Texte de Le Normand
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L’hôtel de ville.
Sous le soleil, tentant de faire bonne figure, Aline, notre jeune postière de Valognes poursuit sa tournée malgré les dégâts causés par le boulanger et la patronne de la brasserie. Elle a néanmoins le ventre en feu, les tétons durcis par la pensée des deux épisodes précédents.
Rayonnante de sensualité dans sa tenue plus que sexy, Aline parvient à l’hôtel de ville sans autres rencontres sinon des regards réprobateurs de quelques mères de famille jalouses.
Franchissant le portail, Aline se souvient qu’elle demanderait bien une entrevue avec le Maire pour faire avancer son dossier de demande de logement. Oubliant sa tenue provocante, Aline préoccupée par sa demande, remet le courrier à la secrétaire qui ne peut pas détacher les yeux de la poitrine de la jeune fille qui laisse apparaître un téton.
Aline aperçoit le premier magistrat en discussion avec un policier municipal. Elle s’approche pour faire part de sa requête afin de profiter de l’occasion. Le maire lui propose de la recevoir de suite et glisse quelques mots au policier. Aline surprend simplement l’expression « passer un bon moment et tu la prépares… »
Le Maire indique à Aline de suivre le policier municipal pendant qu’il règle une question avec la secrétaire. Se faisant, le policier qui se prénomme Antoine, pose une main affectueuse dans le dos d’Aline pour la mener vers le bureau du Maire, il ne peut s’empêcher de faire glisser sa main vers les reins de la jeune femme en exerçant une légère pression.
Sitôt la porte refermée, Antoine s’adresse fermement à la jeune postière et lui dit clairement :
- Si tu veux un logement, il va falloir être très très sage.. Tu as le choix…
Aline, les larmes aux yeux, hésite pour partir, mais une poigne ferme la retient tandis que l’autre main lui caresse fermement les fesses, s’insinuant dans sa raie sans ménagement.
- Alors, tu décide quoi ? Interroge le policier municipal.
D’un léger signe de tête, Aline cède au chantage du policier en essuyant une larme. Antoine lui pose alors un bandeau sur les yeux en lui ordonnant de ne pas l’enlever quelque soit les circonstances. Il oblige la jeune femme à mettre les mains dans son dos et ouvre totalement le corsage qui déjà cachait peu la poitrine ferme. Antoine en profite pour vérifier la dureté des tétons et pour doigter sans ménagement le sexe de la jeune postière. Aline, toujours en larmes, subit les caresses intimes et brutales du policier sans se rebeller.
Après quelques minutes qui lui semblent une éternité, elle entend la porte du bureau s’ouvrir, des pas, des voix. Le maire, son adjoint et la secrétaire viennent de pénétrer dans le bureau le sourire aux lèvres. Le policier pousse Aline devant le premier magistrat et la met à genoux la forçant à se présenter bien cambrée, offerte.
Le Maire interroge Aline sur sa demande de logement social, sur sa situation sentimentale et l’informe qu’elle aura son logement si son comportement de soumise est à la hauteur de sa demande. Elle ne devra prendre aucun plaisir, ne pas avoir d’orgasme et servir de trou à sperme après avoir été punie pour avoir souillée son uniforme.
Sans attendre de réponse, il ordonne au policier d’allonger Aline sur la table de réunion, le cul offert. Deux mains écartent les jambes de la jeune femme qui entend des compliments sur son anatomie, sent des mains écarter ses fesses, fouiller son sexe… Soudain, on lui attrape les poignets afin de la maintenir ainsi allongée sur la table, offerte et immobilisée pour la fessée que le Maire a décidé de lui infliger avec son premier adjoint.
Chacun pourra lui asséner 21 claques sur chacune des fesses… Ne pouvant s’échapper, maintenue les bras tendus, Aline est en pleurs, des cris s’échappent sous les premières claques qui viennent chauffer ses fesses offertes.
Mais rapidement, la douleur est accompagnée d’une sensation de plaisir qui monte lentement dans son ventre, rendant son sexe humide puis bientôt totalement trempé de la cyprine. S’apercevant du plaisir ressenti par la soumise, les dernières claques résonnent fortement dans la salle arrachant des cris à Aline suivi de gémissements de plaisir quand des doigts viennent fouiller son sexe et caresser doucement les fesses endolories.
Une langue vient lécher le cul de la jeune femme et un doigt s’introduit dans son petit trou, elle pense deviner l’action d’une femme.
Aline sent des mains la relever pour l’obliger à se mettre à genoux. Aussitôt elle sent un gland devant sa bouche et une voix qui lui ordonne de sucer. Lentement la langue d’Aline joue avec le gland, elle descend le long de la verge qu’elle trouve interminable puis elle la prend en bouche, aspire ce membre tandis que deux autres se présentent pour être branler. A tour de rôle, elle suce et branle les queues puis les hommes décident de la baiser dans la bouche et alors très vite chacun leur tour ils viennent décharger leur foutre dans la gorge de la jeune femme, sur son visage et sur sa poitrine.
Ensuite, Gisèle se place au dessus de la jeune femme et la contraint de lécher son cul et son sexe pour la faire jouir, la préparer pour les trois mâles qui se branlent devant le spectacle offert. Pour faire bonne mesure, le policier encourage Aline de quelques claques bien senties sur ses fesses.
Gisèle, la secrétaire, est une petite brune à la forte poitrine avec un sexe et un cul totalement épilé. Elle va au devant de la langue d’Aline écartant ses fesses pour que la langue de la jeune femme lui pénètre le cul et le sexe, que sa bouche aspire son clito. Plaquant la tête de la jeune femme contre son cul, Gisèle parviens à jouir en inondant le visage d’Aline..
Les trois mâles écartent alors sans ménagement la jeune Aline, la contraignant à être à genoux, les mains croisées sur la tête pour l’empêcher de se caresser. Chacun des hommes s’empare d’un orifice de la secrétaire pour la baiser, la défoncer dans un concert de gémissements et de cris de plaisir. Ils viennent ensuite, à tour de rôle décharger leur semence dans le sexe de la secrétaire qui connait un nouvel orgasme et ils se font nettoyer la queue par Aline.
Celle-ci, souillée par le sperme sur son corps, humiliée par l’interdiction de prendre du plaisir, est allongée sur le sol. Gisèle place son cul et son sexe au dessus du visage de la jeune femme lui ordonnant de la nettoyer totalement du sperme qui coule de son sexe. Aline s’applique donc à lécher à sucer et à aspirer le sexe de la secrétaire avalant le sperme recueilli.
A l’issue de ce nettoyage, Aline est relevée, conduite dans une pièce. Le policier lui ôte son bandeau en la caressant une dernière fois, il lui ordonne alors de remettre de l’ordre dans sa tenue puis de quitter la mairie à l’instant. A la question d’Aline sur son logement, une réponse cinglante « plus tard, petite salope » fait éclater en sanglots la jeune postière. Sans lui laisser le temps de se nettoyer Aline quitte l’hôtel de ville par une porte dérobée.
Dans la rue, elle reprend sa tournée, les larmes aux yeux.
A suivre...
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