lundi 13 septembre 2021

Comment je suis devenu cocu et ma femme soumise Ch. 03

  Auteur inconnu.


Le camionneur est rejoint par un copain.

J'essaie de discerner le visage de l'homme qui vient d'ouvrir la porte dans la pénombre. C'est Gilbert, le pote du gros ! Il est aussi surpris de me voir, que moi de le voir. Nous sommes tous les deux décontenancés sur le moment.

- Mais qu'est-ce que... ?

Je ne laisse pas poursuivre sa phrase, je lui fais signe de se taire et je jette un œil entre les rideaux. Le gros n'a rien entendu. Les cris de Sarah nous ont sauvés, il est toujours en train de limer ma femme en lui bouffant un sein, tout en continuant de lui doigter l'anus. Je fais à nouveau signe à son pote, mais pour lui indiquer qu'il peut monter, en l'enjoignant encore une fois de ne pas faire de bruit. Il monte, méfiant, et referme la portière doucement. Il ne lui faut pas beaucoup de temps une fois monté pour percevoir les gémissements de ma femme et les grognements de son pote. Je l'invite à regarder entre les rideaux. Il reste bouche bée devant la scène. Son pote en train de baiser ma bombe de femme complètement consentante.

- Mais... C'est ta nana ! Comment il... ? Me dit-il à voix très basse, complètement ahuri et subjugué.

- Ma femme. Lui réponds-je.

- Ta femme ? Mais tu la laisses..., enfin…, tu le laisses la sauter sans rien dire ? Putain elle prend cher la salope.

- Ton pote ne sait pas que je les mate.

- Ah bon il sait pas ?

Il n'arrive pas à détourner son regard de la scène qu'il a devant les yeux.

- Elle est excitante ma femme hein ?

- Ah oui, oui, beaucoup ! On dirait une actrice de films pornos ! Me chuchote-t-il.

- De films pornos ? Rien que ça ?

- Ouais. Te vexe pas, mais comme elle est gaulée, et là en train de se faire baiser devant mes yeux, c'est à ça qu'elle me fait penser. Et c'est un compliment ! Me lance-t-il de peur de m'avoir froissé.

- Tu veux y aller ?

Il me regarde éberlué. 

- Et toi t'y vas pas ? Me demande-t-il.

- Non ! Ton pote pense que je dors dans ma voiture.

- Ah ! C'est ta bagnole, la noire plus loin ? J'trouvais ça bizarre justement une bagnole garée là. Je venais prévenir Michel. Il a le plus beau camion. Il a même installé une douche. Il est long, il a eu du mal à rouler avec chez nous...

Je le coupe :

- Ouais, ouais j'ai vu.

Et je lui lance : 

- Allez vas-y et fais-toi plaisir !

Et je me pousse sur le côté.

- Vas-y, va la baiser !

Le mec n'en revient pas. Moi non plus je n'en reviens pas de m'entendre dire ça. Il hésite un peu, regarde entre les rideaux, me regarde à nouveau, puis il les écarte et se glisse dans la couchette. J'entends le gros bégayer un  c'est qui… ? , puis gueuler :

- Putain, c'est toi Gilbert ! Tu m'as fait peur ducon ! Qu'est-ce que tu fous là ?

Je me rapproche des rideaux, et les écarte à nouveau légèrement. Le gros est toujours dans la même position, sa queue enfoncée dans la chatte de ma femme, une main devant sa bouche et l'autre bras devant ses seins.

- Ben et toi ? Lui répond son pote.

- Tu le vois pas ce que je fais ? J’apprends la vie à une salope.

Et il recommence à limer ma femme qui n'a même pas levé les yeux sur son pote, en lui pétrissant les seins, tout fier de lui et il lui met une grosse fessée.

- Moi j'ai vu une bagnole sur le parking. Alors, je venais te prévenir.

- T'as vu quelqu'un dedans ? Lui demande le gros.

- Ouais, ouais ! Son mec ! Il dort la bouche ouverte.

- Ha ! Ha ! T'entends ça ma jolie ! Ton mec se contrefout que sa jolie petite femme se fasse baiser comme une petite traînée.

Et il se met à lui balancer de grands et lents coups de queue dans la chatte.

-Tu vois Gilbert, je t'avais pas dit que c'était une petite salope ?

Il lui malaxe les seins.

- Regarde comme elle est bonne, regarde ce corps, ces nichons, et ces jambes lisses.

Il caresse son corps.

- Et cette chatte ? Dit-il en lui levant une jambe en l'air.

- Elle aime la queue cette chatte Hein ? Et regarde ce visage de poupée ! Une poupée salope hein ?
Ma femme ne dit mot, mais son regard en dit long. Elle se laisse limer et peloter la bouche ouverte, parfois les yeux fermés en gémissant. Le gros passe sa main derrière sa tête, lui enfonce deux de ses gros doigts dans la bouche, et elle se met à les sucer. Gilbert sort sa bite et commence à se branler. Moi c'est déjà fait depuis un moment. Sa queue est moins longue et surtout moins épaisse que le gros. Il regarde, la langue légèrement pendante, son pote défoncer ma femme.

- Tu vois comme tu excites mon pote petite chienne ! Souffle le gros.

Il ralentit le rythme et recommence à entrer et sortir sa bite doucement de la chatte de ma femme. Il sort ses doigts de sa bouche, lui caresse les seins et lui pince les tétons. Avec l'autre main il lui met une petite claque sur le cul, son beau petit cul bombé et bronzé.

- Regarde comme il se branle ! T'aimes ça exciter les mecs, hein petite salope ! Regarde-le !

Ma femme ouvre les yeux, regarde la bite de Gilbert, puis son visage, à tour de rôle, toujours avec son regard alcoolisé et lubrique. Puis elle redescend son regard sur la bite du gros qui la lime, et regarde à nouveau la bite et les yeux de Gilbert. Est-ce que cette bite lui fait envie ? La bite de ce mec, aussi moche que son pote, la cinquantaine, blond comme l'autre est brun, trapu comme l'autre est grand, et gras comme son collègue, tous les deux moches et juste bon à se payer des putes. Ma femme serait-elle vraiment au fond d'elle ce que l'autre n'arrête pas de lui répéter, une pute, une salope. Ou lui a-t-il simplement retournée la tête, avec l'aide de l'alcool et sa force de persuasion. Toutes ces questions me taraudent, alors que je la regarde se faire baiser, consentante et vicieuse. Je me surprends même à la traiter de petite salope en me branlant

- Regarde comme elle aime ça cette petite pute ! Mugit-il en accélérant ses coups de bite.

- Hein ? Dis-le à Gilbert que t'aime ma grosse queue !

Ma femme gémit :

- Oui !

- Oui quoi ? Lui lance le gros.

- Oui… J'aime ça ! Gémit-elle en rouvrant les yeux pour regarder son pote se branler.

Le gros la pilonne encore plus fort et dit :

- J’entends rien chienne !

Elle lâche bien fort :

- J’aime ta grosse bite dans ma petite chatte ! Baise-moi plus fort !

Gilbert se masturbe de plus en plus vite. Il n'ose pas s'approcher. J’hallucine complètement.

- Oh oui ! Qu'est-ce que t'es bonne ! T'es la plus belle des putes ! Sors ta langue ! Vocifère le gros.

Une deuxième fois il ordonne :

- Sors ta langue !

Elle tourne la tête et tend sa langue. Ils se lèchent, s'enroulent, s'aspirent mutuellement la langue, à tel point que de la bave coule le long du menton de ma femme.

- Ahh ! Oui ! T'es ma petite pute hein ? Dis-le à Gilbert que t'es ma petite pute !

Il la défonce littéralement, ses couilles claquent contre sa chatte, ses fesses et ses seins sont rougis par les gifles.

- Dis-lui !

- Oooohh ! Oui ! Râle ma femme.

- Oui quoi ?

- ...Suis... ta… pute... AAAAAHHHHH OUUUIIIIIIIIIIII !

Et elle jouit à nouveau. Mais pas seule. Le gros se bloque et lâche son foutre en elle dans un grand râle. Je ne tiens plus et éjacule aussi, silencieusement, sur le tapis de sol passager. Ensuite je remballe ma queue dans mon slip qui se macule légèrement de sperme. Je me tiens prêt à quitter le camion au cas où il viendrait dans ma direction.

Le gros se retire de la chatte de ma femme. Une importante quantité de sperme s'en écoule. Il prend un verre sur une tablette au-dessus de lui, et prend le foutre qui coule, alors que ma femme reprend son souffle. Elle est dans un état second, décoiffée, trempée de sueur et de sécrétions. Il voit alors Gilbert qui se masturbe toujours.

- Qu'est-ce que tu branles ? Viens la baiser ! Je te la prête !

Il met une claque sur le cul de ma femme comme si elle était sa chose. L'autre n'en attendait pas plus. Il se débarrasse rapidement de ses fringues, et s'approche du lit. Il est un peu moins gras que son pote, mais tout aussi laid. Le gros se lève du lit, en fait le tour, et s'assied au niveau du visage de ma femme, qui le regarde, exténuée.

- Nettoie moi la queue ! Lance-t-il en approchant son gros gland de la bouche de ma femme. Elle qui n'aime pas le goût du sperme, j'attends sa réaction. Elle hésite, puis sort timidement sa langue, et lèche délicatement le gros gland avec la pointe.

- Tu peux faire mieux que ça salope ! Fulmine le gros.

Il lui prend l'arrière de la tête, lui enfonce le gland entre ses lèvres et se met à lui branler la bouche. Je vois la joue de ma femme se déformer à chaque fois qu'il entre sa bite. Elle respire bruyamment par le nez, et du sperme mélangé à sa salive coule le long de son menton. Je bande à nouveau. Je ressors ma queue et me remet à me branloter.

- Voilà ! Comme ça ! C'est bien, t’es une bonne suceuse ! Beugle le gros en faisant coulisser sa queue entre les lèvres de ma femme.

Il la ressort et lui ordonne :

- Regarde-moi ! Et lèche là en me regardant !

Ma femme, comme une marionnette, s'exécute, et le fixe, le regard docile.

- De haut en bas ! Comme ça, c'est bien ma jolie ! Nettoie la bien de ta mouille de salope.

Son pote en a profité pour grimper sur le lit et s'allonger dans le dos de ma femme. Sans attendre, il soulève une de ses jambes, la faisant se retourner. Le gros, lui retourne la tête aussitôt, lui faisant reprendre sa sucette. L'autre s'enfonce immédiatement dans la chatte de ma femme, et imprime un rythme soutenu, faisant reprendre les soupirs de mon épouse, qui lèche tant bien que mal le sexe du gros. Cela dure quelques dizaines de secondes, puis Gilbert se met à maugréer :

- Putain ! Sa chatte est pleine de sperme. C'est dégueulasse.

- T'as qu'à lui mettre dans le cul, elle aime ça ! L'autre retire aussitôt sa queue, et la présente devant la petite rondelle. 

- Non…Pas là ! Non pas mon cul ! Bafouille ma femme, en le repoussant avec son bras droit.

- Comment ça, pas là ? T'aimais ça tout à l'heure pourtant petite salope ! Rugit le gros.

Il la prend par le menton et fixe ses yeux désolés.

- Pousse toi Gilbert !

Et il s'assied derrière le cul de mon épouse. Il lui fourre deux doigts dans la chatte, les ressort gluants de sperme, et les enfonce complètement dans l'anus de ma femme. Celle-ci se cambre un peu sous cette pénétration forcée, et ouvre grand sa bouche sans sortir un son. Le gros effectue plusieurs fois ce traitement.

- Alors ? T'aime pas ça ? Vocifère-t-il.

Il se met à lui branler l'anus avec ses deux doigts, et bientôt un troisième. Ma femme qui se cambrait sur chaque pénétration au début a l'air de se détendre, et se laisse branler le cul les yeux clos et la bouche entre-ouverte.

- Oohh oui t'aimes ça ma salope. Hein petite pute ? Regarde-moi !

Ma femme tourne la tête dans sa direction et le fixe.

- Ahhh Oui ma petite pute ! Regarde comme ton cul aime se faire défoncer.

Il entre profondément ses doigts et les ressort complètement, doucement, plusieurs fois et il lui donne à lécher. Ma femme soupire et écarte avec une main sa fesse. Elle a de nouveau ce regard lubrique si excitant, et fixe ces gros doigts qui la fourrage en se léchant le coin des lèvres avec le bout la langue.

- Allez vas-y ! Fourre-lui le cul ! Qu'est-ce que tu attends ? Les putes de ce niveau, faut pas les laisser refroidir. Lance-t-il à son pote qui se branlait en regardant.

L'autre ne se fait pas prier. Il se glisse jusqu'au cul de ma femme, et présente son gland à l'entrée. Il pousse doucement, et après deux tentatives infructueuses, réussit à le rentrer. L'anus de ma femme se dilate, et le gobe. Elle regarde ce gland entrer dans son cul, la bouche ouverte, en haletant. L'autre s'enfonce doucement en elle, effectue quelques va et vient lents, puis se met à accélérer la cadence en malaxant un des nichons de ma femme, et en la fixant dans les yeux. Le gros lui maintient la jambe en l'air en la tenant par la cheville. Je n'en reviens pas de voir ma femme se faire sodomiser devant moi. De la voir, une jambe relevée, une bite s'enfonçant dans son petit trou, la chatte ouverte. Le gros se branle quelques dizaines de secondes, en matant son pote qui sodomise ma femme, puis il lui lâche la jambe et se relève.

- Attend Gilbert ! Allonge-toi sur le dos, je vais la mettre sur toi ! Je veux l'enfiler pendant que tu l'encules.

Il les fait se rapprocher du bord du lit, et allonger dans la largeur. L'autre bougonne un peu, mais s'exécute. Le gros aide ma femme à s'allonger sur son pote, sur le dos. Elle se retrouve légèrement en appui sur les mains, les seins en l'air, les jambes écartées le cul posé sur le bas-ventre de Gilbert, qui cherche immédiatement à y entrer sa queue.

- Voilà ! Allonge-toi complètement sur Gilbert. Dit le gros en guidant ma femme, alors que son pote a rentré sa bite dans son anus et se remet à la sodomiser.

Le gros lui écarte encore un peu plus les cuisses, et enfourne sa queue dans la chatte de Sarah, qui se retrouve avec une bite dans chaque trou. Dans cette position, je ne vois plus grand chose, à part les jambes écartées de ma femme. Le gros s'est penché sur elle et lui suce les seins. J'entends ma femme gémir de plaisir. Je me demande comment ma femme peut aimer se faire prendre en sandwich par ces deux porcs. Ils tiennent cette position pendant deux, trois minutes, puis Gilbert gueule :

- Ça va pas comme ça Michel ! Tu m'écrases !

- Ok, ok ! Finis de l'enculer tout seul, je m'en occuperai après. Répond le gros en se relevant.

L'autre met ma femme sur le dos, relève une de ses jambes, et la sodomise comme un fou.

- Ohh ! Tu m'excites trop ! Souffle-t-il en la pilonnant.

Ma femme le fixe, les yeux mi-clos, en gémissant. Quelques dizaines de secondes après, il râle et éjacule dans son cul. 

- Ça y est l'éjaculateur précoce, t'as déjà fini ? Glousse le gros

- Pousse toi, je vais te montrer comment on encule une petite pute.

L'autre grogne un truc incompréhensible et se lève du lit. Le gros passe derrière ma femme, qui le regarde béatement, sa grosse queue à la main. Il la tapote sur son cul.

- Branle là ! Lui lance-t-il en prenant une de ses mains manucurées, la posant sur sa bite.

Ma femme regarde ce gros mandrin et se met à le branler doucement.

- Plus vite ! Et regarde-moi ! Ordonne le gros. 
I
l lui rentre à nouveau ses gros doigts dans l'anus.

- Ouais ! C'est bien petite chienne ! Serre la bien ! Ouais !

Sa bite commence à suinter de sperme.

-  Arrête maintenant ! Écarte les fesses !

Et il présente son gros gland devant la petite rondelle de ma femme, qui a obéi à son ordre et écarte une de ses fesses. Il pousse pour le faire entrer.

- Ah Nonn ! C'est... trop... gros … STOP !!! Gémit ma femme.

Mais le gros continue à l'introduire en disant :

- Ta gueule ! Les salopes je les encule moi. Tu vas voir, tu vas aimer la grosse queue de Michel.

Il la fait se cambrer. Il stoppe la pénétration, introduit quatre doigts dans sa chatte, et se met à la branler doucement, puis rapidement. Ma femme se met à gémir de plaisir. Puis tout en faisant cela, il commence à entamer de lents va et vient dans son anus, et enfonce petit à petit entièrement sa grosse et longue queue. Il sait s'y prendre pour un gros porc, me dis-je intérieurement. Ma femme à maintenant l'air d'apprécier cette sodomie. Elle regarde cette grande bite, s'enfoncer et ressortir, gluante de sperme, de son rectum, en gémissant très fort, et en poussant des « Ohh putain oui ! » réguliers. Elle se met un doigt dans la bouche, le lèche, et le suce, en cadence des pénétrations. Le gros lui pilonne maintenant l'anus avec sa grande queue, aussi facilement que s'il le faisait dans sa chatte, aidé sans doute par le sperme que son pote avait déversé juste avant. Ce dernier s'est d'ailleurs remit à se branler en matant. Puis d'un coup, le gros s'arrête, et, regardant ma femme lui dit :

- Tu veux que j'arrête ?

Ma femme le regarde et n'a pas l'air de comprendre.

- Hein ? Reprend-il. 

- Non. Répond ma femme.

- Tu aimes ça que je t'encule ! Hein ma petite pute ? Réponds ! Lance le gros le ton enjoué, en se remettant à la sodomiser tout doucement.

- Oui encule-moi ! Dit-elle.

Et il s'arrête de nouveau, la laissant dubitative. Il la toise quelques secondes du regard.

- Tu veux que je t'encule ma belle ?

Ma femme lui fait un timide signe positif de la tête.

- Alors bouge ton cul sur ma queue ! 

Ma femme n'hésite que deux ou trois secondes. Elle se met à onduler doucement du bassin, faisant rentrer et sortir de son cul la bite du gros.

- C'est bien ma jolie ! Gémit le gros

- Et regarde-moi dans les yeux petite salope. C’est ça, comme les actrices de cul. Ajoute-t-il en lui caressant la croupe.

Elle le fait, et quel regard ! Les actrices de films pornos ne feraient pas mieux.
- Accélère ! Mugit-il.

- Ouais ! Comme ça ! Je vais te casser le cul sac à foutre.

Et il la prend par les hanches et se remet à la pilonner et lui arrache des « OUUIII ENCORE !!!» bien sonores. Le camion résonne des coups de queues de Michel, des cris de Sarah. C’est une scène de sexe incroyable, ça sent le sexe à plein nez.

Moi je suis au comble de l'excitation, et je répands à nouveau mon foutre sur le tapis de sol passager. Je reprends mon observation. Je ne sais plus trop quoi penser de ma femme. Elle est bourrée certes, mais elle a vraiment l'air de prendre du plaisir. Je la vois balancer ses fesses pour aller à la rencontre de la si épaisse et longue bite du gros, dans sa petite rondelle qu'elle me refuse depuis de nombreuses années. Ce gros routier, si repoussant et vulgaire qui la traite comme une pute lui imposant tout ce qu'il veut, l'a complètement désinhibée et obtient facilement tout ce qu'il veut d'elle.

Ses couilles claquent contre le cul de ma femme, et il la sodomise depuis plusieurs minutes déjà lorsque je vois mon épouse refermer ses yeux qu'elle promenait entre ceux du gros et la queue la limant. Elle se crispe, serre le dessus de lit avec une de ses mains, et jouit plus fort encore que les deux précédentes fois. Tout le parking doit être au courant, je vois des lumières s’allumer.

- Ahhh ! Elle te fait jouir ma grosse queue, hein, ma petite chienne ! Beugle le gros en accélérant encore la cadence.

Ma femme cramponne toujours le dessus de lit, mais se met à haleter et gémir encore plus vite et fort, alors qu'il lui défonce l'anus.

- Hein ? T'aimes ça que je te défonce le cul hein ?

- Oui ! Expire ma femme.

Et le gros décharge sa semence dans son cul en gueulant. Son pote s'approche du visage de ma femme la queue à la main et lui lance :

- Ouvre la bouche !

Ma femme ne bronche pas.

- Allez ! Ouvre la bouche ! Lui ordonne le gros en lui mettant une claque sur le cul.

Ma femme s'exécute et ouvre la bouche. L'autre lui déverse son sperme dans la gorge, le gland contre ses lèvres. Elle recrache quasiment tout le long de son menton, en hoquetant et en grimaçant.

- C'est bien ma jolie ! T'es une bonne petite pute ! Allez, viens ! Lui dit le gros, en la relevant du lit.

- Tu as du foutre partout ! Tu vas prendre une douche ! Tu vas voir, elle n’est pas très grande, mais j'suis sûr qu'on va tenir à deux ! Lui lance-t-il en faisant glisser son petit haut en bas de ses chevilles. 

Elle est debout, devant moi, sans me voir. Si belle ! Complètement nue, en talons hauts blancs ressortant avec sa peau hâlée, ses longues jambes fines et galbées, sa petite chatte épilée, ses mains manucurés, son ventre plat, sa cambrure faisant ressortir son superbe petit cul rebondi, ses magnifiques seins bien ronds fièrement dressés, son visage de poupée, ses yeux de biche maquillés, sa bouche pulpeuse, ses longs cheveux bruns. Magnifique !

A suivre…

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Merci de vos retours