Traduction du texte de Cathartico : "Jessica's Change Management"
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La fausse glace.
*** Semaine 3 – Mardi ***
Mon réveil commence à sonner à 6h30. Somnolente, je me dirige vers la salle de bain. Mes fesses me font encore mal et me rappelle la correction que j'ai reçue hier.
En prenant une douche je me remémore les événements de la veille. Ce fut la journée la plus longue au travail de toute ma carrière. Les dés de Daniel m'avaient gardé tout le temps excitée et ça avait empiré quand le latino avait intégré les autres stagiaires dans le jeu.
Quel connard ! Bordel, pourquoi avait-il fait ça ? Que voulait-il ? Je suis toujours en colère contre ce putain de connard macho. Après tout, il me laisse dans une sale situation.
À partir de maintenant, les trois autres stagiaires sont au courant de mon rôle de Pute de Bureau de Daniel. Et pire encore, ils m'ont baisée et utilisée comme une salope facile. C’est ce que je voulais éviter depuis le début.
Maintenant, je dois faire face à l'inévitable. Daniel est peut-être le chef de la bande, mais je suis devenue la salope officielle des stagiaires. Ma vie au bureau va s'aggraver avec les autres garçons.
Aujourd'hui va être un jour crucial. Il y a beaucoup de choses en jeu. La fessée d’hier devant les stagiaires fut pour moi plus qu'une simple leçon. Ce fut un avertissement. Daniel est capable d'impliquer plus de personnes dans ma déchéance au bureau.
Imaginez-le en train de mettre Ortéga au courant ! Je ne peux pas risquer ça ! Je dois tout faire pour l’empêcher.
Mon boulot est très clair pour moi. Je dois tenir Daniel constamment occupé. Je ne peux pas prendre le risque qu'il se mette à s'ennuyer et qu'il prépare d'autres idées d'humiliation envers moi. Mon Dieu, cette seule pensée de me motiver pour satisfaire ce jeune voyou latino fait mouiller ma chatte.
Oui, je veux que Daniel prenne le contrôle de moi. Oui, je veux qu'il m'utilise comme il veut. Non, je n'oublie pas qu'il me fait chanter. Non je n'ai pas oublié les dégradations, les actes sexuels vicieux, les gifles et les fessées qu'il m'a données.
Cependant, il est indéniable qu'une part croissante de mon être apprécie la domination de ce jeune latino et accepte toutes les humiliations sexuelles. Même si mon moi sophistiqué et bourgeois continue à se sentir avili et rabaissé, le rejet de me soumettre diminue de jour en jour.
Étrangement, le fait de me faire baiser par les autres stagiaires a renforcé mon lien avec Daniel. Matt a bien essayé de le défier sournoisement en essayant de se montrer plus dominateur. Mais même si je me suis montrée soumise, il est devenu clair pour moi que je ne veux que Daniel pour Maître. Il sait exactement comment me faire réagir. Et il sait bien comment me traiter.
Je veux être son jouet de luxe. Je veux me montrer classe pour lui. Je veux qu'il me contrôle, lui et personne d'autre.
Houlà, ça paraît peut-être un peu exagéré ! Mais pourtant c'est ce que je ressens.
Cependant, je ne dois pas être étonnée. Au cours des deux dernières semaines, ce sentiment a régulièrement enflé, peut importe si je l'avais nié. Finalement ça a abouti à la situation actuelle. Maintenant, je veux servir ce voyou macho arrogant et lui plaire du mieux que je peux. Même si pour cela, je dois montrer à Matt qu'il ne deviendra jamais mon Maître.
Ce jeune homme ne m'a pas plus du tout. Pourtant il a été le plus audacieux et le plus dominant de tous les stagiaires. Il s'est comporté en gamin snob. Et il m'a traitée de poupée moins chère, moins jolie et plus vulgaire qu'une Barbie. Il a dit que je devais améliorer mon apparence. Ses remarques m'avaient emplie de colère. Il devait sûrement plaisanter ! Avec mon faux bronzage, mes ongles manucurés et mes faux tatouages, je ressemble déjà à une star du porno non ?
C'est ridicule je sais ! Après tout, je déteste tout ce qui concerne ces bimbos vaniteuses. Le fait que ce petit prétentieux ose m'humilier devant Daniel et dénigre mes efforts me met en rage. Je veux être à côté de mon homme et prouver que cet imbécile a tort.
Bien sûr, Daniel ne peut pas laisser le défi de Matt sans réponse. Après tout, il doit prouver qu'il est le patron non ?. Je me suis donc retrouvée au centre commercial avant d'aller travailler pour trouver quelque chose qui me transforme en vraie poupée de luxe.
Avant de quitter la maison, je prends beaucoup de temps pour choisir une tenue. Après tout, je veux faire plaisir à Daniel tout en prouvant à Matt qu'il a tort. Finalement je suis les recommandations du jeune latino et je décide de porter des vêtements sexy sous une robe de soirée.
Je choisis le vêtement le plus osé que Daniel avait trouvé lors de notre virée shopping au centre commercial. En le mettant je me souviens en avoir discuté avec lui. Je lui avais dit qu'il n'y avait pas d'endroits sur terre où je puisse porter une chose comme ça. Mais il s'était moqué de moi et l'avait pris quand même. Aujourd'hui je suis presque contente qu'il ait gagné.
Il s'agit d'un chemisier rouge avec un effet mouillé. Sur le devant, il y a des lanières croisées. Elles laissent exposer mon ventre plat et elles mettent en valeur mes gros seins. En gros, la moitié intérieure de mes nichons est visible jusqu'à mes mamelons. Ensuite la couleur rouge éblouissante agit comme un signal d'alarme et le tissu d'aspect mouillé est moulant.
Pour contrebalancer ce chemisier plus que osé, je revêts par-dessus une élégante robe pour le bureau. Il s'agit d'une robe sans manche qui descend presque à mes genoux. Le col en V est assez profond pour laisser imaginer ma grosse poitrine sans être trop révélateur. Le tissu en patchwork noir et blanc lui donne un air à la mode. Le devant est blanc alors que les côtés et le dos sont noirs. Ça donne à la robe un look en forme de crayon et ça met parfaitement en valeur mes courbes.
Je complète ma tenue avec des hauts talons. Je mets une paire d'escarpins classique noir et blanc, avec des talons pointus de 12 centimètres. Ensuite je mets des accessoires : la paire de boucles d'oreilles en argent en forme de cœur, le collier assorti et la bracelet en argent avec la petite règle.
Vu de l'extérieur ma tenue semble élégante et prude. Après tout, je ne vais pas à un défilé de mode mais au bureau. Pourtant je sais que ça ne va pas. Les garçons veulent que je ressemble à une poupée de luxe. Dans cette tenue je me sens comme une femme à la mode à l'extérieur et comme une vraie salope avec mon chemisier rouge à l'intérieur.
En me rendant au centre commercial, je ne peux m'empêcher de réfléchir à ce que je suis sur le point de faire. Pourtant la tâche est simple, je dois ressembler à une vraie poupée de luxe. Mais la réalisation n'est pas si simple. Après tout, je suis déjà assez sexy comme ça non ?
Je n'arrive pas à croire que je vais me dégrader encore plus. Surtout que je ne veux pas que mon apparence change encore. Le pire dans cette affaire, c'est que je choisis moi-même les changements. Je prends une part active à ma dégradation et je deviens la complice obéissante des stagiaires.
Les gars ont magistralement réussi à créer un conflit dans mon esprit. Je déteste ressembler à une Barbie maquillée, mais je veux avoir l'approbation de Daniel. Je déteste jouer la pute, mais je veux lui plaire et impressionner ses copains stagiaires.
Et merde ! Aucun dirigeant d'entreprise qui se respecte n'agirait de la sorte. Aucun dirigeant d'entreprise qui se respecte ne se serait fait faire des tatouages.
D'autre part, les mots de Matt résonnent toujours dans ma tête. Il m'avait traitée de « Miss BRATZ » et m'avait comparée à ces poupées vulgaires et bon marché qui étaient loin d'égaler les poupées Barbie plus classes. Je ne peux laisser passer ça. Cette insulte me fait réagit de façon non rationnelle. Tout ce qui peut me changer en poupée de luxe va me convenir tant que je peux donner tort à ce gamin. Je veux qu'il reste ébahi.
En arrivant au centre commercial, je ne sais toujours pas ce que je vais faire. Lentement la panique monte. Daniel m'a déjà tellement changé que je ne sais que faire d'autre. J'essaie de me souvenir des choses qu'il avait suggérées auparavant.
Me faire décolorer les cheveux en blond ? Non sûrement pas ! Je ne peux pas me présenter au travail avec les cheveux teints. Mes subordonnés ne me prendront plus au sérieux.
Un collier et une laisse ? Je ne veux pas acheter ces objets. Je ne veux pas imaginer ce que Daniel en fera. Je ne vais pas me promener au bureau avec une laisse autour du cou n'est-ce pas ?
Des piercings ? Ça ne me plaît pas non plus. Je ne veux pas de changements permanents sur mon corps.
Bon sang, je n'arrive pas à trouver quelque chose. Mon intelligence m'a quitté car mon esprit est trop pris dans l'anticipation des choses à venir. Je me sens réellement comme une bimbo et je suis tellement excitée que je ne peux plus réfléchir correctement.
Et ça ne m'aide pas à résoudre mon problème actuel. Je dois trouver quelque chose. Il faut que j'aille bientôt au bureau, je ne peux pas me permettre d'être en retard. Les cheveux teints et les piercings qui sont permanents sont hors de question.
Mais je veux que Matt soit bluffé et se taise dorénavant. Il n'y a pas moyen que j'oublie. Je dois trouver quelque chose de voyant et accrocheur. La perspective de couper le sifflet à ce bâtard arrogant est trop motivante.
Ils veulent que je ressemble à une poupée glamour non ? Et qu'est-ce qui est fashion actuellement ? Je me souviens avoir regardé une émission à la télé sur une nouvelle tendance chez les jeunes filles. Ça s'appelle du « vajazzling ». Ça consiste à faire briller son pubis de mille feux en appliquant des strass partout. C'est presque aussi bien qu'un piercing et encore plus scintillant et brillant non ?
Ma décision est prise et je me dirige vers le salon de beauté. Après avoir expliqué mes souhaits, la jeune esthéticienne blonde me regarde avec un mélange de perplexité et d'amusement. De toute évidence, elle n'est pas habituée à ce qu'une femme plus âgée demande un « vajazzling ».
Je choisis des cristaux blancs comme décoration et deux ornements différents. L'esthéticienne me jette un drôle de regard quand je lui explique mes choix. La perplexité a définitivement disparu et a été remplacée par du dédain. Je suis mal à l'aise. Après tout, cette jeune fille ressemble bien à une Barbie, avec ses cheveux blonds et ses ongles longs. Même une fille comme elle me méprise.
Pourtant, je reste déterminée. Toutefois, me déshabiller me demande un gros effort. Et l'étonnement de l'esthéticienne ne fait qu'augmenter lorsqu'elle voit mon tatouage de bronzage. Et bien sûr, elle remarque que je ne porte pas de culotte non plus.
Rougissant honteusement, je me sens plus que vulgaire. Pendant qu'elle applique les cristaux, je peux voir que la jeune fille se demande si je suis une star du porno ou une de ces femmes-trophée salopes. Je ne peux pas vraiment m'en offusquer, vu la façon dont mon corps est déjà décoré.
Quand elle a fini son travail, je me regarde dans un miroir. J'ai atteint mon objectif, mon corps est pailleté. Une couronne de cristal étincelante encadre le tatouage bronzé « LGZ » lui donnant un aspect encore plus marquage de bande. Et un cœur de cristal encadre ma chatte rasée, ma faisant paraître décorée comme un sapin de Noël.
L'esthéticienne blonde ne peut s'empêcher de secouer la tête lorsque je sors du salon, ce qui me rend toute rougissante et gênée.
En arrivant dans ma société, je fais de mon mieux pour être aussi discrète que possible. Je ne veux pas que mes collègues m'interrogent sur mon nouveau style.
Quand j'entre dans mon bureau, je suis surprise. Les quatre stagiaires y sont assis sur des chaises. Et Matt est assis à ma place, les pieds sur le bureau.
- La réceptionniste a été gentille de nous laisser entrer. Après tout, nous avons des dossiers dont vous avez besoin dès ce matin n'est-ce pas ? Me dit Daniel avec un grand sourire sur le visage.
Bon sang, ces salauds investissent mon bureau comme si c'était le leur. ORTEGA, O'BANNON et moi sommes les seuls à disposer d'un bureau individuel. C'est un symbole d'autorité important. Non seulement ces bâtards contrôlent mon corps, mais ils prennent également possession de mon bureau maintenant, me dégradant encore plus. Quels enfoirés !
- En fait, ce n'est pas pour les dossiers. Au lieu de ça, j'ai un cadeau pour toi. Vois ceci comme un encouragement. Tu t'es bien débrouillée hier, mais tu peux faire mieux. Ajoute Daniel.
Sur ces mots, il se lève et se dirige vers moi. Avec un grand sourire, il sort un nouveau bracelet qu'il accroche à mon poignet gauche. Il s'agit d'une petite chaîne en argent avec six petits dés alignés. Chaque face du dé a une lettre différente gravée dessus. Et tous les dés tournent librement afin de créer des mots.
Mince ! Maintenant, j'ai un bracelet à chaque poignet qui me rappelle mes défis précédents.
- Tu n'oublieras pas les défis que tu as tant aimé Miss Allumeuse. Remarque Daniel avec un petit rire.
Et il a raison. J'ai joué et j'en ai bien profité. Du moins jusqu'à ce que les autres stagiaires entrent dans le jeu. En conséquence le nouveau bijou n'est pas seulement le rappel du défi du jeu de dé, mais aussi un rappel de ma nouvelle position en tant que jouet de luxe des stagiaires. Le simple fait de regarder les dés argentés provoque une boule dans ma gorge et me fait penser au harcèlement que je m'apprête à subir au travail.
- Quand mes collègues ont appris que j'avais un cadeau pour toi, ils n'ont pas voulu être en reste. Alors ils ont quelque chose pour toi petite chatte. Dit Daniel.
Justin a les honneurs de représenter les autres. Il s'approche de moi en gardant quelque chose derrière son dos. D'un geste théâtral finalement il me le montre.
Un bâtonnet de glace ? C'est quoi ce bordel ? Je regarde l'objet en étant totalement confuse. Il a une couleur rose et la forme typique d'un bâtonnet de glace. Soudain mes yeux s'écarquillent. Je réalise finalement ce que c'est vraiment.
Il s'agit d'un gode ! Un gode extrêmement gros en silicone rose et lisse. Je n'arrive pas à croire que ces gamins ont amené un jouet sexuel si vulgaire dans mon bureau. Cela ne fait que renforcer ma peur de leurs projets s'ils me poussent à jouer constamment avec cet objet.
Le gode ne peut être décrit que comme une grosse bite. La longueur est d'environ 22 centimètres. Et la circonférence s'élargit vers le bas jusqu'à atteindre 15 centimètres.
- Je savais que tu aimerais ça ! Sucer une sucette glacée rend ta journée plus agréable pour un animal de compagnie comme toi ! C'est la friandise parfaite pour une salope.
Justin se moque de moi quand il voit mon visage abasourdi. Il ajoute :
- Et la taille le rend encore meilleur. Nous avons pensé que tes trous de putain ont besoin d'un peu d'entraînement afin qu'ils correspondent à ton statut de salope.
Daniel soutient son camarade en disant :
- Tu ne peux pas discuter sur ça, n'est-ce pas ? A partir d'aujourd'hui tu pourras l'utiliser pour ton régime quotidien. Je parie que tu t'ennuies de toute façon avec tes doigts.
Debout au milieu de mon bureau, avec un gode à la main, je ne sais pas quoi faire. Je suis complètement déboussolée. Je suis tellement ahurie que je fais une chose sans réfléchir. Je commence à porter la fausse glace à ma bouche pour la sucer.
Mon Dieu, que c'est embarrassant ! Je m'arrête à la dernière seconde. Malgré tout, les stagiaires ont remarqué mon geste et éclatent de rire. Le visage rouge et les mains tremblantes, je range le gode dans un tiroir de mon bureau.
Daniel me dit alors avec sarcasme :
- Je vois que tu aimes tes nouveaux cadeaux. Mais assez avec nos améliorations de salope. Voyons les tiennes !
Il ajoute en faisant l'éloge de mes vêtements :
- Belle tenue que tu as choisi petite chatte. Mais qu'en est-il des améliorations ?
Me remettant lentement du choc, je me rappelle de ma mission. Je veux faire plaisir à Daniel et faire ne sorte que Matt ne puisse plus la ramener. Ma robe en patchwork noire et blanche ait un bon début. Je me retourne et verrouille la porte de mon bureau. Je vais me donner en spectacle donc je ne veux pas être interrompue.
Face aux gars, je descends rapidement la fermeture à glissière de ma robe et je la laisse tomber par terre, exposant ainsi mon chemisier rouge. En tournant légèrement les hanches je présente le vajazzling qui entoure le tatouage « LGZ ». Avec mes ongles longs, je fais le tour de la couronne étincelante. Ensuite je saisis le bord de mon chemisier et je l'écarte pour montrer ma chatte et le cœur scintillant qui l'entoure. Finalement je laisse tomber ma chemise et je me penche pour laisser mes gros seins pendre. Puis levant les bras, je serre mes gros nichons avec les avant-bras tout en exhibant les deux bracelets en argent.
Les réactions des garçons ne la déçoivent pas. Daniel sourit fièrement tandis que les autres stagiaires sont complètement ébahis. Leurs yeux sont écarquillés et leur bouche grande ouverte devant le vajazzling. Ces réactions me font trembler et je rayonne en retour. Rendre Daniel heureux est devenu aussi attrayant pour moi que d'attirer l'attention des hommes avec mes charmes.
- Vous aimez mes nouveaux bijoux les garçons ? Je suis maintenant une vraie pute de luxe au bureau n'est-ce pas ? Ronronnai-je.
Puis en m'adressant à Matt directement, je dis :
- Qu'est-ce que tu en dis maintenant Matt ? Je suppose que tu avais tort. Je ne suis pas Miss BRATZ, je suis Miss Chatoyante.
Bien sûr, je ne peux pas laisser passer cette chance de lui rétorquer. La façon dont il me regarde est un bon retour sur investissement. Visiblement, il ne croyait pas que j'aille si loin dans les modifications. Vajazzling, ongles manucurés, faux bronzage avec tatouages, bijoux et tenue élégante, si ça ne fait pas de moi une poupée de luxe, je ne sais pas que faire d'autre.
« Oui, c'est ça gamin. Tu es impressionné non ? Sois content d'avoir le droit de me toucher » Pensé-je tout en me retenant de le dire tout haut. Mais je n'ose pas me moquer de lui aussi cruellement. Et ça n'a pas d'importance. Le voir presque humilié est aussi bien. Tout du moins c'est ce que je croie à ce moment.
- Regardez ! La salope s'est fait faire quelque chose de bien. Dit finalement Daniel.
Waouh ! Quelle remarque désobligeante ! Pourtant ça ressemble à un compliment que l'on me fait et je souris. J'ai réussi !
- Viens ici chienne de bureau ! Ordonne-t-il.
Seulement vêtue du chemisier rouge, je me suis approchée de mon homme et je me suis agenouillée devant lui. Il a simplement attrapé mon bras et a inspecté le petit bracelet qu'il a acheté. Apparemment, il avait de bonnes raisons de le choisir. En tournant chaque dé, il semble réfléchir. Les autres reprennent lentement leur sens et se rassemblent autour de lui. Ils le regardent jouer avec les dés.
- Hé hé, c'est génial ! Hurlent-ils quand Daniel a formé un mot avec les dés.
En baissant les yeux, je vois les lettres qu'il a rassemblées : « PUTAIN ». Je reste ébahie. Quelle dégradation !
- Laisse-moi essayer ! S'exclame Justin en prenant la relève.
Il tourne les dés pendant que les autres le pressent avec impatience. « COUGAR ». La lecture du mot me fait tressaillir brièvement. Je ne peux pas me promener dans les bureaux en affichant ce mot, c'est trop vulgaire.
A la demande de Daniel, Taylor prend la relève. Le joueur de football tourne timidement les dés. Il semble toujours nerveux et réticent. Il semble incertain sur la situation actuelle.
- Ouais celui-là est bon aussi ! Dit Justin quand Taylor a finalement formé un nouveau mot.
Cette fois la signification fait battre mon cœur plus rapidement avec fierté. « POUPEE ». Il me considère comme le jouet de luxe pour lequel je me suis battu.
- Regardez cette vieille salope ! Son sourire montre qu'elle est fière de ça. Intervient Matt.
Il retrouve lentement son attitude moqueuse. Il ajoute :
- Je parie que tu veux montrer ça à tous tes subordonnées, hein ?
Et il continue, me surprenant :
- Ce n'est rien pourtant. Je te l'ai dit Taylor, elle n'est pas prête. Peu importe ce que cette chienne pense.
Visiblement il a retrouvé son arrogance et il n'a pas l'air content de mes provocations . Il pense encore que je ne suis pas assez classe. Il me crie presque dessus :
- Tu mets des cristaux sur ta chatte et tu crois que tu es devenue une poupée de luxe ? C'est nul, ce n'est pas permanent, ça ne crie pas « je suis une poupée de luxe ». Tu dois faire mieux que ça !
Waouhhh ! Il vient de me prendre au dépourvu. Je pensais l'avoir bluffé mais c'est l'inverse. Ma fierté l'a seulement mis en colère.
- Voici le mot juste ! Dit Matt en tournant les dés.
« MBRATZ ». Avec un gémissement, je réalise ce qu'il vient d'écrire. Ça signifie Miss BRATZ, du nom de ces poupées vulgaires, pâles imitation de Barbie.
- Voilà, c'est ce que tu es en ce moment, une poupée bon marché. Cette salope devrait porter le bracelet avec ce mot pour montrer ce qu'elle est réellement. Qu'est-ce que tu en penses Daniel ? Dit Matt pour s'affirmer.
- Hum, c'est une bonne idée. Accepte le latino.
NON ! Daniel ne peut pas être d'accord avec cet enfoiré ! Je suis déjà son animal de compagnie n'est-ce pas ? Je n'ai pas besoin d'être le jouet de baise des stagiaires.
Que Daniel soit d'accord avec Matt me rend très nerveuse. Serais-je capable de répondre à leurs attentes ? Pourrais-je aller plus loin pour améliorer mon apparence de salope ?
- Merci Monsieur ! Miss BRATZ est fière de pouvoir vous servir ! Puis-je porter ce bracelet toute la journée ! Dis-je, accablée.
Merde, je ne veux pas du tout porter ce mot autour de mon poignet ? Malgré tout, le défi de Matt me plonge dans l'expectative. Je n'avais pas l'intention de paraître aussi soumise, mais je le veux quand même.
Aussi étrange que cela puisse paraître, je veux réellement faire mes preuves auprès de ce groupe de jeunes garçons. Peu importe combien je peux mépriser Matt, son comportement de dominant fait que j'aspire à avoir son approbation. Je veux gagner un nouveau nom.
Quelle putain de contradiction ! Je suis la directrice, ils sont stagiaires ! Pourtant je ne peux pas me plaindre n'est-ce pas ? Combien de femme de plus de trente ans sont convoitées par de jeunes adolescents après tout ?
- J'ai l'impression que tu as besoin d'un rappel de ton statut ici. Tu n'as pas à te montrer désagréable avec Matt ou ses copains. Compris ? Dit Daniel.
Quoi ? Non seulement Daniel est d'accord avec l'arrogant stagiaire, mais en plus, il se range de son côté.
- Je pourrais comprendre ça d'un gamin, mais pas d'une pute de bureau mature. Compris ? Tant que tu garderas ce comportement de garce, tu n'obtiendras pas de nouveau titre. Dit-il pour souligner sa déception.
-Oui Monsieur ! Je suis désolé Monsieur Daniel ! Cela ne se reproduira plus ! Dis-je lentement, la tête rouge d'embarras.
C'est tellement injuste ! J'ai seulement essayé de me défendre et de montrer à Matt que Daniel est mon homme. Je l'ai fait autant pour lui que pour moi.
Il a raison cependant. Ce n'est pas ma place. Il n'a pas besoin de sa salope, il est capable de se défendre tout seul.
Les stagiaires me laissent seule pendant quelques heures, ce qui me surprend. Je m'attendais à ce qu'ils me harcèlent dès le début. Mais au moins, ça me laisse le temps de continuer à vérifier les taux de réussite de mes subordonnées. Une décision doit être prise rapidement et je veux être prête sur ce sujet. Cependant, j'ai du mal à me concentrer sur cette tache, mon esprit s'égarant constamment pour réfléchir aux éventuels défis que peuvent préparer les stagiaires.
Des rumeurs courent dans la journée. Selon certaines informations, Brittany PALMER va être licenciée, alors que Michelle KEELAN conserve son poste. C'est une nouvelle étonnante pour moi. Cependant O'BANNON me l'avait confirmé quand je lui en avais parlé. Cette information me met en colère.
Brittany PALMER est une secrétaire expérimentée de quarante ans qui fait un excellent travail. Michelle KEELAN, par contre, est exactement son contraire. C'est une jeune secrétaire inexpérimentée d'une vingtaine d'années qui est plus préoccupée par son apparence que pas son travail. Pour moi, elle est l'incarnation d'une bimbo de bureau superficiel qui ne s'en sort que grâce à son apparence et à la taille de son soutien-gorge.
Je suis prête à parier que ORTEGA a joué un rôle dans cette décision. Il veut probablement la garder sous son regard, sans se soucier de ses performances au travail.
Enfin, le moment de ma tâche habituelle est venue. La gorge serrée, j'ouvre le tiroir de mon bureau. Il me faut quelques secondes avant de saisir la fausse glace rose et la ranger dans mon sac à main. A la hâte, je me lève pour sortit de mon bureau. Je veux en finir le plus vite possible.
Alors que j'atteins la porte, elle s'ouvre et me frôle le visage. Je trébuche. Les quatre stagiaires s'engouffrent dans mon bureau avec des sourires de satisfaction collés sur le visage.
- Vous êtes fous ? Vous ne pouvez pas venir ici en groupe tout le temps. Ça va attirer l'attention. Protesté-je après avoir repris mes esprits.
Daniel me répond simplement :
- Ne t'inquiète pas salope ! Tes subordonnés sont partis en rendez-vous toute la journée. Ils ne sauront pas où nous sommes tant que le travail est fait.
Puis il me demande :
- Alors, je suppose que tu allais accomplir ta tâche quotidienne. As-tu emporté ton cadeau ?
- Oui… Oui Monsieur ! Dis-je après avoir fermé rapidement la porte derrière les quatre gars.
Je ne peux pas dire que je me sens rassurée, mais de toute façon, je ne peux pas me débarrasser des garçons. Avec Daniel, je ne sais jamais quel endroit pas sûr il va choisir pour ses défis. Il vaut donc mieux que je garde les stagiaires dans mon bureau fermé. J'ouvre mon sac à main et je montre le gode.
Daniel attrape la fausse bite et la sort de mon sac en disant :
- Ne perdons pas de temps alors. Je parie que tu es impatiente de sucer ta belle glace rose.
Puis il jette l'objet à son copain joueur de football en ajoutant :
- Taylor a le défi du jour pour toi !
- Ouais… Répond le garçon noir avec hésitation en attrapant avec facilité le gode.
Je peux voir qu'il se prépare et rassemble tout son courage pour me dire le défi. Ça me semble absurde. Après tout, c'est mois qui ait besoin de courage pour faire le défi, non ? Bientôt, il me présente son idée :
- Tu as vraiment aimé jouer avec les dés n'est-ce pas ? Alors j'ai pensé que tu aimerais aussi jouer à quelques manches de papier-ciseaux. Tu joueras une partie contre chacun de nous. Si nous gagnons, tu devras faire ce que nous te dirons. Si tu gagnes, tu pourras faire ta tâche.
C'est ça le défi ? Il me semble très simple. Il ressemble à Taylor. Il n'y a pas dedans les aspects perfides et dégradants de ceux de Daniel. En quelque sorte il convient à Taylor et à son attitude timide et hésitante. Mais, de façon étrange, je suis un peu déçue et moins excitée que pour le précédent défi.
Mon Dieu ! A quel point Daniel a-t-il corrompu mon esprit. Je suis déçue d'un pari facile. C'est vraiment fou !
Quand il se place devant moi, je vois une seconde d'hésitation sur le visage de Taylor, mais ça disparaît très vite. Il est évident que les autres stagiaires ont poussé et encouragé le jeune homme noir avant de pénétrer dans mon bureau. Pourtant il est lent à lancer les choses. Même s'il a vu la façon dont ses amis me traitent, cela semble une épreuve pour lui de mettre son défi en action.
- Commençons ! Dit Matt.
C'est le déclencheur dont Taylor avait besoin pour continuer. Il chasse les doutes qu'il peut avoir de son esprit.
- Si je gagne, vous devrez faire une gorge profonde avec le gode. Si tu y arrives, tu es autorisée à jouir pendant que tu te masturbes. Explique Taylor.
En écoutant le jeune homme noir, j'étudie son visage. Il a l'air déterminé et partant pour le défi. Il commence le jeu en serrant la main :
- Pierre… Papier…
Je veux vraiment gagner ce jeu. Être autorisée à jouir est trop beau pour que je perde. Alors je sers le poing aussi. Et je décide de faire « ciseaux » en écartant l'index et le majeur de ma main.
- Dadoum ! Crie joyeusement Matt quand Taylor garde le poing fermé.
Il a choisi de faire « Pierre ». J'ai perdu.
- Hé hé hé, tes faux ongles sont peut-être aussi tranchants que des ciseaux, mais ils n'égratigneront pas la pierre. Tu perds Miss BRATZ. Dit Matt pour se moquer.
Bon sang, j'ai perdu le premier tour.
Taylor commence à agiter le gode devant mon visage. J'essaie de l'attraper avec la bouche . C'est le comportement typique d'une pute, et je me suis senti humiliée. Je me suis senti comme un animal de compagnie, une salope. Toutefois, je ne peux pas l'éviter. J'entends les autres stagiaires rire.
- Rappelle-toi que tu as généralement cinq minutes pour te masturber. Maintenant tu as cinq minutes pour t'enfoncer ce gode dans la gorge, salope. Me dit Matt pour m'indiquer d'agir rapidement.
Je commence alors à sucer la fausse bite rose. La perspective de pouvoir gagner un orgasme n'est pas si mal après tout. Le haut du gode n'est pas un problème. Toutefois, plus mes lèvres glissent sur le corps de l'objet, plus elles doivent s'étirer. Mais je commence à bouger ma bouche de haut en bas sur l'engin en silicone souple, le mouillant. Cependant, sa taille m'empêche de mettre plus de la moitié dans ma bouche. Il est trop gros !
- Nous voulons t'entendre t'étouffer ! Disent les garçons en cœur.
- Allez Taylor, c'est l'heure de la gorge profonde ! Apprends donc à cette chienne d'être une bonne gorge à bites. Dit Matt pour stimuler le garçon noir.
Mais celui-ci semble réticent. Il me laisse continuer à sucer le gode comme je veux.
- Cette grosse salope ne veut pas être câlinée, Taylor. Cette pute veut que tu lui donnes une leçon ! Ajoute encore Matt.
Honnêtement, je ne demande rien. Pourtant, d'une certaine façon, Matt a raison. Je veux être guidée.
Finalement Taylor réagit à leurs sollicitations et prend l'initiative. Il saisit le gode et commence à le pousser dans et hors de ma bouche. Plus d'hésitation, de toute évidence, il en a marre d'être le gentil du groupe.
Il baise ma bouche plusieurs fois avant de pousser le gode contre ma luette. Bien que l'objet soit trop gros pour descendre dans ma gorge étroite, il le maintient contre mes amygdales.
- Urrrggggghhhh !!
Au moment où un gargouillis guttural sort de ma gorge ; il retire la bite en silicone et un jaillissement de bave épaisse sort de ma bouche. Des filets de salive relient mes lèvres à la fausse glace et menacent à tout moment de tomber.
- Tu ne veux pas tacher ta robe élégante n'est-ce pas ? Dit Daniel avec un petit rire en m'indiquant que la bave risque de tomber sur ma robe.
Bien sûr que je ne veux pas que ça se produise. J'aurai trop honte ensuite de me montrer à mes subordonnées pendant tout le reste de la journée. Bien que je sois contente que mon homme prenne le contrôle, mes yeux se posent sur lui avec colère. Toutefois, je suis sa recommandation et baisse ma robe sous mes seins, dévoilant ainsi mon chemisier rouge.
Dès que je dévoile ma poitrine, Taylor essuie le gode sur la chair de mes seins. Je frissonne de dégoût, c’est tellement dégueulasse. Mais au moins, ma robe reste immaculée.
La fausse bite nettoyée, Taylor me la présente de nouveau devant mon visage, puis il la descend au niveau de son entrejambe. Je le regarde et je vois une lueur vicieuse dans ses yeux pour la première fois. Je suis habitué aux regards pervers de Daniel ou Matt, mais il semble que le stagiaire noir timide commence à apprécier la situation.
En gardant mes jambes tendues, je baisse le haut de mon corps. Je sens la robe serrée s’étirer sur mon cul. Une fois de plus je commence à sucer le gode. Je fais de mon mieux pour le faire pénétrer dans ma bouche, mais il est si épais qu’il étire mes lèvres au maximum. Et une fois encore, le jeune footballeur noir prend la main. Il me baise le visage avec l’objet jusqu’au moment où des bruits sourds indiquent que ma bouche déborde de salive.
Me faire baiser le visage avec un gode, c’est tellement absurde !
Soudainement, Taylor augmente la pression, et d’un coup, le gode glisse dans ma gorge. Ça me prend au dépourvu et tout mon corps se contracte et tremble. Avec la fausse glace en silicone qui écarte ma gorge, j’étouffe et je gargouille pitoyablement.
- Urggghhhh… Urgghhhhh… Urghhhhh…
Cette fois-ci, le stagiaire garde la fausse bite dans ma gorge pendant quelques secondes, bien que mes gargouillements emplissent la pièce. Il attend avant de me libérer qu’un torrent de bave épais et mousseux coule des coins de ma bouche.
La salive mousseuse pend à mon menton. Taylor la récupère et la remet dans ma bouche. Je grimace et gémit de révolte, mais néanmoins j’avale tout. Son travail terminé, Taylor jette le gode à Justin.
- Le temps passe, Miss BRATZ ! Me rappelle-t-il.
Quand je me retourne, Justin tient le gode. Les quatre hommes forment maintenant un cercle autour de moi.
- C’est mon tour poupée ! Me raille-t-il en agitant le gode devant moi.
Je me précipite vers lui, mes seins lourds se balançant. Mais à la dernière seconde il jette la fausse bite à Daniel.
- Trop tard salope ! Me réprimande-t-il en donnant une grosse claque à chacun de mes seins.
- Aie ! Aie ! Couiné-je de surprise autant que de douleur.
- Il faut que tu te dépêches, le temps passe ! Ajoute-t-il en me montrant Daniel.
Tournant les talons, je cours vers mon homme, ma grosse poitrine rebondissante. Lorsque je l’atteins, il tient la fausse glace rose devant mon visage. Et quand mes lèvres essaient de toucher l’objet, il l’abaisse.
Puis, faisant un pas sur le côté, il s’approche de la déchiqueteuse. C’est une simple machine de bureau posée au-dessus de ma corbeille à papier. Il insère la poignée du gode dans la fente de la déchiqueteuse pour qu’il se tienne dressé.
Sans qu’il me dise quoi que ce soit, je sais ce que je dois faire. Je regarde le gode fièrement dressé et, repoussant mon dégoût, je me mets à quatre pattes et place mon visage au-dessus de la corbeille. Avec mon cul en l’air, je sens la robe remonter sur mes fesses et exposer mon derrière sans culotte.
Je n’arrive pas à y croire. J’ai la tête au-dessus de ma poubelle de bureau, prête à sucer une fausse bite en silicone. Et pendant ce temps, mon cul nu fait face à la porte de mon bureau. Mon Dieu, je suis sur le point de m’entraîner à la gorge profonde dans la position la plus dégradante à laquelle je puisse penser.
Je ne peux m’empêcher de gémir pitoyablement. C’est trop dégueulasse. Être si près de la poubelle est absolument ignoble pour moi.
Apparemment, Daniel a aimé ce que Taylor m’avait fait. Il attrape mes cheveux châtains et pousse mon visage vers le bas et empale le gode dans ma bouche jusqu’à ce qu’il soit au niveau de mes amygdales. Au moment ou un gargouillis sort de ma bouche, il enfonce ma tête. Avec un sursaut, le gode entre dans ma gorge. C’est si abrupt que ma tête et mes jambes en tremblent.
- URGGHHHHH ! Crié-je en étouffant quand il me relâche.
La façon dont mon corps convulse doit être un super spectacle. Bon sang, Daniel commence à me dégrader. Alors que les autres gars commencent à m’utiliser et à abuser de moi, il veut prouver qu’il est toujours le mâle dominant. Il continue donc son jeu plusieurs fois :
Il tire sur ma tête, puis l’enfonce jusqu’à ce que je gargouille, l’enfonce encore plus pour que j’étouffe et que je convulse. Puis il me relâche et je crie :
- URGGGHHHH !
Et il recommence.
- Ouais, c’est ce que j’appelle l’entraînement de la gorge. Un autre trou bien habitué aux bites. S’exclame Daniel en me torturant.
Putain, que ma gorge soit ainsi maltraitée est inconfortable et tellement fatigant. Je deviens un réceptacle à queue. Je ne suis plus qu’un objet sexuel.
La façon dont Daniel m’utilise sans aucun égard pour mes sentiments est écrasante et enivrante. La dégradation de devoir être la tête au-dessus de la poubelle et de baver dedans ne fait qu’ajouter de l’huile sur le feu. Toute cette situation est bien au-delà de l’humiliation, et fait donc palpiter ma chatte.
Toutefois, même avec la force du latino, je n’arrive pas à ce que le gode soit complètement enfoncé dans ma bouche. Finalement il renonce et lâche ma tête. Toutefois, quand je relève la tête au-dessus du gode, je continue à m’étouffer. Ma gorge est sèche et continue à se contracter après ce dur traitement.
- Urgghh… Urghhh… Urghhh…
Daniel prend le gode, essuie la bave sur mes lèvres et le jette à Matt. En colère je rouspète.
CLAC
CLAC
- AIE !!!
Je crie plus de frustration que de douleur.
- Tic Tac ! Il ne reste plus beaucoup de temps. Me rappelle Daniel.
Une fois encore, je tourne les talons et je cours vers l’autre stagiaire. Sur mes hauts talons, ce n’est pas facile de courir. Je chancelle en me précipitant. Ce qui fait que mes seins se balancent encore plus fort et que mes hanches se trémoussent.
Avant même que j’atteigne Matt, celui-ci lance le gode à Taylor. Ils se jettent l’objet entre eux, me faisant courir dans tous les sens.
Je dois être ridicule. Je suis une dirigeante d’entreprise qui trébuchent avec précipitation dans son bureau, la poitrine tressautant. Et le fait que je cours après un gode que mes stagiaires se lancent dans les airs rend la chose encore plus risible.
Quand le gode revient à Matt, il décide de ne pas le renvoyer. Au lieu de ça, il le maintient contre son entrejambe pour me faire me pencher. Sans penser à rien, je baisse le haut de mon corps tout en gardant les jambes tendues.
Cependant, lorsque ma bouche se rapproche de la fausse glace rose, le stagiaire vicieux l’enlève et saisit l’arrière de ma tête. Il appuie dessus et pousse ma bouche sur son entrejambe.
Je gémis et proteste quand je sens le tissu en jean contre mes lèvres douces. Je sens aussi sa bite dure tendre son pantalon. Avec délice, ce bâtard arrogant frotte mon visage contre son pantalon et sa queue bandante. Il m’humilie pour ne pas avoir été assez rapide pour poser mes lèvres sur le gode. Mais il ne m’a pas laissé beaucoup de chance.
Quelle différence entre Justin et Matt ? De toute évidence, l’étudiant en commerce est plus physique, plus brute que l’autre qui se délecte des aspects psychologiques de mon humiliation. De toute façon, l’approche de Matt est plus puissante et persistante. Néanmoins, je me retrouve à apprécier les deux styles par rapport aux tentatives timides de Taylor. Ils stimulent ma soumission.
En tirant sur mes cheveux châtains, Matt me montre où est le gode. Il le tient au-dessus de sa tête. En gémissant, je me relève et redresse la tête. Je ne peux pas atteindre l’objet, il le tient beaucoup trop haut.
Je regarde le stagiaire et je lui jette un regard suppliant qui veut dire : « Allez, laisse-moi une chance d’être une bonne salope ». Cependant, ça le fait seulement rire.
- Tu ne peux pas l’atteindre Miss BRATZ ? Essaie mieux salope ! Saute !
Et merde ! Il veut que je saute sur place. Il tient le gode comme une carotte pour un âne. Il m’attire comme un animal domestique.
A contrecœur je commence à sauter sur mes talons hauts. Je ne sais pas si il est plus humiliant de faire sauter ma poitrine sur place ou de la faire balancer en courant. En tout cas, c’est vraiment dégradant.
Chaque fois que je saute, Matt lève le gode encore plus haut, me forçant ainsi à sauter encore plus haut. A chaque fois mes gros seins rebondissent encore plus violemment. Ce bâtard me fait sauter huit fois sans me laisser atteindre le gode.
Mais, la dernière fois, il me prend au dépourvu. Alors que je saute, il pousse la fausse glace vers le bas. Alors que ma bouche monte, l’objet descend. Si bien que cette fausse bite est bientôt complètement enterrée dans mon gosier. J’ai tout le gode dans la bouche. Rien n’a jamais été poussé si loin dans ma gorge.
- BBBLLLLLLUUUUURRRGGGHHHHH !
Un seul gargouillis jaillit de ma bouche. J’étouffe, je tousse et j’éjecte l’objet en même temps. Ce qui fait que toute ma bave s’échappe de ma bouche. Comme j’ai la tête relevée, elle jaillit comme une fontaine et s’étale sur mes joues et mon menton. C’est épais et gluant. Pouah ! C’est dégueulasse !
Malgré tout, je réalise avec fierté que le gode n’a pas réussi à me faire vomir. Je suis une trop bonne salope. Ma gorge devient bien dressée. Mon Dieu ! Daniel m’a vraiment bien corrompue pour que j’ai de telles idées. Pire encore, ces pensées me remplissent de fierté.
Néanmoins, je suis tombée dans le piège de Matt et je me suis moi-même étouffée avec la fausse glace en silicone. Je l’ai fait moi-même ! C’est un fait dont nous sommes tous les deux conscients comme le montre son sourire diabolique sur son visage.
- le temps est écoulé. Tu as réussi à tout enfoncer. Le gode est fait pour ça petite chatte ! Intervient Taylor.
Et il continue :
-Mais c’était trop tard, les cinq minutes étaient écoulées. Tu n’as pas réussi le défi en temps et en heure donc tu n’es pas autorisée à jouir aujourd’hui.
- Dommage salope ! Ajoute Matt avec un sourire narquois.
C’est pas normal ! J’ai réussi ! Je me suis fait étouffer brutalement ! Pourtant ça ne compte pas. Je suis déçue, je suis triste de ne pas avoir le droit de jouir. Cependant je suis tout aussi triste de n’avoir pas réussi à temps. Je suis triste de ma performance.
- Tu as quand même ta tâche quotidienne à accomplir ! Dit Daniel en me tendant le gode en silicone.
Les mains tremblantes, je saisis l’instrument de mon humiliation. Je sais de quoi il parle. Je dois me masturber et je n’ai pas le droit de jouir. Même si je suis déçue, l’idée de jouer avec mon clitoris est trop tentante, peu importe le résultat. Je veux vraiment me caresser la chatte.
En m’accroupissant, j’écarte mes jambes, montrant ainsi ma chatte lisse et rasée. Je tiens le gode dans la main droite et je pousse le bout contre les lèvres de ma chatte. J’ai cinq minutes et mon sexe palpite déjà. Je peux prendre mon temps. Je commence à caresser chacune de mes petites lèvres gonflées avec le gode.
- Ohhhh !
C’est tellement bon. Je vais très lentement en savourant chaque sensation émanant de ma chatte. Finalement, j’atteins mon clitoris avec l’objet en silicone. Pendant quelques secondes, je le laisse simplement reposer sur mon petit bouton sensible. Puis je commence à frotter doucement.
- Oohhhhhh putain !
Il faut que je me concentre pour ne pas gémir bruyamment. Je suis toujours dans mon bureau avec des collègues à proximité. Toutefois, le plaisir qui émane de ma chatte rend difficile ma concentration et mon silence.
Tout en frottant mon clitoris avec le gode, je tends la main gauche et je plonge deux doigts manucurés dans ma fente humide et chaude.
- Mmmmmm…
Je suis au bord de l’orgasme. Je dois faire attention maintenant. Les stagiaires me surveillent de près, profitant du spectacle obscène que je donne. Ils remarqueront tout de suite si je jouis.
Mais il n’est pas loin. L’orgasme se rapproche. Chaque fibre de mon corps aspire à cette délivrance. Je veux frotter mon clitoris plus fort. Je veux pincer mes mamelons. Je veux faire n’importe quoi pour jouir. Mais je ne le fais pas.
Chaque nerf de mon corps est à vif. Tout mon être aspire à être libéré. Mes jambes commencent à trembler. Je tombe presque sur mon cul. Mon corps est à la limite.
Je suis dans un état pitoyable. Mon excitation est aussi intense que mon besoin psychologique. Je n’arrive pas à m’arrêter. Alors, avec un dernier brin de volonté, je lève ma main gauche et la laisse tomber sur mon autre main pour me faire lâcher le gode et le faire tomber sur le sol.
Mes jambes continuent de trembler. Mon entrejambe s’agite pour essayer de trouver une autre stimulation. Mais il n’y en a pas. J’ai refusé l’orgasme et ça me laisse autant épuisée qu’envieuse.
Ça prend du temps avant que je reprenne mes esprits et que je vois les quatre gars. Leurs regards me disent à quel point ils sont impressionnés par ma performance.
- Tu arrives à bien te maîtriser petite chatte. Je t’ai bien entraîné. Me félicite Daniel.
Puis il continue :
- Tu ferais mieux de refaire ton maquillage ma petite pute de bureau. Tu ne veux pas que tes subordonnés te voient ainsi, n’est-ce pas ?
Ses paroles me font paniquer intérieurement. Je n’ai pas pensé à mon maquillage. Avec toutes les larmes que j’ai versées et la bave, je dois être affreuse.
Remettant à la hâte ma robe, je me précipite hors de mon bureau. Je cours vers les toilettes pour femme, les yeux rivés au sol. A chaque pas, je prie pour ne pas rencontrer ORTEGA ou O’BANNON. Ça aurait été la fin de ma carrière.
Heureusement il n’y a personne dans le couloir et j’arrive aux toilettes sans rencontrer personne. En me regardant dans le miroir, je vois que mon mascara a complètement coulé en de longs et minces fils noirs sur mes joues. De plus, mon menton et mes joues brillent comme du papier glacé. Mon visage ressemble plus à un masque de clown qu’à une femme d’affaires au style élégant.
J’aurais bien pris une douche, car mes seins étaient recouverts de bave visqueuse. Mais je dois faire avec et me concentrer sur mon maquillage. Il me faut plusieurs minutes pour que le travail soit assez convaincant et supprime toutes les séquelles de mon entraînement de gorge profonde.
Putain de merde ! Nous ne sommes même pas à l’heure du déjeuner et je dois déjà refaire mon apparence. La façon dont les gars s’amusent de moi à tour de rôle me fait réfléchir. Chaque stagiaire essaie de surpasser le précédent en m’humiliant de façon plus dure et dégradante. Comment cela va-t-il finir ? Je ne peux qu’espérer que Daniel va me protéger. Mais je crois que la journée de bureau va être longue.
A suivre…
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