Texte de Coulybaca.
Réveil chez les princes.
Hakim retourna directement à son poste de surveillance, le temps de libérer le sbire qui l'avait relayé et déjà il vérifiait que le magnétoscope enregistrait correctement les turpitudes de la jeune femme. Abdou, un véritable athlète, avait déjà rejoint ses partenaires et se déshabillait posément, une fois nu, tout de suite on était frappé par la taille et l'épaisseur de sa mentule, sans être monstrueuse, sa conformation le classait plutôt dans une moyenne très supérieure à la norme.
Tous trois devisaient en arabe; commentant certainement les charmes de la belle dénudée qu'ils contemplaient avidement. Elle était allongée bras et jambes épars, cuisses grandes ouvertes, yeux clos, des filets de sperme suintant de son anus encore béant et de sa chatte encore dilatées, lui poissant les cuisses et les fesses.
Ainsi abandonnée, elle était un véritable appel au viol, et ils ne furent pas longs à s'emparer de son corps, Bruno le premier l'attira sur lui, l'agrippant par les hanches, avec un han sonore il l'empala sur son sexe dressé, elle remua faiblement le bassin, soulignant l'intrusion du mâle dans son intimité docile, avec une certaine lenteur, il la soulevait à bout de bras pour mieux la laisser retomber ensuite, engloutissant son chibre jusqu'aux couilles, elle ne réagissait que faiblement, accompagnant lascivement les impulsions de son baiseur.
Cependant Mohamed qui attendait maintenant depuis plus d'une demi heure s'impatientait :
- Allez fais moi une place ! Quand y'en a pour un, t'en a pour deux. Je n'peux plus attendre, Je vais la prendre au petit...
Obligeamment Bruno s'immobilisa tandis que d'un geste impérieux Mohamed disjoignait les fesses de la belle odalisque, ouvrant en grand sa raie culière où baillait avec obscénité le cratère anale.
Il assura sa visée posant son gros champignon au centre du la grotte convoitée, avec une certaine lenteur bien visible à l'écran il s'enfonça lentement mais inexorablement dans l'entonnoir discipliné se logeant sans coup férir jusqu'à la garde dans ce sanctuaire inviolé il y a peu encore.
Ils accordèrent alors leurs mouvements, tandis que l'un s'enfonçait dans un des trous, l'autre se retirait tout au bord, la manœuvre inverse succédant, le tout sur un bon tempo, Odile se laissait faire, son corps ne répondait plus guère, comme si Hakim avait comblé ses fantasmes les plus cachés, cependant, elle se laissait tarauder avec une visible bonne volonté, les yeux fermés, la mine tirée, pouvant même laisser croire qu'elle goûtait les pratiques qui lui étaient infligées.
Ce spectacle hautement excitant eut pour principale cause d'éveiller une trique phénoménale chez Abdou, qui s'empressa de diriger sa matraque vers le dernier trou libre. Au contact de cette masse de chair sur ses lèvres, Odile, entrouvrit la bouche, bien que l'étirant avec force, Abdou ne put loger le gland dans la caverne distendue, sans doute agissant sous le joug d'une réminiscence de la pope faite à Hakim, d'un bout de langue timide, Odile titilla les gros nœud mafflu, Abdou surpris de cette réaction ne put retenir plus longtemps les vannes de son éjaculation et s'exonéra à gros bouillons dans la bouche complice, Le flot était telle que bien que s'efforçant d'avaler la chaude liqueur, elle suffoqua, toussa, cracha, tandis que ces deux autres chevaucheurs, à leur tour, avec des gestes convulsifs se vidaient à leur tour dans ses cavités débordantes de jus.
Certain que maintenant les trois janissaires allaient s'amuser jusqu'à plus tenir de son corps, au besoin, pour remplir les deux heures de plaisir qu'il leur restait, ils pouvaient d'ailleurs faire appel à d'autres candidats qui se réjouiraient de jouir d'une si belle femme il reprit la surveillance du bal qui se poursuivait dans les salons.
Un moment plus tard, conscient que la soirée de la belle devait s'achever il revint à l'écran initial. Tandis que Mohamed et Bruno, visiblement crevés reprenaient et leurs forces et leur souffle en vidant une bouteille d'alcool, Abdou dans un dernier effort avait visiblement décidé de parfaire sa connaissance d'Odile, bien que cela sembla impossible il présentait son nœud impatient à la corolle de la future empalée.
Hakim, soucieux de capter les sensations de la jeune femme sur les cassettes paracheva le réglage des caméras de façon à ne rien perdre de la scène qui allait suivre.
Et effectivement, bien qu'épuisée elle ne montrait plus guère de réaction, se laissant manipuler comme une poupée de chiffon, cette fois sa bouche s'arrondit sous l'effet de la surprise, comme d'ailleurs devait s'évaser sa corolle malmenée, un rictus lui déforma les joues, ses traits se tirèrent tandis qu'un vagissement de douleur fusait de sa gorge, bien que captivé par ces images, Hakim se représentait le sphincter anal forcé de s'accommoder aux mensurations de l'envahisseur, le gland devait être passé, car maintenant de grosses gouttes de sueurs coulaient de son front tandis qu'une plainte sourde, lancinante, jaillissait maintenant de sa gorge de façon ininterrompue.
C'était au tour de son boyau de s'adapter, d'épouser comme un gant le doigt géant qui a bourrait. Ses yeux semblaient jaillir de leurs orbites, sa bouche se tordit encore sur des vagissements enfantins, et enfin, son maître ayant mené à bien son intrusion, pubis collé contre ses fesses, elle s'affala sur le ventre tandis qu'après un tel effort, incapable de se retenir plus, il crachait ses derniers jets au fin fond de son intestin marqué à jamais.
Il resta de longues minutes enfoncés dans son anus, la détumescence s'avérant lente et progressive tant le boyau culier l'enserrait dans une étreinte forcenée, enfin, les muscles de la femelle anéantie se relâchant, il glissa lentement de son anus, se retirant afin de laisser ses deux comparses procéder aux ablutions nécessaires pour effacer toute trace de la soirée luxurieuse, avant de la ramener aux cotés de son mari. La, douillettement bordée, elle disposerait de cinq bonnes heures pour se refaire une santé avant que la drogue ne cesse son effet.
Vers huit heures, comme prévu, Hakim retourna à son poste d'observation, il tenait à savoir quelles seraient les réactions de la prude jeune femme, si réactions il y avait, ce dont il doutait, le rohypnol masquant, dans un premier temps les événements de la nuit, pour en laisser passer, par la suite des flashs culpabilisants.
Enfin, le couvre lit sous lequel ils étaient étendus frémit, le bras de la jeune femme surgit, elle s'ébroua lentement, s'assit avec difficultés sur le lit, tata machinalement son corps visiblement rompu, son œil était atone, elle constatait visiblement une certaine lourdeur de ses flancs, mais se trouvait incapable de la relier à quoi que ce soit, puis ce fut l'étonnement, la surprise de se retrouver étendue dans ce lit inconnu qui la submergea, elle secoua son mari, qui, à son tour émergea lentement.
Le temps de lui laisser reprendre ses esprits et déjà elle questionnait :
- Mais que fait-on ici ? Dans ce lit...
- Je n'en sais rien... Il doit y avoir une explication. Tiens tu as une sonnette là, au dessus de ton épaule. ... Sonne ! On pourra se renseigner.
Elle s'exécuta, visiblement avec quelque inquiétude, et presque aussitôt, une jeune fille vêtue à l'arabe, entra dans la chambre, poussant un chariot garni d'un copieux petit déjeuner.
La laissant approcher, avec une certaine impatience, Odile l'entreprit :
- Bonjour mademoiselle ! Pourriez vous nous dire pourquoi... Pourquoi sommes nous couchés dans ce lit ? Je ne me rappelle pas...
La jeune fille sourit malicieusement, et répliqua joyeusement :
- Euh... Il semblerait que quelque chose que vous avez mangé ou bu, vous et votre mari, ne vous aient pas convenu. Toujours est-il, que vers 3 heures, vous êtes arrivés assisté de deux serviteurs. Vous flageoliez sur vos jambes. L'alcool ? la chaleur ? Nous vous avons allongé sous la courtepointe, ne vous enlevant que vos chaussures et nous nous sommes dit que ce matin vous auriez récupéré. Et que vous pourriez ainsi profiter de la matinée au palais.
Ne trouvant aucun argument à opposer à ce discours, qui finalement expliquait bien la situation, nos jeunes époux s'en contentèrent, et la bouche pâteuse, effet des drogues, identifié comme celui de l'alcool, en s'étirant, péniblement en ce qui concerne notre héroïne, il se rechaussèrent, passèrent un court instant dans la salle de bain, les différents ingrédients mis à disposition leur permettant de reprendre une allure des plus normales, à peine Odile nota-t-elle ses traits tirés, les cernes bleutés cernant ses yeux, la lassitude de son corps, le poids de ses hanches, la lourdeur de son ventre, la fourbure de ses reins.
Heureux de constater, ce que lui craignait le plus, qu'ils n'avaient pas créé d'esclandres, ils dirigèrent vers les salons où les errances avaient reprises, s'excusant de leur disparition momentanée auprès de leur hôte, qui ne leur en tint aucunement rigueur, et ils reprirent les contacts fructueux liés la veille.
Le soir, se couchant, Odile s'étonna de nouveau de se trouver si harassée, rien ne motivait cette lassitude, ni la lourdeur de son ventre, l'irritation des seins et la douleur de ses reins.
A suivre...
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