Traduction d'un texte de Bedo-Li-Do par Coulybaca.
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A l'époque de cet épisode, ma ravissante jeune femme avait 19 ans, elle pesait 54 kg pour une taille de 1 mètre 68. C'était une rousse naturelle (sa foufoune en témoignait).
Comme la date de mon anniversaire approchait, elle cherchait une idée de cadeau original. Finalement elle décida de me demander directement ce que je désirais, je lui répondis qu'il fallait que je réfléchisse. Comme j'étais encore étudiant, nos finances étaient réduites aussi le cadeau devait-il venir de son cœur et non pas de notre porte-monnaie.
Après mes heures de cours, je travaillais pour un quart de temps comme livreur de pizzas, Wendy aussi travaillait en quart temps.
Au boulot, lors d'une accalmie, je discutais d'une idée de cadeau avec quelques copains, ils étaient tous à court d'idées, toutefois, un des noirs travaillant avec nous me suggéra que quelques clichés érotiques pourraient faire l'affaire. Il avait un bon pote photographe qui pouvait s'en charger à bon marché, il me donna le numéro de téléphone de son copain.
J'y réfléchissais quelques temps, mais plus j'y pensais, plus mon excitation grandissait. Ce n'était pas seulement la pensée qu'elle pose en sous-vêtements érotiques, suggestifs, mais surtout le fait qu'elle doive poser aussi dénudée sous les yeux d'un tiers inconnu qui me chamboulait.
Lorsque je rentrais du boulot le soir-même, Wendy sortait tout juste de la douche, je l'appelais dans le salon et m'assit sur le sofa. Elle était si jolie, si sexy ma petite rouquine enroulée dans un drap de bain, je lui dis alors que j'aimerais qu'elle pose pour quelques photos sexy. Elle me fixait incrédule.
- Tu veux dire sexy, sexy osée ou nue ? m'invita-t-elle à préciser.
Je lui répondis platement :
- C'est toi qui m'a demandé ce que je désirais, et je te le dis ! Maintenant tu en fait ce que tu veux !
Et je lui donnais le numéro de téléphone que mon pote noir m'avait donné. Puis je lui dis d'arrêter de bouger et de laisser tomber le drap de bain pour que je jouisse de la vue de son corps. Je me repaissais de la vue de ma ravissante rouquine de 19 an humide, sortant de la douche, et nue, je voulus l'attraper, elle sauta en arrière et me dit :
- Quelles poses voudrais-tu je prenne ? Comme ça ?
Et elle se tourna, jetant un regard aguichant au-dessus de son épaule tout en cambrant sa croupe bien ferme.
- Ce serait parfait ! m'esclaffais-je cherchant à nouveau à l'attraper.
Sautant encore un peu plus en arrière, elle se mit à quatre pattes et tendit sa croupe :
- Et comme ça ? ajouta-t-elle, le visage tourné vers moi de façon à ce que je savoure son regard égrillard.
A nouveau j'acquiesçais :
- Parfait !
Et je cherchais à l'empoigner une troisième fois, j'y arrivais presque, mais elle m'échappa à nouveau d'un bond en arrière. Elle se retourna et s'appuya sur le canapé écartant les cuisses en grand et poursuivit :
- Comme ça aussi ?
Une fois de plus je répétais que ce serait parfait. Cette fois elle ne pouvait plus reculer et j'enfouis mon visage dans toison rousse, elle était trempée, et pas seulement parce qu'elle sortait de la douche ! Je promenais mon nez dans sa toison enivrante trouvant les babines de sa chatte que je parcourais d'une langue agile alors qu'elle me plantait ses ongles dans le dos. Elle gémit et se mit à haleter. Elle jouissait.
Je la disposais à quatre pattes et pressais mes 20 cm de bite à l'entrée de sa caverne embrasée. Je l'allumais encore plus en promenant mon gland turgescent entre ses babines gonflées de sang, lui titillant le clito à chaque passage. Elle s'arqua cherchant à avaler ma virilité, je m'engouffrais dans son intimité accueillante. Je la pistonnais vigoureusement en agrippant ses globes charnus. A chaque coup de boutoir elle gémissait plus fortement, chacun de ses râles me rapprochait de l'orgasme.
Comme elle avait déjà joui, je savais que je devais prendre mon temps et la baiser aussi longuement que je le pourrai. Mais cela ne dura guère plus de 90 secondes bien que je m'efforçai à penser à d'autres choses (le fait de penser à un match de football ou à tout autre sport n'aide pas tout le monde !).
Je m'enfouis dans les tréfonds de son intimité et grimaçais alors que je projetais spasmodiquement ma gourme. Je me retirais, lui tendis son drap de bain, et m'étendais à son coté. Elle restait dans mes bras, criant son plaisir. J'appris que la nuit elle criait à chaque fois qu'elle jouissait, elle se libérait ainsi de son trop plein de jouissance.
Elle me dit alors qu'elle m'aimait et nous nous endormîmes dans les bras l'un de l'autre dans le salon de notre petit appartement, meublé si pauvrement mais avec tant d'amour entre nous.
Le lendemain après avoir souhaité un bon au revoir à ma chérie en l'embrassant avec passion, je me dirigeais vers mon premier cours.
Wendy se leva, prit une douche, s'habilla et s'assit sur le canapé. Elle vit alors le post-it sur lequel était noté le numéro de téléphone et le nom du photographe. Elle le fixa longuement, hésitante, se demandant quoi faire. Prenant son courage à deux mains elle fit le numéro. Après quelques sonneries, une voix basse annonça :
- Le studio de photos Mel !
Elle raccrocha immédiatement, elle avait peur de poursuivre. Elle nota que sa main tremblait. Elle savait ce que représentaient pour moi ces clichés érotiques, aussi refit-elle le numéro, et de nouveau elle entendit :
- Le studio photos de Mel !
- Bonjour je m'appelle Wendy. C'est un copain de travail de mon mari qui nous a fourni votre numéro, il nous a dit que vous pratiquiez des prix raisonnables.
Comme il lui répondait, Wendy sentit qu'elle allait perdre son calme.
- Quel type de photo désireriez-vous madame ?
Wendy se figea.
- Euh... C'est bientôt l'anniversaire de mon mari et je veux lui faire la surprise de lui offrir quelques photos érotiques. avoua-t-elle à voix basse.
Il donna son adresse à Wendy, lui indiquant qu'il avait une ouverture ce jour-même à 13 heures. Au fur et à mesure que passaient les heures, Wendy sentait de plus en plus nerveuse. Elle quitta son domicile à midi 30 et prit sa vieille voiture pour rejoindre l'adresse indiquée plus tôt. C'était dans le quartier noir de la ville, ce qui l'effraya un peu.
Vu de l'extérieur le studio semblait très professionnel et très propre. Elle prit son sac chargé de différents accessoires à enfiler pour la séance de pose et entra dans le studio. Elle gagna le bureau de réception et appuya sur une sonnette.
- Une minute je vous prie ! répondit une voix qui venait de derrière la porte.
Puis un colosse noir passa la porte, elle n'avait jamais vu un tel colosse.
- Bonjour, je suis Mel. Puis-je vous aider ?
La voix tremblante elle lui rappela qu'elle avait appelé le matin même et venait pour une séance de photos. Epatant, se dit-il en reluquant cette jeune blanche faite au moule.
- Nous allons commencer !
- Attendez, on doit tout d'abord débattre du prix !
- Bien sûr madame, mais tout cela dépend de ce que vous désirez faire comme clichés. Commençons la séance et lorsque vous aurez décidé ce que vous voulez, je vous informerai du prix ! Ca marche comme ça ?
- D'accord ! répondit Wendy timidement.
Elle le suivit dans une grande pièce ou elle remarqua différents supports et des boxes partiellement séparés du reste de la pièce. Chaque mur était couvert de miroirs, dont l'un totalement.
- Au fond le vestiaire. Vous pouvez enfiler le costume que vous désirez. Vous pouvez faire votre choix dans toutes ces étagères à vêtements. Vous êtes libres de choisir ce que vous voulez !
Wendy s'approcha des étagères et regarda les tenues qu'elles proposaient. Elle se saisit d'une poignée de vêtements qui lui plaisaient et pénétra dans le vestiaire. A sa grande surprise la pièce était vaste, les trois murs étaient couverts de miroirs du haut en bas, au centre de la pièce se tenait une banquette et un valet vide. Elle posa son sac au sol et le vida en posant les vêtements, qu'elle avait emmené sur le valet, puis elle fit de même avec les vêtements qu'elle venait de prendre dans les étagères de la pièce contiguë.
Pendant ce temps, Mel était sorti par une porte dérobée et avait pénétré dans une pièce où il se posta devant deux grands miroirs. Il put alors se régaler du spectacle de ma ravissante Wendy qui posait alors sa tenue sur le valet. Il mit en route trois caméras vidéos, chacune braquée sur l'un des murs couverts de miroirs puis il saisit un appareil photo et prit quelques clichés de ma somptueuse femme qui se déshabillait.
C'est alors qu'on frappa à la porte. Mel l'ouvrit et 4 noirs, dont l'ami qui m'avait donné son numéro de téléphone entrèrent dans la pièce, ils avaient les yeux braqués sur ma somptueuse jeune femme qui se déshabillait sous leurs yeux concupiscents.
Un air de musique démarra, certainement pour assurer une ambiance engageante, pensa-t-elle fugitivement. Elle était loin de se douter que 5 noirs l'observaient en train de dégrafer son soutien-gorge, libérant ses somptueux nibards, ils paraissaient bien fermes, jusqu'ici nous n'étions que très peu à avoir pu les contempler. Leur peau était très fine, ils étaient couverts, ainsi que ses épaules et sa gorge de taches de rousseur.
Elle dégrafa son jean, le descendit sur ses chevilles et l'enjamba. Elle portait une modeste petite culotte en coton blanc. Elle passa ses pouces sous la ceinture élastiquée et le roula sur ses ravissantes fesses la laissant choir au sol.
Les 5 noirs arboraient maintenant tout une sévère bandaison !
Elle choisit le premier article qu'elle voulait porter et l'enfila, c'était du teddy vert Nil qui provenait des étagères de Mel. Le haut moulait ses seins, les détaillant lascivement alors que le fond étroit s'enfonçait entre les lèvres de son con. Elle hésita quelques instants, puis décida de changer de tenue. Comme elle s'exécutait, il sortit précipitamment et l'interpella :
- Le temps c'est de l'argent ! Venez maintenant, j'ai d'autres rendez-vous par la suite !
Sur ces mots Wendy quitta le vestiaire et les 4 noirs quittèrent la salle aux miroirs. Alors que le dernier sortait, on frappa à la porte, il alla ouvrir, j'entrais tout sourire.
- T'es en retard mec ! me salua mon copain.
- La circulation. Ou en sommes-nous ?
- Elle est partie dans le studio de pose.. Elle a un très joli corps mon gars ! Suis-moi on va regagner le studio principal.
Je le suivis docilement et arrivais dans une salle devant un miroir sans tain, c'est alors que je vis ma femme avec cet étrange noir. Il lui disait de bouger au rythme de la musique, que cela serait plus sexy. Elle me parut très provocante dans son teddy vert. Habituellement elle venait me rejoindre dans le lit vêtue d'un long tee-shirt, ou même d'un sweat-shirt, cela dépendait du temps.
Une table basse contenait des verres et du vin, elle se dirigea bers la table basse et se servit un verre plein qu'elle vida d'un trait. Elle regardait Mel qui réglait les éclairages, il lui fit signe de se tenir dans la lumière ce qui lui permettait un réglage plus fin. Visiblement satisfait de son travail, il invita Wendy à commencer à évoluer en suivant la musique. Il dut insister :
- Allez madame ! Vous devez prendre le rythme Vous n'essayez pas vraiment pour l'instant ! Imaginez que votre mari vous fait l'amour, si je puis me montrer aussi hardi ! Vous entendez battre son cœur ? Pensez qu'à chaque battement votre mari donne un coup de boutoir contre votre intimité !
Sa franchise la choquait tout en l'excitant profondément.
- Un bon coup de rein, ça y'est il vous a pénétrée ! Poussez ! Encore ! Poussez... Encore.... Oui comme ça... Vous tenez le bon tempo !
- Et maintenant, à quatre pattes, comme s'il voulait vous prendre par derrière. Il enfouit sa bite profondément dans votre chagatte !
Tout en disant cela, Mel empoigna une télécommande et activa plusieurs caméras. Il fit le tour de son modèle et lui demanda de regarder droit dans l'objectif de son appareil photo et prit de nombreux clichés, il avait remarqué que le tissu s'était inséré entre ses babines vaginales, l'effet était d'un érotisme fou.
- C'est excellent madame, et maintenant debout et dégrafez le haut du teddy. Laissez le tomber sur vos bras, qu'il soit retenu par vos seins !
Wendy hésita un instant, puis fit ce qu'il lui demandait. Elle dégrafa la fermeture éclair dorsale ce qui relâcha la couverture de ses nichons, le résultat était ravissant. Mains en coupe, elle retenait le soutien-gorge du teddy sur ses nibards. Mel intervint à nouveau :
- Approchez madame, il faut exposer un peu plus votre poitrine si vous voulez être sexy. Il faut feindre de t'effeuiller pour votre mari, c'est pour lui ces clichés, et uniquement pour lui ! D'accord ?
Wendy s'approcha à nouveau de la table basse et se servit un verre à moitié plein. C'était dangereux, elle était rapidement éméchée, j'avais coutume de dire :
- Un verre de vin et je la saute comme je le veux !
Wendy dénuda une partie plus importante de sa poitrine et se mit à onduler au son de la musique. Je regardais ses yeux, bien sûr elle se mettait dans l'ambiance, mais surtout elle était largement éméchée.
Je jetais un oeil sur les noirs se trouvant avec moi, ils avaient tous la bite en main et se branlaient lentement.
- T'as vraiment un pot d'enfer de posséder un si joli cul blanc ! commenta l'un de mes voisins.
Je me contentais de sourire et répondis qu'elle était un formidable coup.
- Déjà qu'elle réagissait comme une folle à l'intromission de 18 cm de bite, avec vos bites vous lui exploseriez la foufoune !
Sur ces mots nous éclatâmes de rire et l'on retourna au spectacle que nous offrait Wendy à son insu.
Mel lui suggéra d'ôter ses mains et de laisser tomber le haut sur sa taille. A ma grande surprise elle s'exécuta, ses beaux nibards blancs se balançaient lentement au son de la musique, tétons dardés. Mel l'encouragea :
- C'est ça ma fille. Et maintenant suivez la musique ! Vous êtes sexy, ravissante, lorsque votre mari verra ces photos, il vous baisera comme jamais il ne l'a fait jusqu'ici !
Wendy ondulait au rythme de la musique, mamelons bandés, souriant de toutes ses dents.
- Allez chérie, c'est le moment d'exhiber vos appâts ! Enlèvez-moi ce teddy et montrez-vous vraiment sexy pour charmer ton mari !
Une nouvelle fois, à ma grande surprise elle obtempéra, roulant le teddy sur ses hanches et le jetant au sol en poussant un cri de guerre. En fait il était indéniable qu'elle était complètement saoule. J'aimais voir ces étrangers mater ma femme nue, elle était ravissante dans sa nudité. Mel lui enjoignit de se pénétrer encore plus de la musique.
- Faites bouger vos nibards chérie ! Je veux que ça remue !
Wendy se mit à se balancer plus vite, de façon bien plus provocante. Ce n'était pas une formidable danseuse, mais la vue de ses nibards qui oscillaient lentement était exaltante. Tous les assistants éjaculèrent à cette vue, et je ne mens pas.
- C'est bon ! intervint soudain Mel.
- Cessez de vous tortiller Wendy, on va prendre quelques photos vraiment sexy !
Wendy cessa de se contorsionner, se dirigea vers la table basse se versa un nouveau verre de vin à demi-plein et le vida d'un trait. Pendant ce temps Mel changeait la musique, pour un air plus lent, sur des battements sexuels, il se dirigea vers la porte dérobée et nous invita à entrer. Etrangement Wendy ne sembla pas remarquer notre intrusion dans la pièce. Mel lui enjoignit alors de se poster à nouveau à quatre pattes et de tourner son visage vers la caméra. Ma ravissante rouquine de femme était sur le point de dévoiler ses charmes les plus intimes à de parfaits étrangers.
Elle s'exécuta et se positionna à quatre pattes, nous nous trouvions à moins de 3 mètres d'elle, toutefois la lumière semblait l'aveugler, elle ne pouvait donc pas nous voir.
Il lui intima alors de se cambrer pour adopter une position plus érotique, elle obtempéra. Sa toison rousse s'écartait révélant les babines gonflées de sa chatoune, elles étaient entrouvertes et semblaient humides.
Il prit une longue série de son intimité révélée puis lui dit d'écarter les lèvres de sa foufoune.
Elle semblait totalement sous son emprise maintenant, sans aucune hésitation elle se redressa sur ses genoux sépara les lèvres de son con et tendit le ventre en avant.
La caméra filmait le moindre détail de son exhibition alors qu'il prenait cliché sur cliché.
Toujours agenouillée, mains dans le dos, foufoune grande ouverte, Wendy chancelait sous l'effet de l'alcool.
Mel intervint alors, il me dit de la retourner et d'écarter ses cuisses en grand.
Je m'approchais de Wendy, elle n'était pas au bord de la syncope, tout simplement elle était confuse et très éméchée. Elle me reconnut et me sourit.
- Hello mon hercule ! me dit-elle d'une voix avinée.
- Tu vas ruiner ma surprise !
Je l'assurais que tout se passait bien et que Mel avait encore besoin de quelques photos.
- C'est d'accord. me répondit-elle mollement alors que je l'aidais à s'installer sur le canapé.
- Je ferai tout ce que voudra mon colosse noir !
Je l'allongeais sur le dos, posant ses jambes sur le dossier du canapé, larges grandement ouvertes. Mel se remit à prendre cliché sur cliché.
- Ouvre ta chatte !
Wendy l'avait entendu, mais ne semblait pas comprendre ce qu'il voulait. Il me le fit remarquer aussi lui écartais-je moi-même les babines de sa cramouille et posais ses mains de chaque coté de son entaille. Le brusque tutoiement ne l'avait pas effarouchée, ni ne l'avait sortie de sa torpeur, quant à moi, je ne m'en formalisais pas. Je lâchais prise et me reculais vivement, mais les lèvres de sa chatte se refermèrent avant qu'il ait pris ses clichés. Il me demanda de les ouvrir à nouveau et de les garder ouvertes, je fis ce qu'il demandait lui permettant de prendre des photos détaillées de son intimité largement ouverte. Il semblait ravi de son travail.
- Maintenant je voudrai que vous vous déshabilliez et que vous vous assoyez à coté d'elle.
Bien que choqué, j'obéis docilement. Il indiqua à un des spectateurs noirs de la mettre à quatre pattes avec la bouche posée sur la bite du mecton blanc. Comme il s'exécutait, je pensais que jamais je ne pourrai mettre ces photos dans notre album de famille.
Mel se remit à prendre de clichés tandis que j'enfournais ma bite dans la bouche de ma ravissante femme, allant et venant avec délice entre ses lèvres purpurines.
Il dit alors au même noir de se déshabiller et de se poster dans le dos de la salope blanche.
J'étais fortement choqué et je lui dis que ce n'était pas ce que nous avions convenu, il me conseilla alors de me taire si je ne voulais pas que nous nous fassions tous deux enculer et vite fait. Je n'osais plus dire un mot. La situation échappait à mon contrôle, et je savais que la meilleure façon de m'en sortir indemne était de lui complaire.
Le gros noir s agenouilla derrière Wendy alors que je coulissais frénétiquement dans sa bouche. Il positionna alors ses trente centimètres de bite à l'orée de sa chatoune. Il commença à peser sur l'ouverture vaginale, en rencontrant qu'une forte résistance. Elle était bien trop étroite pour l'épaisseur de cette énorme mentule. Même trempée de cyprine, sa foufoune ne pouvait admettre aisément un tel visiteur.
Il la travailla alors avec ardeur, multipliant les violents coups de boutoir, à chacun d'entre eux, elle me mordait la bite, je le dis à Mel qui se contenta de rire :
- J'ai assez de mal à la fourrer. Je me fous totalement de savoir qu'elle te mord la bite ! T'as qu'à te faire une raison !
Il essayait toujours de s'enfoncer en elle. Finalement d'un dernier coup de rein d'une violence inouïe, il parvint à planter son énorme bite dans la chatte asservie de ma femme. Wendy cria de douleur et me mordit encore et encore.
Je craignais pour ma virilité et je cherchais à extirper ma bite de sa bouche. Mel hurla un ordre, et un des gars se pencha sur moi et me poussa le ventre en avant. Je ne m'étais jamais enfoncé aussi profondément dans la gorge de Wendy, je me trouvais dans son arrière gorge et j'adorais m'y trouver.
Je bougeais lentement, savourant la caresse des parois de sa gorge sur ma queue frémissante, j'étais vraiment au summum de l'excitation, le gaillard qui m'avait poussé en avant, me tira en arrière cette fois.
- Eh mec laisse-la respirer ! me hurla-t-il à l'oreille.
Dès qu'elle eut aspiré quelques bonnes goulées d'air, je me renfonçais profondément dans son arrière-gorge. Pendant ce temps, le colosse noir la baisait frénétiquement en chatte. Je souhaitais maintenant voir sa grosse bite noire s'enfoncer dans la chatte blanche comme le neige de ma somptueuse jeune femme. Le colosse noir se mit à gigoter avec ardeur, il jouissait. Ma ravissante jeune femme d'à peine 19 ans était sur le point de voir sa chatoune emplie de foutre crémeux. A chaque coup de boutoir, elle me mordait douloureusement et gémissait, j'étais certain de ne pas perdre la fertilité dans cette aventure, mais je craignais de voir ma bite estropiée.
Enfin le gros noir termina sa petite affaire, ce fut alors au tour de mon copain de travail de se poster derrière elle. Me souriant de toutes ses dents, d'un seul coup de rein, il s'enfonça jusqu'aux burnes dans sa chatte distendue. A nouveau elle me mordit la bite en grognant. Mon pote commença à la marteler d'amples coups de chibre. Je sentais chacun de ses coups de boutoir. Cela ne prit pas longtemps pour qu'il jouisse, la vue de son pote baisant ma femme l'avait bien trop excité pour qu'il puisse se contrôler.
Alors qu'il se vidait dans l'intimité de ma femme; je lui dis :
- Je vois que les femmes ont raison quand elles disent que les noirs sont des cocottes une minute !
Les rires explosèrent dans la pièce alors qu'il me rétorquait :
- Pour l'instant, je me suis juste farci la chatte de ta femme. Elle était vraiment bonne. Mais attend que lui casse le trou du cul avant de dire quoi que ce soit.
Mel dit alors au jeune punk noir de se magner le cul qu'il puisse l'enculer. Il tendit la caméra à un des types et dit :
- Tous ces discours sur la sodomie m'ont donné une folle envie de casser le mignon trou du cul de cette salope de blanche ! Où ai-je posé le tube de vaseline ?
Il empoigna le tube, l'ouvrit, en extirpa une noisette sur son index, et il enduisit soigneusement le petit trou de ma femme de lubrifiant. J'avais visité le petit trou de ma femme qu'une seule fois, et voilà que ce salopard monté comme un âne se disposait à enculer ma ravissante femme.
Alors qu'il lui graissait le trou du cul, je sentis que ma femme reprenait ses esprits. Elle commença par relever la tête et grommela quelque chose, quoi qu'il en soit avant qu'elle puisse s'exprimer clairement, Mel enfouit ses 25 cm de queue dans son étroit petit oeillet. Wendy se mit à crier, de véritables hurlements de douleur. Elle hurlait si fort que son enculeur se mit à paniquer.
- Que quelqu'un lui enfonce un baillon dans la bouche avant que les flics ne rappliquent ! hurla-t-il à ses acolytes.
L'un d'entre eux dénicha un baillon convenable et le lui bourra dans la bouche. Elle ne pouvait plus pousser que des cris étouffés.
- Fous-lui toute ta bite dans le cul et laisse la ensuite se détendre ! lui conseilla un de ses potes.
Mel s'enfouit au fin fond de ses entrailles, couilles butant sur ses fesses bien rondes. Il se tint immobile le temps qu'elle reprenne sa respiration et qu'elle cesse de hurler. Elle se calma enfin, cependant elle se mit à le supplier d'arrêter, elle n'aimait pas cela, cela faisait bien trop mal.
- S'il vous plait arrêtez ! je vous en prie. Je vous en prie ! Je ferai tout ce que vous voudrez ! Mais je vous en prie arrêtez ça ! ..
Mel se contenta de lui dire :
- Ferme-la salope de chienne blanche, tu vas faire tout ce je veux de toute manière. Si tu ne tais pas, non seulement je vais t'enculer, mais je vais fouetter ton petit cul avec ma ceinture ! Et maintenant ta gueule !
Wendy chercha à refréner ses cris de douleur, nous ne l'entendîmes plus que feuler et gémir sourdement à partir de ce moment.
Mel se mit à coulisser dans son anus asservi, tout doucement, pour commencer, puis de plus en plus vite alors que son excitation montait.
Un autre se posta devant son visage, enfourna sa bite dans sa bouche tout en la prévenant que si elle le mordait, elle allait se prendre la raclée de sa vie. Alors qu'elle l'embouchait, Mel explosa dans son fourreau meurtri, son fourreau plus du tout secret.
Wendy se remit à miauler de douleur alors qu'il se retirait lentement de son boyau endolori. Il se retira à l'orée de son anus et il s'enfonça une dernière fois, avec une extrême brutalité dans son trou du cul douloureux en commentant :
- Ca t'apprendra à cesser de crier sale chienne blanche !
Il se retira à nouveau pressant son gland sur son oeillet frémissant. Il lui demanda alors :
- Apprécies-tu d'avoir ma grosse bite dans ton trou du cul ma chérie ?
- Je vous en prie, arrêtez ! souffla Wendy éperdue.
- Répond d'abord à ma question petite salope blanche ! Apprécies-tu d'avoir ma grosse bite dans ton trou du cul ?
- Oui ! dit-elle réalisant que c'était la seule réponse qui convenait.
- Dis le plus fort salope !
- Ouiiiiiiiiiiiiiii ! J'adore que vous fourriez votre grosse bite dans mon trou du cul ! Vous pouvez me la fourrer là où vous voulez ! soupira-t-elle misérablement.
Mel extirpa sa bite de son trou du cul avec un plop sonore alors que son œillet reprenait une taille normale. Je remarquais cependant qu'il restait entrouvert ne se refermant pas totalement. Mel la contourna et lui dit d'ouvrir la bouche en grand, elle s'exécuta servilement et il lui enfourna sa bite en pleine bouche.
- Nettoie-la ma chérie, ou je te la fourre à nouveau dans le trou du cul !
Elle entreprit de le lécher consciencieusement alors que des reliefs excrémentiels se déposaient sur ses lèvres.
- Je t'ai dit de me nettoyer la bite salope ! Lèche la merde qui souille mes burnes !
Elle se recula de quelques centimètres et toiletta ses balloches. Il l'interrompit et répéta :
- Je t'ai dit de me nettoyer correctement. Cela implique que tu me prennes maintenant la bite à pleine bouche, tu vas la prendre dans ton arrière-gorge ma petite chienne blanche.
Il lui empoigna la tête, lui conseilla de respirer à fond puis enfonça sa bite jusqu'aux couilles dans sa bouche rétive. Je vis qu'il franchissait la luette, les amygdales et qu'il s'engouffrait dans son arrière-gorge. Elle paniqua, deux des gars la maintinrent en place alors qu'elle ruait et décochait des coups de pied. Il répéta suavement :
- Nettoie ma bite ma chérie !
Folle de complaisance elle obtempéra misérablement faisant de son mieux pour le contenter. L'un d'eux l'avertit qu'elle étouffait, il se retira quelque peu lui laissant reprendre son souffle.
- A qui le tour de se faire cette ravissante petite chienne blanche ?
Un colossal noir s'avança et lui saisit les cheveux.
- A mon tour salope ! dit-il en s'étendant à même le sol, il l'attira à lui en lui tirant brutalement les cheveux.
- Enfourche moi salope !
Elle grimpa sur lui en essayant de rendre l'opération la moins douloureuse possible, sa chatte était endolorie, il lui faisait très mal au cuir chevelu en tirant sur ses cheveux avec une telle violence. Elle s'empala lentement sur à la bite monstrueuse de ce colosse. Il était si large qu'elle ne touchait pas terre une fois installée sur son estomac. Elle oscillait sur son ventre se servant de sa bite comme d'un point d'ancrage qui lui évitait de chuter par terre.
- T'es une ravissante pute blanche avec un cul extrêmement étroit pour sûr ma chérie ! la félicita-t-il en l'attirant sur sa poitrine en lui tirant les cheveux.
Elle se balançait sur cet homme doté d'une bite de plus de 35 centimètres de long. Il lui dit de commencer à le chevaucher, elle se contentait d'envelopper sa bite de son fourreau distendu et de se sentir pleine de lui.
Les spectateurs se mirent à rire, le mettant en rage. Il tira plus violemment ses cheveux lui enjoignant de bouger son cul, elle hurlait de douleur.
Mel me dit alors de me poster dans son dos et de la prendre en chatte, je lui répondis qu'on ne pourrait jamais la fourrer à deux en même temps, mais il me répondit :
- C'est toi avec ta ridicule saucisse, ou l'un de ces hommes avec sa bite épaisse !
Je me postais dans son dos et fis de mon mieux pour l'embrocher par la chatte. Bien que le gros homme bouge tout le temps, je parvins à m'enfoncer dans sa chatte resserrée, encore un coup de rein et je m'enfonçais en elle jusqu'aux couilles. Je sentais l'énorme bite de ce colosse frotter contre la mienne au travers de son périnée.
Wendy semblait à l'agonie, elle se remit à hurler, Mel hurla au géant d'en finir avant de la tuer. En quelques secondes, je sentis le gros bonhomme bouger en tous sens, un véritable tsunami, vague après vague nous labourions tous deux Wendy allant et venant simultanément dans sa chatte et son trou du cul distendus. Je devais admettre que c'était une sacré séance de baise.
Il termina de jouir et se retira de Wendy avant que je jouisse à mon tour. Puis ils la baisèrent un par un, certains en bouche, d'autres en cul, Mel m'enjoignit de l'enculer à mon tour.
- Allez mon p'tit cornard de blanc, cette salope adore se faire enculer, cela deviendra la norme une fois qu'elle se sera bien fait sodomiser pendant un mois ! Mais j'ai grand peur qu'après avoir été dans tous les trous par de si grosses bites que ta petite saucisse ne puisse plus jamais satisfaire ses appétits lubriques ! Mais pour l'instant viens donc mon gars, encule ta salope de femme !
Je me postais dans son dos et vis des torrents de foutre s'écouler de sa chatte et de son trou du cul, elle était silencieuse, pas un cri, pas un gémissement. Je l'embrochais sévèrement, elle se réveilla et se remit à crier sourdement, je lui tapais les fesses, elle cessa automatiquement de se plaindre. Je la pilonnais violemment, de regarder tant de noirs la posséder en bouche chatte et cul m'avait follement excité. Je savais que je n'allais plus tarder à jouir. Je sentais mes burnes se raidir, mes coups de boutoirs devenaient irréguliers.
Soudain, quelqu'un m'enfonça son doigt bien graissé dans le trou du cul, cela me fit un mal de chien mais déclencha immédiatement ma jouissance. Je lui emplis de mon foutre tout en tenant ses fesses à pleines mains.
L'étranger extirpa son doigt de mon trou du cul, quelqu'un ajouta, reste en place le temps que ta bite mollisse. Cela prit étonnement un long moment. Wendy gémissait toujours, elle criait doucement alors que ma bite amollie glissait hors de son sphincter anal. Elle roula sur le dos et s'écria :
- J'ai mal !
Mais elle avait perdu le compte du nombre de fois qu'elle avait joui.
Les gars se rhabillaient, ils nous félicitèrent pour la performance de Wendy et partirent.
Alors que nous nous rhabillions, Mel nous dit que tout la séance était aux frais de la maison, il ajouta que les photos seraient prêtes dans 5 jours, Wendy n'avait qu'à s'arrêter pour les prendre. Il nous rappela à tous deux que la séance entière avait été filmée et que nous apparaissions comme des participants volontaires sur les rushs d'où serait tiré un DVD. Si nous nous plaignions aux flics, cette vidéo serait diffusée à la vente dans les sex-shops et sur internet. Nous avions 19 ans révolus et nous le croyions.
Alors que nous étions habillés, prêts à sortir de l'agence Mel reprit :
- Wendy, tu viendras ici seule vendredi si tu ne veux pas que j'envoie cette cassette à tes parents ! Ne te tracasse pas, je serai seul, je te le promets !
Il riait à gorge déployée alors que nous éloignions de son agence.
Le vendredi suivant j'accompagnais Wendy à l'agence de ce salaud, je restais dans la voiture alors qu'elle pénétrait dans ses studios. Dès qu'elle fut entrée, Mel lui montra les photos tout en commentant :
- Regarde celle là Wendy, on t'y voit nettoyer ma bite des excréments qui la souille ! Et celle là, où tu fais une pipe à un jeune noir alors qu'un autre noir te prend en chatte ! Je suis à peu près sûr que c'était ta chatte, ça aurait pu être ton trou du cul, mais il est bien plus étroit que cet orifice ! Et là, mes favorites ! Tu souris à la caméra alors que t'es prise en sandwich par deux colosses noirs ! T'as vraiment l'air d'apprécier les grosses bites noires ! N'ai-je pas raison ?
- Oh oui, j'aime les grosses bites noires !
- Bien ! commenta Mel suavement, parce que je vais te baiser une fois de plus ! Déloque toi !
Wendy obtempéra servilement le suppliant de la prendre par la chatte et non par le trou du cul. Mel était de bonne humeur, il lui concéda :
- Je ne te prendrai qu'en chatte si seulement tu fais ce que je veux ensuite ! Ca marche ?
- C'est d'accord ! répondit Wendy misérablement.
Wendy lui demanda ce qu'il voulait lui faire en se dirigeant vers la salle du fond. Mel la rappela et lui dit :
- Pas par-là, ouvre la porte de devant ! Tiens la ouverte, je vais te baiser dans l'ouverture ! De cette façon ton cornard de mari et les passants pourront me voir en train de te baiser ! Déshabille toi et penche-toi en avant !
Wendy lui obéit docilement, elle ouvrit la porte d'entrée de l'agence et se pencha en avant tout en la maintenant ouverte. Je fus extrêmement choqué de la voir ouvrir la porte entièrement nue, je le fus encore plus lorsque je vis Mel dégrafer sa braguette et sortir sa grosse bite à la vue de tous. Il se posta dans le dos de Wendy et la lui fourra tout de go dans sa petite chatte. Ce n'était pas une rue des plus commerçantes, mais il y avait tout de même quelques voitures qui passaient et quelques voisins qui se baladaient. Il la labourait sauvagement. Je le vis sursauter, je sus alors qu'il était en train de jouir. Il lui remplit la chatte, se retira la contourna, se posta face à elle et lui enjoignit de nettoyer sa bite. Elle dut lui complaire, lui nettoyant la bite de la langue, avalant les derniers reliefs de son éjaculation.
Une fois qu'il en eut terminé, il remonta sa fermeture éclair, et lui rappela les termes du marché. Elle rassembla ses fringues et se dirigea vers la voiture entièrement nue. Grimpant sur le siège passager, elle me dit qu'elle devait venir le voir tous les mercredis pendant 10 semaines, il semble qu'il voulait tourner d'autres vidéos et tirer d'autres photos d'elle. Dans quel piège étions-nous tombé ?
Elle resta nue, assise à mon coté le temps du trajet retour, jetant des coups d'œil affolés au travers de la vitre.
- Je pense que nous ferions mieux de partir sur la cote ouest ! De changer d'université ! Qu'en penses-tu ?
J'acquiesçais, et l'on commença à tirer des plans pour fuir cette ville. Notre vie avait changé et nous voulions nous libérer de l'emprise de ce bâtard de noir.
- Penses-tu que nous pourrions casser son chantage en lui volant les photos et les vidéos ?
- Je ne crois pas, mais c'est à voir ! Mais dans ce cas faudrait opérer rapidement, avant qu'il puisse les vendre ! Je vais passer un coup de fil à certains amis de mon vieux père pour leur demander leur aide excuse-moi de t'avoir entraîné dans cette déplorable aventure ma chérie.
Elle se contenta de me sourire misérablement et de serrer ma main entre les siennes, soupirant :
- Je t'aime mon chéri !
Mais dès le lendemain, avant même que je téléphone aux amis de mon père, tous nos espoirs s'envolèrent vers dix heures du matin. C'est à cette heure que l'on reçut une enveloppe en recommandé, elle contenait un DVD avec une note nous invitant à la visionner avant de prendre des initiatives regrettables.
Je la glissais dans le lecteur DVD et lançais la lecture. C'était horrible, on y voyait Wendy prise par tous ces trous, sur le canapé, en levrette, à quatre pattes sur la moquette, par un, deux, trois noirs simultanément, et le pire de tout elle souriait, quel que soit le spectateur il ne pourrait que conclure de ce spectacle qu'elle participait volontairement à ces joutes sexuelles.
Le DVD se terminait sur un message à notre adresse nous déconseillant de prévenir les flics ou de prendre quelques initiatives comme désobéir ou déménager, dans ce cas, cette vidéo, et d'autres seraient immédiatement diffusées sur le web tandis que nos proches, nos parents, nos amis recevraient une documentation complète concernant nos exploits sexuels.
Le message spécifiait que nous trouverions 500$ versés sur notre compte en banque, prouvant notre participation volontaire à cette production et précisait que tant que nous serions raisonnables les DVD des exploits de Wendy ne seraient destinés qu'à l'Amérique du Sud, l'Asie, l'Afrique et l'Europe mais ne concerneraient pas le marché nord américain.
Par ailleurs la voix off définissait ses futures tâches, bien entendu tourner dans d'autres productions pornos, escorter des clients jusque dans leurs lits d'hôtel, divertir les amis de Mel et ses clients en participant à des parties privées et autres broutilles..
Nous étions coincés, tant que les charmes de Wendy plairaient au public des acheteurs, à Mel et ses amis, et qu'elle leur rapporterait de l'argent, elle était condamnée à n'être que leur vide couille, la pouffe blanche pour grosses bites noires .
FIN
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