes pour se masturber. Puis vingt minutes plus tard elle est revenue pour me demander d'attendre jusqu'à midi car elle avait un cadeau pour moi?
- Parfait. Et elle vous a apporté son cadeau à 12h00?
- Et bien en vérité il était 12h10 car à midi je parlais à Jean et Nicolas. Elle m'a amené sa culotte trempée quand ils sont partis.
- 12h10? ce n'était pas l'heure convenu. Merci Marc.
Il raccrocha et je rappelai Christine. Sur un ton furieux qui marquait ma déception je lui dis :
- Salope! Pourquoi as-tu donné ta culotte à 12h10 et non à 12h00 comme je te l'avais ordonné?
-
Elle essaya de plaider sa cause.
- Je ne pouvais pas maître, il y avait d'autres collaborateurs avec Marc.
- Je ne veux pas savoir. A l'avenir je veux que tu m'obéisses. Tu trouves le moyen de donner ta culotte même s'il y a d'autres personnes. Si on te voit c'est de ta faute, pas de la mienne. Je veux te voir dans la voiture à 17h05.
Je raccrochai.
A 16h45, mon téléphone sonna. Christine mit le haut-parleur et je l'entendis de nouveau inviter Marc dans son bureau. La porte se ferma et elle dit :
- Marc, j'ai quinze minutes pour me provoquer un orgasme. Ensuite vous devrez essuyer ma chatte avec ma culotte. Je dois être dans la voiture de mon maître à 17h05.
- Quelle salope! allez-y! répondit son collègue avec excitation.
A travers le haut-parleur, je demandai :
- Dites-moi où cette pute est assise Marc, je veux m'imaginer la scène.
- Elle est assise sur sa chaise, un pied sur le sol et un pied sur le bureau. Elle a trois doigts dans son vagin et elle se triture un mamelon. Vous êtes vraiment chanceux.
- Et vous, où êtes-vous?
- Je suis juste en face d'elle.
- Bien Marc. Il va falloir que je mette une webcam dans son bureau pour que je puisse voir moi aussi. Si je fournis le matériel, pourrez-vous le mettre en place pour moi?
- Oui je peux faire ça.
- Merci Marc. Profitez du spectacle maintenant.
J'écoutai en silence les doigts de Christine pénétrer sa chatte. Sa respiration fut de plus en plus rapide et elle laissait échapper des gémissements de plus en plus forts. Puis elle jouit bruyamment.
Quand elle eut fini, je demandai à Marc :
- Marc? Avez-vous aimé?
- Oh oui.
- Maintenant, nettoyez sa chatte avec sa culotte. Vous pouvez la garder en souvenir. Quand à toi salope, ramène ton cul, tu as quatre minutes.
Je raccrochai.
Une fois qu'elle fut dans la voiture, je soulevai sa jupe pour voir si sa chatte était encore humide. Mais elle avait été bien nettoyée par Marc.
Ce soir encore, le mari de Christine étant endormi complétement aviné, je baisai ma belle-mère sur le canapé et je la laissai là mon sperme dégoulinant de son sexe.
Je partis au lit en recherchant de nouvelles façons d'humilier Christine au travail.
A suivre...
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