Texte de Coulybaca.
Le garde du corps.
Sans un mot ils rejoignirent sa voiture garée devant l'immeuble des services de sécurité, Abdou lui signifia de prendre le volant, et ils grimpèrent à bord. A peine furent-ils assis que déjà Abdou la conditionnait :
- Tu ressors et tu vas t'asseoir en prenant garde à ne pas t'asseoir sur ta jupe, celle-ci doit être suffisamment remontée pour que tu sois cul nu sur ton siège !
- Mais les gens...
- On se fout de ce que penseront d'éventuels chalands, tu dois obéir, un point c'est tout ! S'exclama-t-il en lui donnant une claque cuisante sur les cuisses.
Et lâchement, elle obéit, se troussant largement, sa jupe étant assez étroite, une fois assise, elle formait un bourrelet à hauteur de sa taille, la laissant jambes, cuisses et compas dénudés, heureusement les vitres teintées la dissimulaient aux regards des fâcheux à l'extérieur, et il ne l'obligea pas, ce qui arriverait par la suite à baisser sa vitre.
Elle prit soudain conscience que, n'ayant pas remis sa culotte, il devait tout distinguer de sa touffe, et effectivement il était en train de se régaler l'œil, lui parcourant la fente visuellement avant que de le faire d'un doigt mutin.
La claque sur la cuisse la cuisait encore trop pour qu'elle pensa seulement à tenter de se dérober, et c'est deux doigts enfoncés dans sa chatte, qu'elle prit la direction de la villa que leur avait alloué l'ambassade de France.
Pendant le court déplacement, il s'égaya longuement entrant et sortant ses doigts de son tunnel d'amour de plus en plus humide, lui arrachant à son corps défendant des sensations troubles qu'elle ne pouvait ignorer, encore une fois son corps semblait la trahir, prenant goût à la manipulation à laquelle il la soumettait.
Enfin elle gara la voiture devant le perron de leur résidence. Ibrahim, le factotum noir se précipita pour lui ouvrir la portière. Abdou la prit alors d'autorité par le bras, sans se soucier des réactions d'Ibrahim et l'entraîna vers le hall d'entrée.
Il lui intima alors l'ordre de lui montrer la disposition des lieux. Rapidement, ils visitèrent salons, salle à manger, cuisine, bureaux, boudoir avant de monter à l'étage visiter les chambres.
- Ici c'est celle de mon mari ! dit-elle en désignant une grande pièce ornée d'un bureau, comme il rentre à n'importe quel heure du consulat, et bien souvent pour terminer des dossiers, nous avons préféré faire chambre à part.
Et à l'autre bout du couloir, séparée par la lingerie, la salle de bain, les toilettes, elle indiqua sa chambre précédant trois chambres d'amis. Ils pénétrèrent dans sa chambre, une porte communicante permettait de rejoindre un cabinet de toilette commun aux deux chambres, les deux dernières étaient pareillement disposées.
Il prit alors ses dispositions, tu vas faire monter une femme de chambre, qu'elle me prépare ma chambre, pendant ce temps tu enverras Ibrahim chercher mes affaires.
En quelques mots, sur ses indications l'affaire fut réglée.
Tandis que soucieuse de se nettoyer, de se débarrasser du sperme qu'elle sentait oindre ses fesses, elle décida de prendre un bain, et dans ce but elle se retira dans sa chambre sans plus réfléchir. Il la suivit, disant à haute voix à Maria la femme de chambre :
- J'ai quelques dispositions à prendre avec Madame, je suis son nouveau garde du corps. ce afin d'éviter chez cette dernière toute pensée subversive."
Il s'installa sur le lit, tandis qu'elle enlevait son chemisier, se rendant soudain compte de sa présence elle voulut protester, mais il fit signe de se taire en susurrant :
- Tu veux que ta femme de chambre sache ? Continue ton strip, ça m'intéresses, fais comme si je n'étais pas là !
Et résignée, toute velléité de refus anéantie par le risque de dévoiler sa situation aux yeux de sa femme de chambre, elle se tut et enleva rapidement sa jupe. Elle avait décidé de le prendre au mot, de faire comme s'il n'existait pas, en quelque sorte de nier sa présence. Elle passa dans la salle de bain, et ouvrit les robinets d'eau, tandis qu'allongé sur le lit il se relaxait, sûr qu'il était que dorénavant sa proie ne pouvait plus lui échapper.
Elle se baigna rapidement, craignant à tout instant de le voir surgir dans la salle pour partager son bain. Elle s'essuya rapidement, et fut obligée de réintégrer la chambre pour enfiler une nouvelle tenue.
Radieux, il la regardait faire. Elle s'efforçait de ne pas le regarder, comme elle se l'était promise de l'ignorer, et ce n'était pourtant pas chose facile que d'évoluer nue sous les yeux d'un tiers en prétendant ne pas prendre garde à sa présence.
Elle ressentait physiquement son regard rampant sur toutes ses formes en appréciant le volume, la rotondité, la fermeté, bien que prenant garde de ne dévoiler que le strict nécessaire, elle savait qu'elle était obligée au gré de ses appuis de lui exhiber la totalité de ses orifices.
Enfin elle se sentit prête. Sur le lit s'étalait la parure qu'elle comptait revêtir, soutien gorge, bas dim up, culotte, jupe longue et polo sans décolleté. Il l'interrompit alors :
- Sache que dorénavant tu dois me demander mon autorisation pour t'équiper !
Déjà, les prenant en main pour les rejeter au bout du lit, il précisa :
- Désormais slips et soutien-gorge te sont interdits !
Puis repoussant à leur tour la jupe et le polo :
- Trop guindés ! souffla-t-il, trouve-toi une jupe courte, au dessus du genou, et un tee-shirt ample au décolleté prononcé. Je veux prendre en mains tes appâts facilement, tu dois toujours m'être disponible.
Et anéantie, elle enfila une courte jupe de lin, et un tee-shirt au décolleté fort évasé sur ses bas dim-up. Lors du franchissement de la porte, qu'il lui tenait ouverte, il insinua sa main sous la jupe, lui suivant le galbe des fesses dans une langoureuse caresse avant d'enfoncer un doigt fureteur dans son anus resserré, affirmant ainsi son emprise sur elle.
L'après-midi se déroula sans heurts, elle évoluait comme dans un rêve, un doux souffle lui parcourant souvent la fente, lui rappelant de prendre garde de ne rien révéler, la maintenant ainsi sous pression une large partie du temps, d'autant plus qu'elle devait subir l'assaut de ses mains presque à chaque fois qu'elle passait à sa portée. Le repas pris dans la salle à manger, en sa compagnie se passa normalement, et enfin l'instant qu'elle craignait se présenta.
Comme chaque jour, sur le coup de 20 heures, Maria et Ibrahim vinrent prendre leur congé afin de rejoindre le local extérieur qui était réservé à la domesticité. Elle allait maintenant se retrouver seule en compagnie d'Abdou.
Il s'installa dans le salon, sur le canapé. Craintive, elle le suivit docilement. Il lui enleva d'un geste sa courte jupe, elle se retrouvait juste vêtue de son ample tee-shirt, cul et foufounette à l'air.
L'attirant sur ses genoux, il entreprit sournoisement d'exciter ses sens, il entreprit de parcourir tout son corps de langoureuses caresses, ne s'attardant pas un endroit précis afin de lui enflammer les sens. S'attendant à une certaine rudesse, elle ne put empêcher ses sens surpris de réagirent à une douceur si inattendue, petit à petit, elle sentait son corps frémir sous les effleurements sardanapalesques, à peine une vague de désir s'éveillait-elle dans ses lombes, que déjà elle cambrait les reins pour mieux offrir sa croupe aux caresses enivrantes, pour serrer les cuisses sur la main qui envahissait son entrejambe afin d'interdire tout retrait à cette main captivante.
Son corps était maintenant parcouru de tremblements jouissifs, elle haletait, et bientôt, avouant d'un soupir rauque son orgasme, elle fléchit sur les genoux et s'affala entre ses cuisses, la main se fit douce sur sa nuque, lui flattant les oreilles comme on le ferait à un chaton, parcourant son cou de frôlements prolongeant son plaisir.
Elle se pelotonna entre ses jambes, et d'une main volontaire entreprit de lui ouvrir sa braguette, plus rien ne comptait d'autre à ses yeux que de lui rendre le plaisir qu'il venait de lui donner, et pour cela, elle se laissait guider par son intuition.
Le caleçon écarté, elle agrippa d'une main ferme la flamberge triomphante qui avait jailli,. Elle parcourut lentement de coups de langues appliqués la hampe rigide, s'attardant sur les couilles velues qu'elle suça longuement, elle qui à cette idée, huit jours plus tôt aurait vomi de dégoût.
Et pourtant, ahurie par son comportement, comme détachée de son corps, elle regardait faire cette jeune houri soucieuse de captiver son maître, de lui complaire.
Elle emboucha enfin le gland volumineux, et bouche distendue, le guidant d'une main sûre, elle guida les allées et venus dans sa gorge s'approfondissant de plus en plus pour mieux l'accueillir. Elle chouchouta encore un bon moment son gland turgescent, l'enveloppant d'une langue de plus en plus habile, suçant les gouttes suintant du méat, et enfin, au tremblement de ses reins elle comprit qu'elle allait récolter le fruit de tous ses efforts.
Ses gestes se firent encore plus tendre, sa bouche plus enveloppante, sa gorge plus disponible, et, lorsque les jets glaireux jaillirent, elle téta longuement, avalant à grands renforts de bruits de gorge le sperme épais qu'il lui injectait à pleine bouche ; elle se fit un honneur de ne pas décoller les lèvres de son sexe durant l'émission de sa liqueur sirupeuse, et y parvint seuls quelques filets luisants suintant de la commissure de ses lèvres.
Enfin en petite ménagère accompli elle entreprit de parfaire son œuvre, nettoyant d'une langue pas encore très agile le braquemart détumescent, d'une douce caresse sur sa nuque, il marqua sa satisfaction pleine et entière.
Pelotonnée contre son flanc, tête reposant sur ses cuises elle regarda un long moment la télé en sa compagnie. Vers 21 heures le téléphone sonna. Elle attrapa le combiné installé sur la table basse et le porta à l'oreille, elle vit Abdou s'emparer de l'écouteur.
- Allo chérie... Comment s'est passée ta journée ? Ton rendez-vous ?
C'était son mari qui venait aux nouvelles. Parti le matin même dans les hauts plateaux il ne savait alors quel accueil il recevrait, aussi avaient-ils convenus qu'il téléphonerait en début de soirée pour donner de ses nouvelles. Abdou lui susurra à l'oreille :
- N'oublie pas de lui dire que tu as un garde du corps dorénavant.
- Tout c'est très bien passé chéri. Ce n'était pas très grave. Simplement, le Directeur de la sûreté informé de nouveaux risques d'attentats, et plus particulièrement contre les personnels étrangers en poste dans des pays musulmans tenait à me rencontrer. Renseigné de tes nombreuses absences il a tenu à mettre un garde du corps, chauffeur, homme à tout faire à notre disposition. Il est censé veiller sur moi à toute heure du jour et de la nuit. J'ai d'ailleurs du, sur l'insistance du Directeur de la sûreté l'installer dans la une chambre contiguë à la mienne. Tu vois, rien de grave. Sinon le fait que l'on se soucie vraiment de notre sécurité. L'informa-t-elle rougissant de cet énorme mensonge.
Hilare, Abdou lui caressait lentement les fesses, insérant sa main dans sa vallée culière en de lents aller retour il lui effleurait l'anus, la foufoune, remontait au clito qu'il pinçait légèrement puis il revenait en arrière et reprenait ses caresses enivrantes.
- Quant à moi, ma chérie, j'ai du m'installer chez le gouverneur local. Le monastère ne dispose pas de chambre d'hôte, où je suis indésirable la nuit. Toujours est-il que j'ai retrouvé refuge chez ce bon gouverneur qui en profite pour me surveiller discrètement. Sa famille a l'air accueillante, mais d'un convenu. J'ai déjà rencontré les "saints pères", ils sont très déterminés. La médiation ne ne va pas être simple. Je pense en avoir pour une bonne semaine. Peut-être même plus. Je te tiendrai au courant. Mais toi... Que fais-tu de tes journées ?
La belle Odile avait refermé ses cuisses, son souffle s'était fait court, l'excitation montait dans ses lombes, elle voulait garder son contrôle ne pouvant se permettre de jouir avec son mari au bout du fil. D'une bonne claque sur les fesses, Abdou lui intima de se laisser faire, et à nouveau ses doigts palpèrent habilement ses intimités, des myriades d'étincelles embrasaient son bas ventre.
- Oh... Tu sais... Rien de bien original... J'ai profité de mon déplacement en ville pour faire un peu de shoping... Je... Ohhhhh...
- Mais que t-arrive-t-il ma chérie ? Tu as une drôle de voix soudain...
- "Ce n'est rien... j'ai... Je me suis acheté un chaton pour... Pour meubler ma solitude. Et il vient de me griffer les cuisses. Il est... très joueur... C'est parce que je me... Bats avec lui que... Je parais essoufflée. Je vais reposer le téléphone... Mon chéri... Il vient de renverser mon verre... Je vais essuyer avant que le tapis soit englué. A plus tard mon chéri !
- Tu as raison ma chérie. Essuie tout de suite la tache. Un persan ce serait dommage de l'endommager. Allez mon amour. Je te téléphone après demain. J'espère pouvoir te donner alors la date de mon retour. En cas de besoin adresse toi à l'ambassade. Ils peuvent me joindre par les relais militaires. A plus tard. Baisers.
Dès le téléphone reposé, elle l'embrassa à pleine bouchée se frottant comme une chatte en chaleur contre son torse.
- Il se fait tard ma petite salope. Montons essayer ton lit !
Et enlacés comme deux amants ils prirent l'escalier qui les mènerait droit au septième ciel.
A suivre...
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