Texte proposé par Harrycovert . Vous pouvez lui envoyer un petit mot d'encouragement à l'adresse cvertharry@gmail.com.
*****
- Au fait, Me lance Patrice, on a bien mangé, tu cuisines aussi bien que tu suces ! (il rit) Mais par contre pourquoi t’es tu rhabillé, désormais ta tenue ce sera nu, avec juste ton petit tablier rose ! compris ?
Il me jette un regard sévère.
- Sinon tu vas te faire baffer !
Je baisse la tête, vexé.
- Allez, fous toi à poil, d’ailleurs il est l’heure d’aller au lit, j’ai très envie d’enculer ta femme ! Je vais te laisser regarder, ça va te plaire ?
- Euh !
- Dis moi vite que tu as envie de regarder ta femme se faire enculer où tu en prends une !
Je suis rouge de honte. Tout en me déshabillant je marmonne :
- Oui, euh, j’ai envie de regarder ma femme se faire enculer ! heum !
- C’est bien cocu, en plus je suis sûr que tu le penses même si c’est difficile à admettre et à dire ! Hihi ! Mais ça va venir !
- Allez Thérèse, arrive ici !
Ma femme est déjà nue, rougissante. Elle s’approche.
- Mets toi à quatre pattes ma jolie, et cambre toi bien qu’on voit ton joli petit trou !
Ma femme obéit, la voici dans la position désirée par son amant, ses petits seins qui ballotent sous elle, son gros cul rebondi bien exposé.
- Ecarte bien les jambes, voilà ! Toi le cocu tu vas lui écarter les fesses, tu te mets face à moi et tout en ouvrant le cul de ta femme tu me suces ! Exécution !
J’obéis, troublé en sentant sous mes mains la chair douce des fesses nues de mon épouse que j'écarte doucement dévoilant son anus brun. Je vois la main de Patrice qui s’approche. Avec deux doigts il pénètre son sexe dont les grandes lèvres pendent un peu, il la branle un moment, je vois son index et son majeur qui fouillent le con de ma femme . Cela fait un petit floc floc !
- Elle mouille vite ta femme. Commente son amant.
Pendant ce temps j’ai englouti sa bite que je sens grossir en bouche ! slurp slurp gloup gloup ! Je le pompe tandis qu’il branle ma femme. Sa queue est grosse est dure, et moi-même j’ai la queue raide, à ma grande honte je bande.
- Bon allez on va changer de trou !
Et de ses doigts gluants de cyprine, il commence à caresser l’anus de ma femme qui couine doucement, puis il enfouit son index dans son cul, il le tourne, le fait aller et venir. Manifestement ça entre bien.
- Allez cocu, lâche ma bite, prend la en main et présente la au cul de ta femme !
J’obéis, troublé. Je tiens sa grosse queue que je présente devant le petit trou de mon épouse.
- Pousse la dedans allez, c’est un peu comme si tu enculais ta femme avec ma bite !
Il rigole. Je pousse avec ma main, il pousse lui aussi et je vois sa queue qui pénètre le cul de Thérèse qui gémit. Hummmm ohhhh, elle feule.
- C’est bon ma salope hein ! Ouii oh oui ! Tu vas voir quand je vais te faire enculer par les copains de ton cocu !!! Hihi !
Il est rouge de plaisir et se met à lui limer le cul de plus en plus vite. Il donne de bons coups de bite. Ses couilles rebondissent sur les fesses de Thérèse. Elle râle. Oooooh hummm ! Et lui han han ! Je m'écarte la bite en feu. Le spectacle de ma femme se faisant enculer par son amant me met en transe. Je n’aurais jamais pu imaginer cela.
- Prend la tablette et filme nous, cocu ! Me lance Patrice. Allez filme l’enculage de ta femme !
Et me voici tablette à la main immortalisant son enculage.
- Ca va plaire sur le net ! murmure t- il.
Je suis soufflé, il va montrer ça ?
Enfin dans un grand râle de plaisir, il jouit en elle et je devine le jet de sperme qui envahit le rectum de ma femme qui se met elle aussi à jouir bruyamment :
- hummmm !! Oh ouiii ouiii c’est bon, je jouis ouiiii !
Il se retire de cul de Thérèse, la queue légèrement maculée de merde.
- Viens me la nettoyer cocu, lèche la merde de ta femme !
Il est aux anges. J’hésite. CLAC, une gifle retentissante :
- Quand je donne un ordre !
Je m'exécute ! Slap slurp je lèche sa queue qui débande doucement. C’est un peu amer, je grimace.
- Allez, dis que c’est bon !
- C’est bon.. marmonné-je.
Il ricane :
- Il va falloir t’habituer ! Bon je vais aller laver ta femme ensuite au lit ! A la douche Thérèse, je vais te laver des pieds à la tête ! J’adore laver une femme !!!
Tendrement il aide ma femme à se relever et, la prenant par le bras, l’entraîne vers la douche.
- Viens cocu, viens me regarder laver ta femme ! Hihi ! Tu vas voir comme je m’en occupe bien !
Il fait entrer ma petite femme nue dans la douche, la pousse et entre à ses côtés, prend la pomme en main et ouvre l’eau, règle la température, et se met à asperger Thérèse. Il arrose son corps, n’oubliant aucun endroit, son visage, ses épaules, ses seins puis son dos et ses fesses. Il lui fait écarter les jambes, le jet gicle sur son sexe, puis il dit :
- Ecarte tes grosses fesses ma chérie que je t’arrose ton trou du cul !
Le jet inonde l’anus de ma femme. Elle a les yeux fermés et se laisse arroser. Il coupe l’eau ;
- Bien on savonne maintenant !
Prenant le gel douche il s’en enduit les mains et commence à savonner le corps nu de ma femme,
lui massant doucement chaque endroit. Il commence par le visage comme avec le jet puis lui masse les épaules, ça mousse, ses seins sont malaxés couverts de mousse. Il descend sur le ventre, savonne entre ses cuisses. Je vois ses mains qui glissent sur sa peau, ses doigts pénètrent son sexe, il continue sur ses jambes, ses cuisses, remonte derrière, lui savonne consciencieusement les fesses, puis de nouveau lui fait écarter les fesses. Il lave son petit trou, je vois son index qui pénètre son anus, il se tourne vers moi en souriant :
- Il faut laver l’intérieur !
Son doigt effectue quelques allez et retour dans son petit trou ! malgré la honte que je ressens à contempler ma femme qui se fait laver des pieds à la tête, je me rends compte que j’ai la trique, ma petite bite dressée, et décalottée, et je n’y peux rien. Il ricane :
- Et bien mon cocu, ça te plait on dirait ?
- Bon allez, je rince et je vais l’essuyer. Ensuite au dodo ! Je la baiserai peut-être dans la nuit, je verrai ou bien demain matin !
Ma petite femme rincée, essuyée, il la ramène dans notre chambre.
- Allez au lit !
Il se glisse sous les draps en compagnie de ma femme, nus tous les deux. Il se penche vers elle et prend sa bouche en un long baiser, leur bouche collée, les langues mêlées.
- Viens à coté, cocu, on va se serrer ! Tiens prend ma queue dans ta bouche, j’ai quelque chose à demander à ta femme !
Je m’exécute, prend sa queue molle dans ma bouche.
- C’est bien ! dit-il, tu commences à être bien soumis, ça m’évite de te baffer !
Il sourit.
- Bon Thérèse, voilà ce qui m’intrigue : lorsque j’ai pris connaissance de ton aventure lors de ton mariage, j’ai bien compris que tout ce qui t’était arrivée avait été tramé par ta sœur ! exact ?
- Oui c’est vrai !
- Alors pourquoi tant de haine, hihi ! Tu lui as fait quelque chose ?
Je vois le visage de ma femme qui se crispe. Je connais les faits et je ressens la même gêne que Thérèse à l’évocation de ces faits.
- Alors ? Dis moi !
- euh... euh... Fait ma femme, c’est un peu gênant !
- Allez, dis moi tout, je sens que ça va m’amuser !
- Et bien, commence Thérèse, nous sortions toujours ensemble avec Marylène, ma sœur on cherchait plus où moins des garçons. Un jour, on a fait connaissance de Bruno, il nous a plut très vite, alors on l’a un peu dragué. Il était timide, il me plaisait mais ma sœur a mis le grappin dessus, elle lui a tout de suite roulé une pelle et se l’ai approprié ! Ca m’a un peu vexé et j’ai été déçue, mais tant pis ! Je savais qu’ils sortaient régulièrement ensemble, mais un jour on s’est rencontré, il était seul, alors je lui ai demandé comment ça allait avec ma sœur !
****
-Tu es content ? elle te plait ?
- Oui ,oui !
- Elle baise bien ?
- Euh... Quoi !
-Tu la baises quand même ?
- Euh, non pas encore !
- Ah bon ?
- Elle te suce au moins ?
- Euh non, elle me le fait avec la main !
- Elle te branle, c’est tout ? tu la fous à poil quand même ?
- Elle ne veut pas, elle m’a dit que j’aurai tout quand on sera mariés !
- Je rigole ! Tu n’as même pas vu ses nichons ?
- Euh non !
Comme ça m’amusait alors je lui ai dit :
- Tu veux voir les miens ?
- Euh euh ! Je ne sais pas !
J’ai pris sa main et l’ai posée sur ma poitrine. Il a pincé un peu mes bouts.
- Allez vas-y, mets les à l’air, je veux bien moi !
J’ai pris ses mains et les ai glissées sous mon pull. Alors il a commencé à me l'ôter, je l’ai aidé à dégrafer mon soutien gorge car il n’ y arrivait pas.
Pendant le récit de ma femme, je sens sa bite qui grossit lentement dans ma bouche.
Il a mis ma poitrine à nu, il était tout rouge. Il a caressé mes seins et les as pris en bouche me tétant comme un bébé. Je sentais mes petits bouts qui durcissaient. J’était excitée du coup et je sentais la mouille qui envahissait mon sexe. j’avais envie de lui !
-Tu veux voir le reste maintenant ? je lui ai dit !
Il était cramoisi:
- Oh ! je veux bien !
- Allez vas-y, fous moi à poil !
Il a défait la fermeture de ma jupe, il l'a baissée, et a descendu ma culotte. Il ouvrait de grands yeux. Quand j’ai été nue, il m’ a regardée sous tous les angles, je voyais bien que j’étais la première femme qu’il voyait nue. Il a plongé son visage dans ma touffe et m’a embrassé la chatte. Ca me chatouillait, je lui ai dit :
- A moi maintenant de te déshabiller !
On était allés se promener au bord de la rivière et c’était désert. Il m’ a regardé, l’air ahuri. Alors j’ai agi !
- Allez, laisse-toi faire !
Et je l’ai entièrement déshabillé. Il s’est laissé faire, mais je voyais qu’il avait un peu honte. Je l’ai fait s’allonger sur le dos et je me suis penché sur sa jolie bite qui commençait à durcir et je l’ai prise en bouche. J’ai commencé à le sucer, puis voyant son excitation, je me suis mise au dessus de lui et je me suis enfilée sur sa queue. Je l’ai baisé, il était encore puceau bien sur. Il a juté presque tout de suite. Et c’est ainsi que je me suis mise avec lui. On a commencé à sortir ensemble et on a baisé à chaque fois.
Du coup il a laissé tomber ma sœur. Elle compris ce qui se passait assez rapidement, et on ne se voyait plus. Je croyais que c’était tassé mais je me suis trompée. Nous étions Bruno et moi à l'entrée du Carrefour pour acheter des bricoles à manger quand Marylène a surgi :
- Tiens voilà ma salope de sœur ! A t- elle crié, la voleuse de mari. Elle m’a volé mon fiancé.
Elle s’est approchée de moi et m'a attrapé les cheveux à pleine main.
*****
Patrice sort sa queue de ma bouche. Tu veux continuer l’histoire, cocu ? Raconte ce que tu as vu ! Allez vas-y !
*****
Euh.... J’ai voulu intervenir mais elle n’était pas venue seule, deux de ses copines l’accompagnaient et s’étaient glissées à mes cotés Alors quand j’ai avancé, j’ai senti mon bras retourné : un arm lock ! La fille, une grande rouquine, m'a murmuré à l’oreille :
- Je suis deuxième dan de judo, si tu bouches ça casse !
Et pour me faire comprendre elle a assuré la prise. Un arm lock bien fait ça coince l’épaule, le coude, le poignet et même les doigts si on veut. J’ai poussé un cri de douleur et je n’ai plus bougé. Une autre de ses copines, une petite brune s’est mise à côté pour cacher la scène, ainsi personne ne pouvait voir ma situation. D’ailleurs les gens qui commençaient à s’attrouper avaient un autre sujet d’attention que moi. En effet, Mary avait commencé à cogner Thérèse, d’abord de bonnes gifles puis des coups de poing tout en continuant à l’insulter et prendre les gens à témoins en l’accusant de nouveau de lui avoir volé son fiancé :
- Vous vous rendez compte ma propre sœur, salope !
Thérèse essayait de se protéger le visage comme elle pouvait, sans même essayer de riposter. Alors Mary a commencé à tirer sur le corsage de Thérèse, elle a arraché les boutons de devant, on lui voyait son soutien gorge. Thérèse essayait de cacher sa poitrine :
- Arrête ! laisse moi !
- tu vas voir salope ,tu aimes montrer ton cul, je vais te foutre à poil !
Et elle a tiré sur le corsage pour lui ôter. Il y avait de plus en plus de monde autour des deux femmes :
- Oui ! Oui, à poil la salope ! Ont commencé à gueuler des gens, Voleuse de mari, même les femmes la conspuent ! Vous avez raison, foutez là à poil !
Encouragée par ces cris Mary redoublait de vigueur, le corsage était sur les bras de Thérèse, Mary lui tira sur les bras pour l'ôter. "Non non" pleurnichait Thérèse, alors Mary recommence à la cogner afin que Thérèse se laisse faire, mais devant son visage Mary en profite pour lui arracher, elle le jette dans la foule, et s’attaque à l'agrafe du soutien- gorge qu’elle fait sauter d’ un coup. Thérèse essaie de le garder en serrant les bretelles mais Mary la cogne de nouveau, sa lèvre saigne un peu, CRAC le soutien- gorge vole dans les airs. Des mains avides s’en emparent. Méchamment Mary lance :
-Allez le reste !
Thérèse recule seins à l’air, visage tuméfié. Elle pleurniche :
- Non non pas ça ! implore –t elle.
Alors Mary la tire par les cheveux, l’amène au sol. Elle la plaque sur le dos et vivement s’assied sur son visage. Elle enserre son buste avec ses fesses et se penche vers la jupe de Thérèse qui a remonté bien haut dévoilant ses grosses cuisses pâles. Je vois les mains de Mary qui commencent à descendre la fermeture éclair de la jupe. ZIP ! Thérèse s’en rend compte et agrippe les bords de la jupe avec ses deux mains.
A présent on entend de toutes parts des :
- A poil à poil !!!
Je suis stupéfait, ma petite Thérèse va être mise nue en public. Et je sens que ma zig s’est redressée dans mon slip. Ca me fait bander. et le pire c’est que les deux femmes qui me tiennent s’en rendent compte :
- Hihi, ça le fait bander de voir sa chérie mise à poil devant tout le monde !
Et je sens deux mains qui se posent sur ma braguette. Ces garces me pressent la queue me faisant triquer plus. Elles se mettent à me branler à travers mon pantalon. je murmure :
- Non non arrêtez !!!
Pendant ce temps Mary a pris une des mains de Thérèse dans les siennes et l’on voit qu’elle deplie tranquillement chaque doigt de Thérèse pour libérer la jupe. Ca y est, une main a lâché, Mary en profite pour tirer sur la jupe, elle l’éloigne ainsi de la main de Thérèse qui ne tient plus que l’autre bord. On voit déjà sa hanche nue ainsi qu’un bout de fesse. Les cris de la foule redoublent !
- A poil à poil !!! (rires quolibets) Ca y est presque !
Mary recommence la même opération sur l’autre main. Bien sûr ses deux mains viennent à bout de la seule main de Thérèse, alors Mary se redresse brusquement attrapant la jupe, elle tire emportant le vêtement accompagné du collant et de la culotte de Thérèse. Elle tire, passe les chevilles, puis les pieds. Thérèse ne peut rien faire, elle est nue, la jupe, les collants et le slip volent dans la foule !! (cris applaudissements rires insultes) !!!
Mary lui tire les cheveux et la fait relever.
- Allez debout salope, montre toi debout entièrement nue !
Sa petite touffe à l'air, elle essaie désespérément de cacher son corps. CLAC CLAC Mary la gifle.
- Baisse tes mains salope, allez ! Baisse les qu’on te voit sinon je te cogne encore !
Thérèse laisse tomber ses bras le long de son corps.
- Regardez la, la salope, prenez la en photo la voleuse de mari, elle est bien punie !
- Puisque tu aimes jouir salope, lance Mary à sa sœur, tu vas te branler devant tout le monde !
- (rires) Ouais !!!
- Quoi ? Fait Thérèse, non non !
Mary s’approche et se remet à la frapper, coups de poings, claques. Elle frappe le ventre, le visage, puis se penche et lui claque les fesses. Elle l’empoigne, la courbe et se met à la fesser, mais pas une petite fessée, de grands claques sonores sur son gros cul qui commence à rougir.
Thérèse gigote, implore, supplie :
- Arrête, arrête ça me brûle ! S’il te plait !
- Alors tu obéis ? tu te branles sinon je recommence !
Thérèse est à bout. Elle baisse la tête, vaincue, sans force, le corps douloureux.
- Alors vas-y, branle toi !
Affolé je vois ma future femme qui avance sa main droite vers son sexe, hésitant encore. Mary s’avance menaçante, main levée !
- Non non ! Fait Thérèse.
Et elle glisse son index vers son con. Je suis rouge de honte et d’excitation.
- Regarde ta femme qui se branle en public !
Je sens leurs mains qui s’activent de plus en plus vite sur ma queue raidi dans mon slip. Là-bas Thérèse agite son doigt, elle l’entre en elle, le tourne, le glisse du haut en bas, puis chatouille son bouton.
- Vas-y salope, branle toi bien ! Insiste Mary, et fais-toi jouir, tant que tu n’auras pas joui tu continueras à te branler.
Elle a sorti un portable de sa poche et filme sa sœur :
- Ca va me faire un bon souvenir ! Ricane-t-elle, et pas qu'à moi vu le nombre de portables de sortis hihi !
En effet presque tout le monde a soit filmé soit photographié Thérèse pendant son déshabillage forcé et maintenant pendant son branle. Je la regarde, toute nue, ses doigts, car dorénavant elle a plusieurs doigts dans sa chatte. Elle s’active, elle a les yeux à demi fermés, sa main va de plus en plus vite. serait-ce à cause de la honte qu’elle est aussi excitée ? sans doute ! Et voici qu’elle a un sursaut, on la voit enfoncer trois doigts dans son con et couiner.
- hummm humm ! Fait-elle, HAAAAAAA !
Elle jouit. Elle vient de se faire jouir devant tout le monde. Elle enlève doucement sa main d’entre ses cuisses.
- C’est bien salope, allez je te laisse, tu te démerdes pour rentrer à poil, tu verras ça avec ton futur cocu !
A ce moment la rouquine enfouit sa main dans mon slip et me branle à main nue, je ne peux plus résister je jouis moi aussi, je décharge dans mon slip. La fille retire sa main en ricanant :
- Hé bien tu as eu aussi ton petit plaisir ! Regarde on dirait que ta femme se fait embarquer !
En effet plusieurs jeunes mecs ont attrapé Thérèse et l’entrainent vers le fond du parking. Affolé je les suis de loin, ils sont au moins une demi douzaine. Thérèse n'essaie même pas de se défendre. Je les vois soulever ma chérie, ils la tiennent à trois, lui écartent les cuisses, un la tient par le buste et les deux autres lui tiennent les cuisses et les fesses, alors un mec se place devant elle et il la pénètre. Je vois ses fesses qui bougent. Il lui donne de bons coups de rein. Au bout d’une minute, il s’écarte en rigolant :
- Au suivant !
J'avale ma salive de travers, ils vont la baiser chacun leur tour. Elle se fait bourrer, les mecs rigolent. Bientôt c’est au tour de ceux qui la tenaient et les rôles sont inversés. Les six mecs l’ont tringlée, ils la reposent au sol. Une grande claque sur les fesses :
- Allez salut salope! On te laisse !
Thérèse toute nue, tremblante, reste là sans savoir que faire, évitant le groupe de mecs. Je vais vers elle, elle un soupir de soulagement quand elle me voit :
- Où étais-tu ? soupire-t-elle.
Je lui explique que les copines à sa sœur m’avaient coincé.
- Ca ne fait rien, vite ramène moi !
Je mets mon pull autour de ses épaules pour la cacher un peu et sous les rires, les moqueries, je la ramène à notre voiture.
- Oh chéri, pleurniche-t-elle, tu as tout vu ? Tu ne vas plus vouloir de moi !
- Mais si ma chérie, je t’aime encore plus !
Elle pose son visage sur mes genoux tandis que je démarre la voiture. Elle renifle :
- Ca sent drôle ! Oh chéri, tu as déchargé ? Hein, ça t’a excité ?
- Euh, je ne sais pas pourquoi !
Elle me fait un pauvre sourire !
- Ca ne fait rien, je préfère ça !
A suivre...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci de vos retours