dimanche 17 janvier 2021

La Femme du Consul Ch. 03

Texte de Coulybaca.

Le chantage se met en place.

Un mois s'était écoulé depuis cette fameuse soirée, comme prévu, Vincent était maintenant consul en titre, évidemment la conséquence en était son travail accru, ainsi que ses nombreuses absences pour différentes missions, Odile toute à la nouveauté ne s'en plaignait pas encore.

Quant à elle rien de remarquable ne s'était produit, si ce n'est...

Si ce n'était, depuis deux semaines des rêves récurrents qui venaient la visiter, la laissant trempée de sueur, hagarde sur sa couche. Plutôt que des rêves, il s'agissait d'ailleurs de brèves images cauchemardesques, brèves mais d'une précision chirurgicale qui la mettaient elle en scène dans les plus scabreuses situations.

D'abord une fois tous les deux trois jours, le rythme s'amplifiait et s'était maintenant chaque nuit que les mêmes images venaient la troubler.

Elle, si peu férue de sexualité, se voyait dans des postures inimaginables, nue suçant à pleine bouche un pénis monstrueux s'enfonçant au fond de sa gorge, suffocante déglutissant de la liqueur mâle, des filets de sperme s'échappant de la commissure de ses lèvres, jambes grandes écartées, facilitant l'introduction d'un tronc d'ébène dans sa chatte boursouflée, en levrette, accueillant une robuste mentule dans son anus soumis, elle se soumettant à la concupiscence de plusieurs hommes à la fois, chaque orifice envahi, elle le visage déformé par la jouissance exprimant à gorge déployée un plaisir aussi ignoble qu'impensable.

Elle attribuait ces images d'une rare dépravation au climat local, aux mets locaux, à l'ambiance lourde régnant sur les émirats, à ses propres frustrations de jeune mariée découvrant le manque du mâle du aux absences de son mari.

Cependant ce qui la gênait le plus dans cette fantasmagorie, c'est que plusieurs fois elle s'était réveillée, suite à ces "rêves" langoureuse, lascive, les traits tirés, comme si, indépendamment de sa volonté, de sa conscience, ses sens, la nuit appréciaient petit à petit ces images de luxure. Il lui semblait que de plus en plus l'évocation de ces instants charnels lui inspiraient des sensations perverses, une langueur suspecte, ce qui entravait toute confidence à son mari qui ne distinguait en elle que la superbe potiche, la sainte nitouche droit sortie du couvent des oiseaux. Et pourtant elle aurait tant aimé pouvoir confier à quelqu'un ces turpitudes qui la troublaient tant.

Pendant ce temps, Hakim, loin de rester inactif avait confectionné un film d'une heure et demi où l'on voyait nettement la jeune femme se faire trousser, baiser dans toutes les positions imaginables, il avait choisi à destin les angles de vue, de façon à ce qu'on ne puisse se douter qu'elle était droguée, que le tout futur spectateur soit pénétré de son active participation à ces ébats.

Par ailleurs, il avait monté une espèce de film annonce de deux minutes, où chaque position était reprise avec brièveté, concision, mais précision. Une précision chirurgicale qui ne permettait de douter ni de son active contribution, ni de la jouissance extrême ressentie.

Il attendait son heure. Une absence prolongée de son mari, auprès de qui elle ne pourrait trouver protection, la lui livrerait pieds et poings liés. Il se réjouissait déjà de renouveler, mais cette fois en pleine lucidité, les exploits amoureux auxquels il s'était livré en sa compagnie.

Enfin l'occasion se présenta, Vincent Delerme devait se rendre, pour une semaine dans une communauté religieuse française afin d'y régler différents problèmes de cohabitation avec les autochtones, et y exercer sa présence rassurante. Il partait ce lundi matin.

Vers midi, ce même jour, il envoya une missive à la belle Madame Delerme, lui demandant de se présenter l'après-midi même en son service afin d'y régler différentes formalités administratives.

Loin de se douter du traquenard, Odile se présenta vers 14 heures à son bureau, il la fit patienter quelques minutes, sachant qu'une attente, même courte s'avère toujours plus ou moins déstabilisatrice.

Une demi-heure suffit à régler les formalités évoquées, il lui offrit alors un digestif, qu'elle ne put, par politesse refuser, et tandis qu'elle sirotait la liqueur d'orange amère, très douce, mais très alcoolisée, il en vint à lui confier quelques soucis, pour sa réputation, et comme très surprise de cette intervention, elle sursautait d'indignation, il ferma la porte de son bureau à clé, et la prenant par le poignet, il l'assit fermement devant un écran télé, et mit en route le magnétoscope qui lui était relié.

Les premières images créèrent le choc, abasourdie elle se voyait sur l'écran baisant à tout va avec quatre inconnus se succédant dans ses trois orifices, elle s'empourpra et s'indigna :

- Mais qu'est-ce que... c'est impossible... ça ne peut pas être moi... qu'avez-vous...

Impavide, il se taisait la laissant regarder jusqu'à la fin le petit film, puis il lui dit :

- C'est bien vous ! Regardez encore une fois,  nous en reparlerons ensuite.

Et fascinée, la honte aux joues, elle dut à nouveau assister, incrédule au spectacle de sa déchéance, cependant une idée lui vint, la porte de sortie évidente.

- Ce n'est pas moi ! Ça ne peut pas être moi ! Jamais je n'ai fait de telles choses ! ça ne peut être qu'un montage ! Nous le démontrerons.

- Il ne s'agit pas d'un montage ma belle.

Fustigée par ce vocable, elle s'assombrit comprenant brusquement qu'il était l'instigateur de cette horreur.

- Rappelle-toi ta nuit au palais il y a 2 mois.  Tu t'es réveillée le matin dans les bras de ton époux,  rompue mais incapable de t'expliquer à quoi était due cette lassitude, cet état de fatigue.

- Oui... je vois la nuit dont vous parlez... mais...

- C'est cette nuit là que nous avons tourné ce film. Tu étais droguée, docile, je me suis moi-même régalé, et mes hommes aussi. Tu ignorais certainement tes dons amoureux. Je suis heureux d'en avoir été le premier a en bénéficier.

Et comme honteuse, effondrée, elle se mettait à pleurer sur son sort, de lourdes larmes sillonnant son visage, il reprit :

- Comme tu t'en doutes, ma jolie, si tu veux que ce film reste secret, qu'il ne sorte pas de mon bureau, il va falloir en discuter les conditions.

- Mais vous... Vous ne pouvez pas... Je me plaindrai, mon mari est consul !

- Justement, ton mari est consul. 'aimerai voir la tête de ses supérieurs hiérarchiques s'ils te voyaient baiser sur un grand écran. Car c'est ce que tu risques. Il ne s'agit là que d'une bande annonce. On dispose de plusieurs heures de spectacle, dont un film d'une heure trente déjà monté. Je te le montrerai à l'occasion.

- Non vous ne pouvez pas, ce serait trop cruel ! Le scandale !

Elle renifla bruyamment et soudain se répandit en invectives, poussant presque des hurlements. Sentant monter la crise de nerf, promptement, Hakim leva la main et la souffleta en plein visage.

Cette gifle soudaine eut le don de la calmer instantanément, il faut dire que, jusqu'ici, personne n'avait jamais levé la main sur elle et que cette brusque rencontre avec un monde de la violence qu'elle ignorait tout à fait la sidérait, la figeait.

Reniflant encore quelques sanglots, elle comprit à ce moment qu'un abîme s'ouvrait sous ses pas. Il reprit d'une voix posée :

- Il me semble qu'il est temps de faire le point.

- Combien voulez-vous ? Murmura-t-elle d'une voix dolente.

- Ton fric ne m'intéresse pas ! Gronda-t-il.

- Mais alors... Que voulez-vous ? 

- Je te l'expliquerai plus tard, mais pour l'instant, faisons le point. Je détiens un film de toi tout à fait compromettant. Ta vie, la carrière de ton mari en dépendent.

- Je sais ! Le coupa-t-elle frissonnante d'appréhension.

- Voyons les différentes solutions envisageables : Premièrement, je mets ce film et de nombreuses copies en circulation...

- Oh non ! Je vous en prie ! Pas ça ! Je ne pourrai supporter...

- Evidemment, pour toi c'est la pire des solutions. Le scandale, la carrière de ton mari, la réprobation, le divorce...

- Non ! Non ne faites pas ça ! Je... Je ferai ce que vous voudrez ! Pas ça ! Surtout pas ça ! Personne ne doit savoir.

- Ou alors je range le film dans mon coffre fort et il n'en sort qu'en cas de nécessité.

- En cas de nécessité ? Que voulez-vous dire ? 

- Si tu me désobéis, si tu cherches à te révolter,  je ne sais pas moi...

- Non, non. Je ferai tout. Tout ce que vous voudrez. J'obéirai.

- Tu feras tout ce que je veux ?  Absolument tout ? .

- Absolument tout ! 

- Eh bien on va voir tout de suite. Lève toi ! Déshabille toi !

- Mais... 

- Y'a pas de mais ! Obéis sinon...

Et, servilement, elle se leva. Certain de son obéissance, sûre qu'elle était matée et qu'elle ne voyait aucun recours possible, sans dire un mot il lui fit signe de commencer son strip-tease.

Elle enleva sa courte veste qu'elle posa précautionneusement sur le dosseret de sa chaise, puis les yeux rivés au sol, elle dégagea son chemisier de la ceinture de sa jupe, et comme elle hésitait, d'un claquement impératif des doigts il lui enjoignit de poursuivre.

Pâle comme une morte, le geste machinal, elle déboutonna lentement son chemisier l'ôta et le posa avec soin sur sa veste, elle se tenait maintenant en jupe et soutien-gorge devant lui.

Calmement, pour mieux jouir du spectacle, il s'assit sur son fauteuil et ordonna :

- le soutien-gorge maintenant !

Elle lança ses doigts dans son dos, dégrafa l'écrin vert qui empaumait ses seins et libéra son opulente poitrine qu'elle s'empressa de dissimuler d'un bras.

Ravi de ce silencieux désespoir, il continua :

- Tu ne vas pas t'arrêter en si bon chemin, allez la jupe, la culotte... et que ça saute...

Définitivement domptée elle dégrafa la ceinture de sa jupe, puis l'enleva, la rangea et dans un dernier geste de pudeur elle resta bloquée main sur son mignon petit slip coordonné au soutien gorge. Il gronda :

- Alors ?

Et veulement elle enroula l'élastique sur ses cuisses, entraînant petit à petit la culotte vers le bas, la laissant tomber à terre.

D'un geste il la convia à s'approcher de lui, lentement, il parcourut son dos, sa croupe d'une main légère, lui empauma les mamelles, descendit le long de son ventre jusqu'à sa toison peu fournie, commentant au fur et à mesure :

- Le dos est élancé, la croupe ferme, les seins se tiennent bien, emplissent la main d'un honnête homme. Une vraie blonde, j'en espérais pas tant. Tu vas faire bien des heureux Ecarte les cuisses que je poursuive. La chatte légèrement humide, chaude. 

Et lui insérant brutalement le pouce dans l'anus, ce qui lui arracha un petit cri :

- Le trou du cul bien serré. Là aussi cela ne manquera pas d'amateurs.

Elle se sentait comme une bête à l'étal que son futur propriétaire auscultait sous toutes les coutures avant l'achat, ses paroles lui passaient au dessus de la tête, elle était bien trop consternée des ondes qui parcouraient ses flancs tandis qu'il la palpait aussi grossièrement.

Conscient qu'il fallait battre le fer tant qu'il était chaud, et qu'elle était, à ce moment en son total pouvoir, il commanda :

- Et maintenant à genoux ! Tu vas me montrer comment tu te sers de ta bouche.

Et comme elle hésitait :

- Dois je répéter ? 

Complaisamment elle s'agenouilla entre ses cuisses, happa de la main le gros pénis érigé qu'il avait déjà dégagé de son slip, et suivant l'ordre de sa main sur sa nuque, elle ouvrit les lèvres et l'absorba maladroitement, conscient de son évident peu d'expérience. Il la guida du geste et du mot, allant en d'amples mouvements au fond de sa gorge avant de se retirer à l'amorce des lèvres, lui indiquant de se servir de sa langue, de titiller tantôt la hampe, tantôt le méat, de l'enrouler autour de son chibre, d'accompagner son rythme.

Soucieuse de lui complaire elle s'évertua à lui obéir, mettant du cœur à le satisfaire pleinement. Soudain elle sentit la grosse verge enfler dans sa bouche, s'agiter de tremblements spasmodiques, bien que peu avertie, elle comprit qu'il n'allait plus tarder à cracher son venin, elle chercha à se soustraire à sa main, mais ne put le faire, et se résigna à avaler sa purée.

En jets bouillonnants il s'exonéra lui inondant le palais, suffocant elle déglutit vivement et avala en de larges rasades l'épaisse liqueur qui l'enivrait.

Elle se sentait presque heureuse d'avoir satisfait ce mâle, à sa grande honte, elle ne pouvait s'empêcher de se féliciter d'avoir si bien accompli sa tâche.

Il la renversa alors sur le bureau, l'obligea à prendre ses fesses à deux mains, lui prescrivant de les disjoindre le plus fort possible, comprenant ce qui l'attendait, elle chercha à l'attendrir :

- Non ! Je vous en prie, vous êtes trop gros ! Mon anus est trop petit ! Je vous en prie ! Prenez moi par devant, mais pas par là !

Impavide, sourd à ses jérémiades, il se positionna à l'entrée du tunnel rétif, et en force, sachant pertinemment que le conduit avait déjà servi, il s'imposa lentement dans boyau. Elle le sentit passer, il lui semblait que son intestin s'adaptait en force comme un gant sur un doigt, sauf qu'on lui proposait en guise de doigt un braquemart de bonne taille.

Elle sentit son boyau se dérouler. Il fit une pause, le temps de reprendre son souffle et la laisser s'habituer. Lorsqu'il fut entièrement engagé dans son tuyau rectal, poils du pubis contre ses fesses, avec de larges élans il la laboura sauvagement lui cassant le cul dans un concert de gémissements, puis de petits jappements et enfin de petits cris avouant sa jouissance en l'extériorisant.

Il resta assez longuement planté dans son fondement, serré comme dans un étau, enfin la détumescence aidant, son manche reprit une taille normale et il glissa hors de son anus tandis que par l'interphone il appelait :

- Abdou, appelez moi Abdou !

Refermant sa braguette il se dirigea vers la porte, et déverrouilla la serrure. Immédiatement un grand noir, athlétique entra dans le bureau, son regard s'attachant tout de suite à la belle jeune femme dont il s'était déjà servi à son insu.

Comme elle était toujours nue, l'irruption de ce tiers la fit réagir avec promptitude, elle se rua sur ses habits et enfila au plus vite chemisier et jupe, glissant sa petite culotte et son soutien-gorge dans son sac.

Hilare, Hakim la regardait faire, puis le visage fendu d'un large sourire il lui annonça :

- Inutile de te presser ainsi. Abdou est ton garde du corps. A partir de cet instant, je le nomme à ce poste. il aura tout pouvoir sur ton corps. Tu comprends ce que je veux dire ? Dorénavant il habitera chez toi. Tu lui donneras une chambre contiguë à la tienne, communicante, qu'il puisse à chaque instant te surveiller et disposer de toi à son bon vouloir. Et le cas échéant selon mes ordres quand tu devras t'acquitter d'une mission. Inutile de vouloir savoir ce que tu devras faire, tu le sauras en temps utile. Pour l'instant Abdou devient ton maître,  tu lui obéis comme à moi !

- Quant à toi Abdou, ton premier rôle sera de la former à toutes les pratiques sexuelles, de plus elle devra t'obéir au doigt et à l'œil, tu ne devras tolérer aucun manquement, je te fais confiance si cela malgré tout arrivait pour la châtier durement !

Et sans aucune réaction, tête basse, elle sortit du bureau accompagné d'Abdou, bien décidé à , à son tour, asseoir son autorité sur la belle cavale domptée.

A suivre...

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