mardi 23 janvier 2024

Le dressage d'Aline - Ch. 07

 Récit de Vadrouille.

*****

Aline fait la pute.

Il y déjà pas mal de temps maintenant qu’Aline est ma maîtresse attitrée et surtout mon jouet. Elle accepte tout et toutes les situations l’excitent. Il me fallait de plus en plus d’imagination pour que la bourgeoise devenue ma chienne lubrique soit encore réticente à certaines propositions. Cette réticence me pousse à lui ordonner n’importe quoi ce qui me fait toujours bander. A l’heure ou j’écris ces lignes,  les photos d’Aline, prisent pendant qu’elle se faisait sauter ou suçait l’un ou l’autre, défilent en arrière plan sur mon écran. 

Durant un week-end à la campagne nous étions tranquillement couché sur les transats du jardin. Aline avait les seins nus et une petite culotte qui était là juste pour le principe, je m’aperçois que sa main s’était glissée entre ses jambes et elle se donnait du plaisir :
 
- Tu penses à quoi en te branlant ?

- Oh des souvenirs repassent, la première fois nous deux, quand sur le bateau tu m’as "forcée" de m’exhiber, me faire tripoter sur les pistes de danses par des inconnus sous ton regard amusé, la même soirée lorsque tu m’as fait mettre un oeuf vibrant pour danser avec ce vieil homme qui croyait que c’était lui qui m’excitait, cette pipe que je t’ai fait sur le pont du bateau et aussi lorsque tu m'as "obligée" à baiser avec ton copain, lécher ton amie, faire l’amour avec ma propre fille pendant qu’elle te suçait, tout çà me...

- Te... donne des regrets ou des envies ?

- J’ai envie en tout cas de toujours faire les choses que tu voudras que je fasse, être ta petite chienne obéissante.

- Ça tombe bien, dis-je, ces souvenirs m’ont donnés envie de te la foutre en bouche et de me faire pomper la pine, vient on rentre...

Cette scène d’Aline à quatre pattes devant moi en train de m’avaler la bite était superbe, son cul en l’air était une invitation !!!!

- Salut les amoureux ! dit Robert en entrant dans le chalet ou nous étions en plein "travail"

Aline restait active.

- Salut Robert ! dis-je.

Aline ne pouvant faire qu’un vague signe, je lui avais maintenu la tête pour qu’elle n’arrête pas la turlute sous l’œil rigolard de mon copain qui déjà portait la main à la boîte à queue de ma pompeuse.

- Salut Robert, tu arrives bienn la chaudasse en redemande !  vas-y sers toi ! et toi Aline continue de sucer !

Joignant le geste à la parole, d’un coup Aline est prise en sandwich , Robert lui enfonce son asperge dans la chatte et s’active à la baiser.

- C’est bien comme ça on peut faire la conversation et profiter du corps de ma salope.

Nous la prenions en alternance par derrière ou nous nous faisions pomper par Aline qui devenait de plus en plus experte en ce domaine.

- Nous allons lui en foutre plein la figure ! dis-je en lui intimant l’ordre de nous branler tout les deux.

Nous éjaculâmes en même temps et elle était couverte de sperme qu’elle enlevait avec les doigts qu’elle léchait avec gourmandise.

Le lendemain, toujours au chalet.

- Dorénavant quand je t’en donnerai l’ordre, tu vas te comporter comme une pute avec qui je te dirai.

- Comme tu le désires, on va sur l’autoroute ?

- Non, là tu ne fais pas la putain puisque je suis là dès le début. Mais nous irons bientôt et on essayera de battre le record de camionneurs ou autres qui te baiseront. Mais aujourd’hui ce sera pour Eric (un voisin passe souvent prendre l’apéro) que tu vas allumer.
 
- Tout à l’heure, je serai à l’étage devant l’ordi et toi au salon où je vais placer deux caméras. Je verrai donc bien si tu fais la chienne. Tu t’habilles comme tu veux mais je veux que qu’il ne sache pas te résister. Dommage que tu n’as pas ici tes vêtements chics de bourgeoise, j’adore te voir te faire baiser comme une pute en étant habillée en Madame ! ce sera pour la prochaine fois...

Elle portait une longue jupe portefeuille noire et un chemisier assez transparent qu’elle avait momentanément "caché" sous une très large écharpe, fallait pas effrayer la cible. 17h00, Eric arrive.

- Salut Aline, Pierre n’est pas là ?

- Non, il a dû s’absenter, il a dit qu’on prenne un coup d’apéro ensemble (pas mal l’expression le coup ensemble, elle commence bien)

- Ah ? ok, mais si tu veux je reviendrai tout à l’heure...

- Non, non, reste ! Que veux-tu boire ? comme d’habitude, un verre de vin ? 

Elle se dirige lentement vers le bar, elle se penche très fortement pour prendre une bouteille montrant ses belles formes. C’est vrai qu’elle a un beau petit cul et, du coin du regard, l’ami Eric la mate discrètement. Aline, comme à la pêche, elle amorce, elle appâte. Se retournant pour apporter les consommations et venir au salon, elle s’arrange pour qu’un pan de sa jupe s’ouvre et laisse dépasser une jambe... La salope avait mis des bas et ça se voyait tandis que le copain feignait de regarder autre part... Mais pas facile. En plus en remplissant les verres elle lui tournait le dos et montrait de nouveau ses splendides formes. Elle attaque en force, s’asseyant à côté de son "client" elle pose une de ses jambes sur les genoux du copain qui tombe des nues.


- J’ai envie d’une bite, Pierre étant absent et toi bien là, tu vas en profiter, j’espère !

- Mais si Pierre revient ? 

Déjà il commençait à lâcher prise.

- T’occupe pas de lui, il ne sera pas là avant une heure, on a tout le temps. 

Elle avait fait glisser le pan de sa jupe montrant ses jambes. 

- En même temps, dit-elle, la bosse dans ton pantalon prouve que tu aimes me mater ! 

Elle laisse tomber son écharpe foulard dévoilant son chemisier transparent mettant bien en évidence ses seins, elle ne portait pas de soutif... Une véritable pute, elle agissait comme une traînée et ne se contentant pas de regarder la bosse dans le pantalon elle lui ouvre la braguette et commencer à lui pistonner le dard...

- Tu as une belle queue, tu vas me la mettre, hein ? je suis pleine de mouille. 

Prenant la main d’Eric elle lui prouve qu’elle est excitée, elle n’a pas de culotte...

- j’ai envie, dit-elle, joue avec mon petit cul qui n’attend que de se faire défoncer... lèche moi le clito, je veux sentir ta langue et que tu sentes mon odeur quand tu vas retourner près de ta femme ! ça m’excite !

- Je ne te savais pas comme ça ! dit Eric avec une voix haletante.

- Et tu n’as rien vu, j’aime me faire sauter dans toutes les positions par un ou plusieurs mâles même ta femme je peux baiser avec, lui sucer le clitoris, les seins, je peux tout faire. Pour moi le sexe c’est indispensable je suis chienne, une pute, une écrémeuse.

Et joignant le geste à la parole, elle lui prend la bite et commence à lui faire une petite gâterie. Franchement à les regarder, je me branlais devant les ordis et enregistrais les ébats pour regarder pendant les longues soirées d’hiver et je suis certain que Martine aimera voir sa mère agissant en putain.

- Non, te déshabille pas !  prends-moi ! défonce-moi ! regarde je me caresse d’envie, ta femme le fait aussi ?

- Non, elle est plutôt réservée et n’aime pas trop le sexe.
 
- Alors profite, saute moi mais vas-y bordel ! je t’ai dit que je n’attendais que ça, perds-pas ton temps on ne sera pas seul toute la soirée !!!! tiens, un préservatif.

Ceci dit, le copain d’un coup lui enfonce son engin et après seulement quelques coups de pompe le plaisir était là.

- Excuse moi, ça a été vite, j’étais tellement excité...

- C’est rien, j’ai eu ce que je voulais. Je suppose que tu préfère ne pas rencontrer Pierre ? va vite...

Lorsque je revînt dans le salon, Aline était toujours couchée, les jambes toujours ouvertes semblant attendre... le suivant.

- Du bon travail, tu t’es surpassée mais ça a été vite ! dis-je en quittant mon observatoire de voyeur.

- Oui, une pute veut baiser rapidement avec un mec... pas besoin de phrases. Tu me sautes, tu jouis puis tu te tires, je suppose que c’est ainsi ? mais ça m’a donné des envies !!!!!

- Il t’a baisé sur le bord du lit, même pas déshabillé. Tu as retroussé ta jupe et ouvert les jambes, vraiment comme une pro...

- ça me plaît assez un petit coup en vitesse... Mais je te veux toi maintenant...

- Ok, mais reste comme une prostituée, les jambes écartées et prête à baiser... Tu étais tellement parfaite que je me suis branlé en vous regardant, mais t’en fait pas, j’ai amené du renfort !

- Tu n’es pas seul ? 

M’approchant et l’embrassant, je lui enfonce un concombre que j’avais pris au passage... 

- tu vois, je suis avec mon copain !!!!!

Et je la baisais avec le légume.

- Aaaaaaaaaaaaaaaaaaagh mmmmh c’est bon !!! quand tu n’est pas là j’utilise aussi des fruits ou légumes pour me branler... Même au bureau ! Tu as remarqué que j’avais souvent une banane pour le déjeuner !

- C’est ça, en même temps, faudrait voir à occuper ta bouche et me redonner de la vigueur... Je veux encore te baiser en même temps que mon "ami" !!!! suce moi à fond, je veux sentir le fond de ta gorge avec ma bite.

- Oooooh bordel que c’est bon !

Et continuant de jouer avec le concombre dans son baveux, je la retourne, lui retrousse la jupe sur les fesses. Imaginez le spectacle du cul offert !!! Je commence du doigts à lui pénétrer son petit trou, je lui crache dessus, la lubrifie... Deux doigts passent, elle semble réticente mais je la maintiens fermement et la positionne pour la prendre comme une chienne.

- nooooon ! dit-elle.
 
- Siiiii, dis-je, tu es une pute et tu es là pour satisfaire, pour le bon plaisir des hommes, quoiqu’il te demande. 

En même temps j’avais présenter ma queue à l’entrée de son petit cul.

- tu vas voir comme je vais t’ouvrir la rondelle. dis-je en poussant mon gland à l’entrée de la zone.

- Aïe, nooooon, ça fait mal ! suppliait-elle.

- Je vais te sodomiser, que tu le veuilles ou non... 

Et d’un coup je lui enfonce bien profond dans le cul.

- Je suis celui qui peut tout exiger de sa catin, alors tu vas te branler avec le concombre pendant que je t’encule, comme si on te prenait à deux, ce qui te plaît en général.

- Oui, mais...

Une tape sur les fesses lui remet les idées en place. Je continue de lui tarauder le cul, les plaintes cessent et des petits cris de jouissance commencent à lui échapper.

- Voilààààà, c’est bien, tu commences à prendre du plaisir dans la sodomie ! tu étais déjà vaginale, clitoridienne, buccale et te voici anale maintenant... J’ai toujours dit que je ferais quelque chose de toi... Maintenant, je laisse aller la purée.

Je me retire de son moutardier et l’attrapant par les cheveux, je lui fait faire volte face et lui enfonce de nouveau ma bite dans la bouche cette fois et aussitôt j’ai une éjaculation du tonnerre. Mmmmmh !!! elle avale le p’tit lait et pousse des cris de plaisirs, elle est rassasiée, elle adore le goût du sperme.

- C’est bon, hein !!! Nettoie ma queue avec ton avaloir maintenant, après tout c’est en toi, dans ton trou d’cul que je l’ai souillée...

- Ouf ! dit-elle après avoir bien laver mon zob et repris son souffle, j’ai vraiment aimer être dans la peau d’une putain, j’aimerais que tu me le fasses encore faire. Etre prise comme une moins que rien, être dégradée, souillée, m’a donné encore plus envie de me soumettre à toi, de toujours faire ce que tu m’ordonneras, je crois que ton imagination n’a pas de limite et que ma soumission durera encore longtemps... 

Elle disait tout ça en continuant de se caresser en même temps, jouant avec son clito et se pénétrant l’anus.... elle y prend goût et tant mieux avec les projets que j’ai pour elle.

- Comme je t’ai dit tout à l’heure nous allons retourner sur les autoroutes et tu baiseras le plus possible de mecs en une soirée. Il y a aussi un copain Bruno, tu sais le patron de la brasserie qui, pour cause de permis retiré voudrait qu’on le reconduise chez lui et un vieux que je voudrais que tu fasses la pute avec... tu vois, il y a du pain sur la planche... enfin de la pine dans tes mains !!!

- Oh ouiiiii ce sera pour bientôt ? j’en ai déjà... l’eau à la bouche.

- Oui et je voudrais aussi un de ces jours me farcir de nouveau ta fille, c’est une fameuse baiseuse aussi la Martine.

Comme vous voyez, ce n’est pas encore aujourd’hui que je serai... au chômage ! 

FIN

2 commentaires:

  1. Une histoire envoûtante, dommage que ce soit déjà fini. J’aurais tant voulu qu’il la fasse saillir par un chien ou un âne….

    RépondreSupprimer
  2. Dommage que cette histoire soit finie car j'aurais aimer la voir encore faire la pute et pourquoi pas avec sa fille et continuer à les dresser toutes les 2

    RépondreSupprimer

Merci de vos retours