Récit de Vadrouille.
*****
Aline, le passage d'un cap, dressage terminé.
- Tu as bien récupéré du dîner hier soir chez toi ? Dis-je en entrant dans le "box" à la banque où nous travaillons.
- Tiens le DVD de tes exploits d’hier. Tu passes bien à l’écran quand tu te fais baiser. Il y a des scènes splendides surtout quand je me suis branlé sur ton dessert que tu as avalé avec plaisir.
- C’était une soirée splendide ! dit-elle en retroussant sa jupe comme je l’avais exigé. Martine est revenue juste après ton départ, je ne l’ai pas entendu entrer.
- Je vois que tu as encore mis un de ses strings ! t’as vraiment un beau cul. Pour ta fille je me demande si elle était vraiment absente.
- Oh dis, j’espère que oui, tu m’as fait tellement jouir que j’ai crié de plaisir; elle aurait tout entendu.
'Et même vu" pensais-je.
- Tu vas aller enlever ton string, je veux te savoir cul à l’air pendant que tu parles avec les clients et les collègues. mmmmmm ce sera super.
- Oui maître, dit-elle, comme vous l’exigerez.
Je regagne mon bureau, un coup de fil à donner.
- Salut Robert ! comment vas-tu ? j’ai exposé la viande, tu me dis quand tu veux venir la mater.
- Salut ! Chez toi ?
- Non plus excitant pour moi. Tu vas te placer dans la banque où je t’ai dit pour avoir une vue plongeante. Un petit coup de fil quand tu y seras comme ça tu découvriras la marchandise. Je lui ai déjà dit d’aller enlever sa culotte, elle est nue sous sa jupe
- Tu l’as dressée ta chienne, elle ne mord pas ! dit-il en riant.
- Non elle suce !!!
Une heure plus tard un sms m’avertissait de sa présence. Je me précipite au guichet de ma cochonne, attend que son client soit servi, m’assure que Robert regarde. Dans le même temps, elle avait, à mon arrivée, remonté de nouveau sa jupe pour me faire découvrir son pubis. Robert le pouce en l’air me montrait sa satisfaction et moi ce n’est pas mon pouce mais mon index que j’enfonçai dans la charnière à cuisse de la femelle. Elle ouvrait les jambes dès que ma main se posait sur ses jambes.
- C’est bien tu es trempée. Tu t’es branlée aujourd’hui ?
- Je suis déjà allée deux fois aux toilettes pour le faire ! dit-elle.
- C’est bien tu continues, dis-je en la laissant à son travail.
- Tu as raison, elle est bandante. Me dit Robert.
Il était excité et voulait me le dire de suite.
- C’est vrai, l’endroit pour la mater est génial. Je viens chez toi ce soir ?
- Non, demain ! lui répondis-je, aujourd’hui j’ai un truc qui fait aussi partie du dressage à lui imposer.
Je termine la conversation et reforme directement un autre numéro.
- Allo, Véro ? comment vas-tu ma chérie ?
- Je suis contente que tu me sonnes, tu te fais rare depuis que tu as Aline.
- Je suis toujours aussi dingue de toi, j’ai envie de ton corps, te donner des baisers partout, te faire l’amour, tu es mon bébé.
Je parlais à ma maîtresse de 16 ans ma cadette. Nous sommes amants depuis deux ans maintenant. Son copain n’a l’air de ne se douter de rien ou ne veux rien savoir. Elle n’habite pas loin de Douai. Nous avons de splendides aventures ensemble. Je me souviens surtout une fois ou nous venions de nous aimer, elle était à poil, assise chez moi sur le divan, et téléphonait à son ami pour dire qu’elle serait en retard. Je n’ai pas pu m’empêcher de lui brouter la chatte pendant qu’elle conversait, le pied, je vous recommande cette situation. Elle sait que je baise une autre femme que ce n’est ni la première, ni la dernière. À force de lui raconter le dressage d’Aline, elle a envie d’avoir une petite aventure extra conjugale avec elle. Disons que je lui ai fait avoir envie et que je vais travailler ma nympho pour qu’elle en ait envie aussi.
- Tu m’avais dit que tu aimerais voir à quoi ressemblait Aline, j’ai trouvé un endroit splendide et discret pour que tu puisses observer.
- Ah oui, chouette je suis aujourd’hui à Douai, j’irai voir, je te préviens quand j’y suis.
- OK, je te guiderai pour trouver l’endroit. je prends congé cet après midi ? j’ai envie de caresser ton beau corps ?
- J’espère que tu feras plus que caresser ! dit-elle; moi j’ai envie que tu me prennes.
- Splendide, à tout à l’heure mon amour, je t’aime.
Je retrouve ma petite salope au bureau :
- Je prends mon après midi ! dis-je à Aline , un rendez-vous que je ne peux manquer.
- A tout à l’heure ?
- Oui, viens avec un manteau, on va se promener.
J’avais décider de la promener dans Douai à poil comme il y quelques semaines à Lille lors du retour de notre trip.
Je rentre à la maison et Véro était là quelques minutes après. Nous avons fait l’amour comme chaque fois, elle m’a prouvé qu’elle était toujours malgré son jeune âge une experte de pipe. Je pense qu’elle veut garder la main dans tout les sens.
- Tu me le montres ce petit film que tu as fait avec ta conquête ?
- C’est une conquête si tu veux, mais elle est là pour seulement la bite, pas comme toi.
- C’est ton sac à bite si je comprends bien.
Je mets le DVD dans le lecteur et on regarde la « soirée » passée. je remonte la main le long de sa cuisse et commence lui fait des petits plaisirs avec mes doigts.
- Tu diras ce que tu veux, mais le film a l’air de t’exciter, tu es déjà trempée.
- C’est vrai, ta soumise me plaît, elle manie bien la langue, j’aimerais que ce soit avec elle si je devais un jour « essayer » une femme.
- Rien ne pourrait plus me plaire, tu m’as déjà donné tant de choses. Et lui faire faire ton éducation de lesbienne m’amuse assez en plus vous vous initieriez en même temps.
- Je pense que ça viendra tout seul. elle à l’air d’une vraie salope et je crois qu’il faut ça pour débuter.
- Promis j’arrangerai ça. je te téléphone.
Elle devait rentrer chez elle, son copain allait rentrer du boulot.
Aline a fini sa journée, d’emblée je l’emmène en promenade parc Bertin, je m’assure qu’elle est bien à poil sous son imperméable et je lui fais traverser la ville. Elle entre seule dans des boutiques et magasins de vêtements, je la suis et entrouvre les rideaux des cabines d’essayage quand il y a des hommes qui attendent que leurs épouses essayent des vêtements. Les mecs sont scotchés quand ils voient ma pute en très légère tenue. Elle me fait tellement bander que je profite d’un moment de calme pour aller me faire sucer dans la cabine putain que c’est booooon çà !!!!
- Je viendrai un jour avec Véro. dis-je rapidement.
- Véro ? c’est qui ?
- Véro ? ma maîtresse !!! ben oui, tu ne m’as jamais demandés si j’avais quelqu’un. (pas de réaction de sa part). Nous sommes « ensemble » depuis deux ans. elle sait que je suis avec toi, elle te trouve canon. Elle à 20 ans. Je lui ai montré le DVD de nos ébats, elle était excitée. Elle m’a dit que si elle devenait lesbienne ce serait avec une femme comme toi. Des photos d’elle ? peut-être je regarderai. Elle est chaudasse ??? ouiiiiiii mais moins que toi.
Le lendemain après le travail, j’emmène Aline en voiture sur la A21 et A26, autoroutes où circulent beaucoup de camions. Même pas besoin de donner mes instructions, à peine à côté d’un camion, elle passe sa main entre les jambes et se caresse sous le regard intéressé des routiers.
- Tu apprécies qu’on te regarde ?
- J’adore ! dit-elle en prenant ma main et la plaçant entre ses jambes.
- tu es trempée, pleine de ton jus. bordel quel salope tu es devenue.
- Oui, TA salope , je suis là pour ton bon plaisir et te faire bander.
- Tu y arrives. Prend le prochain parking, j’ai envie que tu me fasses une pipe dans la voiture. Pas besoin de chercher un endroit discret, entre deux camions ça fera l’affaire.
Au grand plaisir d’un chauffeur trop timide pour venir tripoter Aline, cette salope me pompe le gland.
- Tu aimes exciter les hommes maintenant. Ce soir, j’ai un copain qui vient me rendre visite. ce serait bien que tu sois là. Et habillée apparence bourgeoise.
- habillée bourgeoise ? tu m’étonnes. dit-elle en arrêtant un court instant de me sucer.
- Oui, jupe, chemisier et en dessous rien que du sexy. Que mon copain apprécie de te regarder. Et moi de m’exciter.
Et mmmmmm, en même temps que je lui donne mes ordres, je lui lâche la purée dans la bouche. Elle n’arrive pas à avaler d’un coup et du sperme lui arrive à la figure.
- C’est bon ! dit-elle en se léchant les lèvres et ramassant le surplus de jus sur les joues se suçant le doigt.
Puis elle ajoute :
- J’ai l’impression que le chauffeur s’est masturbé en me regardant.
- C’était le but, maintenant, on rentre : Tu vas te préparer et tu viens chez moi, on prendra un verre avec mon copain Robert. N’oublie pas ce que je t’ai dit pour les vêtements.
- Bien maître, à tout à l’heure !
Le jour était venu de vérifier si ma petite pute était vraiment soumise, si elle accepterait tout.
- Salut Robert, la viande ne va pas tarder, installe-toi dans le fauteuil.
Je l’installe de façon à ce qu’il se trouve presque face à Aline, je lui laisserai le divan. Le décor est planté.
- Robert, je te présente Aline je t’en ai parlé.
- Salut ! répondit-il la regardant de haut en bas un peu étonné de la tenue.
Jupe noire assez classique, chemisier qui ne l’est pas moins, chaussures à talons mi plats. Une vraie maman bourge.
- assois-toi ! dis-je à Aline en lui désignant le divan.
Elle était obligée pour pouvoir être de face pour nous de s’asseoir en biais sur le divan ce qui permettait de croiser les jambes et en montrer un peu plus.
- Tu ne la trouve pas classe, ma petite bourgeoise ?
- On voit que c’est une Madame ! répondit ironiquement l’ami Robert.
- Mieux ! dis-je m’approchant d’Aline.
Je glisse la main le long de sa jupe que je retrousse.
- wouaaaaah des bas noirs ! dit Robert qui commençait à apprécier.
- Montres’en plus ! dis-je à Aline qui n’hésite pas à remonter sa jupe encore plus.
- Meeeeerde une culotte en satin noir j’adore.
- je te l’avais dit qu’elle pouvait être une bonne petite pute ! retire ta jupe maintenant et enlève ton chemisier.
- mmmmh c’est vrai qu’elle est bien comme tu me l’as dit ! soutien gorge noir aussi !!! la panoplie de l’allumeuse. et elle m’allume ! dit-il.
- Oui elle va commencer sans nous, tu vas voir comme elle sait se branler.
Je n’avais pas encore fini de le dire qu’elle avait déjà sa main dans sa culotte et commençait le travail du pouce. C’était sa façon préférée de se branler. de l’autre main elle se caressait un sein. Je m’approche d’elle et lui détache le piège à nichons. Je m’assieds à côté d’elle et je commence à lui titiller un sein.
- viens Robert, regarde l’auréole sur sa culotte !
- bordel, la salope est déjà toute mouillée.
Il ne se fait pas prier. et sans attendre il plonge sa main dans la charnière à jambe bien lubrifiée. Aline a les yeux presque sortant des orbites elle jouissait déjà. J’avais un peu peur de cette nouvelle expérience mais le dressage a été bon et elle se donne à fond et ouvre grand sa boite à praline.
- Je peux lui mettre mes doigts ?
- Oui ! dit-elle entre deux gémissements.
- En fait on ne te demande pas ton avis, c’est moi qui autorise compris ? toi tu fais ce que je te dis.
- Pardon, oui, tout ce que tu veux.
- ok, maintenant qu’on a tous les deux joué avec ton corps, tes seins, ton cul, tu vas aller au lit et te faire sauter par mon copain.
- Sans toi ? tu ne viens pas avec ? arriva t elle à dire la bouche pleine de ma bite.
- Tu ne mérites pas encore d’être prise par deux hommes en même temps. faudra que tu supplies pour ça, que tu sois encore plus salope, mais tu y arrives.
Ils disparurent ensemble dans ma chambre. J’avais, bien sûr, laissé la porte ouverte pour la voir s’offrir à ma demande à un autre homme. Bordel, une vraie chienne. Je bande comme un âne à regarder ma chienne faire toute la gymnastique sexuelle de haut niveau. avec des mmmmh, des aaaaaghh, de toutes sorte de cris. Elle jouissait ma petite cochonne.
- comment l’as-tu trouvée ? demandais-je à mon ami qui regagnait le salon
- Une bombe ! dit-il, tu l’as dressée d’une façon géniale. tu as raison cette bourgeoise est devenue une fameuse tringleuse.
- Oui et bientôt, je l’offre à ma maîtresse , elle va passer le cap et se faire gouine.
C’est à ce moment que ma petite pute revient dans le salon.
- Me faire gouine ? moi ? j’aime les hommes de plus en plus grâce à toi, alors....
- Tu goûteras le gazon, quand je te le dirai, tu gougnoteras quand je te le dirai.
- J’aimerais être là aussi. dit Robert.
- Chaque chose en son temps ! lui répondis-je. Mais j’espère qu’on te verra de temps en temps au chalet de WE.
Et la soirée se termina comme elle avait commencé avec un pelotage d’Aline et je lui ordonnai de me faire une pipe devant mon copain. Elle le fit sans se forcer et avala mon sperme avec plaisir.
Dès le lendemain, je décide de mettre Aline a une "autre sauce" pour parfaire son éducation. Véro était venue me rendre visite cet après midi et nous traînions au lit tout en jouant avec nos corps. Nous étions tellement "occupés" que nous n’avions même pas entendu qu’on entrait dans l’appartement, c’était Aline qui nous trouva ainsi, nus et au lit nous faisant des petits plaisirs.
- oh !!! pardon dit-elle en nous voyant enlacé.
- Ce n’est rien ! lui répondis-je. Je te présente Véro dont je t’ai déjà parlé, Véro voici Aline dont tu as déjà vu les exploits.
- Bonjour ! dirent-elles de concert.
- Je vais vous laisser seuls, dit Aline, je reviendrai plus tard.
- Pas question, qu’attends-tu pour te déshabiller et venir nous retrouver, on va te faire une petite place.
A cette invitation, Véro se pousse pour faire de la place. Aline semble hésiter.
- tu attends quoi ? que je te déshabille moi-même peut être ? Tu tombes bien, on baise depuis une heure et j’ai besoin qu’on me redonne de l’ardeur à la bite.
- j’arrive.
Et joignant le geste à la parole, elle a vite fait de se foutre à poil et de se glisser dans le lit.
- Tu vas montrer à Véro que tu es devenue une chienne toujours en rut. Et en fait, regarde Véro, sa chatte est toute humide.
- Je ne me contente pas de regarder ! dit ma maîtresse en prenant la direction des opérations, je veux toucher aussi.
Pendant qu’elle caressait le cul d’Aline elle me fit un baiser du tonnerre ! une langue bien excitée fouillait ma bouche. J’empoignais Aline par les cheveux et lui entraîne la tête entre les jambes de Véro qui du regard me montre son approbation. Aline ne sait plus dire grand chose, ses lèvres supérieures étant collées aux lèvres du plaisir de ma chérie. Moi j’occupais la bouche.
- vous me faites déjà bander ! dis-je, je vais en pénétrer une, choisissez.
- Va la prendre en levrette ! dit Véro, j’adore quand elle me suce le clito. C’est vrai qu’elle est bonne, tu avais dit juste.
- Mouais. c’est une bonne petite salope ! dis-je en la pénétrant sans difficulté tant elle dégoulinait.
- Je commence à comprendre les gouines, c’est vraiment un plaisir ! dit Véro.
On entendait ses gémissement et les bruits qu’Aline faisait en lui léchant le con trempé. plus moi qui limait Aline par derrière c’était aussi "sluuuurp". Elles décidèrent de changer de position et de se mettre mutuellement le nez dans leur fourrure. un bouffage de cul génial. j’arrivais à les pénétrer chacune leur tour ! soit dans leur boite à mouille soit dans la bouche. mmmmmm que c’est booooon !!! J’avais envie de les laisser et juste de me rincer l’œil assis sur un fauteuil.
- Je vais vous laisser vous donner du plaisir, mais auparavant je veux jouir dans l’une de vous et vous partagerez le sperme.
Elle changèrent de nouveau de position et commencèrent à me sucer la bite, chacune me pompant quelques moments, laissait l’autre en profiter aussi.
- C’est une loterie, qui va ramasser le jus ???
Je finissais de le dire que je me mis à éjaculer rhaaaaaahhhhhhh... sur la figure de Véro et ensuite dans la bouche d’Aline. Elle s’empressèrent de partager le sperme que l’une avait en bouche ensuite elle lèche le sperme sur la figure de l’autre !!! un délire !!!
- Je vous laisse, j’ai envie de spectacle, continuez, vous m’excitez à mort.
Je les regarde et elles ont baisé pendant une heure encore. De temps en temps je faisait un passage pour décharger un peu de marchandise. Ce furent encore des moments splendides passés à faire le voyeur et participer à leurs ébats.
J’étais vraiment fier du dressage d’Aline, il est terminé, mais y a t il vraiment une fin ? Il s’est passé beaucoup d’autres évènements, la Madame Bourgeoise s’est faite sauter par mes amis, mes maîtresses, je me ferai un plaisir de nous raconter ces aventures d’Aline , celle qui rit quand elle suce les pines !!!
A suivre...
On a hâte de découvrir s'il va s'occuper de la fille après avoir dressé la mère
RépondreSupprimerJ’avoue prendre beaucoup de plaisir à lire cette histoire et voir jusqu’à quel point de soumission va-t-il emmener Aline et surtout quel niveau de déchéance…
RépondreSupprimer