mardi 27 août 2019

Le contrôle fiscal.

Le contrôle fiscal - Récits érotiques - Contrainte


J’ai 21 ans et je suis enceinte de notre premier enfant. On habite encore sur la région Parisienne. Le travail de mon mari ne marche pas très fort, il a donc décidé de monter sa propre société. Les difficultés comptables et administratives mettent vite son activité en péril. C'est donc naturellement que, lorsque je m’arrête pour mon congé maternité, je me charge de toutes ces tracasseries pour qu'il puisse se consacrer entièrement aux affaires.

Alors que son entreprise a moins d'un an d'existence, le fisc s'intéresse à notre déclaration. Je n'ai repris les comptes que depuis une quinzaine de jours et lorsque les inspecteurs se présentent au bureau, je suis plutôt angoissée. Je n'ai plus grand chose à me mettre, vu la taille de mon ventre et j'ai du mal à trouver une tenue convenable pour la date du rendez-vous. Je porte une robe de grossesse achetée à la hâte et qu'après coup je trouve mal taillée. Elle comprime ma poitrine devenue imposante et elle est trop courte pour cacher entièrement mes cuisses devenues trop grosses elles aussi. J'espère un rendez-vous rapide étant donné le petit nombre de pièces comptables. 

Les deux inspecteurs restent la journée entière à tout éplucher. Je les ai dans le bureau avec moi en permanence. Le plus jeune est gentil et essaie de m'aider mais l'autre ne fait aucun cas de mon état et à la fin de la journée, j'ai mal au jambes à force de m'être déplacée pour leur chercher des justificatifs. Ils me saluent en partant et je pense que c'est fini. Je suis d'autant plus surprise lorsque, à peine une semaine plus tard, un des inspecteurs m'appelle pour me dire que l'on est passible d'un redressement de vingt-trois mille francs. Devant mon étonnement, il me propose un rendez-vous dans leurs bureaux pour essayer d'éclaircir ces anomalies. Sous l'effet de la surprise, j'accepte un entretien pour le lendemain. Le soir même, j'en parle à mon mari qui me dit ne pas pouvoir m'accompagner à cause d'un rendez-vous d'affaires.

Je me rends donc seule à ce rendez-vous. J'y  arrivé un peu en avance et assez tendue. Seul le plus vieux des deux inspecteurs est là. Je me sens encore plus intimidée. Il me gêne. Il doit avoir la cinquantaine, grand, les cheveux grisonnants. Il ressemble un peu à Pierre BELLEMARD. J'avais espéré que le plus jeune aurait à cœur d'arranger les choses. Il m'explique que le redressement a été décidé pour activité salariée non déclarée durant un congé parental. Je lui explique que je n'ai pas travaillé mais juste aidé mon époux. Il comprend très bien mes motivations et j’espère donc qu'il reviendra sur sa décision. Sa conclusion de l'entretien me glace. Après l'espoir qu'il a fait naître par sa compréhension, il me dit tranquillement ne rien pouvoir faire pour moi et que la loi est faite ainsi.

Je me lève pour prendre congé de lui et il me raccompagne jusqu'à la porte. Il l'ouvre et dans un geste naturel, comme pour me guider, il pose sa main sur mes fesses et me dit :

- Si les lois sont faites pour être appliquée, elles sont parfois négociables !

Je suis interloquée et je pars sans répondre.

Ce n'est pas la première fois que je me fais draguer depuis que je suis mariée mais là cela me trouble. Je n'ai jamais cédé ni jamais provoqué personne. Cette fois encore je ne vois pas ce que j'ai fait pour exciter la convoitise de cet homme surtout dans l'état ou je suis. Toute la journée, je me sens nerveuse. Je ne sais pas si je dois en parler à Philippe qui a déjà assez de problèmes comme ça.

Durant les jours qui suivent, je me sens coupable vis à vis de mon mari et d'autant plus que l'idée d'aller demander un arrangement à cet inspecteur me tiraille. Une pénalité de ce montant mettra fin à coup sur à nos chances de réussite. 

Sans avoir rien dit à mon mari, je rappelle cet homme et lui demande une entrevue. Il cherche à savoir au téléphone si j'ai bien compris sa proposition. Je lui confirme sans oser lui parler ouvertement. 

Pour la première fois depuis notre mariage, je mens à mon mari pour partir au rendez-vous que m'a fixé cet homme dans son bureau un peu avant midi le lendemain. Je ne sais pas trop comment m'habiller et puis après tout, comme c'est dans cette robe qu'il a du avoir ces pensées, je la remets. Pour habiller mes jambes, j'enfile une paire de bas car mon ventre est trop rond pour pouvoir supporter des collants. Je mets un imper par-dessus tout ça pour ne pas trop me faire remarquer dans le métro et je pars. Je dis à mon mari partir à la recherche d'une crèche pour faire garder notre enfant. 

Plus j'approche de l'immeuble des impôts et plus je me sens tendue. Devant la porte j'ai presque envie de repartir, tout raconter à mon mari. Je ne sais pas pourquoi mais je rentre et me dirige sans passer par l'accueil vers le bureau de mon interlocuteur. Je frappe, il me dit d'entrer. Je pousse la porte, il se lève pour me serrer la main. Il se met à me parler comme si de rien n'était de ma situation. Je me demande si je n'ai pas rêvé, si j'ai bien compris son allusion. Lorsqu'il me propose d'aller déjeuner, même si la proposition me surprend, je suis presque soulagée.

Pendant le déjeuner, j'essaie de donner le change, j'évoque mon cas mais chaque fois il aborde un autre sujet. J'essaie de savoir ce que va devenir cette procédure de redressement et lui me répond à côté. Il s'amuse de mon embarras. Ses regards se font de plus en plus concupiscents et je dois sûrement être toute rouge. 

C'est de retour à son bureau que tout s'accélère. Il me fait asseoir sur le fauteuil et lorsque je le sens poser ses mains sur mes épaules, je sursaute même si je m'y attendais en le sentant derrière moi. Je me raisonne en me disant qu'il y a du monde dans les bureaux d'à côté et qu'il me suffira de crier si cela va trop loin. A ce moment la je repense que je n'ai pas demandé à cet homme ce qu'il voulait de moi. Je me suis fixée des limites et je ne veux pas qu'il me pénètre mais je ne lui ai pas dit. Je me trouve bête d'être aussi timide. Je me prépare à le lui dire lorsqu'il me rappelle qu'il est en mesure de mettre fin à nos soucis. Mes bonnes résolutions tombent d'un coup et je me tais, espérant que cela n'ira pas trop loin.

Ses mains massent mes épaules puis descendent sur ma poitrine à travers ma robe. Doucement elles progressent et finissent par passer dessous. Je les sens sur ma peau nue. Je ferme les yeux et pense à mon mari. C'est la première fois que d'autres mains que les siennes me caressent. Il défait les boutons de ma robe et la baisse sur ma taille. Des voix se font entendre dans le couloir et des pas se rapprochent. Je me raidis. Je suis en soutien-gorge dans un bureau et j'ai peur que quelqu'un rentre. Ouf ! Ils ne font que passer. L'homme à senti ma réaction et il s'en amuse :

- Pas facile de se laisser aller ? C'est la première fois ?

Je ne peux répondre, aucun son ne sort de ma bouche. Je hoche la tête. Il s'en amuse. Ses mains maintenant malaxent mes seins qu'il a sortis de leurs bonnets. Il s'avance sur le côté du fauteuil et prend ma main sur l'accoudoir. Il la pose sur sa braguette et me fait sentir son sexe gonflé. Il me semble assez épais. Il retire sa main. Je continue à le caresser. Soudain sa voix claque :

- Alors ! Sortez-la ! Je ne vais pas tout vous demander ?

J'ouvre les boutons et tire sur son sexe pour le sortir. En effet, il est assez gros même s'il n'est pas très long. Je referme les doigts dessus et je vais et viens sur la longueur. J'accélère mon mouvement en espérant qu'il jouira vite et qu'il me laissera partir. 

Une de ses mains quitte ma poitrine et se pose sur ma nuque. Il pèse sur celle-ci. Je résiste car je n'avais pas prévu d'accepter de le sucer. Je lève les yeux vers lui pour lui faire comprendre mais il insiste. Je l'avale sans rien dire. J'espère toujours que cela sera bientôt qu'un mauvais souvenir. J'ai déjà pratiqué cette caresse sur mon mari même si j'ai peu d'expérience mais là, j'ai vraiment du mal. Son sexe est si large que ma mâchoire me fait vite mal. Je sens quand même que l'effort conjugué de mes doigts et de ma bouche excite mon partenaire. Je sens aux contractions de son sexe contre mon palais qu'il n'est pas loin de jouir.

Soudain, il m'arrête en me faisant lever. Je suis déçue car je pensais en avoir fini. Il m'embrasse à pleine bouche après m'avoir complimentée. Sa langue fouille ma bouche. Il l'enroule à la mienne pleine de salive. Ses mains ne restent pas inactives et elles caressent mes cuisses en remontant ce qui reste de ma robe. En sentant la peau nue au-dessus de mes bas, il me murmure :

- Salope ! Tu as pensé à moi en t'habillant ce matin ?

Au lieu de lui dire la vérité, que je ne peux rien mettre d'autre en ce moment, je lui laisse penser qu'il a raison. Arrivé à ma culotte, je sens qu'il essaye de la descendre. Je la retiens d'une main en lui disant que je ne veux pas aller plus loin. Il force en me disant qu'il est trop tard pour fixer des conditions, que lui n'en avait fixé aucune pour réétudier notre dossier. Autant de mauvaise foi me laisse sans voix. Alors que je tiens ma culotte d'une main, je la sens craquer, là où il la tire. Je pousse un cri à la fois de surprise et de peur. Il s'arrête en regardant vers la porte :

- Attention madame ! Les cloisons sont très fines ici. Vous risquez d'attirer des curieux.

Je ne dis plus rien pendant qu'il baisse le reste de ma culotte sur ma cuisse. Il passe un doigt entre les lèvres de mon sexe. Il les ressort trempés et me les met tout brillant sous le nez. Ma honte augmente encore en constatant que je suis trempée malgré la situation. Il me soulève par les fesses et me dépose sur son bureau. Il écarte mes jambes et se présente la bite dressée entre les mains à l'entrée de mon sexe.

Je le repousse sur le torse en lui demandant de ne pas me pénétrer. Il rigole en me demandant si j'ai peur d'être enceinte. Je lui réponds qu'évidemment non mais que je ne veux pas coucher avec un autre homme que mon mari. Il me dit qu'après cela mon dossier partira aux archives. En m'appuyant sur les coudes, je cède et le laisse faire. Son sexe à du mal à rentrer malgré mes sécrétions et ma grossesse. Je le sens se distendre au passage de cet engin si gros. Dans ma tête, je me dis qu'après tout dans quelques mois ce sera bien plus pénible.

À mon grand étonnement, mon sexe s'habitue et je sens même le plaisir monter en moi. J'ai peur et je le dis à mon partenaire car lorsque je jouis, je suis assez bruyante et je me rappelle sa remarque sur les cloisons du bureau. Lorsque mes gémissements se transforment en râles puis en cris, il pose sa grosse main en travers de ma bouche pour étouffer le bruit. Je jouis longtemps avant qu'il ne prenne son plaisir. Il se retire en caressant mes cheveux et mes joues. Il me félicite de mon comportement et me dit que la société de mon mari me doit beaucoup.

Je me relève, lui demande si je peux partir. Il me donne un baiser sur la bouche en me raccompagnant. Lorsque je sors du bureau, je sens sa semence couler sur mes cuisses et je prends conscience que j'ai oublié ma culotte sur son bureau. Je n'ose pas y retourner d'autant plus que j'ai l'impression que tous les gens me regardent en sachant ce que je viens de faire.

Je rentre à la maison en sentant sécher le sperme sur mes cuisses. Lorsque j'arrive, mon mari est là. Il me regarde en me demandant si cela s'est bien passé. Je deviens toute blanche en me demandant comment il a pu savoir. Devant mon étonnement il me dit :

- Alors Notre fils aura une crèche ?

Soulagée de comprendre la méprise qui a failli me pousser à avouer mon adultère, je pousse un soupir de soulagement et je lui dis :

- Heu ! Oui bien sûr mais il faudra que j'y retourne pour confirmer.

Prétextant que j'ai eu chaud dans le métro, je lui dis que je monte prendre une douche. Toute seule en haut, je pense aux risques que je viens de prendre s'il avait voulu me caresser ou pire me faire l'amour à mon retour. Je jette les bas souillés de sperme, je prends une douche et je redescends. Mon mari a préparé l'apéritif et me dit que l'on doit fêter cela. Je suis gênée car je ne peux lui dire que ce qu'il va fêter c'est que je l'ai trompée. Il porte un toast et je me blottis dans ses bras. Pas très fière mais soulagée que la situation se soit améliorée.

Je pensais ne plus entendre parler du fisc mais un matin le téléphone sonne.

- Bonjour madame, c'est l'inspecteur des impôts. Il me manque une petite formalité pour clore votre dossier.

Je me lève pour vérifier que mon mari ne peut m'entendre et je repousse la porte du bureau.

- Mais enfin ce n'est pas possible ! Vous m'aviez dit que c'était terminé.

- Oui mais en regardant de plus près je me suis aperçu qu'il me manquait quelque chose.

- Mais quoi enfin !

Il me répond sèchement.

- Je n'ai pas eu votre cul la dernière fois.

- Ha Non !  Désolée mais ce n'est pas possible. Je suis vierge par-là.

Je murmure ma réponse à cause de la présence de mon mari dans la pièce d'à côté.

- Pourtant c'est une pièce indispensable. Il va falloir vous y préparer car je dois prendre une décision avant la fin de la semaine. Je vous promets de faire ce qu'il faudra pour ne pas vous faire souffrir et cela aura lieu chez vous car je n'ai pas envie de voir tout le monde ameuté au bureau alors donnez-moi une date pour que l'on se rencontre.

Sans avoir encore pris de décision, je feuillette l'agenda de mon mari. Je trouve un matin où il a un rendez-vous éloigné qui lui prendra sûrement la journée.

- Je peux vous recevoir mercredi matin mais il faudra que l'on discute de cet accord car je ne peux pas prendre le risque de vous voir téléphoner n'importe quand.

J’essaie d'employer une formule neutre au cas ou mon mari entende.

Le mercredi matin arrive et dès le départ de mon mari je me prépare. J'ai à l'idée de l'amadouer et de tellement lui faire envie de mon sexe qu'il en oubliera mon anus. J'ai acheté une nouvelle paire de bas, une culotte en dentelle qui peut tenir sur mon ventre et un soutien-gorge à balconnets assorti. Et surtout j'ai entièrement épilé mon sexe en expliquant à mon mari que c'est la sage femme qui me l'a demandé puisque la date de l'accouchement approche. J'ai justifié cela en lui disant que cela était plus hygiénique et plus pratique pour les médecins.

J'attends l'arrivée de cet homme en tremblant comme une jeune fille. J'ai à la fois honte de mon comportement et peur à l'idée qu'il mette sa menace à exécution à cause de la taille de son sexe. Lorsqu'il sonne, j'ouvre avec mon sourire le plus charmeur. Il m'embrasse sur la bouche en me demandant si mon mari est parti. Je le rassure en lui demandant s'il me promet après cela de ne plus m'importuner. Il sort de sa mallette mon dossier en me disant qu'il le laissera là si tout se passe bien.

Rassurée mais pas au bout de mes efforts je me blottis contre lui en lui massant le sexe à travers son pantalon. Je lui dis de me suivre jusqu'à la chambre mais il préfère le bureau où l'on s'est rencontré la première fois. Je le conduis jusqu'au bureau en le tenant par la main. Je le pousse pour qu'il s'assoie dans le profond fauteuil en cuir et sans attendre, je dégrafe son pantalon pour libérer son sexe et le sucer. Je m'applique en me rappelant les conseils qu'il m'a donné la première fois et les images que j'ai vues dans un film érotique. Je le suce sans quitter ses yeux et je sens qu'il s'excite rapidement.

Lorsqu'il me fait arrêter pour ne pas jouir dans ma bouche, je me lève et soulève ma jupe face à lui en lui demandant de baisser ma culotte pour découvrir la surprise que je lui ai fait. En découvrant mon sexe lisse sous mon gros ventre, il me traite de salope et de putain. Je lui souris en lui disant que je l'ai fait pour lui et que j'ai envie qu'il me prenne. Il éclate de rire en comprenant où je veux en venir.

- Vous avez cru en  faisant tous ces efforts que j'oublierais le but de ma venue ?

Je ne réponds pas, me contentant de baisser la tête en rougissant.

- Je vous remercie pour toutes ces attentions mais j'ai le regret de vous dire que ma décision n'est pas négociable. Ou je vous encule aujourd'hui et vous gardez votre dossier ou alors je repars avec et le donne à la commission pour qu'elle étudie votre cas ?

- Mais ? Écoutez, je vous assure que je suis vierge de ce côté là et qu'avec la taille de votre sexe vous ne pourrez jamais me pénétrer. Faisons l'amour normalement et chacun y trouvera son plaisir.

- Non faite moi confiance, allez chercher ma serviette et donnez-la-moi.

Il sort de sa serviette un tube de pommade qu'il dit miraculeuse. Il me fait me tourner face au bureau en m'appuyant dessus. Je me mets en position et j’attends. Je sens ses doigts étaler la pommade autour de mon anus. De son autre main il caresse tour à tour mon clitoris et mes seins. Ses caresses me font du bien et je ne sais pas si c'est l'effet de ses caresses mais je ne sens plus ses doigts s'occuper de mon cul.

Il se lève et se place derrière moi. À ma grande surprise, je ne sens pas son gland pousser sur mon anus. Ce n'est que lorsqu'il est entré en moi que je le sens dans mon intestin. Je ne comprends pas comment il a pu rentrer un tel engin dans mon cul vierge sans me faire mal. 

Il m'explique que sa crème est une pommade anesthésiante. Qu'elle est utilisée par les dermatologues pour effectuer des petites opérations sans douleur pour le patient. Je n'ai pas mal et pourtant je sens son sexe aller et venir. Il m'explique que la zone où se trouve les nerfs et donc qui provoque la douleur est superficielle et donc qu'avec juste le bord de l'anus anesthésié, j'ai les sensations de la sodomie sans les désagréments.

Effectivement, je sens le plaisir monter en moi en sentant son sexe frôler mon péritoine à travers la membrane qui sépare mon sexe du reste et je n'ai pas mal. Je me mets même à jouir alors qu'il accélère son rythme en moi. Solidement accroché à mes hanches, il me prend sans ménagements.
 
La tête enfouie entre mes bras croisés sur le bureau je jouis sans me retenir puisque personne ne risque de nous entendre. Je le sens s'arc-bouter au fond de moi pour se déverser. Je me redresse pour l'embrasser tellement je suis soulagée d'avoir vécu cette expérience sans vraiment avoir eu mal. Je m’assois sur ses genoux pour parler avec lui de ce qui est arrivé et je lui propose même une douche.

 À l'étage où se trouve notre appartement, nous prenons une douche ensemble et nous en profitons pour refaire l'amour dans le lit conjugal. Je lui dis de ne plus me rappeler. Il me le promet avant de me tendre le tube de pommade en me disant que j'aurais sûrement envie de renouveler cette pénétration vu le plaisir que j'y ai pris.

Je prends le tube et le mets dans un tiroir de mon chevet au cas ou un jour mon mari veuille retenter la sodomie avec moi. Je raccompagne mon amant à la porte et après un baiser passionné, je lui ouvre pour qu'il parte. À ce moment là, mon mari gare sa voiture devant la maison. Il est surpris de voir l'inspecteur des impôts à la maison. Je suis pétrifiée à l'idée de ce qui se serait passé s'il était rentré quelques minutes plus tôt et nous avait trouvés au lit tous les deux et aucun son ne sort de ma bouche.

L'inspecteur intervient alors en disant à mon mari qu'il est passé à l'improviste pour me donner des nouvelles de notre dossier. Il ajoute que grâce à ma coopération, le dossier est classé sans suite. Il prend congé de nous en nous serrant la main. Mon mari me prend par la taille pendant qu'il s'éloigne. 

En rentrant Alain me propose de fêter ça dignement. Je souris en me disant que décidément il fête ses déboires à chaque fois. Je lui demande donc de préparer les verres. Pendant ce temps je remonte remettre rapidement un peu d'ordre sur le lit. En rangeant mes affaires je m'aperçois que je n'ai plus ma culotte. Je suis prise de panique en me rappelant que je l'ai retirée dans le bureau.

Je descends prestement, espérant que mon mari ne l'a pas trouvé. En entrant dans la pièce, je trouve mon mari assis dans le grand fauteuil avec deux verres sur le bureau. J'attends qu'il me demande ce que fait ma culotte ici et je cherche déjà une explication plausible à lui donner mais rien ne vient. Je m'approche de lui et m'assoit sur ses genoux en regardant autour de moi pour trouver cette culotte mais rien. Il faut se rendre à l'évidence, mon inspecteur n'st pas si honnête que ça et il a voulu garder un souvenir de notre dernière rencontre.

Depuis notre société prospère et j'ai définitivement quitté mon travail pour aider mon mari. Même s'il y a quelques coups de canifs dans le contrat, tout va bien entre nous. Je repense souvent à cet homme qui aurait pu être mon père et qui m'a fait connaître tant de plaisir. Les enfants sont grands maintenant et mon mari a su profiter de la voie ouverte par cet inspecteur des impôts.

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