mercredi 7 juillet 2021

Isabelle Ch. 01

 Texte de Aldo37.

 *****

Début du chantage par notre vieux voisin.

Cette histoire date de 10 ans tout juste, alors que nous habitions le sud-ouest de la France. Nous avions 30 ans, et ma femme, Isabelle, est une jolie blonde, petite, très mignonne, 90B, très coquine.

Dès notre arrivée dans cette région, nous avions acquis une jolie maison dans un lotissement, et tout allait pour le mieux, jusqu'au jour où, deux ans après, Isabelle vînt à perdre son emploi de comptable. Malgré mon salaire, les difficultés financières apparurent bientôt, et nous ne pûmes bientôt plus faire face aux remboursements du pavillon…

Notre voisin Jean-Paul, 61 ans, en pré-retraite d'une banque importante, au courant de nos difficultés, nous invita alors un soir à boire le café. La discussion fût cordiale, amicale même, et il proposa de faire embaucher Isabelle dans la grande société industrielle dont son fils était le PDG. Nous avons alors pensé au miracle, car alors, toutes nos difficultés s'envolaient ! Alors que nous le remercions chaleureusement, il nous dit :

- Attendez, ne vous emballez pas comme ça, il y a une condition !!

Tombant un peu de haut, nous lui avons alors demandé laquelle :

- C'est bien simple, je veux que ta femme m'appartienne sexuellement !

Ahuri, je lui répondis qu'il était fou, qu'il n'en était pas question… Il nous dit :

- Alors, c'est vous qui voyez, vous allez vous débrouiller avec vos remboursements et vos dettes, et vous allez vous retrouver en HLM, couverts de dettes !

Isabelle et moi ne répondions plus rien… Il ajouta :

- Je vous laisse réfléchir… La nuit porte conseil… Je vous laisse jusqu'à demain soir pour me donner votre réponse… Réfléchissez bien !

Ce soir là, nous sommes partis, complètement sonnés, ne sachant plus quoi faire. En nous couchant, nous en avons longuement parlé avec Isabelle, qui disait que c'était un vieux vicieux, un pervers, qu'elle ne pourrait jamais… Dans la nuit, elle pleurait, elle me réveilla en m'embrassant tendrement dans le cou, et me dit :

- Tu sais chéri, il vaut mieux céder, je crois qu'il vaut mieux dire oui…

Je ne voulais pas, nous en discutâmes longtemps, mais nous avons fini par convenir, la mort dans l'âme, qu'il valait mieux céder, et ainsi aplanir nos difficultés. 
Le lendemain, Jean-Paul nous attendait pour boire le café. C'était l'été, Isabelle était en robe d'été blanche, légère et légèrement transparente. Une fois assis dans le canapé, il demanda :

- Alors, qu'est ce que vous avez décidé ?

Isabelle lui répondit :

- Vous croyez qu'on a vraiment le choix ? C'est oui. Je suis d'accord.

Jean-Paul ricana :

- Eh bien vous voyez, vous voilà plus raisonnables !! Tu sais, depuis que vous êtes arrivés là, j'ai remarqué ta femme. Je l'ai même vue, plusieurs fois, allongée sur le transat, à se faire bronzer seins nus. Alors ma petite, à force d'allumer, il va falloir éteindre. Rassure-toi, tu vas passer ta première épreuve. J'ai appelé mon fils, pour ton embauche, il est d'accord. Je lui ai expliqué notre petit "contrat". Alors, mardi, tu vas te présenter au siège de sa société, à 16 heures. Il va te recevoir pour régler les détails administratifs. Dès la première fois, tu vas te donner à lui ! Pour la tenue, je te préviens, il n'aime pas les putes. Alors sois bourgeoise, bcbg… Tu as un superbe ensemble saumon. Tu mettras ça. Rien en dessous, juste un soutien-gorge et un slip. Pas besoin de bas, il fait chaud, ce n'est pas la peine d'en rajouter. Des hauts talons surtout, car il adore. Sois tendre, sois chatte, et offre-toi bien, c'est très important.

Isabelle se mit à sangloter.

- Pas la peine de pleurnicher ! Ça ne changera rien, et crois-moi, petite, ce n'est que le début !

Il alla chercher une bouteille de champagne et des flûtes.

- On va fêter ça !

Il déboucha la bouteille et nous servit. Puis il ordonna à Isabelle :

- Allez, toi, debout !

Nous étions assis lui et moi sur le canapé.

- Allez petite, marche un peu, que je puisse voir tes formes.

Il mit de la musique, Isabelle dût marcher. Au bout d'un moment il se leva, je voulus me lever…

- Toi, tu restes assis, compris ?

Il s'approcha d'Isabelle, lui caressa lentement les seins, les fesses, le ventre. Puis il l'embrassa dans le cou et dit à ma femme :

- Regarde la bosse que tu m'as mise dans le pantalon.

En effet, une bosse déformait sa braguette, et il se collait et se frottait à Isabelle. Puis il dit :

- Ça suffit pour ce soir ! Rentrez, parce que ça va mal finir Et je veux réserver le premier coup pour mon fils !

Nous étions le vendredi, inutile de vous dire que nous avons passé un week-end angoissé, ainsi que le lundi. Le lundi soir, le téléphone sonna. C'était LUI.

- Vous passerez ce soir, après le repas.

Le soir venu, nous allâmes chez lui.

- Bien, le rendez-vous est calé pour demain, chez mon fils. Il t'attend. Vous passerez tous les deux me voir avant, vers 14 heures. Toi, habillée et maquillée !

Le mardi, à 14 heures, nous étions chez lui, comme il l'avait ordonné : Isabelle avec son tailleur, veste et jupe couleur saumon, et en hauts talons.

- Pas mal !! Pas mal du tout !!! Tu es très bandante comme ça.

Nous étions tous les trois sur le canapé.

- Lèves toi !

Isabelle obéit.

- Très bien. Enlèves ta veste et ta jupe !

Je tentai de protester.

- Ne t'occupe pas de lui, obéis !!

Isabelle retira sa veste, enleva la jupe, et apparût en sous-vêtements noirs, en jolie dentelle; soutien-gorge balconnets et slip brésilien.

- Pffff. Tu sais y faire, toi !!!! Ton mari ne doit pas s'ennuyer avec toi. Il faut vraiment en faire profiter les autres ! Allez, continue ! Retire le sous-tif et le slip !

Isabelle pleurnicha, n'obéit pas.

- Tu m'écoutes, oui ??? Je t'ai dit A POIL !!! FOUS TOI A POIL !

Isabelle, la mort dans l'âme, dégrafa le soutien-gorge qui tomba sur la moquette, et fit glisser la culotte le long des jambes. Bras croisés sur la poitrine, elle attendait.

- Enlève-moi les bras de tes seins !!!! Plaque les le long de tes jambes, allez !!

Il émit un petit sifflement.

- Une vraie blonde, en plus ! Il y a vraiment tout ce qu'il faut là où il faut !! Tourne-toi !

Isabelle se tourna.

- Très jolies fesses. Bien cambrée, en plus !! Bon, il se fait tard. Rhabille-toi, va te remaquiller, tout a coulé, et vas-y, mon fils t'attend !!

Il se mit à rire et me dit :

- Quant à toi, tu attends son retour ici, avec moi !

Isabelle rentra chez nous, un quart d'heure après, j'entendis la voiture partir. Jean-Paul mit la télé, nous bavardâmes. Tout à coup, il dit :

- Tiens, il est 16 heures, elle doit entrer dans son bureau !!

Il me dit :

- Bois donc une coupe de champagne, ça te fera du bien !

A 16 h 30 :

- A cette heure, elle doit être en mains, ils doivent être en train de s'amuser !!!

J'avais la gorge nouée. 

Isabelle revînt à 18 h 30. Elle rentra chez nous. Jean-Paul l'appela au téléphone.

- Eh bien, nous t'attendons, qu'est ce que tu attends ??

- Elle arrive, elle prend une douche avant et elle vient. Me dit-il.

Isabelle sonna, il alla lui ouvrir, elle entra, en jean et t-shirt.

- Voilà notre petite Isabelle !!

Isabelle vînt m'embrasser.

- Alors, ça y est ?? Embauchée ??

- Oui monsieur, ça y est, votre fils m'a embauchée, je commence demain.

- Bon très bien, voici la fin de vos ennuis. Mais on n'oublie pas notre petit contrat, hein ??

- …

- Mais au fait, Isabelle, tu vas nous raconter vos petites galipettes. Comment cela s'est passé ?

Isabelle ne répondait pas.

- Tu vas répondre, oui ??? Ton mari voudrait bien savoir, nous étions comme deux imbéciles à t'attendre ici pendant que tu t'envoyais en l'air !

Isabelle ne répondait toujours pas.

- Je te préviens, tu vas nous raconter, parce que tu commences à m'énerver à faire la mijaurée !!

- Eh bien il m'a fait entrer dans son bureau et m'a expliqué le poste, le salaire.

- On s'en fout !!! Et le reste ??

- Il m'a complimentée sur mon physique, ma tenue, et m'a demandé de me lever et de me déshabiller.

- Très bien ! Ensuite ??

- Je l'ai fait, j'étais en sous-vêtements, il m'a demandé d'aller plus vite, de me mettre nue. Quand j'ai été nue, il est venu près de moi, m'a touchée.

- Il t'a touchée humm. Où ?

- Eh bien les seins, les fesses, le ventre. Puis il s'est déshabillé également. Il m'a fait mettre à genoux. Et j'ai dû lui faire une fellation.

- Une fellation ??? Tu arrêtes de parler comme une bourgeoise ??? Il t'a demandé de lui tailler une pipe, non ??

- Oui.

- Alors dis-le ! Je veux t'entendre le dire !!! Allez !!

- Il m'a demandé de lui tailler une pipe.

- Bien Tu l'as bien sucé au moins ??? Longuement ??

- Oui il aime beaucoup ce genre de caresse.

- Et ensuite ???

- Il m'a fait mettre debout contre son bureau, et il m'a possédée.

- Hummm. Et tu as jouis ??

- Non.

- Petite menteuse. Tu as jouis ???? Alors ????

Isabelle fit "oui" de la tête.

- Ah tu vois !! J'en étais sûr. Attends, je vais l'appeler, on va avoir ses impressions !!!

Il composa le numéro, la ligne directe de son fils.

- Serge ? J'ai Isabelle et son mari chez moi. J'ai mis le son, ils t'entendent. Alors, ça s'est passé comment ??

- Super, vraiment super ! Dis donc, cette nana, elle est faite pour le lit ! J'étais tellement excité que je lui ai mis deux coups ! Et encore, je n'ai pas eu le temps de m'en occuper !! En tous cas, nous n'allons pas nous ennuyer pendant les pauses déjeuner ou les voyages d'affaires.

- Tu vois, ton père te trouve de bons coups, non ??

- Ça, rien à dire, c'est une bonne baiseuse ! Et elle taille des pipes d'enfer.

- Bien, heureux qu'elle te plaise, je te laisse. Je t'embrasse !

Il raccrocha.

- Je crois que ça s'est bien passé vous deux, dis donc. Très bien, tu respectes tes engagements. Rentrez chez vous !  Tu vas voir, ce soir, je suis sûr que ton mari va te baiser, il est très excité, tu sais.

Nous sommes alors rentrés à la maison. 

A suivre...


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