dimanche 25 juillet 2021

Monique Ch. 03

Traduction d'un texte de « Kayce 69 »

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Monique continue d'être gang-banguée chez elle.

J'arrivai chez moi vers dix-huit heures. J'ouvris la porte d'entrée et j'appelai Monique. Des gémissements vinrent du salon. J'ouvris la porte, étonné. Et je vis ma femme attachée sur la table à manger, étendue de tous son long, les bras au-dessus de la tête et les jambes attachées.

Elle avait un demi-concombre fourré dans la bouche et l'autre moitié enfoncé dans sa chatte que les bâtards avaient rasée. Elle était couverte de sperme gluant et de petites griffures sur les cuisses, les seins et sa chatte. Elle avait un message griffonné sur le ventre : « Si elle ne veut pas nous faire jouir, c'est nous qui allons la faire jouir ».

je déliai délicatement Monique qui sanglota dans mes bras :

- C'étaient les hommes du cinéma. Ils sont entrés et m'ont attrapée. J'ai combattu, mais ils étaient trop nombreux. Ils m'ont baisée tout l'après-midi. Ils m'ont attaché au lit et se sont amusés avec moi jusqu'à ce que je sois folle d'excitation et que je les laisse faire tout ce qu'ils voulaient. Je leur ai aussi fait tout ce qu'ils voulaient, je ne pouvais pas m'en empêcher et ils m'ont même regardée me masturber.

*****

Je ris intérieurement en entendant mon mari dire :

- Merde, j'ai oublié qu'ils avaient eu ton sac à main et tes clés. Je vais faire changer les serrures.

Il me soulève et m'aide à aller à la salle de bain où il peut soigner mes poignets et chevilles douloureux. Puis il essuie le sperme sur mon corps. Quand il me regarde, je lui souris.

Je le regarde et pense : « C'est ça, soit gentil avec moi, eux ne l'étaient pas »

J'espère qu'il ne remarquera pas que je suis en train de mouiller en pensant à la baise que les quatre gars m'ont donnée.

Mon Dieu, quelle journée!

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Alors que je rangeais des serviettes, je me regardais dans le grand miroir de la salle de bain. Je portais des petites sandales blanches, un short rouge et un petit haut court. Je trouvais que mes seins étaient fermes sans soutien-gorge. J'étais sexy, mes cheveux fraîchement lavés rebondissant sur mes épaules. Je suis descendu au salon puis je me suis dirigée vers la cuisine. J'aurais du être alerté par une odeur de cigarette froide, mais non.

J'ai ouvert la porte de la cuisine et je suis resté figée. Un homme assis à la table m'a dit :

- Bonjour, il semble que tu aies manqué notre rendez-vous du vendredi. Donc nous te rendons visite.

Je me suis retournée pour m'enfuir, mais un autre homme s'est déplacé entre la porte et moi, puis il m'a saisie par-derrière. J'ai frissonné en sentant ses mains sur mes bras, un étrange sentiment envahissant mon corps. Mais je devais me battre.

J'ai giflé l'homme puis je lui ai griffé le visage jusqu'à ce que d'autres mains s'emparent des miennes et m'immobilisent. Je me suis retournée vers celui qui semblait être le chef.

Je lui ai crié de sortir de chez moi, mais il a juste souri et il m'a dit :

- A genoux salope, c'est là ta place.

On m'a donné un coup de pied par-derrière et je suis tombée par terre. Mes bras ont été tirés au-dessus de ma tête et quelqu'un les a tenus solidement au point de me les arracher.

Le chef a souri à ses trois complices avant de dire :

- Hé bien, Monique a l'air très bonne à manger. Ne devrions-nous pas enlever ce petit short rouge?

Je tremblais, mais était-ce de peur ou d'excitation?

Je savais que s'ils commençaient, ça serait très difficile de les arrêter. Alors j'ai décidé de dire :

- S'il vous plaît, ne me faites rien. J'ai de l'argent, prenez-le et allez-vous-en!

L'homme m'a répondu alors :

- Combien et où?

Je lui ai dit qu'il était dans le bureau. Il a disparu pour réapparaître en comptant l'argent. Puis il m'a regardé et a dit :

- Je pense que ça vaut beaucoup moins que de te baiser.

Mes bras sont tellement tirés que la douleur m'a faite crier et dire :

- Prenez-le et partez!

L'homme s'est penché sur moi en disant :

- Ok Monique, on le prend et on s'en va!

Il a fourré l'argent dans sa poche puis il a ôté sa veste. Quand il a commencé à défaire son pantalon, je me suis plainte :

- Non arrêtez, vous avez dit que vous partiez!

Il a baissé sa braguette et il a sorti sa grosse bite en me disant :

- Oui nous partons, mais dans environ cinq heures. Maintenant arrête de te plaindre et mets ta bouche autour de cette bite.

*****

Monique regarde son mari alors qu'il lave le sperme collant entre ses seins. Elle joue la victime épuisée et souillée, mais elle se souvient bien de ces cinq heures.

******

Je me souviens du goût de son énorme queue, le gros morceau de viande sur ma langue et la traînée de salive qui sort de ma bouche quand il la baise. Avec mes bras levés et mon visage baisée par une bite, il a été facile pour deux d'entre eux de se mettre de chaque côté de moi, de relever mon petit haut et commencer à titiller mes seins avec leur bouche.

J'ai senti l'humidité se former entre mes jambes. J'ai gargouillé autour de la queue qui tapait ma gorge, son propriétaire se faisant plaisir dans ma bouche et ne se souciant pas de ce que je voulais.

Soudain une main s'est posé sur ma cuisse. J'ai senti des doigts passer le bord de mon short, puis aller chercher ma culotte.

Ensuite d'autres doigts se sont posés sur mon autre jambe, caressant l'intérieur de ma cuisse avant de passer sous mon short. Les deux mains se sont disputées pour atteindre ma culotte.

Les bouches sur mes seins suçaient, mordaient. Des doigts les comprimaient pour former des monticules de chair en forme de cône, ce qui permettait aux tétons d'être presque avalés. La manière dont l'homme me baisait la bouche et les dents sur mes seins m'ont excitée. Mais lorsque deux doigts se sont enfoncés de force dans ma chatte humide, j'ai senti que j'allais bientôt être traversée par un orgasme.

Soudainement, ma langue a senti la bite palpiter et gonfler. L'homme a éjaculé une grosse quantité de foutre dans ma gorge. J'ai avalé autant que j'ai pu avant qu'il ne se retire. Alors que je déglutissais, je me suis forcée à baisser la tête et regarder les autres mains et bouches s'amuser. J'allais jouir.

J'ai commencé à balancer mes hanches sur les doigts qui m'envahissaient et j'étais prête à les inonder de mon jus, mais le chef avait d'autres idées!

- Emmenons-la en haut!

Ils n'ont pas eu besoin de forcer pour me traîner à l'étage, car je les ai laissés faire. Mais je me suis débattue quand ils ont voulu me faire entrer dans la chambre. Mais ça n'a servi à rien. Je me rappelle combien j'étais mouillée quand ils m'ont allongée sur le lit et dénudée.

Mon Dieu, je mouille encore. J'espère que mon mari pense que c'est autre chose.

Mon cœur battait à tout rompre lorsque j'ai vu l'un des hommes poser un sac sur le lit et en tirer une corde. Mes genoux ont été écartés et attachés avec la corde aux pieds du lit.

Puis l'un d'eux a passé une corde autour de mon cou et il l'a attaché à la tête de lit. Enfin ils m'attachent aussi les mains sur le devant. Leur chef me regarde et dit :

- Tu la fermes ou je te fais bâillonner!

Alors que je secoue la tête, je vois l'un d'eux entrer dans la chambre. Il porte des pots de yaourt et un concombre que j'avais dans le frigo.

Les hommes se déshabillent et me regardent. Puis le chef sourit et me dit :

- Mais avant que nous te baisions tous, je crois que nous avons faim.

Il ouvre un pot de yaourt et commence à l'étaler sur mes seins puis mon ventre après avoir levé mes bras. Alors que j'ai les jambes écartées il passe un bon moment à faire couler un autre yaourt sur mon monticule pubien. Le liquide se fraie bientôt un chemin dans la fente de ma chatte. C'est froid et excitant.

L'homme tire la langue et lèche le contour du pot de yaourt avant de le jeter par terre et dire :

- Le dîner est servi les gars!

Tous sautent sur le lit et se mettent à lécher le yaourt. La sensation est incroyable. Les langues lèchent mes mamelons et ma chatte. Comme je suis déjà bien mouillée je me mets à gémir, mais ça ne me satisfait pas complètement.

Mon corps a besoin d'une bite, alors je gémis tout en leur murmurant de me baiser. Mais ils continuent de me tourmenter, de m'exciter sans me laisser jouir.

Tous le yaourt est léché et leurs langues ralentissent alors je gémis de frustration. Le chef me regarde, prend le concombre et le frappe dans sa main.

- Tu veux te faire plaisir?

Je fixe le long légume puis l'homme et je dis :

- Allez-y s'il vous plaît!

Mais l'homme secoue la tête et me donne le légume. Ma chatte est en feu alors je glisse le concombre vers le bas.

J'ai déjà utilisé mon vibromasseur alors je sais comment faire. Je sens le légume toucher les plis de ma chatte, mais avant de pouvoir le pousser en moi, on me l'arrache :

- Voyons d'abord ce que tu peux faire avec tes doigts. Et si tu es une bonne fille, tu pourras finir avec ça.

Bien que mes mains soient attachées, je peux toujours frotter mon clitoris. Je ferme les yeux en jouant avec mon sexe. Bientôt mes doigts me font encore plus mouiller.

Avec mes genoux grands ouverts j'ouvre les yeux et regarde le mouvement obscène de mes hanches qui vont à la rencontre de mes doigts. Je commence à gémir alors on me redonne le concombre :

- Allez Monique, donne-nous un bon spectacle!

Il ne faut pas me le dire deux fois, je pousse le gros légume vert dans ma chatte et je me baise avec jusqu'à ce que je jouisse dans un grand cri.

C'est alors que les hommes recouvrent mon corps une nouvelle fois de yaourt et les langues frénétiques m'attaquent encore. Je continue à me baiser avec le concombre en me disant que je n'en peux plus, mais mon corps réagit de nouveau.

Les hommes me disent alors que je vais être vraiment baisée les quatre heures qui vont suivre.

Tandis qu'ils me détachent, leurs paroles m'excitent, mon corps me picote de partout et j'entends :

- Allez, on va s'amuser avec elle, on est venu la baiser alors baisons la!

Je me souviens avoir essayé de leur parler, de leur expliquer qu'ils ne pouvaient faire ça à la maison, mais ils ne voulaient pas m'entendre, ils voulaient seulement m'embrasser et me baiser.

Et c'est ce qu'ils font tous. Je prends les deux premiers, un dans ma bouche et l'autre dans la chatte. Puis deux autres me prennent en double.

Après quelques fellations, ils m'emmènent dans la salle de bain où ils rasent ma chatte. Je veux les arrêter, mais bientôt je branle ma chatte. La mousse froide m'excite davantage.

Quand ils ont fini, ils ne s'arrêtent pas de jouer avec mon sexe chauve. Ils le lèchent et bien sûr ça m'excite. Je ne suis plus que leur jouet qu'ils baisaient à leur guise. Je crie alors qu'ils me mordent, mais je ne leur demande pas d'arrêter.

A la fin, je sais que je dois faire quelque chose pour cacher que je les avais laissés faire, alors je les supplie de m'attacher.

Je suppose qu'ils vont juste me lier les pieds et les mains et me laisser sur le canapé. Mais ils m'attrapent et m'allongent sur la table du salon sur laquelle ils m'attachent. Ils coupent le concombre en deux et font des trous dedans pour passer une corde.

Ils en fixent d'abord une moitié dans ma bouche pendant que deux d'entre eux me baisent sur la table. Puis ils bouchent la chatte avec l'autre moitié du concombre.

Ils rigolent tous alors que l'un d'eux écrit quelque chose sur mon ventre et ma chatte rasée.

Je reste étendue là, le concombre me gardant excitée et mouillée jusqu'à ce que mon mari rentre à la maison.

Allez, vas-y, nettoie-moi. Je vais faire comme si j'étais une victime innocente. Je suppose que ça ne se reproduira plus et que nous continuerons notre vie tranquille.

*****

Je rentre ce mardi à la maison et comme vous le devinez elle est encore attachée, cette fois-ci jambes écartées sur le lit.

Je ne sais pas encore comment ils sont entrés, mais ils l'ont encore baisée. Cette fois ils sont arrivés à dix heures du matin, donc ils ont profité de sa chatte, de son cul et de sa bouche toute la journée. Ils ont apporté une fine canne et son cul est couvert d'un entrelacement de fines rayures rouges.

Ces bâtards l'ont encore rasée, enlevant tous les poils qui commençaient à repousser. Ils ont fait comme si elle leur appartenait. Non seulement ils l'ont fouettée, mais son corps est encore couvert de petites morsures. Pour finir je peux voir une vingtaine de pinces à linge qui ornent ses seins et sa chatte.

Elle me regarde les yeux pleins de larmes. Je ne peux pas lui crier dessus, alors je vais chercher de la crème avant d'enlever les épingles. Je ne la regarde pas, elle pense peut-être que je la blâme.

****

Monique fait ressembler son sourire à une grimace pour cacher ses vrais sentiments, son excitation comme ce matin lorsqu'à dix heures elle aperçoit une silhouette bouger dans le jardin. Son cœur s'est emballé. Elle se souvient.

*****

Je crois avoir vu un mouvement, donc je descends les escaliers et j'ouvre la porte de derrière. Je regarde attentivement, puis je rentre en laissant la porte ouverte.

Je sors du produit d'entretien du placard de la cuisine, attrape un plumeau et vais dans le salon. Mon corps me picote.

Puis j'entends de la précipitation derrière moi. Je me retourne et je vois qu'ils sont plus nombreux cette fois-ci. Des bras me saisissent et je reconnais la voix :

- Bonjour Monique! Prête pour une autre journée de baise? Ne dis rien, nous savons que tu aimes ça!

Je vois six hommes alors que mes vêtements sont déchirés. Je me dis que je peux me débattre et m'enfuir, mais encore une fois ce n'est pas possible. Dès que je suis nue ils me traînent sur le canapé. Je vois l'un d'eux ouvrir un sac et en sortir une canne fine. Je crie en la voyant.

Chacun d'eux s'amuse ensuite à me fouetter le cul avec la canne. Ils me tiennent immobile et ne s'arrêtent pas avant que je ne pleure vraiment. Ils comprennent alors que j'accepterai de faire tout ce qu'ils veulent pendant la journée.

Je me souviens que le chef m'a dit :

- J'espère que tu as fini de crier, car ta bouche va faire autre chose que parler. Tu ne connais pas nos deux nouveaux amis, mais nous leur avons parlé de toi et de ta bouche. Ils adorent se faire sucer. Donc nous avons décidé qu'ils allaient nous accompagner aujourd'hui pour s'amuser.

Alors que trois d'entre eux me montent dans la chambre, les autres vont à la cuisine et récupèrent de quoi manger et boire. Nous restons dans la chambre toute la journée.

Je ne vais pas vous ennuyer avec la séance de baise de la journée. Les deux nouveaux étaient cruels, ils m'ont fait mal jusqu'à ce que je tienne mes seins serrés pour pouvoir branler leur bite entre. Puis ils m'ont baisé la bouche violemment. C'est eux aussi qui m'ont rasé. Les autres s'étaient plaints que j'étais poilue, mais c'était une humiliation supplémentaire pour m'exciter.

A la fin je suis tellement épuisée qu'ils perdent tout intérêt dans leur jeu. Je suis incapable de les satisfaire, alors il m'attache au lit.

Pour me ranimer, ils trouvent des pinces à linge. Dès que je suis bâillonnée et impuissante, ils posent les pinces sur les endroits les plus sensibles de ma chatte et mes seins.

Alors que je pleure de douleur, ils se moquent de moi en me secouant pour essayer d'enlever les pinces. Je suppose que de voir mes seins ballotter ont dû les exciter, car ils m'ont encore baisé et couvert de ce qu'ils appellent leur carte de visite avant de partir.

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Eh bien cher lecteur, lorsque je rentre à la maison ce soir, ma femme est penchée sur le dossier de la grande chaise longue, jambes écartées, son vibromasseur en route dans sa chatte. Elle a une pince à linge sur chaque mamelon et elle gémit comme une salope en bougeant ses hanches et en grognant orgasme après orgasme.

Son joli corps, ses cheveux et son visage sont couverts de sperme séché. Je pense qu'elle a été baisée par beaucoup d'hommes toute la journée. Je la regarde et je monte prendre une douche.

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Monique tourne la tête et le regarde partir. Alors qu'elle a un nouvel orgasme, elle se demande où il va. Mais cette question disparaît rapidement quand elle commence à se souvenir de la journée.

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Je crois que c'est le destin qui m'a fait aller au garage aujourd'hui.

Je me souviens qu'il était dix heures quand je finis de me baiser avec mon vibromasseur. Mais je ne suis pas satisfaite, je veux quelque chose pour mon cul et je sais qu'il y a des tubes en plastique dans le garage.

Je laisse mon vibromasseur sur le lit et je vais regarder. Je n'ai que mon peignoir et mes pantoufles alors que je farfouille dans l'établi. Je suis ennuyée de ne pas trouver quelque chose de suffisamment propre pour mon cul et d'être toujours aussi excitée.

Quand je rentre à la maison, mon peignoir est par terre avant que je ne puisse penser à quoi que ce soit, et des bras puissants me soulèvent.

Les six hommes de la dernière fois sont dans mon salon. Ils me traînent par terre et je me retrouve à sucer une bite alors que je suis assise sur une autre. Ils font comme s'ils sont chez eux.

Je pense alors que mon mari était assis la nuit dernière sur la chaise sur laquelle on me penche pour me baiser par-derrière. Je regarde les marques laissées par nos verres de vin sur la table basse alors que l'on m'encule violemment.

Je sais que je me rappellerai ce moment ce soir en regardant la télévision. Mais pour le moment je ne vois qu'une paire de couilles qui se balance devant mes yeux avant qu'une grosse queue se plaque contre ma bouche pendant qu'une autre bite s'enfonce entre mes jambes.

Bientôt de la nourriture et des boissons jonchent les tables alors que je suis dans mon salon à me faire baiser par quiconque en a envie.

Il arrive un moment où la compréhension de la situation est claire. Notre esprit ne peut pas trouver d'excuses pour ce que l'on est.

Ils aiment me baiser et leur résister est futile. De plus j'ai besoin d'être baisée et c'est mon corps qui gouverne mon esprit. Je me souviens bien avoir supplié le chef quand les deux gars cruels ont commencé à tordre et tire mes mamelons, mais il s'est contenté de dire :

- Quelqu'un peut faire taire cette salope! Collez-lui une queue dans la bouche, elle adore ça. Elle est devenue une bonne suceuse de bites.

Puis ils m'emmènent en haut et trouvent le vibromasseur. Mon tourment qui suit cette découverte est incroyable.

Ils ont apporté du ruban adhésif avec eux afin de pouvoir m'attacher lorsqu'ils mangent, boivent ou se reposent.

Donc ils attachent mes mains dans mon dos et il enfonce le vibromasseur profondément en le mettant en marche. Les vibrations me rendent folle.

Alors je roule sur le sol en jouissant. Les mains attachées dans le dos, je ne peux pas retirer l'objet de torture alors je me tortille sur le sol et j'implore leur miséricorde. Mais je ne vois que leurs visages assoiffés qui rient de mon tourment. Ils me forcent à profiter de chaque minute.

Ensuite ils m'humilient en me forçant à ramper pour leur tailler une pipe alors que mon cul remue sous le vibromasseur. Je m'agenouille devant eux, les mains toujours dans le dos et je les suce jusqu'à ce qu'ils éjaculent dans ma bouche.

Cela continue pendant longtemps. Puis, quand il enlève le vibromasseur, je dois m'assurer de les faire bander à nouveau pour qu'ils me baisent.

Ça dure toute la journée. Pendant six heures, ils baisent ma chatte, mon cul et ma bouche avant d'en avoir fini avec moi.

J'aurais dû deviner que ce n'est pas terminé lorsqu'ils me descendent au salon. Mais je suis un peu dans les vaps, mon corps est complètement douloureux. Ils m'attachent alors sur la chaise penchée sur le dossier, mes mains tirées et attachées vers le bas, les jambes largement écartées.

Ils mettent ma petite culotte noire trempée de sperme dans ma bouche et le garde en place avec trois bandes de l'adhésif.

Mon cul est claqué plusieurs fois avant qu'ils enfoncent de nouveau le vibromasseur, qu'ils l'allument et qu'ils collent du ruban adhésif pour qu'il ne tombe pas. Les vibrations me rendent folle.

Je veux crier contre eux, je veux leur dire qu'ils ne peuvent pas me laisser comme ça, attachées et impuissantes en attente des orgasmes qui vont se produire.

Mais les hommes rangent leurs affaires, s'habillent et s'en vont. Le dernier s'assure que le gode tienne bien avant de poser une pince à linge sur chacun de mes tétons durs et sensibles.

J'essaie de le supplier, mais je ne réussis qu'à lécher ma culotte imbibée de sperme. Bientôt je gémis à cause d'un orgasme et l'homme sort de la maison. Je gémis encore lorsque j'entends la porte se refermer derrière lui.

Maintenant, je sais que quand je veux baiser, j'ai besoin de plusieurs hommes et de leurs queues bien dures. J'ai perdu le compte du nombre de fois où j'ai joui avant que mon mari rentre à la maison. En parlant de lui, où est-il putain?

****

Je descends au salon, mais cette fois je ne la détache pas. Je préfère bien la baiser. Elle est attachée et bâillonnée avec sa petite culotte imbibée de sperme, donc elle ne peut rien dire.

Je retire alors le vibromasseur et je m'enfonce dans sa chatte pour la baiser rudement.

J'ai donc écrit les situations de ces derniers mois. Je ne sais pas si Monique est forcée ou si elle gère ça à son avantage. Et je ne sais pas si je le saurais un jour. Mais j'ai toujours entendu dire que si tu ne sais pas comment combattre ton ennemi, il vaut mieux le rejoindre.

FIN.

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