Traduction du texte de Cathartico : "Jessica's Change Management"
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Nouvelle version de la roulette russe .
Quand je reviens dans mon bureau, les stagiaires sont partis. J’essaie de me concentrer sur mon travail et de préparer l’argumentaire de mon projet que je dois proposer à la fin de la semaine. Mais c’est difficile, car mon esprit erre constamment en réfléchissant au prochain défi. Je suis presque heureuse quand la porte s’ouvre à nouveau et que Justin entre. Il dit gaiement :
- C’est presque l’heure du déjeuner, Miss BRATZ. Nous voulons des tacos pour manger aujourd’hui. Alors tu vas rendre visite à ton ami.
- Pardon ? Je dois faire quoi ? Demandé-je complètement déconcertée.
Il ne peut pas être sérieux. Il veut que j’aille chercher le déjeuner pour les stagiaires ? A quoi il pense ? Je ne suis pas leur bonne. Je suis une directrice ici, je ne sers la nourriture à personne. Au contraire, c’est moi qui envoie des stagiaires me chercher à déjeuner. C’est vraiment insolent et présomptueux. Je tremble de colère. Et je gronde à l’attention de Justin :
- Qu’est-ce que tu crois ? Je ne vais pas te servir !
Le jeune garçon rit en retour. Et il dit :
- Héhéhé ! Daniel m’a dit que tu réagirais comme ça. Ça ne rendra ma victoire que plus agréable. Ni toi, ni moi n’allons décider, le jeu va le faire.
Merde il a raison. Un jeu idiot d’enfant va décider si mes stagiaires vont transformer la dirigeante d’entreprise en serveuse. C’est tellement ridicule. Chaque fibre de mon corps s’insurge contre le fait de devenir leur bonne. Mais le hasard va décider.
Les jambes flageolantes, je me lève et je tends la main. Justin me regarde avec un sourire vicieux et tend le bras.
- Pierre… Papier… Commence-t-il à annoncer.
Cette fois, je suis encore plus motivée pour gagner. Je suis prête à faire n’importe quoi pour éviter de devenir leur servante idiote. La dernière fois j’avais fait « ciseaux ». Que pense Justin de ce que je vais faire maintenant ? Pense-t-il que je vais prendre la même idée ou autre chose ?
Je n’ai pas beaucoup de temps pour réfléchir alors je décide de prendre un autre choix. Je tends la main à plat pour symboliser le « papier ». Justin ne change pas la forme de sa main ,la gardant fermée pour symboliser la « pierre ».
- OUI !
Je ne peux m’empêcher de crier pour ma victoire. J’ai gagné donc je ne devrais pas aller chercher des tacos. Je ne devrais pas rencontrer de nouveau Checo, le méchant membre du gang des « LGZ ». Je n’aurais pas à jouer à la bonne des stagiaires.
- Et merde ! Putain de putain ! Grogne Justin, pas content du tout.
Il me jette méchamment :
- Tu as de la chance salope. Mais la journée est loin d’être terminée. Putain, je ne peux pas partir d’ici les mains vides. Montre-moi ta tenue de salope, putain.
Je m’attendais à ce qu’il sorte immédiatement de mon bureau. Mais évidemment il ne peut pas gérer sa défaite aussi facilement. Ne voulant pas l’enrager plus, j’ouvre à contrecœur ma robe noire et blanche et je lui présente pour la seconde fois mon chemisier rouge à bretelles.
Justin s’approche de moi et passe ses mains sur les lanières croisées. Lorsqu’il atteint l’extrémité, il tire brusquement dessus.
- Oooohhh ! Gémis-je de surprise lorsque les sangles se resserrent.
Il tire si fort que le chemisier est tiré sur mes seins et les presse fortement.
- Oooohhh ! Continué-je à gémir alors qu’il continue à tirer.
Il ne s’arrête que lorsque la chair de mes nichons est déformée, montrant sa brutalité. Mes énormes seins sont si comprimés qu’ils menacent de s’échapper de mon chemisier rouge.
- C’est mieux salope ! Remarque Justin quand je ramène ma robe sur ma poitrine gonflée.
Et il ajoute, moqueur :
- Si je ne peux pas t’utiliser, je peux au moins t’humilier.
Il me regarde remettre ma robe et acquiesce joyeusement quand il voit les changements. Et merde, ma robe ne cache pas ses manipulations.
Mes seins sont tellement serrés que la robe est gonflée de façon obscène. Le tissu est tellement tiré que la robe semble trop petite et semble sur le point de se déchirer d’une seconde à l’autre. Mes gros nichons paraissent d’une taille supérieure. De plus le chemisier serré les fait remonter plus haut sur ma poitrine si bien que ça les rend presque faux.
Putain, il n’y a plus beaucoup d’élégance dans ma tenue.
Avec un dernier signe de tête satisfait, Justin se retourne et sort de mon bureau. Il a peut-être perdu la partie, mais il a quand même trouvé le moyen de m’humilier. Néanmoins, je ne peux m’empêcher de sourire en le regardant partir.
Daniel m’a peut-être transformée en jouet de luxe des stagiaires, mais je ne serai pas leur servante. Je suis encore une dirigeante d’entreprise. Il me reste encore de la fierté. Les changements dans ma tenue peuvent surestimer la taille de ma poitrine. Mais j’ai de beaux seins et je peux m’en sortir. Avoir gagné sur un stagiaire est beaucoup plus important.
Une demi-heure s’écoule avant que Daniel ne m’appelle au téléphone.
- Descends dans la salle de conférence ! Dit-il sèchement avant de raccrocher.
C’est inattendu. Que fait-il dans la salle de conférence ? Pourquoi m’appelle-t-il là-bas ?
Saisissant mon sac à main j’obéis et je descends. Au milieu des escaliers, je réalise que le gode est toujours dans mon sac. Mon Dieu, maintenant, je transporte un jouet sexuel partout où je vais. C’est vicieux.
En chemin je rencontre Michelle KEELAN, la secrétaire incompétente. Elle s’arrête quand elle me voit. De toute évidence, elle a remarqué que ma robe est tendue au-dessus de ma grosse poitrine. Cependant je ne m’arrête pas et continue à me dépêcher. Je la dépasse si vite qu’elle ne peut vraiment me détailler n’est-ce pas ? Peu importe ! Son opinion n’a pas d’importance pour moi de toute façon. Néanmoins je me sens un peu gênée.
La salle de conférence se trouve au rez-de-chaussée de l’immeuble de bureau. Elle est principalement utilisée pour les réunions de travail. Toutefois, du mardi au jeudi, la plupart des consultants travaillent chez les clients. La salle n’est donc pas très utilisée ces jours-là.
En y pénétrant, je vois les quatre stagiaires assis autour de la grande table. Ils ont des tacos et des frites devant eux. Je crois que je ferais mieux de ne pas demander comment ils ont eu cette nourriture .
- Qu’est-ce que vous faites ici ? Vous êtes fou ? Vous savez qu’il n’est pas permis d’utiliser cette salle pour déjeuner ?
- Oh allez Miss BRATZ, ne soyez pas bêcheuse ! La plupart des consultants sont ailleurs de toute façon. Répond Daniel imperturbable.
- Pourquoi n’utilisez-vous pas la salle de repos au sous-sol. Je ne ferai rien ici. Dis-je catégoriquement.
- Il n’y a pas de télévision en bas. Dit le latino en me montrant le grand écran plat accroché au mur.
Habituellement cet écran est utilisé pour des présentations lors de réunions. Mais les stagiaires l’ont allumé et regardent des clips sur une chaîne musicale.
- Dommage que tu aies gagné la dernière manche salope. Je parie que tu aurais aimé payer Checo avec tes trous n’est-ce pas ? Me dit Daniel en mangeant.
Je voudrais crier « NON ». Je ne veux plus jamais revoir ce voyou brutal. Mais je garde la bouche fermée, n’aimant pas la direction que prend la conversation.
- Je vois que Justin s’est vengé d’avoir perdu.
Le latino commente mes seins remontés sous la robe. Il ajoute :
- De toute façon, cette robe était beaucoup trop classique pour une salope comme toi.
Je ne réponds pas alors il continue :
- Sinon… Justin m’a dit que tu étais beaucoup trop heureuse d’avoir gagné. Donc j’ai décidé que ce serait mon tour pendant l’heure du déjeuner.
Et merde ! Daniel sait que j’étais contente de ne pas devenir leur servante. Il sait à quel point je suis fière de mon statut de dirigeante d’entreprise. Il veut me voir humiliée encore.
- Si je gagne la manche, tu nous suceras pendant le déjeuner. Tout ce que tu as le droit de manger c’est notre foutre. Si tu gagnes, tu auras ta part de tacos. M’explique le latino.
Putain ! Que c’est vicieux encore ! Une fois encore Daniel prouve qu’il est le maître des défis perfides. Il veut que je leur fasse une fellation pendant qu’ils mangent. Et il veut que je me nourrisse de leur sperme, Il veut me mettre au régime de foutre toute la journée. C’est si vicieux que ma chatte me picote instantanément. Bon sang, on dirait que j’ai appris à aimer ses manières vicieuses.
- Mais… Mais… Balbutié-je.
« Mais pas ici, dans la salle de conférence ! », c’est ce que je voulais dire. Mais je n’arrive pas à le prononcer avant que Daniel commence le match.
- Pierre… Papier… Dit-il.
- Je prends ta réponse comme « Papier » si tu ne participes pas salope ! Ajoute-t-il en montrant ma main ouverte.
Rapidement, je referme ma main et je rejoins son jeu. Je veux quand même avoir une chance de gagner. Toutefois je me dis que je discuterai du choix de la salle après le match si c’est nécessaire. Si je gagne, ça n’aura aucune importance.
Comme précédemment j’avais eu de la chance avec « Papier », je décide de recommencer. Alors je tends ma main à plat. Evidemment, Daniel a prévu que je choisirai la forme qui m’avait fait gagnée. Il opte donc pour « Ciseaux ».
Et merde ! J’ai perdu pour la deuxième fois. Mon sentiment de joie de la victoire contre Justin a disparu. Je dois sucer les stagiaires alors qu’ils sont occupés à déjeuner. C’est trop dégradant. Ils m’utilisent comme une pute suceuse et ils me jetteront comme un mouchoir usagé une fois le déjeuner terminé.
- Alors… Dois-je aller dans la salle de repos et vous attendre les gars ? Dis-je pour essayer de changer le choix de la pièce.
- Non salope ! Tu te mets à genoux et tu commences à me sucer ici et maintenant. Réplique Daniel.
C’est ce que je craignais. Je me rebiffe en oubliant même d ‘appeler mon homme « Monsieur » :
- Nous ne pouvons pas faire ça ici Daniel ! Je ne peux pas ! Et si un collègue arrivait ? C’est beaucoup trop dangereux !
Mais ce macho arrogant ne cède pas. Il répond :
- Je te l’ai déjà dit : Presque tout le monde est sorti et le reste est en train de manger au restaurant. Michelle était en train de partir quand tu es arrivée. Tu ferais mieux de commencer ou tu veux attendre qu’ils reviennent ?
Bien sûr que je ne veux pas ça. Je veux qu’ils me suivent dans la salle de repos au sous-sol. Je veux qu’il écoute mes arguments. Au moins pour une fois !
- Tu veux que je te donne un coup de main ? Intervient Matt.
Merde ! Matt utilise mon hésitation pour essayer d’asseoir sa domination. Je ne peux pas permettre que Daniel cesse de me contrôler. Il ne doit pas perdre son statut de Maître sur moi.
Alors je cède, même si je ne le veux pas. Sucer les stagiaires dans la salle de conférence de me plait pas du tout. Mais je dois sauver le statut de dominant de mon homme.
Je me mets lentement à genoux et je rampe vers Daniel. Je lui écarte les jambes et je passe mes ongles longs sur son pantalon, de ses tibias à son entrejambe. Pendant ce temps, il continue à manger ses tacos. J’ouvre sa fermeture éclair et je sors sa queue. Elle durcit rapidement dans ma main.
Je fais glisser mes faux ongles doucement de haut en bas pour taquiner sa bite jusqu’à ce qu’elle soit bien raide. Ensuite je crache dans la paume de ma main pour la rendre humide.
- J’ai une meilleure idée ! Dit le macho la bouche pleine.
Il attrape un sachet de sauce ketchup et il répand la sauce sur sa queue. Je grimace en le voyant faire. C’est dégueulasse ! Pourtant je me prépare et je tire la langue. En la passant sur sa bite, je sens le goût de la sauce tomate. C’est trop vicieux de lécher le ketchup sur la bite d’un mec !
Après avoir nettoyé toute la sauce rouge et sucrée sur le membre de Daniel, je pose mes douces lèvres sur son gland et je commence à le sucer. Faisant rebondir ma tête de haut en bas, je chatouille le haut de son gland avec ma langue.
C’est complètement différent de la gorge profonde que j’avais dû faire précédemment avec le gode. Le latino me laisse faire tout le travail alors qu’il est penché en arrière et qu’il savoure son taco. j’ai l’impression de n’être pour lui qu’un simple objet qu’il ne remarque pas, étant occupé à manger. L’humiliation traverse ma chatte comme une décharge électrique.
Ma tête bouge de plus en plus vite et je peux sentir la verge de Daniel commencer à se contracter. Toutefois, le macho m’arrête et asperge ses couilles de ketchup. Il faut que j’arrête de le sucer et que je nettoie ses boules. L’une après l’autre je prends ses couilles dans ma bouche et je les lèche. La saveur douce de la tomate me heurte de plein fouet et me fait trembler sur mes genoux.
Les autres garçons se joignent rapidement à la fête. L’un après l’autre, ils sortent leur queue du pantalon et l’enduise de ketchup.
- Allez Poupée ! Viens attraper ! Dit Justin pour me taquiner comme il l’avait fait avec le gode.
Daniel pousse mes épaules et m’envoie vers l’étudiant vicieux. Comme il est assis de l’autre côté de la table, je dois me glisser dessous. Mon Dieu ! Je suis à quatre pattes en train de ramper sous une table dans la salle de conférence.
Lorsque j’arrive de l’autre côté, Justin agite sa bite recouverte de ketchup devant mon visage. Il m’ordonne de mettre les mains dans le dos et de tirer la langue pour montrer mon obéissance. Ensuite il me laisse lécher la sauce sur sa bite. Après avoir bien nettoyé son sexe et l’avoir profondément enterré dans ma bouche il m’envoie vers Taylor.
Arrivée au footballeur noir, je recommence mon entreprise de nettoyage en léchant la sauce tomate sur son énorme bite et en engloutissant son gland avec ma bouche. Quand j’ai fini, je dois ramper à nouveau sous la table pour atteindre Matt.
- Héhéhé, elle est sous la table comme un chien qui quémande un bout de viande. On devrait l’appeler la chienne affamée. Se moque Matt.
Quand les rires se calment, Daniel suggère :
- Jouons à un dérivé de la roulette russe les gars ! Nous sommes assis autour de la table avec une chienne affamée sous la table qui nous suce. Elle a deux minutes pour sucer l’un de nous avant de passer au prochain dans le sens des aiguilles d’une montre. Le dernier à jouir est celui qui l’enculera plus tard.
- Ouais ! Super idée ! Crient les garçons qui adorent cette idée.
- Prends ça ! Il est temps pour toi de récolter ton déjeuner. Me dit Daniel en me tendant un gobelet vide ayant contenu du soda.
Pendant ce temps, les autres gars ont réagi. Lorsque j’atteins Matt, ils ont tous déplacé leur chaise sous la table, leurs jambes en dessous. Je suis piégée, je ne peux plus sortir.
- Le temps passe, petite pute ! Dit brusquement Matt !
Comme je ne veux pas qu’il gagne, je commence immédiatement à le sucer. Pendant ce temps, j’entends les garçons grignoter bruyamment leur nourriture comme s’il n’y avait pas de salope sous la table. Puis j’entends soudainement une voix :
- Ok les gars. Je n’ai pas trop de temps. Alors commençons rapidement.
Mon Dieu ? Quel choc ! Que se passe-t-il ?
Un homme est entré dans la salle et il parle aux stagiaires. Je reconnais sa voix. C’est M. BLAKE, un collaborateur expérimenté du département d’ORTEGA, âgé d’une quarantaine d’années.
Je suis tellement choquée que je manque de peu de mordre la queue de Matt. La panique me prend et je me fige sur place. Je suis à genoux sous la table, entre les jambes de Matt et je ne peux pas bouger.
Que dois-je faire ? Comment puis-je me sortir de cette situation ? Comment dois-je faire pour que BLAKE ne me voie pas ?
Toutes ces questions tournent dans ma tête et me tourmentent. La pire des choses vient de se produire, un collègue de travail vient de nous surprendre. Ce n’est qu’une question de temps avant qu’il découvre ma relation avec les stagiaires. Mais heureusement que la table est grande, je suis cachée dessous. Tant que BLAKE ne s’assoit pas, il ne peut pas me voir.
- Danny, montre-moi les diapositives que tu as déjà préparées. Demande mon collègue à Daniel.
De toute évidence, il a une réunion avec les stagiaires. Et cette réunion avait dû être fixée auparavant. Ils savaient que BLAKE entrerait dans la pièce. Ils l’avaient attendu ! Ils m’avaient piégée ! Ça devait être le plan de Daniel depuis le début.
Quel sale enfoiré ! Il n’arrête pas de jouer avec moi et il augmente le danger que je sois découverte.
J’entends BLAKE diriger la réunion. Les stagiaires lui montrent le travail qu’ils ont accompli sur un projet et ils discutent des détails. Apparemment les garçons ignorent ma présence. Un consultant qui pose des questions relatives au travail est plus important que la dirigeante d’entreprise en train de sucer leur bite ! Pffffff !
En retenant mon souffle, j’essaie de faire le moins de bruit possible. Cependant, après une minute, Matt me donne un coup de coude sur l’épaule pour m’envoyer vers Daniel.
Ils veulent toujours que je continue à remplir ma tâche. Ils veulent que je les suce alors que Blake est dans la salle. Ce sont vraiment des salauds !
A contrecœur, je rampe vers mon homme en essayant d’être aussi silencieuse que possible. Et les deux minutes suivantes, je suce sa queue. En me rappelant la règle de leur jeu de la roulette russe, je me concentre et je fais tournoyer ma langue autour de son gland silencieusement. Toutefois mes efforts ne suffisent pas et il n’éjacule pas avant la fin du temps imparti.
Avec un autre coup de coude je passe au suivant. « La chienne affamée est en route vers la prochaine queue » pensai-je cyniquement. Comme je n’ai que deux minutes sur chaque bite et qu’il y a ensuite une pause de six minutes, les queues des garçons ont du mal à rester en érection.
Je dois m’appliquer fortement pour les faire bander, ce qui est particulièrement difficile, car j’essaie d’éviter tout type de bruit. Lors de mon deuxième tour de table, leurs bites restent finalement bien droites. J’ai de la chance.
La queue noire de Taylor est un morceau de viande si massif qu’elle étire ma bouche au maximum quand je pousse mes lèvres sur son gland et que je balance la tête de haut en bas. Il y a un moment de silence quand BLAKE lit certaines informations que Matt lui a présentées. J’attends sans bouger la tête pendant que j’utilise mes ongles longs pour chatouiller et taquiner les bourses du garçon.
Au moment où Matt prend la parole pour répondre à une question, j’abaisse ma bouche et je prends l’immense tige dans ma gorge.
- Urgggghhh ! Étouffé-je, mais heureusement la voix de Matt a couvert le bruit.
Sentant la queue de Taylor se contracter violemment, je la sors rapidement de ma bouche et je pointe le gland vers le gobelet en plastique. Quelques secondes plus tard, son sperme jaillit. Il gicle quatre gros jets de foutre que je recueille consciencieusement dans le gobelet.
Malgré l’humiliation d’être utilisée comme une chienne avide de sperme, j’éprouve une immense fierté à l’idée d’avoir fait jouir Taylor sans faire de bruit.
Forte de mon succès, je rampe vers Justin et je commence à travailler sur sa bite avec ferveur. Celle-ci a une belle circonférence, mais elle est loin d’être aussi grosse que celle de Taylor. Je fais quelques tours avec ma langue avant de pousser la majeure partie de l’organe dans ma bouche. A présent, je commence bien à m’habituer à l’étirement de mes lèvres et la tension exercée sur ma mâchoire.
A chaque fois que BLAKE parle, j’enfonce la bite de Justin dans ma gorge, provoquant un petit bruit de succion. Après l’entraînement que je viens de subir plus tôt dans la journée, c’est très facile. Ma bouche est maintenant un gouffre bien dressé, non ?
- Quel est le retour sur investissement que tu as calculé Justin ? Demande soudainement BLAKE au stagiaire.
A ce moment précis, chaque centimètre de sa queue est dans ma gorge et mon nez est pressé contre son ventre. La question surprend tellement Justin qu’il perd le contrôle et son sexe explose involontairement.
- Aaaaahhhhh… Je… Je l’ai écrit... quelque part… Balbutie-t-il en se tortillant sur sa chaise.
Et pendant tout ce temps, ce crétin gicle dans ma bouche un long et épais filet de foutre qui recouvre ma langue. Il éjacule si rapidement que je ne peux mettre en place le gobelet en plastique. Alors je rassemble son sperme dans ma bouche et je le garde.
- Tout va bien ? Tu es un peu rouge. Tu n’es pas malade non ? Demande BLAKE avec une inquiétude sincère.
Sous la table je suis sur le point de rire. La situation est trop absurde.
- Non monsieur, je vais bien. Je suis juste un peu agité. J’ai du trop boire de café aujourd’hui. Répond Justin.
A genoux entre ses jambes, je porte le gobelet en plastique sous mon visage et j’ouvre la bouche pour laisser le foutre couler dans le récipient. Deux de fait ! Deux autres à faire ! En me précipitant vers Matt, je suis déterminée à régler ça rapidement. Je ne peux pas me permettre que BLAKE soit alerté. Le ton irrité de sa voix me dit qu’il est énervé par le manque d’attention des stagiaires. Un autre incident comme celui avec Justin et il va y regarder de plus près.
Mais ce n’est pas facile de faire jouir Daniel et Matt. Ils ont beaucoup plus d’endurance que les deux autres. Deux fois encore je passe de l’un à l’autre. J’essaie de leur chatouiller les couilles, de bien lécher leur gland et de les sucer habilement, mais rien ne semble pouvoir déclencher leur plaisir. Leurs queues restent durs et stables. Et pendant ce temps, ils continuent à débattre avec BLAKE comme si je n’étais pas là à sucer leurs bites.
Lors du troisième passage chez Daniel, j’essaie une nouvelle approche. Alors que je suce avidement son membre, je passe ma main droite sous ses couilles et je la pousse jusqu’à son cul. Et je commence à faire glisser l’extrémité de mes faux ongles sur sa raie.
Puis je place mon doigt sur son trou du cul. Je frotte doucement son sphincter avant d’enfoncer mon index dans son passage anal. Finalement mon problème est résolu.
Alors qu’il soulève son cul de la chaise, Daniel jouit. Toutefois son mouvement brusque me prend par surprise et ma tête est poussée vers le haut par son entrejambe. Elle heurte bruyamment le dessous de la table.
- C’est quoi ce bruit ? Demande BLAKE.
Et merde ! J’avais réussi à rester silencieuse jusque là et je vais me faire découvrir au dernier moment. C’est vraiment injuste !
Pendant que je laisse Daniel vider ses couilles dans ma bouche pour que je collecte son foutre, Le collaborateur s’approche de la table pour voir d’où est venu le bruit. Je peux voir ses chaussures passer devant moi.
Il marche de long en large, passant plusieurs fois sous mes yeux. Chaque fois que ses chaussures sont en face de moi, mon cœur fait un bond et ma nervosité augmente. Je commence à paniquer. Je me sens comme une souris dans un trou traquée par un prédateur.
« S’il te plaît Daniel, trouve une bonne excuse !» prié-je tout en gardant les lèvres fermées autour de sa bite et en le laissant se vider giclées après giclées dans ma bouche. « S’il vous plaît, que quelqu’un dise quelque chose ».
En fin de compte Daniel invente une excuse :
- J’ai tapé la table avec mon poing. Mon ordinateur portable perd constamment sa connexion wifi, ça m’énerve.
Je vois BLAKE qui s’arrête de marcher. De toute évidence il regarde l’ordinateur sur la table. A tout moment il peut découvrir qu’on lui raconte des conneries.
- Bien les gars, qu’est-ce qui se passe ? Vous êtes bizarre depuis tout à l’heure. Vous êtes totalement distrait. Demande le collaborateur.
C’est Matt qui lui répond :
- Désolé Monsieur, Mademoiselle ADDAMS nous a tenu occupé toute la semaine avec des tonnes de choses à faire. Elle fixe des délais si serrés qu’il nous est difficile de nous concentrer sur d’autres tâches.
Putain de merde ! Ce connard m’accuse de leur distraction. Et il me laisse même l’entendre. Quel enfoiré !
Mais d’une certaine manière il a raison. J’avais été la cause de leur distraction, même s’il s’agit de mes compétences à sucer une bite et non de mes compétences dans le travail.
BLAKE semble d’accord avec Matt.
- Je sais que Mademoiselle ADDAMS a tendance à exagérer avec la charge de travail. Mais tout le monde ne vit pas pour le travail, n’est-ce pas ? Elle est dure avec les stagiaires. Ne vous laissez pas malmener.
Quoi ? Je suis dure avec les stagiaires ? C’est plutôt eux qui sont durs avec moi, ou plutôt dur en moi. Une fois de plus l’absurdité de la chose m’amène à ricaner. Je me sens comme un pantin pathétique.
En fin de compte, BLAKE semble satisfait de l’excuse de Matt.
- Quoi qu’il en soit c’est comme ça. Néanmoins j’ai besoin de vous pour ces dossiers. C’est un projet très coûteux, donc c’est important pour la société.
Durant les cinq prochaines minutes, BLAKE leur donne de nouvelles tâches. Pendant ce temps, je me déplace entre les genoux de Matt et je suce sa bite. Il a gagné le jeu de la roulette russe. Quelle merde ! C’est la dernière personne que je voulais voir gagner. Pourtant je suis à ses pieds et je lui fais une bonne fellation pour qu’il jouisse maintenant en sachant qu’il m’enculera dans l’après-midi. Quelle dégradation !
Je branle sa tige à grande vitesse tout en suçant et léchant son gland. Quelques instants avant que Blake finisse, Matt finit par jouir. Je dirige sa bite vers le gobelet en plastique et il gicle trois épais jets de sperme. Son foutre est si épais qu’il colle aux parois du gobelet et coule lentement. Après avoir passé les quatre gars il y a un gros tas de foutre au fond du gobelet.
Beurk, ça a l’air si visqueux et collant. Ce n’est pas du tout appétissant. Malgré tout, mon estomac gronde pour me rappeler que je n’ai rien mangé. Et avec le régime imposé par Daniel, le foutre épais ets tout ce que je peux obtenir. C’est une autre humiliation mise en place par Daniel avec le jeu Pierre-Papier-Ciseaux.
Finalement, Blake finit de donner ses instructions et il est sur le point de partir. De dessous la table, je vois ses chaussures se diriger vers la porte. Mais soudain il s’arrête et demande aux stagiaires :
- Qu’est-ce que c’est que ça ? Ce n’est pas à mademoiselle ADDAMS ?
Il montre un objet sur le sol. C’est mon sac à main. Je l’avais posé près du mur quand j’étais entrée dans la salle de conférence. Je l’avais placé près de la porte parce que j’avais l’intention de repartir rapidement.
Et merde ! Et si BLAKE décide de le ramasser et de l’amener à mon bureau ? Il ne m’y trouvera pas.
Merde de merde de merde !
Et s’il regarde à l’intérieur ? Il trouvera le gode en silicone rose.
C’est alors que Daniel dit à BLAKE sur un ton neutre :
- Oh, mademoiselle ADDAMS a utilisé la salle avant nous. Et je pense qu’elle doit être en pause déjeuner en ce moment. Mais, j’ai un rendez-vous avec elle plus tard aujourd’hui, donc je peux lui apporter.
- Ok. Je n’ai pas le temps de m’occuper de ses affaires. Dit BLAKE en ramassant le sac à main.
« S’il te plaît ne l’ouvre pas, ne l’ouvre pas » Prié-je en silence. Finalement j’ai de la chance pour une fois. Il le tend simplement à Daniel puis il quitte la salle de conférence. Je pousse un soupir de soulagement.
-Pheeewwwww !
Le visage de Daniel apparaît alors qu’il se baisse. Avec un grand sourire sur sa figure, il ouvre le sac à main et sort la fausse glace rose. Il l’agite devant moi.
- Alors… Est-ce que tu espérais qu’il trouve ça, petite chatte ? Dit-il en riant.
« Putain de connard » pensé-je ne prenant un air renfrogné.
- héhéhé ! Tu as raison d’être énervée. Mais je ne voulais pas qu’il le découvre non plus. Je ne veux pas perdre mon animal de compagnie. Dit-il en me caressant la tête.
- Où trouverai-je une soumise aussi charmante ? Ajoute-t-il.
Houlala ! Je ne m’attendais pas à une telle tendresse de ce voyou macho. Mais il semble sincère. Toutefois le moment tendre est déjà terminé. Il me montre le gobelet dans mes mains et me dit :
- C’est l’heure de ton déjeuner salope !
Je regarde à l’intérieur du récipient et j’ai l’impression que la flaque de sperme est figée. Ça semble encore plus épais et gluant qu’auparavant. Après être sortie de dessous la table en rampant, je reste à genoux et je regarde les garçons qui attendent. Lentement, je porte le gobelet à ma bouche et je le renverse.
Pour donner un bon spectacle aux stagiaires, je tiens le récipient à quelques centimètres de mes lèvres pour que le sperme s’égoutte sur ma langue tirée. C’est tellement épais qu’il glisse lentement.
Mon Dieu ! Je suis agenouillée dans la salle de conférence en train de verser du sperme dans ma bouche et de l’avaler pour le déjeuner. A tout moment un de mes subordonnés pourrait arriver. Ça me donne la chair de poule.
Amas après amas, les gouttes de sperme coulent sur ma langue et bientôt un flot épais de foutre sort du gobelet pour atterrir dans ma bouche. Les garçons sont tellement étonnés du spectacle qu’ils observent en silence.
Quand ma bouche est pleine, il reste encore la moitié du liquide dans le récipient. En essayant d’avaler le sperme visqueux, je me rends compte que je ne peux pas le faire d’un coup. J’ai l’impression qu’il me colle à la gorge. Il faut que je mâche.
Le reste du gobelet n’est pas plus facile à avaler. Le goût est horrible et ma gorge me fait mal à force de m’obliger à déglutir. Toutefois je regarde les garçons triomphalement et avec un sourire éclatant je présente ma bouche vide.
En remontant le couloir qui mène aux escaliers, je prends une profonde inspiration. Ouf, je ne peux même pas dire à quel point je suis soulagée. J’étais proche de me faire prendre. Daniel n’a jamais pris autant de risques auparavant. Pour la première fois, nous avons failli être vus. Heureusement nous avons eu de la chance et BLAKE n’a rien vu.
Perdue dans mes pensées, je ne remarque pas que la porte des toilettes pour homme s’ouvre. Surprise, je lève les yeux alors que je heurte presque BLAKE. Il sort des toilettes.
- Bonjour mademoiselle ADDAMS, je pensais que vous étiez sortie pour déjeuner. Me dit-il.
- Oh… Oui… Je… Je viens juste de rentrer. Balbutié-je en essayant de reprendre mes esprits.
Cependant il ne m’écoute pas vraiment. Au lieu de ça, son regard est fixé sur ma poitrine. Il remarque certainement que ma robe est tirée sur mes seins pressés. Au début, il fronce le front, se demandant pourquoi une directrice porte une tenue aussi inappropriée au bureau. Mais ensuite, son froncement de sourcils se transforme en regard lubrique alors qu’il continue de fixer ma poitrine.
Cette situation me fait rougir et ne fait qu’augmenter mon balbutiement. Zut, je veux m’éloigner de sa vue. Il parlera certainement à ORTEGA de mon apparence délurée. Je n’ai pas besoin de ça.
- Vous avez oublié votre sac à main dans la salle de conférence. Daniel l’a gardé pour vous. Me dit-il finalement.
- Oh, je ne l’ai même pas remarqué. Hi hi hi ! Merci, je vais aller le chercher.
J’essaie de dissimuler mon oubli apparent avec un rire, mais ça me rend tellement stupide.
- Pas de problème, mademoiselle ADDAMS. Je ne savais pas que vous étiez fan de bijoux. Me répond-il en me montrant mes bracelets en argent.
Mon rougissement prend une teinte pourpre lorsqu’il jette un coup d’œil au bracelet avec la règle sur mon bras droit et celui avec les dés sur mon bras gauche.
- Ont-ils une signification spécifique ?
Il reste fixé sur celui avec les dés.
- Il y a des lettres non ?
Mon Dieu ! Je voudrais mettre mes bras dans mon dos et cacher mes bracelets. Mais ça aurait été louche non ? Alors je me force à garder mes bijoux à la vue de mon collègue.
Oui, les lettres on une signification ? Elles disent au monde que je suis Miss BRATZ, le jouet de luxe des stagiaires. Bien sûr je ne lui dis pas ça même si je le pense.
- C’est… C’est… C’est… un vieil héritage de famille. Ma mère me l’a donné. Dis-je pour essayer de me sortir de cette situation difficile.
- Mais il n’y a pas de mot particulier. Les dés tournent continuellement. Hi hi hi !
Une fois encore, j’essaie de dissimuler les incohérences de mon récit sous un rire de façade. Cependant, la façon dont Blake me regarde me dit qu’il ne croie pas mon mensonge. Merde, il doit avoir identifié le mot. Et puis-je comment puis-je faire croire qu’un bracelet de pute est un héritage de famille. Il y a beaucoup trop de choses non crédibles dans mon histoire.
Ça va sûrement créer des commérages. Je n’aime pas ça. Je n’aime pas du tout. Mais je ne sais pas comment l’empêcher non plus. Tout ce que je peux faire c’est de faire cesser les commérages avec mon rendement au travail. Qui va se soucier si je m’habille sexy et que je porte des tonnes de bijoux, si je réalise de bons bénéfices pour la société ?
Bien que BLAKE ne soit pas convaincu, il ne me demande plus rien. Notre conversation étant terminée, je retourne à mon bureau.
Quand j’y suis, il me faut un peu de temps pour me calmer. Les stagiaires m’ont utilisée devant un subordonné. C’est vraiment dérangeant. Je suis dans l’expectative pour la prochaine partie de Pierre-Papier-Ciseaux. ,D’un côté j’ai peur du défi à venir si je perds. D’un autre côté cette simple pensée fait palpiter ma chatte.
A suivre…
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