Traduction d'un récit de Shooter3704 par Coulybaca
*****
Un voyage de noce agité.
Il s'agissait vraisemblablement de prises de vue caméra en main, l'image sautait un peu, mais les images étaient claires et bien lisibles.
Une jeune femme blanche était rudoyée par trois noirs qui la baisaient. La cassette commençait par un lent strip-tease de la jeune blanche, à la fin il ne lui restait que ses hauts talons et son sourire.
Je crois que c'est le sourire qui me choqua le plus.
Une fois qu'elle fut nue, un noir trapu est entré dans le champ, ils s'assirent tous deux sur un lit. Ils s'embrassèrent et se caressèrent un bon moment jusqu'à l'instant où il décida de se faire sucer.
Visiblement l'homme se réjouissait de se faire sucer par une jeune femme blanche. Le son était de mauvaise qualité, cependant je l'entendis lui dire qu'elle était vraiment une bonne suceuse. Le pénis du noir était d'une longueur normale, bien inhabituellement épais. Dès que la femme vit la queue du noir, elle rampa sur lui, et guida de la main son épaisse bite dans son nid d'amour. Elle s'empala sur la courte bite et, pendant plusieurs minutes elle se démena sur lui, se baisant elle-même, la caméra avait zoomé sur son visage, et à l'évidence elle se préparait à jouir.
Cette image clôtura la première scène.
Puis l'image revint, la même femme se trouvait avec deux noirs nus. Ils étaient sur un lit et tandis que l'un la baisait en levrette, elle suçait l'autre, pendant les quinze minutes qui suivirent, ils échangèrent plusieurs fois leurs places. Puis ils la prirent en sandwich, l'un en con, l'autre en cul. Le visage de la jeune femme exprimait une pure extase, elle hurlait et criait son plaisir tandis que les deux hommes lui ravageaient ses deux trous.
Ils la prirent à trois pour la dernière scène, son visage exprimait toujours le plaisir ressenti, mais elle affichait aussi des éclairs de douleur lorsqu'ils la rudoyaient avec ardeur. Un moment donné, l'un des hommes saisit une spatule en bois et la frappa sur la chatte, l'amenant à se tortiller furieusement entre les deux hommes qui la tenaient étroitement serrées contre eux. La spatule frappa son clito, elle poussa un hurlement aigu tandis que son petit appendice s'érigeait fièrement.
Il s'agissait de la seconde cassette vidéo, elle était beaucoup plus significative que la première. Je sentais les larmes ruisseler sur mon visage tandis que je voyais la jeune femme se faire violer. L'actrice principale en était ma femme, nous n'étions mariés que depuis une semaine lorsqu'elle avait été enlevée. Il n'y avait que quelques jours, bien qu'il me sembla que cela durait depuis une éternité.
Je m'appelle Bill Williams et nous étions en lune de miel, c'est alors que ma jeune femme, June fut enlevée.
Nous occupions une suite dans l'hôtel local et c'était la première fois que nous quittions l'hôtel en deux jours, jusque là nous avions dormi, mangé et fait l'amour. Une fois notre appétit amoureux apaisé, nous avions décidé de découvrir le site. On commença par aller à la plage, June portait un tout petit bikini qu'elle n'avait jamais arboré chez nous.
Nous avons tous deux vingt cinq ans; elle est assez grande et bien proportionnée, ses yeux vert émeraude s'harmonisent parfaitement avec sa longue chevelure rousse, par chance elle n'a pas hérité de la peau trop pâle des rousses. Son nez et son front sont couverts de taches de rousseur, sa peau est d'un brun mordoré. Elle a une belle poitrine bien ferme avec d'épais et longs tétons très sensibles, qui s'érigent à la moindre caresse.
Nous avons passé une excellente après midi sur la plage, jusqu'au moment où il fit trop chaud, nous sommes alors retourné à l'hôtel et nous avons joué dans la grande piscine de l'hôtel le reste de l'après-midi. J'ai alors commandé une cruche de la boisson fruitée locale, que nous avons vidé rapidement. Lorsque le serveur amena un second pichet, je constatais qu'il observait ma femme. C'était un noir assez trapu, pas gros, mais trapu. Alors qu'elle bougeait, une bretelle de son glissa sur son épaule, dévoilant un de ses seins jusqu'à l'aréole. Je savais qu'elle l'avait fait exprès, elle aimait provoquer. Si j'avais été moins jaloux, je n'aurai pas fait de commentaires et je ne l'aurai pas laissée seule, comme je l'ai fait.
- " Sacré spectacle !" dis-je alors au serveur.
J'étais si imbu de moi-même que je me laissai aller à proférer des commentaires injurieux :
- "Je parie qu'il aimerait être à ma place ? N'est ce pas ? "
Et encore si je m'en étais tenu à cette remarque. Il sourit à ma réplique mais se tut, je saisis alors la cruche et la lançait rageusement au loin.
- "Quel con ! " soufflais-je alors grossièrement de façon à ce qu'il entende mon insulte.
- "Jamais vu un tel abruti ! "
June gloussa et se tint coite. Le serveur s'immobilisa et se tourna vers moi, ses yeux me transpercèrent, il me sourit ironiquement et continua son chemin.
- "Ce n'était pas très gentil, Bill " me gronda June.
- "Qu'aurais-tu fait, s'il avait replacé ma bretelle ?"
- ...
- "En fait la vrai question est de savoir pourquoi tu l'as provoqué ! "
June était une allumeuse, jusqu'ici cela m'avait amusé. D'ailleurs c'est pourquoi je l'avais remarquée, elle accompagnait un autre garçon dans une boom et m'avait allumé puis avait flirté avec moi. Une semaine plus tard nous étions ensemble, et je pense que le fait que je ne sois pas jaloux lui avait plu, bien que ce ne soit pas la seule chose en moi qui lui ait plu.
- "C'est une bonne question..." me répondit June.
On éclata de rire, l'incident fut vite oublié. C'est alors que je remarquai que deux cassettes vidéo que j'avais tournées avec ma nouvelle caméra avaient disparues.
J'avais filmé June dansant nue, puis se masturbant. J'avais essayé de nous prendre en train de faire l'amour, mais le résultat s'avéra plutôt nul. Je me plaignis de ce vol au gérant de l'hôtel, mais il me fit comprendre que cela ne le concernait pas. Je reconnus qu'il était possible qu'elles aient été jetées aux ordures, par erreur.
Puis ce fut le tour d'une paire de petites culottes de June, des micros strings qu'elle avait spécialement acheté pour notre voyage de noce. Cette fois encore je me plaignais au gérant de l'hôtel, mais à nouveau il me fit comprendre que cela ne le concernait pas. Il me sourit, me rétorqua ironiquement qu'il allait s'occuper personnellement de l'affaire et me conseilla de dire à ma femme de racheter deux strings à la boutique de l'hôtel, sur le compte de l'hôtel bien sur.
Puis je constatais qu'on avait enduit le volant de notre voiture de location d'une substance gluante, je nettoyais le volant et j'oubliais rapidement cet incident.
Plus tard, alors que nous revenions d'avoir fait des courses, June me confia que le fond de sa culotte de bikini était humide, elle rit et m'accusa de l'avoir léché. Rétrospectivement je pense que ces signaux auraient du m'alarmer, mais j'étais amoureux, je prenais des vacances avec une ravissante femme qui n'était autre que mon épouse. C'est pourquoi je ne m'alarmais pas pour autant.
Le quatrième jour, June disparut, nous nous étions préparés à sortir ce soir là, impatient je lui dis que je l'attendais au bar de l'hôtel, elle me répondit que c'était d'accord et qu'elle me rejoindrait quart d'heure plus tard. J'ai pris un verre, puis deux, cela faisait maintenant une demi heure, je remontais dans la chambre voir ce qu'elle faisait.
La chambre était vide, je suis redescendu dans le restaurant, peut-être m'avait-elle mal compris, je cherchais après elle, elle ne se trouvait ni au restaurant, ni au bar, ni à la piscine. Je demandais au personnel s'ils l'avaient vu, mais personne ne put me répondre. Après une heure de vaines recherches, je m'affolais, je remontais dans notre suite pour appeler la police, et vit que le répondeur clignotait.
- "Hey l'enculé ! Si tu veux revoir ta femme, n'appelles pas la police ! " me dit une voix d'homme que je ne reconnus pas.
- "Poses ton cul sur une chaise. On te rappellera à 10 heures. Pas de flic, trou du cul, ou elle est morte ! "
Je ne savais que faire, la logique me dictait d'appeler la police, mais j'avais peur qu'alors ils s'en prennent à June. Je me désolai, incapable de prendre une décision, enfin, 10 heures sonnèrent, je saisis le combiné à la première sonnerie.
- "Bill ?"
- "June chérie, Où es-tu ? Est ce que ça va ? "
Je l'entendais gémir.
- "Réponds moi !"
- "Bill " reprit-elle d'une voix sourde.
- "Bill... Ils me... Ohhhhhhhh... Bill !"
- "June... Que se passa-t-il ?"
- "Ils me... Ils me violent... Ils sont en train de me violer... En ce moment Bill !"
- "June... Où es-tu ?" hurlai-je dans le combiné.
Ses gémissements s'amplifièrent , un homme intervint alors:
- "Hey Billy ! Tu sais c'est vraiment un bon coup. Elle a une adorable petite chatte. Chacun d'entre nous l'a déjà baisé trois ou quatre fois. Et la nuit ne fait que commencer ! Veux-tu la revoir vivante ? "
- "Ca me parait évident." hurlai je à nouveau.
- "Que voulez-vous exactement ? "
- "Hey mon cher Billy. J'ai ce que je voulais. Une belle rousse cuisses bien écartées qu'on fourre selon notre gré. On te la rendra quand on aura plus envie d'elle. Un coup de fil aux flics et tu la récupères morte. T'as bien compris mon gars !"
- "Oh, oui j'ai compris ! Ne lui faite pas de mal. Je ferai ce que vous voulez." m'époumonai-je dans le combiné.
- "Ca vaut mieux mon cher Billy. Tu gardes ton calme et tout se passera bien !"
Et il raccrocha. Je courus vomir dans la salle de bain. Ils me rappelèrent juste avant minuit.
- " Alors mon garçon ? Ta salope veux te parler. Elle a beaucoup de choses à te dire. mon cher Billy." me dit la voix la voix d'homme.
- "Bill ? "
- "Je suis là chérie. Est ce que ça va ?"
J'entendais des hommes parler à l'arrière plan.
- " Dis lui ce qu'on t'as dit de lui dire ! Juste ce que je t'ai dit."
- "Ils me violent encore et encore. "
J'entendais le claquement des chairs qui s'entrechoquaient.
- "Ils me baisent Bill. Ils me fourrent continuellement depuis qu'ils m'ont enlevée."
La voix d'homme lui dit quelque chose que je ne compris pas.
- "Les bites noires se sont succédées dans ma petite chatte. Je les ai sucé et ils ont éjaculé dans ma bouche."
J'entendis à nouveau murmurer à l'arrière plan.
- "J'aime quand ils jutent dans ma bouche Je savoure chaque goutte de sperme qu'ils m'envoient au fond de la gorge. Je me régale. Tout de suite je suis à quatre pattes. Et l'un d'entre eux va..."
Elle poussa un gémissement aigu.
- "Il me fourre Bill."
- "Oh Mon Dieu, il me baise."
Et elle murmura :
- "J'aime avoir une grosse bite noire dans la foufoune. Il est si dure... Si long..."
Il y eut alors une longue pause, je n'entendais que les halètement de June. Le son était faible mais j'entendais toujours le claquement des chairs qui s'entrechoquaient, et le coulissement d'une grosse queue dans une moule.
- "T'es toujours là Billy ?" reprit le ravisseur.
- "Elle se prend une très grosse queue dans la chatte. Cette salope me dit combien elle apprécie les grosses bites. Hey mon gars, aimes-tu ses épais mamelons ? Est-ce qu'elle couine quand tu les mords ?T'es toujours la mon gars ? On va encore tirer beaucoup de plaisir de son corps. On te rappelle demain matin."
Il raccrocha alors que j'entendais nettement June pleurer. Je me couchai, désespéré, me réfugiant dans l'alcool. C'est la sonnerie du téléphone qui me réveilla.
- '"Bonjour mon cher Billy. T'es encore couché ?" me dit la voix du ravisseur alors que je venais à peine de porter le récepteur à mon oreille.
- "Ouvre ta porte de chambre. Il y a quelque chose pour toi sur le seuil. On te rappelle plus tard."
Je courus ouvrir la porte, j'avais le secret espoir de découvrir ma femme sur le seuil. Ce n'était pas le cas, je trouvai la première des cassettes vidéo, elle était de mauvaise qualité, sans intensité, la seconde était bien meilleure.
On y voyait June se faire baiser par deux de ses ravisseurs noirs, un à la fois. Encore et encore la même scène. A certains moments elle apparaissait droguée. Elle avait les yeux vitreux et du milieu à la fin de la cassette, elle n'offrait plus aucune résistance. Je m'illusionnai peut être, mais cela répondait à mes vœux, Ils ne cachaient pas leurs visages alors qu'ils violaient ma pauvre petite femme. Je reconnus le serveur que j'avais rudoyé, je me précipitai pour le voir dans l'hôtel, il ne se trouvait nul part.
Bien que je ne sois pas affamé je prenais un léger déjeuner, ils me rappelèrent vers trois heures dans l'après-midi.
- "Billy, mon cher petit gars " me dit gaiement le ravisseur, " je sais que tu m'as cherché partout dans l'hôtel. Mais qu'aurais tu fais si tu m'avais trouvé ? As-tu apprécié la cassette ? Ta salope est devenue ma pute. Une vraie chienne. Elle adore se faire baiser. Un sacré coup en réalité. Elle m'a dit que personne ne l'avait jamais enculée. T'as oublié ce pucelage ?
- "Je vous ai reconnu sur la cassette." dis-je grinçant des dents.
- "Je veux que vous me rameniez ma femme, ou j'amène la cassette chez les flics, ils vous reconnaîtront à coup sûr. Et vous irez en prison !"
- "Raconte pas d'conneries mon p'tit Billy ! " répliqua-t-il éclatant de rire.
- "Il y a deux semaines j'étais loin d'ici, et en quelques heures je peux être loin d'ici. Il vaudrait mieux pour toi et ta femme que je reste ici. Tu vois ce que je veux dire ?
- "Pourquoi nous ?"
- "Fallait pas m'provoquer mon p'tit gars. Par ailleurs j'ai aimé les couinements de June la première fois que je l'ai fourrée. Tu lui demanderas combien de fois on l'a fait jouir moi et mes amis. C'est une vraie machine à orgasme ta p'tite femme. Ah, au fait mon garçon, Je dois envoyer une cassette des performances de ta femme à quelques copains, je t'en ferai une copie. Je dois te quitter maintenant. Ma p'tite pute blanche se réveille. Ta femme devrai-je dire. Et elle réclame une bonne grosse bite noire. A bientôt mon gars !"
J'avais des nausées, et un instant je crus que j'allais vomir de nouveau. Je n'avais jamais été aussi désespéré, désarmé, je me débrouillai pour obtenir le nom du serveur qui avait kidnappé ma femme. Il se faisait appeler Reggie Thomas, mais je doute que ce soit son vrai nom. J'allais d'une extrémité à l'autre, que j'appelle ou non les flics, j'étais sur d'une chose : elle était vivante et ne semblait pas blessée.
Si j'appelais la police, je sentais que Reggie mettrait ses menaces à exécution, je devais la récupérer vivante quelque soit le prix à payer, je m'étais demandé, lorsque nous avions échangé nos vœux ce qui adviendrait si June continuait à allumer les hommes, j'en avais maintenant une foutue idée.
Je reçus la seconde cassette le lendemain matin, je la regardai attentivement, je voulais savoir si elle était droguée ou non, mais on ne pouvait vraiment le déceler. Je n'eus pas de coup de fil de la journée, il était presque minuit lorsqu'on frappa à ma porte, je trouvais la troisième cassette sur le seuil. Frissonnant d'appréhension, je mis la cassette dans le magnétoscope, une part de moi voulait regarder le film alors qu'une autre part refusait de voir les images. Le visage de Reggie apparut à l'écran.
- "Hello mon cher garçon, comment ça va ? Tu représentes exactement le genre de mec que je méprise. Ce qui vous arrive à toi et à ta petite chérie est loin de me désoler. En particulier depuis que je t'ai vu jeter la cruche. J'espère que tu vas aimer cette bande. Je me suis montré inventif. Ta petite salope a appris plein de choses vicieuses. Au fait je lui ai fait percer les mamelons. On y a attaché une chaîne comme ça on peut la promener en laisse. Bien que son collier de chien aurait suffi pour ça. A ton avis qui me fait une pipe ?"
La caméra se recula et je vis ma femme agenouillée entre ses cuisses lui faisant une fellation, ses petites mains semblaient encore plus blanches en enserrant sa grosse bite noire. Elle tenait l'épaisse hampe à deux mains, son visage allait et venait sur sa grosse mentule.
- "Prends ton temps foutue salope ! Tu vas en sucer des dizaines avant la fin de la nuit. Allez continue ! Qu'en dis-tu mon gars ?"
L'image disparut, une autre image de June nue, tenue en laisse, un collier de chien au coup, elle se tenait au milieu de la pièce. Un homme que je ne reconnus pas la promena en laisse autour de la pièce, elle le suivait sans hésiter, je pouvais entendre des rires dans l'arrière son. Plus tard, ils l'emmenèrent dans un lit, et là ils la baisèrent de différentes façons l'utilisant selon différentes combinaisons.
Ils la prirent en sandwich, une bite en con une autre en cul. Puis ils lui fourrèrent deux bites ensembles dans la chatte elle hurla pendant toute cette séquence. Ils la travaillaient alternant les pénétrations et les retraits, lorsqu'une bite se retirait, l'autre s'enfonçait.
Il me semblait évident que June était au delà de toute résistance, elle se pliait à toutes leurs demandes sans aucune hésitation.
A peu près au milieu de la cassette, ils se firent encore plus inventifs : Ils attachèrent quelques ficelles aux anneaux de ses mamelons et ils utilisèrent ces liens comme des rênes tout en la fourrant, je vis que certains d'entre eux tiraient vigoureusement sur ces rênes, uniquement pour la faire souffrir, mais elle ne parut pas s'en plaindre.
Un autre fit courir une des ficelles entre ses cuisses, ainsi lorsqu'il donnait des coups de boutoir, la ficelle entaillait profondément sa fente, June gémissait de douleur, ses tétons étaient anormalement enflés, ils étaient deux fois plus gros que d'habitude. Elle chercha à se cambrer pour atténuer la douleur de la ficelle qui lui cisaillait le clito. Puis ils firent un concours : c'était à celui qui se montrerait le plus inventif pour lui enfoncer des objets dans sa pauvre moule ravagée.
Un de ces salauds lui enfonça un poisson cylindrique dans la chatte, peut être bien une anguille, toujours est-il qu'il était en vie, ses soubresauts provoquèrent un orgasme qui ravagea les reins de June. L'image s'éteignit, et le film reprit dans la salle de séjour. Une voix off ordonna :
- "Fais le spectacle pour ton petit mari !"
La caméra suivit les déplacements de June.
Il y avait une bouteille de vin sur la table basse , June enfourcha la table, alignant sa chatte sur la bouteille, elle s'accroupit lentement et le goulot de la bouteille disparut dans sa fente écartelée. Je remarquais fugitivement que sa toison semblait bien moins fournie, on devait d'ailleurs lui avoir rasé car en certains points il paraissait glabre.
Elle s'accroupit encore plus et le col de la bouteille disparut lentement, absorbé par sa cramouille, Reggie la rejoignit et appuya fortement sur ses épaules.
- "Eh, Billy, crois-tu qu'elle arrivera à tout absorber ?. On va tellement lui élargir le con qu'elle ne sentira même plus ta petite queue de blanc !"
Il appuya fermement sur ses épaules. Elle grogna sentant la bouteille lui évaser impitoyablement la chatte.
- "Qu'en dis-tu June ? Veux tu avaler toute la bouteille ?
Elle secoua la tête en signe de refus mais murmura sourdement :
- "Ca m'est égal ! Fais ce que tu veux !"
- "Et si on te l'enfonçait dans le cul ? Montre nous jusqu'où tu peux te l'enfoncer dans le trou du cul !"
June se releva, entraînant la bouteille dans son mouvement. On distingua alors un pop sonore lorsque Reggie la lui retira. Il dressa la bouteille, l'alignant sur son anus, et elle s'accroupit de nouveau, elle l'absorba le col entièrement, il appuya sur ses épaules, la bouteille s'enfonça encore dans son boyau, lui évasant exagérément le goulot, elle poussait des cris aigus. Eclatant de rire, il la laissa se relever.
- "Mon gars tu disposes maintenant d'une vraie salope, tu peux lui enfoncer ce que tu veux dans la chatte et le cul, elle accepte tout... n'importe quand... N'importe comment..."
La scène prit fin, et la séance de baise reprit, je notais qu'il y avait trois nouveaux noirs, ils virent vers elle, ils semblaient frais, et très vicieux. Ils la prirent un à la fois, puis deux et enfin tous les trois ensemble. Cela dura environ une heure, puis une nouvelle équipe les relaya, ils étaient quatre cette fois.
Longtemps après, la lubricité des participants apaisée, la caméra s'attarda sur June étalée sur le lit, cuisses grandes écartées, du foutre s'écoulant de sa chatte gonflée.
- "Hey Billy, t'aimerais bien qu'elle nettoie tout ce foutre. Sa petite chatte à servi de garage à bite à bien des queues noires cette nuit. Ils se sont tous vidés les couilles dans son utérus. Bon, c'est d'accord les gars, vous pouvez encore en profiter si vous en avez envie."
La cassette était finie, elle se rembobina. Je la visionnai pour la troisième fois, j'étais honteux de sentir mon excitation monter en regardant la dégradation de ma femme. Une chose me semblait flagrante, June avait largement apprécié ce qu'elle avait subi, tout au moins la plus grande partie, elle recommencerait rapidement à allumer les hommes.
June rentra à l'hôtel à trois heures du matin, je l'entendis frapper timidement à la porte, j'ouvris la porte et me trouvai confrontée à une jeune femme crottée, sale, souillée, ne portant rien d'autre qu'un chiffon drapé sur ses hanches. Sa belle chevelure rousse était toute poisseuse, engluée de foutre sec et plus frais. Elle était couverte de foutre de la tête aux pieds. Je lui tendis la main, mais elle hurla :
- - "Non... Pas avant que je prenne une longue douche. Pendant ce temps tu vas faire nos valises qu'on quitte ce putain de trou à rats au plus vite. Je veux rentrer à la maison."
Il me semblait que June, ma jeune femme si policée avait acquis un langage cru et populaire que je ne lui connaissais pas, je m'attendais à ce que beaucoup de choses aient changé en elle.
Notre malheureux voyage de noce n'avait duré que trois semaines, nous n'en parlions plus. Je voulus aborder le problème une paire de semaines plus tard, mais June se refusa à en parler, aussi ai-je cessé de lui proposer de voir un psychiatre, elle ne consentit qu'à faire des tests sanguins. Apparemment ils ne lui avaient transmis ni maladies sexuelles ni SIDA, et à part quelques contusions, quelques muscles froissés ou élargis, elle s'en tirait bien.
J'avais l'impression que faire l'amour la dégoûtait aussi pris-je la décision d'attendre son bon vouloir, attendre le moment où elle penserait avoir suffisamment récupéré.
June travaillait au domicile, elle travaillait sur des programmes informatiques, elle reprit son travail, mais sans beaucoup d'enthousiasme, il semblait qu'elle le faisait uniquement parce qu'elle devait le faire, je n'utiliserai pas le terme de zombie, bien que son comportement s'en approcha. En tout cas, elle se montrait particulièrement gentille avec moi, elle était très plaisante, elle recommença à m'embrasser, mais on ne se roulait plus de pelles lascives avec la langue.
Elle avait limité ses contacts avec ses amies, même avec sa meilleure amie, la gentille Tammy MacCall. Tammy me demanda ce qui n'allait pas, mais je ne lui répondis pas, ce n'était pas à moi de lui dire quoi que ce soit. Chaque jour j'espérais que tout redeviendrait normal, et chaque jour j'étais désappointé.
Une nuit, alors que June s'était couchée, je mis une des cassettes dans le magnétoscope et je m'assis dans le noir pour la regarder. C'était la second bande, je passai les images au ralenti, je voulais voir le moment où ils l'avaient frappée avec la spatule en bois, je n'avais pas mis de son, mais je l'avais assez regardée pour avoir la bande son en tête, les claquements bruyants de la spatule heurtant son clito, et les couinements, les plaintes de ma femme.
En passant la bande au ralenti, je distinguai clairement sa vulve enfler sous les coups, je me branlai lentement en regardant les grosses bites violer tous ses orifices.
- "Tu te comportes comme un fils de pute ! " dit la voix de June dans mon dos.
Humilié, je rangeais ma bite dans mon caleçon, elle contourna le sofa et s'assit à mes cotés.
- "Je pensais que tu avais détruit ces cassettes ?"
Cette question déguisée m'embarrassait fort, effectivement je lui avais dit que j'allais les détruire, et j'en avais vraiment l'intention, mais au moment crucial, je n'avais pas pu le faire. Lorsque j'avais reçu ces cassettes, je n'acceptais pas la fatalité et je voulais ne jamais oublier ce que j'avais vu, ce qu'elle avait subi. Au moins j'avais essayé de les détruire, mais je savais maintenant que les avoir conservée changeait tout. La cassette se terminait.
- "Les as-tu toutes prises avec toi ?"
Je hochai la tête, incapable d'émettre un son.
- "Je ne me rappelle plus clairement leur contenu ! Peux tu me les repasser ?"
Je me relevai et substituai la troisième cassette à celle terminée. Je ne savais pas si c'était bien ou mal, mais je ne voyais pas d'échappatoire. Peut-être que ce serait une bonne thérapie, peut-être que cela l'aiderait à récupérer. June regarda la cassette très calmement, silencieusement, puis soudain, elle se mit à nommer les acteurs.
- "Celui là, c'est Charles." Murmura-t-elle identifiant un noir qui la prenait en levrette.
Elle citait leurs noms alors qu'ils la baisaient jusqu'à l'os : Travis, Jack, George, Thomas, Clinton et bien sûr Reggie. Elle ne connaissait pas le nom des derniers venus. Apparemment, Travis était un sinistre bâtard sadique, c'était lui qui lui avait étiré si douloureusement les tétons, c'était aussi lui qui lui avait asséné des coups de spatule sur le clito.
- "Travis a été le premier à m'enculer." me dit-elle calmement, sans même hausser le ton, elle retrouvait le langage coloré qu'elle employait juste après son viol.
- "Au moins il avait consenti à me lubrifier l'anus avant de me casser le cul !"
Nous la regardâmes se faire prendre en sandwich par deux hommes, puis embrochée par ses trois trous, et toute les vicieuses combinaisons qu'ils avaient inventées à son intention. Je regardai fixement June, cherchant à déterminer l'impact de ces images qui pouvaient la perturber gravement. Elle restait très calme, même sereine.
- "Bandes-tu ?" me demanda-t-elle soudain.
Je ne savais pas très bien comment répondre à sa question, aussi hochai-je la tête de bas en haut.
- "Cela t'excites donc de me voir baisée par ces salauds de nègres !"
Honteux, Je hochai à nouveau la tête. Ma réponse muette ne sembla pas la perturber outre mesure.
- "Alors viens te coucher, et montre moi à quel point t'es excité !"
Nous nous ruâmes dans le lit, les préliminaires étaient inutiles, nous avions tellement envie de baiser. Je l'avais à peine pénétrée que déjà June jouissait, elle rebondit d'orgasme en orgasme avant que je ne me vide en elle. Je n'avais jamais femme aussi chaude que June, je pensai que cela allait prendre la nuit pour apaiser sa lubricité. Heureusement je bandai à nouveau, nous avons baisé comme des bêtes. Puis pour la dernière fois, nous avons vraiment fait l'amour, doucement, tendrement, nous nous endormîmes enlacés dans les bras de l'autre. Je savais maintenant que les choses se régularisaient entre June et moi.
Je savais cependant que je tuerai avec joie ce salaud qui m'avait appelé "Billy, mon p'tit gars".
A suivre...
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