mardi 27 juillet 2021

Billy Boy Ch. 02

Traduction d'un récit de Shooter3704 par Coulybaca

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Dépendance.

Tout semblait se passer comme si à la vue de ces cassettes elle était repartie d'un bon pied. Elle était redevenue ma June adorée et c'était fantastique de refaire l'amour avec elle.

Elle revoyait son amie Tammy. En fait au printemps, à quelques exceptions près, June avait repris un comportement des plus normal. Elle se rasait régulièrement la toison, et bientôt lassée de le faire, elle se fit faire une épilation électrique, j'aimais le contact de son pubis glabre. L'autre changement, c'est qu'elle conservait le langage populaire de ses suborneurs.

J'en avais oublié les cassettes, June les avait transférées sur un DVD et je savais qu'elle le regardait parfois, alors que je travaillais. Cela ne me gênait pas outre mesure. Elle avait gardé un autre témoignage de ces jours difficiles, ses mamelons étirés semblaient toujours être érigés, même lorsqu'elle dormait.

Tammy MacCall la visitait fréquemment, c'est une petite brune, un peu joufflue, avec une grosse poitrine, une forte personnalité, une belle plante. Lors de nos noces, on s'était beaucoup amusé à tenter de deviner si ses gros nibards rentreraient dans sa robe de demoiselle d'honneur. Elle travaillait aussi dans l'informatique, ce qui leur faisait une chose de plus en commun. Elles étaient amies depuis leurs années collège.

Un après-midi, alors que je rentrais plus tôt que d'habitude, je trouvai June et Tammy visionnant le DVD rapportant les aventures sexuelles de June, je ne sus que dire. C'était un viol, mais elle ne semblait pas le considérer ainsi, le terme de viol ne lui semblait pas bien adapté. En tout cas, j'arrivai comme d'ordinaire dans le salon lorsque j'entendis le son familier de la cassette, j'avais vu la voiture de Tammy parquée devant la maison, c'est pourquoi je savais qu'elle était là. J'étais assez surpris que June partage ce DVD avec quelqu'un, même avec une amie aussi proche que Tammy.

- "Mon Dieu, June !" s'exclama Tammy.

- "Je ne l'aurai jamais cru si je ne l'avais pas vu de mes yeux ! C'était donc ça votre voyage de noce !"

- "Eh oui c'est ainsi. C'est mon voyage de noce." 

Je me glissai silencieusement dans l'entrée, les écoutant attentivement.

- "En deux jours, j'me suis fait baiser plus que les autres femmes en 1 an."

- "As tu pensé en mourir ?"

- "Oh , oui tu sais. C'était l'enfer. D'abord j'ai été terrifiée. Je croyais qu'ils allaient me tuer."

- "Sacré tempérament !" murmura Tammy se penchant pour mieux voir ce qui se passait à l'écran.

- "T'as vécu le rêve de bien des femmes. Se faire violer par des noirs impitoyables. C'est quand même mieux que de toujours manger des patates !"

Les deux filles gloussèrent en chœur.

- "C'était pas des patates, mais qu'est ce que j'ai eu comme sauce ! A eux tous ils ont bien éjaculé deux litres de foutre. Le plus souvent dans ma chatte."

- "Tu veux bien me faire une copie de ce DVD ? J'aimerai bien le regarder quand je me gamahuche avec mon gros boute joie."

- "Non seulement je peux, mais je veux t'en faire une copie !" rigola June.

- "Mais pourquoi un gode ? Qu'est devenu ton dernier ami ? Celui dont je n'ai jamais retenu le nom !"

- "C'est de l'histoire ancienne. " répliqua Tammy

- "Bon Dieu, faut que j'arrête de regarder ce film, je sue comme une truie et je suis en train de tremper la surface de ta chaise. Sais-tu comment les contacter ?"

June ne répondit pas.

- "Je suis désolée pour ton copain, que s'est-il passé ? "

- "Oh c'est bien simple. Il ne connaissait que la position du missionnaire et ne se montrait pas très empressé au lit. Un p'tit coup en vitesse et bonsoir madame. Ce que je veux vraiment, c'est des gars comme ça !" dit-elle pointant son doigt sur l'écran.

- "Un homme capable de me baiser plus de cinq minutes."

- "T'aurai besoin d'un homme comme Bill ."

- "C'est toujours bon pour un couple d'avoir des orgasmes fastueux !"

- "T'es une belle salope de me dire ça. Comment se comporte t-il par rapport à ces gars. A-t-il vu la cassette de ton viol ? "

- "Par l'enfer... Il me fait l'amour plusieurs fois chaque nuit. Je n'ai jamais à le lui demander. Il est toujours prêt. Vraiment Tammy, il s'est comporté comme un amour face à tout ça. Aucun jugement. Pas de reproches. Il a accepté ce qui était arrivé. Tammy je ne suis pas aussi conservatrice que tu le crois. Te prêter Bill ne me créerait aucun problème. Note bien que j'ai dit prêter."

La conversation prenait une tournure des plus captivantes.

- "D'accord Tammy ? regarde. C'est une partie fort intéressante. C'est la première fois qu'ils m'ont fait grimper aux rideaux, c'est ainsi qu'ils disaient, j'avais une bite dans le cul, une seconde dans la chatte et j'en suçais une troisième."

- "Jusqu'ici je pensais que ce n'était pas possible ! "rigola Tammy.

- "Oh Mon Dieu, c'est vraiment incroyable, je n'ai jamais vu une aussi grosse bite, je parle de celle que t'as dans le cul !"

- "Oh oui, elle vraiment énorme ! C'est Travis le sadique enculé de sa mère, il aime faire mal, tu vas avoir du mal à le croire, c'est la première bite que je prenais dans le cul ! "

- "Je croyais que Tommy Thornton t'avait enculée lorsqu'on était au lycée." commenta Tammy, les yeux rivés à l'écran.

- "Cela m'étonnait bien que ce bouffeur de chatte t'ait enculée !" se marrait Tammy.

- "Tu parles il a bien essayé de m'enculer, mais il n'était bon que pour une chose, il aimait me bouffer le gazon, c'est la seule raison pour laquelle je flirtais avec lui !".

- "Bill t'encule t-il ? "demanda Tammy. Cela fait plus d'un an que vous êtes ensemble."

- "Par Dieu non, Bill est un fouteur de minet. Je ne pense même pas que l'idée d'emprunter l'autre voie lui soit venue ! même pour changer. Ce n'est pas que je m'en plaigne. Ce que fait Bill est toujours très bien fait. Tu devrais l'essayer tu verrais bien."

- "Nous avons échangés des petits amis auparavant, mais je pensais que c'était fini maintenant que tu étais mariée !" commenta Tammy.

- "Evidemment, je n'ai plus qu'un homme à échanger. Enfin, tant pis. Si ça ne t'intéresse pas !" répondit June."En tout cas, tu peux m'emprunter Bill quand tu veux !"

- "Tu ne me provoquerais pas si tu savais à quel point je peux être salope !" rigola Tammy, et elle ajouta :

- Cela fait deux mois que je n'ai pas baisé. Et pourquoi voudrait-il baiser avec moi alors qu'il t'a toi dans son lit !".

- "Je ne plaisante pas Tammy " continua June "Bill sauterait sur l'occasion de te baiser. J'en suis sûre. Tes nibards l'ont toujours fasciné. Dis-le moi quand tu te sentiras prête. Flute je n'ai pas vu le temps passer, il faut que je prépare le repas !".

- "N'oublie pas de me faire une copie de ta cassette." rappela Tammy, "Elle est vraiment super. Tu sais, il ne faut pas que tu la montres à n'importe qui ! "

Je ressortis de la pièce discrètement et je revins dans la cuisine en claquant la porte. Les deux copines me rejoignirent dans la cuisine, rouge et haletante bien qu'elles affichaient un air nonchalant. Je roulai un palot à June, et les surpris toutes deux en faisant de même avec Tammy. Tammy cherchais encore à reprendre haleine lorsque je les quittais pour me changer.

****************************

Le soir même, alors que nous étions au le lit, June me demanda :

- "Pourquoi as-tu roulé une pelle à Tammy tout à l'heure ? Cela ne me gêne pas, mais tu l'as drôlement choquée."

- "Je suis arrivé quand vous regardiez la cassette " confessai-je "J'étais un peu vexé parce que je ne suis pas un objet qu'on échange. Je t'ai entendu proposer à Tammy de m'emprunter. J'ai voulu savoir si elle appréciait ton offre."

Après une courte pause, June constata calmement :

- "Oh.. Je vois... Qu'as tu entendu exactement ?"

- "Je suis arrivé alors que sur le DVD tu te faisais baiser par trois hommes en même temps. J'en ai entendu assez pour te dire que je connais une petite femme qui va se faire enculer ce soir. J'y ai déjà pensé, mais tu as raison. Je suis tout d'abord un chasseur de foufoune, mais ce soir, je sens que je vais faire une exception !"

Et cette nuit, je l'ai enculée pour la première fois, mais comme j'étais libre de choisir, je l'ai prise aussi plusieurs fois par la chatte, June m'offrit son anus sans aucun problème, je n'ai pas joui dans son trou du cul, je préférais me vider les couilles dans sa chagatte.

- "Je dois t'avouer quelque chose..."me murmura-t-elle à l'oreille.

J'allais sombrer dans le sommeil, mais ces quelques mots attirèrent mon attention.

- "J'ai reçu un mail de Reggie ! "

- "Quand ça ? "

- "Ce matin même. Il voulait savoir si je pensais encore à sa grosse bite noire."

- "Comment a-t-il déniché ton adresse e-mail ?"

- '"Elle figure sur ma carte professionnelle." me répondit June et elle ajouta :

- "Ils ont fouillé mon sac lors du viol. Je suppose que c'est comme ça qu'il l'a eue. Pas un d'entre eux ne savait où l'on habite."

- "Ta carte ne comporte-t-elle pas aussi ton numéro de téléphone ?"

- "Non je pense qu'il n'y a que mon numéro professionnelle à Chicago" 

Je réfléchis un long moment à ces révélations.

- "Et que lui as-tu répondu ?"

- "Rien pour l'instant. Je n'ai pas répondu à son mail. Je voulais savoir comment tu le prendrais auparavant."

Je ne savais pas encore comment me comporter face à cette information, d'une part, j'aurais aimer tuer de mes propres mains ce bâtard, mais j'étais assez honnête avec moi même pour admettre que d'autre part la cassette avait été pendant longtemps mon principal sujet de préoccupation, mais maintenant que June semblait en avoir pris son parti.

- "Réponds à ce bâtard si tu le veux ! " concédai-je finalement.

- "Cependant réponds moi franchement : que vas-tu répondre à la question concernant sa grosse bite ?"

June resta muette un long moment, je pensai qu'elle s'était assoupie contre mon épaule.

- "J'ai toujours été franche avec toi mon chéri. Et j'entends bien continuer à l'être. Je ne veux pas de mensonges entre nous. Dans cet esprit de vérité, je lui répondrai que j'ai souvent pensé à sa grosse bite. Pas seulement à la sienne d'ailleurs, mais aussi à toutes les bites qui m'ont pénétré ces jours là."

Cela ne me choquait pas, il était évident qu'elle devait y penser, et comme on regardait le DVD presque tous les jours.

- "Ils m'ont utilisée pendant quasiment 48 heures. Je n'ai pu dormir qu'environ 8 heures. Personne ne pourrait oublier cela. Ni même s'empêcher d'y penser !

- "Quand tu diras à ce pourri que t'as souvent pensé à sa grosse queue, précise lui bien que je possède un port d'arme. Tu pourras ajouter que moi aussi je me rappelle sa saloperie de queue noire qui t'as fait grimper au rideau ! "

Je dois admettre que je haïssais toujours autant cette saleté de bâtard.

- "Ca fait un beau sujet de conversation ! " rigola June.

- "Ce serait dur d'évoquer tout ça avec nos parents, lorsqu'ils viendront nous voir ! 

- "Oh oui maman... C'est Reggie un ami qu'on a connu en voyage de noce..."

Mes idées de vengeance m'assombrissaient, mais cette fois je ne pus me retenir de rires aux éclats. Nous nous sommes tus pendant un long moment et je me rendormais lorsque June reprit :

- - "T'aimerais te faire Tammy ? Je crois que c'est vraiment un bon coup ! Bill, tu dors ?"

Comme je ne savais pas quoi lui répondre, je fis semblant de dormir, pensant que c'était vraiment une drôle de conversation entre époux. 

Finalement vendredi arriva, j'escomptai passer un bon week-end, June ne m'avait plus rien dit me concernant ou concernant Reggie.  En fait l'ironie voulait que nous pensions à lui tous les deux, mais pas dans les mêmes termes ni pour les mêmes raisons. La curiosité me démangeait, mais j'attendais que June me fasse des confidences. Je pensai souvent à l'attirance de June pour les grosses queues noires, ainsi qu'à son semi viol. Je suis sûr que je pensais cela parce que j'avais été réduit au rôle de spectateur passif, que je n'avais absolument pas pu influer sur les événements. Le fait que June avait été défoncée par de nombreuses bites noires ne m'ennuyait pas trop, ce qui m'ennuyait c'est de n'avoir eu aucun contrôle sur ces événements.

Je veux dire, que je savais que June était loin d'être vierge lorsque nous nous sommes mariés, nous avions vécu longtemps ensemble avant de nous marier sous la pression familiale, et je savais qu'elle avait eu des relations sexuelles avant de me connaître. En fait elle avait été très active dans ce domaine. Ce que je détestais le plus, c'est le sentiment de peur que m'avait inspiré cette épreuve, et en réalité je haïssais Reggie de m'avoir fait ressentir cette terrible peur.

J'étais encore dans l'entrée lorsque June me tendit un verre de bière fraîche, habituellement je bois directement à la cannette.

- "Merci chérie" dis-je acceptant le verre, "Ta journée s'est bien passée ?"

- "Une excellente journée" me répondit June me souriant.

- 'Et toi, comment s'est passée ta journée ?"

Je lui répondis que c'était la même routine que d'habitude, je me changeai et nous nous assîmes dans le patio. June était inhabituellement joyeuse, et je pensai qu' elle attendait quelque chose qui n'allait plus tarder.

- "Bill, te rappelles-tu m'avoir dit de recontacter Reggie ? "

J'acquiesçai d'un hochement de tête.

- "Je l'ai fait, je lui ai dit que tu serais content de le recevoir." gloussa-t-elle joyeusement.

- "Que tu serais heureux de le prendre pour cible. Il ne m'a pas répondu, aussi je pense qu'il décline mon invitation".

- "Pitié" soufflai-je sourdement.

- "Oui, mais ce même jour j'ai entendu parler de Travis."

- "Vraiment ? le sadique ! >M'exclamai-je tout surpris."

- " Oui, le sadique."

- "Il veut être sûr que tu comprennes qu'il n'avait rien à voir dans mon kidnapping."

J'attendis la suite.

- "Je lui ai répondu que tu le savais bien."

- "C'est très bien" concédai-je sourdement. "Je ne lui mettrai que trois balles dans le coffre au lieu des six que je destine à Reggie. Pourquoi se soucie-t-il de ce que je pense ?"

- "Il voudrait me baiser à nouveau."

Cette précision me surprit.

- "Je suppose que ce que tu veux vraiment savoir, c'est si je suis d'accord ? Et toi aimerais-tu qu'il te baise à nouveau ?"

- "J'aimerai bien" me répondit-elle me passant la main dans les cheveux.

- "Peut-être pas Travis en personne, d'ailleurs, mais quelqu'un dans son genre !"

Enfin, elle se libérait. Je réfléchis tandis qu'elle allait rechercher de la bière. Lorsque qu'elle fut revenue, je lui dis que si Travis savait où nous habitions, Reggie le saurait rapidement. Je lui expliquai que si je revoyais Reggie, cela se terminerait mal et que je risquerai de me retrouver en taule. En tout état de cause ce serait une sale situation, June hocha la tête tandis que je parlais.

- "Je pense que t'as raison." me rétorqua-t-elle piteusement, affichant une tristesse certaine.

- "Regarde moi dans les yeux June" avançais-je après un long silence.

- "Tu aimerais te faire violer à nouveau par des noirs ? Un gang bang en fait. Pourquoi ne pas chercher des participants plus proches que cette bande de trous du cul ? Par l'enfer, la ville est pleine de noirs qui ne demandent qu'à te baiser ! Au moins ainsi on pourrait contrôler la situation."

- "Tu veux dire que tu serais d'accord ? Que je pourrai me faire baiser par des grosses bites noires ? C'est bien ce que tu sous entends ?"

En fait, je n'y avais jamais pensé, mais, à force de regarder la vidéo, tout cela s'était banalisé lentement, June avait goûté à la marginalité et elle voulait recommencer.

- "Tu es vraiment le meilleur des maris dans ce putain de monde ! En fait... Ce viol était aussi dramatique qu'intense. C'est du moins ce que je ressens maintenant !  Es-tu sûr que tu pourras assister à un gang bang où je me ferai défoncer le connil et le trou du cul encore et encore ?"

- " En fait, j'en bande rien que d'y penser " lui répondis-je vulgairement.

- "Mais cette fois, je veux y assister, et même y participer, mais laisse moi te poser une question... Lorsqu'il ce salaud t'assénait des coups de spatule sur le clito, tu m'as dit qu'il t'avait fait très mal, était ce donc si méchant ?"

- "Bigrement méchant même ! Tout au moins les premiers coups que j'ai reçu. Mais lorsqu'il m'a frappé sur le clitoris, il était si sensible, que j'aurai joui au moindre souffle l'effleurant. Mon clito semblait autonome. On pouvait dire la même chose de mes tétons. J'ai eu un tel orgasme que je me suis presque évanouie. La frontière entre plaisir et douleur est très étroite. J'ai appris cela ! Je n'ai aucune envie d'être martyrisée, mais je ne pourrai sûrement pas condamner celui qui me martyriserait. "

- "Veux-tu que je te frappe le clito ?"

- "Je pense que c'est quelque chose qui t'arrive comme ça. Pas quelque chose que l'on planifie. Tu as bien vu qu'il fallait deux hommes pour me tenir cuisses grandes ouvertes. Tu l'as bien vu ! Je pense qu'en fait cela fait partie des choses qui vous arrivent comme ça, sans les avoir voulues. C'est la partie du DVD que tu préfères, n'est ce pas ?"

Je dus bien admettre que c'était vrai.

- "Pourquoi ne le ferais-tu pas à Tammy, c'est le genre d'expérience qu'elle voudrait connaître !"

- "J'aimerai bien, mais Tammy est très musclée, il me faudra bien trois autres hommes pour m'aider, tout seul, je n'ai aucune chance d'y parvenir !"

- "Je t'aiderai" me répondit June toute souriante. "la tête du lit d'invité est assez solide pour me supporter lui tenant les jambes en l'air, assise sur son torse pendant que tu lui asséneras des claques sur la chatoune."

La proposition de ma femme me laissa pantois. Pantois mais cependant intrigué, il apparaissait que plusieurs options différentes se faisaient jour, June allait préparer un plan pour me livrer Tammy, tandis que je planifierai son gang bang.

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Je pensai avoir de gros problèmes pour trouver des participants à mon projet, et le premier était que je n'avais pas la moindre idée de l'endroit où je pourrai dénicher des volontaires, bien sûr, la ville était pleine de noirs, mais je n'en connaissais pas un seul, du moins c'est ce que je pensais. Plus je réfléchissais, moins je trouvais de solutions valides.

Un des jours qui suivit ma conversation avec June, à la quincaillerie locale, je tombais sur ancien pote, Benny Carter. Il m'informa rapidement qu'il était maintenant avocat, je discutai avec lui à bâtons rompus en attendant mon tour.

- "Au fait Bill, te rappelles-tu Ross Greene, il était en classe avec nous. Il vit ici maintenant." me dit-il comme nous sortions du magasin.

Et comment que je me souvenais de Ross, un colosse noir, le joueur le plus grand et le plus musclé de l'équipe de football américain du lycée ? Ross trempait toujours dans des magouilles minables,

- " Eh bien, je le représente actuellement" poursuivit Ben comme je hochai la tête.

- "Ce bon vieux Ross, il trempe toujours dans des magouilles ? 

- "Il possède une librairie pour adulte qui a été saccagée il y a quelques jours. Tu l'as probablement lu dans les journaux. En fait, il trempe dans des histoires de prostitution. Je le mentionnais, parce que, si je me souviens bien, que vous étiez copains au bon vieux temps."

Ross Greene, cela ne pouvait pas tomber mieux. Mes parents avaient rapidement mis fin à notre relation, ils pensaient que Ross exerçait une mauvaise influence sur moi, c'était vrai d'ailleurs, et c'est ce qui m'attirait chez lui. Je me débrouillai pour me procurer le nom de sa librairie, je me proposai de renouer avec lui.

Le remplacement de mon bouton de sonnette attendrait encore quelque temps, pour l'instant, une visite chez Ross s'imposait. Je n'avais jamais fréquenté les librairies pour adulte auparavant, mais j'avais visité d'autres boutiques spécialisées, sa librairie correspondait à mes attentes. On y trouvait des piles de livres et de magazines empaquetés au centre du magasin, divers objets érotiques étaient pendus au mur. Une enseigne au néon indiquait le chemin à suivre pour trouver les machines vidéo, une femme âgée, les cheveux teints en bleu était assise à coté de la caisse, je fis un tour de salle avant d'approcher la douairière.

- "Vous cherchez quelque chose ?" s'enquit la vieille femme.

- "Je cherche monsieur Ross Greene."

- "Avez-vous rendez-vous avec lui ? "

- "Non... En fait je suis un de ses vieux amis. " annonçai-je rapidement, ajoutant :

- "En fait un copain de lycée."

Elle me jeta un coup d'œil soupçonneux, m'observa un bon moment et appuya sur un bouton au mur. Presque immédiatement, une véritable montagne noire apparut.

- "Un de tes vieux copains !" annonça la vieille femme me désignant du doigt.

Ross avait bien changé depuis nos années lycée, il me dévisagea un bon moment et soudain un large sourire éclaira son visage.

- "Enfant de salaud !" beugla-t-il s'avançant vers moi.

- "C'est bien toi Bill Williams."

Il m'étreignit entre ses bras musclés, il me serra à m'étouffer contre son buste.

- "Juste Bill pour toi ! " souriai-je en me dégageant de son étreinte musclée,

- "J'ai rencontré Ben Carter dans une quincaillerie en ville, il m'a dit que t'habitais dans le coin, c'est pourquoi je me suis empressé de te faire une petite visite."

- "Mon vieux copain ! " beugla Ross en me dévisageant,

- "T'as pas tellement changé, toujours aussi pâle. Es-tu sûre que ta visite ne choquera personne dans ton entourage ?"

Ross n'avait pas apprécié outre mesure les raisons de notre séparation.

- "C'est bon... N'en parlons plus si tu veux bien. Je prends mes décisions moi-même maintenant. J'ai entendu dire que tu avais des ennuis ? "

- "Une tonne d'emmerdes oui..."

- "Mary, on va prendre un pot !" hurla-t-il à la vieille femme m'entraînant hors de sa boutique vers le petit bar du coin.

En dégustant un bon café, nous discutâmes le bout de gras, histoire de découvrir ce que nous étions devenus.

- "Dis-moi comment se fait-il que je te retrouve dans une librairie ? " lui demandai-je, les premiers échanges terminés.

- "En sortant du lycée, je me suis engagée dans les forces aériennes. Je me suis barré. Je me suis marié.  J'ai divorcé. Un de mes oncles possédait une librairie en ville. Trop petite pour y travailler à deux. Aussi il m'a financé et j'ai ouvert cette boutique. La meilleure affaire que j'ai jamais faite. Juste une licence à acquérir. J'ai remboursé mon oncle dès la première année et je me suis installé. J'ai acheté la maison, j'en avais marre de payer une location. J'ai un travail légal et je paie mes impôts comme n'importe quel citoyen ordinaire. "

- "Et en ce qui concerne les bruits comme quoi tu ferais dans la prostitution ?"

Ross sourit, et jeta un cou d'œil panoramique histoire de s'assurer qu'il ne traînait pas d'oreilles indiscrètes.

- "Cela dépend de ta façon d'appréhender les choses, Billy !" répondit Ross baissant le ton.

- "Je profite d'une faille dans la loi."

Et changeant de sujet :

- "Hey, j'ai appris que tu venais de te marier, c'était dans les journaux. "

J'admis qu'effectivement j'avais fait le grand plongeon. Je ne sais toujours pas pourquoi, mais je racontais à Ross, en détail, le déroulement de notre voyage de noce, le rapt et ses conséquences actuelles.

- "Je voulais tuer ce bâtard. Et les autres salauds de participants."

- "Et elle qu'en pense-t-elle ? "

Je lui répondis que June avait maintenant tourné la page, après une longue période d'indécision, je lui révélais aussi que June rêvait de revivre ces événements, il fronça les sourcils de surprise.

- "Je peux le comprendre." répliqua-t-il après quelques instants de réflexion. "Elle a aimé se faire baiser par des grosses bites noires, et elle voudrait retrouver ces sensations inattendues. Ca arrive souvent."

Nous avions déjà vidé plusieurs tasses de café, plus que de raison.

- "Retournons à la boutique, on va discuter de ton problème. "

Il y avait plusieurs clients dans le magasin, apparemment de bons clients, Ross les appelait par leurs noms, la vieille femme semblait gênée, mais elle encaissait imperturbablement leur argent.

- "Que fait cette vieille femme dans ta boutique ?" lui demandai-je alors que nous nous asseyions dans son bureau.

- "C'est tout une histoire. C'est une ancienne call-girl. Elle a gagné énormément d'argent. Elle a eu des hauts et des bas. Son métier est diversement apprécié. Depuis elle dirige une petite troupe de call-girls.  Je l'ai prise dans ma boutique parce qu'elle a besoin d'un lieu sûr où exercer. "

Il s'appuya contre le dosseret de son fauteuil et m'étudia attentivement.

- "Que veux-tu faire pour ta femme, mon cher Billy ? "
J
'avais essayé de le persuader d'arrêter de m'appeler ainsi, mais, j'avais abandonné.

- "Je ne vois que deux solutions : ou tu refrènes ses envies et vous allez rapidement vous brouiller, où tu l'encourages et tu rentres dans son jeu !

- "C'est aussi ce que je me dis. "

- "As-tu une photo de ta femme ?"

Je lui montrai une photo que je montrais rarement, elle était torse nue, j'avais pris cette photo juste peu avant notre mariage . Il jeta un œil attentif sur la photo.

- "Eh ! Un beau petit lot ! Elle a l'air bien chaude. Tu devrais me la présenter. "

C'était exactement ce que j'avais en tête, mais je fus surpris qu'il réagisse si vite.

- "J'ai exactement ce qu'il lui faut. " Ajouta-t-il avec un sourire démoniaque.

Je dus attendre dimanche après-midi pour le présenter à June, Ross avait été pris une bonne partie de la nuit précédente. Ca tombait bien, Tammy aussi était fatiguée et avait été indisponible la nuit précédente. J'indiquais à Ross le chemin de ma maison et lui promit un bon repas et de la bière à volonté.

En le quittant, je m'étais procuré des entraves pour chevilles et des menottes, Ross m'avait assuré que c'était ce qui convenait le mieux, y ajoutant de la bande velcro et des sangles afin de ne pas marquer les corps. Je voulus savoir pourquoi il voulait des menottes, il me répondit qu'il les utiliserait pour immobiliser June, et peut être bien pour me paralyser. Je pensai en avoir assez dit sur ma vie actuelle et mes préoccupations. Il mit un vibro aspirateur dans mon sac et me conseilla de l'utiliser sur le clito et les tétons de June.

- June ne savait pas que Ross était noir et costaud. Je voulais qu'elle soit surprise en le voyant. Je lui avais juste dit que j'avais invité un vieux copain d'école à partager notre repas, dimanche midi. Cela lui suffisait, la vue des menottes l'excitait beaucoup plus.

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J'ai une vieille passion, lorsqu'il fait beau et que l'on dispose d'un grill, je me transforme en cuisinier. June a appris à me laisser faire, j'avais acheté des grillades et de la bière, j'allumai le barbecue, mon boulot était terminé, Tammy et June installées sur de confortables fauteuils dans le patio, se chargeaient de surveiller la cuisson.

Le temps que cela cuise, on avait vidé quelques verres de vins et quelques cannettes de bière. Comme attendu, les convives bien échauffés, la discussion dévia sur le sexe.

- "June m'a dit que tu avais visionné le DVD de son rapt, Bill ? "intervint Tammy ajoutant :

- "As tu aimé ?" 

Je lui répondis qu'en effet j'avais apprécié le visionner.

- "Et quel moment préfères-tu ?"

- "Difficile à dire Tommy. En fait j'aime la totalité du film. Il est aussi chaud et excitant du début à la fin."

- "D'accord, mais y a bien un moment que tu préfères aux autres ?"

- "En fait, je préfère deux moments : lorsque qu'elle s'empale sur une bouteille, et lorsqu'ils lui maltraitent les mamelons. "

- "Eh ben Bill "s'exclama Tammy riant aux éclats,

- "Moi mon moment favori c'est lorsqu'elle reçoit des coups de spatule sur le clito. Combien de fois as-tu regarder cette scène en bandant ? "

- "C'était sauvage. "ajouta Tammy

- "Elle aurait pu être blessée. "

- "Ca ne fait pas si mal que ça, tu sais Tam" répliqua June.

- "Ca a rendu mon clito hyper sensible, mais rien que le fait d'être nue et sans défense change toute la situation. As-tu déjà essayé le sado-masochisme ou quelque chose du même genre ?"

- "Comme quoi ?"

- "La soumission par exemple."

- "Ah oui, ce genre de choses..."

- "T'as déjà essayé oui on non !!!!"

- "C'est pas comme toi June. J'ai toujours eu une petite vie rangée moi !"

La conversation s'éternisa sur ce thème.

- "Allez viens avec moi  Tammy" dit June se levant et lui saisissant un pied.

- "Tu vas essayer !" 

Tammy protesta sourdement. Je vidai mon verre attendant que June m'appelle. Peu de temps plus tard, je gagnai la chambre d'ami, Tammy gisait nue sur le lit, membres tendus vers le haut et le bas, chevilles et poignet liés à la tête et au pied du lit. Tammy maudissait June et lui ordonnait de la délivrer, lorsqu'elle me vit dans la chambre, elle se débattit furieusement. Elle menaça June de terribles représailles corporelles, elle rougit, empourprant sa grosse poitrine.

- "Du calme chérie... Laisse toi aller. Tu voulais savoir ce que ça fait, c'est bien ce que tu voulais ? Ce soir tu es notre petite chienne et tu vas faire tout ce qu'on veut. Tu veux que Bill te bouffe la chatte ? C'est une de ses spécialités, il fait ça très bien. Montres lui Bill !"

Je me déshabillai et pris place sur le lit, je saisis ses cuisses la maintenant immobile le temps d'insinuer ma langue dans ses replis onctueux. June me caressait les couilles; Tammy respirait de plus en plus difficilement alors que je lui bouffais langoureusement le gazon, sa grosse poitrine était érigée, je la suçai jusqu'à ce qu'elle explose à deux reprises.

- "Occupe toi de son clito, contentes toi de quelque petite tapes !" me dit June me tendant une spatule que je m'étais procuré à l'épicerie du coin.

J'assenai quelques coups de spatule sur le clito de Tammy, elle poussa des hurlements à réveiller les morts, heureusement nous n'avions pas de voisins proches. Je repris les légères claques sur son clito. Tammy hurla et se tortilla, elle pouvait voir son clito gonfler sous les coups. Encouragé par June, je cessai les coups et saisis son clito entre mes lèvres.

A peine avais-je son clitoris entre les dents que Tammy était secoué par un fulgurant orgasme, elle gémit et baragouina je ne sais quoi, mais ses paroles étaient étouffées, je levai la tête pour voir pourquoi, June s'était installée tournée vers moi, son entrecuisse reposant sur son visage.

- "Tammy m'a déjà bouffé la moule !" me dit June.

- "Ne fais pas attention à ça. T'en apprends tous les jours n'est ce pas ? "

Je n'aurai jamais pensé que Tammy était une bouffeuse de chattes.

- "Continue de la sucer. Et maintenant fourres lui ta bite dans la moule. Et baise là jusqu'à l'os."

Je fis ce que June voulait, je lui mordillais le clito rapidement, puis je la fourrais, m'enfonçant jusqu'aux couilles dans sa cramouille détrempée, au même instant, June remua vivement sur le visage de Tammy.

- "Cette salope m'a mordu." m'expliqua June en grimaçant.

- "Si tu recommences tu vas me le payer ma petite Tammy !" la menaça June.

- "Je suis désolée ma June chérie..." murmura Tammy misérablement.

- "Je ne le referai pas. Je te le jure." Dit-elle alors qu'une fois de plus elle sentait un puissant orgasme monter.

- "Reviens sur mon visage... Je te jure. Je ne te mordrai plus. "

Ne sachant pas si Tammy suivait ou ne suivait pas une certaine contraception, je me retirai, June me termina alors dans sa bouche.

Je m'étendis à leurs cotés et regardai June jouer avec le corps de Tammy. Son clito gonflait encore sous ses caresses lascives. Lorsque June se releva, je suçai les tétons de Tammy, un instant plus tard, je rampai sur son corps et me fit une cravate de notaire entre ses grosses mamelles. A chaque passage devant ses lèvres, Tammy me suçait le gland, je compris tout de suite que ce devait être une sacrée suceuse.

Nous avons délivré Tammy, puis quelques instants plus tard, ce fut June qui se retrouva entravée sur le lit. Après tout l'occasion était trop belle. J'avais été trop doux avec Tammy, elle se montrait bien plus cruelle avec June, en quelques minutes le clito de June fut rouge écarlate et avait doublé de volume.

June se mit à grincer des dents lorsque Tammy saisit son clito dardé entre ses lèvres, elle ne put le supporter bien longtemps, poussant un long cri de lamentation elle jouit encore et encore sous les caresses de Tammy.

Quelques instants plus tard Tammy s'allongea contre le flanc de ma femme et se mit à jouer avec ses tétons étirés.

- "Tu sais chérie..." dit soudain Tammy.

- "J'ai vraiment aimée être entravée. Tu sais pourquoi ? "

June se tourna vers elle et hocha la tête, sa respiration était encore hachée.

- "Te rappelles-tu la première fois que tu m'as demandé de te sucer la chatte ? Ca avait été divin. Tu te souviens. Ensuite, chaque fois que tu te sentais bien excitée tu me mettais ta chatte sur la figure et tu jouissais quand je te suçais. Chaque fois qu'un de ses amants la laissait insatisfaite, notre petite June venait se faire sucer... Tu ne m'as jamais rendu la pareille, mais ce soir... Je jure bien, que ça va être ton tour de me bouffer le gazon."

Sur ces mots, Tammy gagna la tête du lit et se disposa tournée vers moi, son entrecuisse reposant sur les lèvres de June.

- "Et maintenant tu vas me bouffer le chatte pendant que je sucerai ton petit mari. "

Elle me fit signe de prendre position sur le lit pour qu'elle puisse m'emboucher. C'était étrange de voir Tammy habituellement douce et tendre se comporter ainsi. Tammy s'avérait une sucrée suceuse de bite, en un rien de temps elle m'a fait jouir dans sa bouche, l'instant d'après, elle s'étendait sur June et elle se faisait un 69. June cessa toute résistance et participa pleinement à ce 69 de gouines qui me faisait un fol effet. Je découvris ce que deux jeunes femmes pouvaient faire ensemble, un homme n'y avait pas sa place mais je me contentai du rôle d'observateur fasciné. J'étais épuisé bien avant la fin de la nuit, c'était une nouvelle découverte pour moi, deux femmes étaient capables d'épuiser n'importe quel homme.

*************************************************

- "Ross ma femme June, June mon vieux copain Ross."

Ils se regardèrent étonnés, Bien plus June que Ross d'ailleurs, elle me murmura :

- "Il est pour moi ?"

je hochai affirmativement la tête.

- "Bordel ! " me souffla Ross l'enveloppant d'un regard admiratif.

Elle portait un short blanc et un léger corsage sans manches.

- "Tu m'avais dit qu'elle était jolie, mais t'étais bien en dessous de la vérité mon vieux Billy".

- "La bière est prête dans le patio... Suivez moi. "

- "Je vous rejoins dans un instant" nous dit June.

- "Je termine la cuisine et je me change."

Comme si je ne savais pas qu'elle ne portait que son chemisier et sa blouse !

- "Ta femme, c'est une vraie poupée... Si elle est aussi chaude que tu le dis. Je pense à quelque chose qu'elle aimerait certainement."

Qu'entendait-il par là ?  Assis dans le patio, nous savourions un bon demi bien frais.

- Je pense qu'elle aimerait que je lui fourre ma grosse bite dans la foufoune" s'exclama Ross d'une voix forte. "On ferait bien mieux connaissance !"

A cet instant, June sortit de la maison. Elle l'avait forcément entendue, elle avait enfilé un short plus petit et un tee-shirt si fin qu'on voyait clairement son soutien-gorge balconnet noir.

- "Comment est la bière ?" demanda June.

- "Dois-je en sortir d'autres ?"

Je l'assurai que ça suffirait.

- "Il ne nous manquait que votre douce présence... " la complimenta Ross

- "Venez vous asseoir à mes cotés. dit-il s'installant sur le canapé "Il n'est pas très large mais on a juste assez de place..."

Elle s'exécuta, il posa sa grosse main sur sa cuisse bronzée.

- "Racontez moi votre voyage de noce !" avança Ross.

Le salaud, sans aucune hésitation, il abordait ce sujet périlleux.

- "On m'a dit que c'était toute une aventure !  Avec un certain goût de pénis noir... N'est ce pas ? "

June me jeta un coup d'œil moqueur tout en hochant la tête.

- "On m'a dit aussi que les grosses bites noires vous manquent. Je suis juste celui qu'il vous faut !" ajouta-t-il posant sa main dans son entrejambe.

- "Qu'en pensez vous ?"

Je vis la main de June saisir sa bite au travers de son pantalon.

- "C'est bien ainsi ! "sourit-elle espièglement.

- "Si elle était un peu plus grosse, on pourrait dire que c'est une belle bite !"

Nous nous sommes regardés quelques instants interloqués, et Ross pouffa d'un rire communicatif.

- "Et en plus elle est drôle ! J'adore les salopes qui ont le sens de l'humour ! Ne te tracasse pas pour ça ma jolie June... Je pense être assez bien monté pour t'exploser ta petite chatte" s'exclama-t-il vidant sa bière.

June n'était pas une grande buveuse de bière, elle préférait les cocktails, où même un bon vin.

- "Quand t'auras ma bite dans la moule... Tu ne feras plus la fine bouche" martela Ross " Allez sors là de mon jean et admire la grosse bite qui va bientôt te défoncer ! T'es pas prête de revoir une telle mentule !"

June me regarda fixement, elle me fit un signe de tête, les événements s'accéléraient. June semblait sereine, c'est une main tremblante, seul témoignage de son émoi, qu'elle tendit vers sa fermeture éclair. Il l'aida en se levant, un long gourdin jaillit de sa braguette, une colonne d'environ 35 centimètres de long, June qui la mesura plus tard trouva effectivement 36 centimètres, et d'environ 7 centimètres de diamètre.

Sa vue coupa le souffle à June, cette grosse bite était vraiment impressionnante, elle prit le gourdin de chair en main, et l'étudia quelques instants, rêveuse, d'autant que sous ses manipulations elle grandit et grossit encore, ça en devenait effrayant.

- "Finalement, dit June tout doucement, je crois qu'on peut effectivement considérer que c'est une belle bite "

Bien sur on aurait pu en rester à, mais June le l'entendait pas de cette oreille, on aurait dit qu'elle craignait qu'elle ne prenne encore de l'ampleur si elle la relâchait.

- "Alors June, penses-tu que ta jolie petite chatte rousse pourra avaler mon gourdin noir ? " lui demanda Ross ironiquement.

Elle fit un signe de tête, sans quitter des yeux l'énorme phallus elle semblait fascinée par l'aspect de la grosse queue de Ross.

- "Est-ce que les noirs qui t'ont baisé avaient un membre d'une aussi belle taille ?"

June secoua la tête en signe de dénégation.

- "Lèves toi et montres moi comment t'es foutue ma jolie petite salope. Vires tes fringues et montre moi où tu vas te la mettre ma queue."

June n'obéit pas assez vite à son goût, il saisit un de ses tétons au travers du tee-shirt et du bonnet de soutien-gorge et le pinça assez fort, elle comprit le message et s'empressa de se débarrasser du tee-shirt et du soutien-gorge. Il l'arrêta avant qu'elle n'enlève son petit short, il lui dit de faire quelques pas, de contourner la table.

- "Nom de Dieu . j'adore ses grosses mamelles blanches." s'esclaffa Ross tout guilleret.

Je pensai que tous deux avaient oublié ma présence, je pensai pouvoir lui faire confiance, et soudain, je n'en étais plus si sûr.

- "Viens ici ma petite pute blanche et frottes toi les seins contre ma grosse queue..."

June vint vers lui et s'agenouilla, elle prit sa grosse bite en main et la frotta contre ses seins.

- "Seigneur Dieu, Je n'ai jamais vu une telle monstruosité." murmura-t-elle effarée.

Il étira ses deux tétons, June ferma les yeux.

- "Oui, on va bien s'amuser ma petite chienne !" dit Ross riant aux éclats.

- "Montre moi ton connil, petite salope ! " ajouta-t-il.

- "vire ton short et montre au bon vieux Ross ta délicieuse petite foufoune."

June obéit, elle enleva son petit short et se tint entièrement nue devant Ross, je remarquais que son clito était encore gonflé, ultime témoignage de sa nuit de débauche, je vis aussi que ses babines luisaient d'humidité, indice évident de son émoi.

Ross lui fit signe d'approcher, elle vint vers lui, enfourchant ses jambes, Ross la regardait dans les yeux lorsqu'il l'empoigna par son clito dardé et l'attira à lui. Elle poussa une plainte gutturale, qui s'amplifia lorsqu'il inséra un doigt dans sa chatte, de l'autre main il la pencha vers lui et il prit ses lèvres, lui roulant un luxurieux palot, puis il introduisit un second doigt dans sa moule, et entama un vigoureux branle.

Elle poussait des petits cris plaintifs alors qu'elle accompagnait des hanches les mouvements giratoires des doigts dans sa chagatte, l'orgasme montait. Ross retira ses doigts de sa foufoune et promena son gland dans les replis de sa fente détrempée, ses hanches tremblaient alors qu'elle émettait des sons incompréhensibles. C'était très excitant, bien plus que la cassette.

Ross joua avec les charmes de June pendant quelques minutes l'excitant considérablement. Puis il la saisit aux cuisses qu'il écarta impitoyablement amenant sa cramouille fiévreuse au contact direct de son épaisse colonne.

Je regardai totalement fasciné cette grosse verge disparaître lentement dans sa petite chatte rousse. June se pencha, offrant ses tétons aux lèvres de Ross, elle miaulait comme une chatte en chaleur, ses abdominaux se contractaient et se détendaient sur un rythme élevé, elle jouissait, je les contournai pour changer mon angle de vue.

Sa grosse colonne était maintenant entièrement dans son ventre, ses fesses reposaient sur ses cuisses, je m'accroupis afin de mieux voir lorsqu'elle se souleva, elle ne garda que le tiers de son gourdin enfouit dans sa grotte, je voyais clairement ses muqueuses se retrousser, accompagnant les mouvements de l'épaisse hampe, elle se laissa retomber brutalement s'empalant jusqu'à l'os puis recommença son petit manège, au début elle se mouvait lentement, mais peu à peu elle accéléra le rythme poussant un cri aigu chaque fois qu'elle s'empalait jusqu'à la racine.

Je bougeai, les regardant cette fois de coté, je la voyais se visser sur sa monstrueuse colonne. Ross, des dents, étirait un de ses tétons elle avait les yeux fermés, son visage affichait un sourire extasié, elle ne m'avait jamais parue aussi belle, elle ouvrit les yeux alors que je me tournais vers elle, elle me sourit, elle cessa un instant sa chevauchée, le temps de me rouler une pelle, puis elle reprit sur le même tempo.

- "Ou est votre chambre Bill ? Montres moi le chemin. " me dit Ross se relevant, June toujours empalée sur sa grosse bite.

- "On sera mieux sur un lit..."

Je lui indiquai le chemin de la chambre d'hôte.

- Alors ma petite salope tu aimes avoir ma grosse queue dans ta petite chatte de blanche ?" demanda Ross la déposant sur le lit avant de s'enfouir à nouveau dans sa caverne distendue.

- "Oh ,oui... Doux Jésus ! Ouiiiiii..." haleta June.

- "Baise ta petite salope blanche. Fourre ta grosse bite noire dans mon chaton. .Baise moi jusqu'à l'os mon salaud !"

Son orgasme montait de seconde en seconde, du bout du lit je voyais que Ross se démenait maintenant dans un véritable marécage, elle avait coulé comme une fontaine, je n'aurais jamais cru qu'une femme puisse secréter autant de cyprine en un si court moment.

Ross la baisa allongé sur elle pendant une bonne quinzaine de minutes, il la disposa en levrette et la baisa comme une chienne, June l'encourageait, elle le suppliait d'amplifier son rythme, d'approfondir ses empalements.

Une puissante odeur de musc envahit la chambre, c'est encore quelque chose qu'on ne peut pas apprécier sur une vidéo, ça et le bruit ténu d'une bite coulissant dans un étroit pertuis bien lubrifié.

- "Allez, à toi de me baiser. " suggéra Ross s'étendant sur le dos.

- "Lèves ton cul et viens faire le boulot !"

June s'installa sur lui, le chevauchant, elle guida son membre gluant dans sa chatte crémeuse, puis elle le chevaucha comme un cow-boy monte un bronco sauvage.

Cela ne prit que quelques minutes, et Ross grogna et déchargea un flot de foutre dans son utérus, elle continua sa chevauchée alors que le foutre dégoulinait le long de sa hampe poissant son pubis avant de s'écouler en une large flaque sur le drap. Son trou du cul vibrait au rythme de ses coups de boutoir, on aurait dit une cible mouvante.

Dans un grand soupir, June roula sur le flanc et resta étendue sur le dos cuisses grandes ouvertes, le chaton englué de foutre. Je montai sur le lit, m'installai entre ses cuisses et plongeai ma queue dans son cloaque marécageux, lorsque ma pine fut bien graissée, je me retirai et m'enfouis dans son trou du cul, June poussa un glapissement aigu et jouit immédiatement, J'étais heureux de la faire jouir tout comme Ross, on pouvait compter sur ma mentule.

June était insatiable, elle s'impatientait voulant avoir de nouveau la monstruosité de Ross dans son ventre. On la baisa en sandwich dans un bel ensemble, elle en voulait encore ! 

Malgré mes craintes elle insista pour que Ross l'encule, je me sentis vexé de la voir réclamer cette gâterie que je venais de lui prodiguer, il dut batailler ferme pour s'enfouir dans son étroit trou du cul, le distendant irrémédiablement.

Il était presque 9 heures lorsque la faim nous obligea à cesser momentanément notre séance de baise, June prit une douche tandis que j'allumais le barbecue, Ross me regardait sortir les steaks marinés et les disposer sur le grill.

- "Le problème est plus sérieux que je ne le pensais !"

Je lui demandais ce qu'il entendait par là...

- "C'est ta salope. Une bite noire ne lui suffira pas longtemps. Il va falloir trouver du renfort avant qu'elle nous tue d'épuisement. Est-elle toujours aussi chaude ?"

Je l'assurai que ce n'était pas toujours le cas, qu'aujourd'hui c'était spécial, elle retrouvait pour la première fois le goût d'une bite noire.

- "Peut-être bien..." s'exclama Ross

- "On lui a suffit pour cette nuit, mais la prochaine fois j'amènerai d'autres participants, je trouverai facilement des volontaires pour baiser ta pute de femme. Je me demande bien combien il faudra de queues pour la combler !"

Nous retournâmes au lit vers 10 heures et la fête reprit, à minuit, cherchant un deuxième souffle, tout comme Ross, je me demandai combien il faudrait de bites pour l'épuiser ?

Elle laissa Ross repartir chez lui vers 3 heures du matin, je dormai déjà depuis un bon moment lorsqu'il partit.

FIN.


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