dimanche 5 septembre 2021

La femme du révérend - Ch. 04

Texte de Stevecom traduit Par Coulybaca

*****

Les trois filles sont asservies.

Caroline empoigna son portable qui sonnait dans son sac.

- Caroline, Caroline ? Entendit-elle, une voix féminine hurlant dans son téléphone.

- Oui. Oui. A qui ai-je l'honneur ?

- C'est Linda, C'est au sujet de Tyrone. Sanglotait-elle à l'autre bout du fil.

- Il a été arrêté et jugé. Il a pris un an de taule. Oh mon Dieu... Mon Dieu... Pleurnichait-elle éperdue.

Caroline s'informa :

- Mais que. Que s'est-il passé ? 

Linda lui répliqua tout de go :

- Il a été embarqué pour la vente de drogues. Il a été jugé en flagrant délit. Il en a pris pour 1 an ! Oh mon Dieu. Il me manque tellement.

- Je suis désolée d'avoir mis si longtemps à te téléphoner. Mais je ne trouvais pas ton numéro. Ajouta-t-elle misérablement.

- D'autre part, Jake, l'ex-taulard qui t'a baisée si vigoureusement avec ses potes. Il s'est fait descendre lors d'un braquage ! C'est terrible ! Poursuivit Linda effondrée.

Caroline comprit à cet instant pourquoi ils ne les avaient pas contactées, les filles et elle, lors de ces 6 dernières semaines.

- Chérie, tout va bien se passer. Viens donc nous rejoindre pour une paire de jours, tu seras vraiment la bienvenue. Lui proposa Caroline émue.

- Oh merci Caroline, Je vais venir rapidement. Je t'appellerai pour te prévenir de mon arrivée. Le temps de prendre quelques dispositions. Rétorqua Linda visiblement impatiente de la rejoindre.

- Tu te sens un peu mieux ma chérie ? Tu m'as manquée. A bientôt. Conclut Caroline émue

En refermant son portable, Caroline se remémora la chaude nuit qu'elle avait passée avec Linda, elle avait aimé se faire caresser par Linda, c'était sa première expérience avec une femme, elle avait adoré. Jamais elle n'aurait pensé qu'une chatte puisse être aussi savoureuse. Alors qu'elle était en rendez-vous dans son bureau à l'église, elle sentait sa chatte s'humidifier rien qu'à l'évocation de cette nuit torride passée dans les bras de Linda.

Elle était assise sur le bord de son bureau, ses longues jambes étaient croisées, sa courte robe rouge moulait ses charmes exposant un large morceau ses cuisses crémeuses, elle discutait théologie avec deux membres de la paroisse. Depuis qu'elle avait rencontré Tyrone, elle avait complètement changé ses tenues, même celles qu'elle mettait en rendez-vous.

La sonnerie du téléphone sonna dans le bureau de son mari, il se leva et pénétra dans son bureau.

- Excuse-moi ma chérie, je suis désolé. Commenta le révérend.

Caroline sortit de la pièce s'excusant elle-même, elle sentait les yeux de ses deux interlocuteurs s'attarder sur sa croupe alors qu'elle sortait du bureau.

- Chérie, c'est Julie Bromell, la principale du lycée de Carole et Sue. L'informa le révérend tendant à Caroline le téléphone, avant de retourner dans le bureau qu'il venait de quitter.

- Bonjour madame Bromell, que se passe-t-il ? 

- Bonjour madame James, les filles se portent très bien. Répliqua Julie d'une voix douce.

- Ooooohhhhh merci mon Dieuuuuuuu. Vous m'ôtez un gros poids. Reprit caroline apaisée.

- Elles sont toutes deux dans mon bureau. En sureté. Reprit la principale.

- Cependant elles se sont mises dans une situation dont j'aimerai discuter avec vous en privé. Le plus tôt possible !

Julia reprit alertée.

- J'arrive madame Bromell. Donnez-moi une heure.

En entrant dans le bureau de la principale, madame Julia Bromell une petite femme légèrement enrobée, habillée de façon fort élégante, les cheveux noirs, une femme très séduisante de fait, visiblement satisfaite de rencontrer Caroline aussi rapidement. La principale lu fit signe de s'asseoir.

Caroline remarqua le regard de la principale s'attardant sur ses charmes, et plus spécialement sur ses miches tandis qu'elles se saluaient réciproquement.

- Je ne sais pas très bien par quoi commencer. Je ne sais pas comment aborder cet épineux sujet. Aussi vais-je purement et simplement vous exposer les faits ! L'avisa Julia Bromell d'une voix impersonnelle.

- Ce matin. Juste avant la rentrée des classes. Alors que je faisais une ronde de surveillance. Je... Je...

- Qu'y a-t-il madame Bromell ? La coupa Caroline assez inquiète.

Je traversais la chaufferie au sous-sol, et je... J'ai grand peur de vous choquer. Vous qui êtes femme de pasteur. Une écrivain renommée. Et tout ça. Bredouilla soudain Julia Bromell.

- Continuez, je vous en prie madame la principale. Je vous en prie, dites-moi tout. La coupa Caroline nerveusement.

- C'est là que j'ai surpris Carole et Sue à genoux, prodiguant une fellation à nos deux factotums noirs !

Julia poursuivit:

- Ils ont tous deux 70 ans. Ils avaient remonté les brassières de vos deux filles et leur pelotaient rudement les nichons. Dieu seul sait ce qui se serait passé si je n'étais pas arrivée fort opportunément ! Termina Julia d'une voix gênée.

Caroline était abasourdie, bien sur elle connaissait l'impact de leur terrible nuit de luxure sur ses filles. Mais elle était loin de s'attendre à cela. Très surprise elle questionna la principale :

- Où sont mes filles maintenant ? Et quelles mesures avez-vous prises à l'encontre de vos deux employés ? 

- Vos filles sont retournées en classe comme si de rien n'était, et j'ai suspendu, Ben et Léon, les deux hommes de peine ! Je n'ai pas encore appelé les services de police.

- N'appelez pas les forces de police, ce n'est pas nécessaire madame la principale. Et laissez vos deux gardiens reprendre leur boulot comme si de rien n'était. Ces déviations arrivent parfois. Je me charge de discuter avec mes filles.

Julia restait assise, soulagée. Elle n'avait pas confié à Caroline qu'elle était la maîtresse des deux factotums et qu'elle était jalouse de l'intervention de ces deux filles. Si Ben et Léon prenait goût aux jeunes chattes, elle serait mise hors circuit. Elle avait surpris les deux jeunes filles parce qu'elle les surveillait depuis un petit moment. Elle se doutait intuitivement de quelque chose. Elle entendit vaguement Caroline reprendre :

- Je prêche le pardon lors de mes sermons à l'église, et c'est ce que nous devons faire aujourd'hui. Pardonner !

Julia hocha la tête en signe d'accord. Caroline appela Carole sur son portable.

- Hey maman, je suis avec Sue, nous rentrons à la maison.

- C'est ça ma petite chérie. Il faut que nous parlions.

Carole rougit et gloussa sachant déjà ce dont leur mère voulait leur parler.

- Je rentre moi aussi à la maison d'ici peu. Prenez bien soin de Laura.

Elles avaient toutes trois le même âge, à un an près et devaient se plaire ensemble. De retour à chez elle, Caroline appela :

- Hello les filles, Laura. Où êtes-vous? Je suis rentrée. Où êtes-vous ? 

Personne ne lui répondait. Son téléphone sonna à cet instant, elle décrocha :

- Hello chérie, j'en ai encore pour deux bonnes heures pour terminer de rédiger mon sermon.

- C'est d'accord mon chéri. Je te verrai plus tard. Répondit-elle à son mari, lui cachant son tracas au sujet des filles.

- Où pouvaient-elles bien être ? se demandait-elle inquiète.

Son téléphone sonna à nouveau. 

- Oui ? 

- Hey ma chérie, c'est Junior. Tes filles et Laura sont avec moi.

- Junior ? 

Caroline tentait de mettre un visage sur ce nom. Oh mon Dieu, le molesteur de jeunes femmes !

-  Salut Junior, comment vas-tu ? Poursuivit-elle cherchant à demeurer calme.

- Où êtes-vous ? demanda-t-elle nerveusement.

- Nous allons chez moi. Bobby nous y attend. Tu ne nous avais pas dit que la plus jeune de tes filles était aussi jolie ! L'informa Junior sardoniquement.

Caroline regarda l'adresse qu'il venait de lui donner. 1254, 4ième rue. Elle était presque arrivée. Cela faisait maintenant une demi-heure qu'elle avait parlé à Junior. Mon Dieu, ses trois magnifiques filles se trouvaient livrées ces pervers sexuels. Elle devait se presser de les rejoindre.

- Eh merde pensa-t-elle soudain, elle portait toujours sa mini-robe rouge. C'est ici, elle est pas mal cette maison dommage que les volets soient fermés.

Elle frappa à la porte. Bobby lui ouvrit, lui faisant signe d'entrer. En fermant la porte il enlaça Caroline et l'embrassa dans le cou. Elle entendit alors des cris aigus provenant de la salle face à elle.

- Passe la moi espèce de trou du cul ! Que la peau de cette petite chienne est soyeuse. Je vais lui lécher le cul ! Fous la à poil ! Regarde-moi ses tétons ! Bordel je veux y goûter. Je veux aussi goûter à son cul. Ecarte toi de mon chemin que je prenne soin de cette délicieuse petite chatte.

Caroline pénétra dans la pièce. Mon Dieu, elle n'en croyait pas ses yeux. Carole était entièrement nue, un vieux salaud lui bouffait la chatte.

- Bordel, que la chatoune de cette petite salope est savoureuse.

Un comparse lui avait fourré sa grosse bite en bouche. Elle en branlait un autre. Un dernier client attendait son tour, il matait le spectacle d'un œil concupiscent.

- Hey mec, y'en a marre maintenant, termine rapidement ton affaire. Je veux lui lécher le cul. Je veux savourer son cul.

Caroline le vit alors enfouir sa langue dans l'œillet crispé de sa fille bien-aimée. Sue avait été dépouillée de sa petite culotte, deux tourmenteurs suçaient âprement ses tétons dardés, un complice lui broutait le gazon alors qu'un quatrième lui léchait le trou du cul. Ils disaient à Sue :

- On ne va plus tarder à te baiser jusqu'à l'os petite pute ! Tu penses que tu vaux mieux que nous ! Toutes les jeunes blanches nous allument, puis nous ignorent dédaigneusement ! Mais aujourd'hui, on va tous te baiser, tu vas déguster ma chérie !

- Allez Henry, magne-toi le cul, allonge la sur le dos, je veux me faire cette petite chienne ! Je veux passer le premier. Disait un vieux noir en la reluquant avec concupiscence.

C'est alors qu'elle vit Laura, la plus jeune de ses trois filles. Junior lui roulait une pelle fiévreuse. quatre noirs âgés l'avaient dépouillée de son jean, elle se tenait face à eux en soutien-gorge de dentelle et petite culotte assortie. Elle exposait tous ces charmes. Elle semblait si pure, si innocente qu'ils se regardaient tous quatre visiblement intrigués et hésitants.

- Elle pisse de peur, écartez-vous de mon chemin les gars. S'exclama Junior hilare.

- Je veux qu'elle me pisse dans la bouche. virez-lui sa petite culotte ! .Aaaaaahhhhh, oh oui pisse-moi dans la bouche petite chienne ! C'est si bon ! Mmmmmmmmm. Je vais nettoyer ton petit chaton. Hey les gars visez-moi sa charmante petite figue.

Junior se pencha sur elle pour lui rouler un patin passionné, tout en caressant ses charmes dévoilés.

- Au tour de son soutien-gorge. Je veux goûter moi aussi à ses délicieux petits tétons. Ils sont vraiment savoureux. Cette jeune pucelle est vraiment parfaite.

Ma petite chérie tremblait de tous ses membres. Elle me vit soudain.

- Maman, oh maman. Aide-moi, je t'en prie. S'il te plait maman, viens à mon secours !

Bobby m'empoigna par la taille. Trois des costauds réunis autour de Laura s'approchèrent de nous. Bobby leur jeta un regard complice.

- Allez les gars, ne voulez pas vous faire cette somptueuse salope, je veux sauter la petite pute, vous pouvez vous amuser avec la mère en attendant !

- J'ai drôlement envie de me faire la petite pute, mais la mère est vraiment sensationnelle. regarde-moi ces nibards Jerry.

Une main se glissait dans sa petite culotte, son corps répondait déjà à ces caresses furtives.

- Putain cette salope est déjà trempée! c'est vraiment une somptueuse pute.

Ils la dépouillèrent de sa robe, ses nichons jaillirent à l'air libre lorsqu'ils lui arrachèrent son retrousse-tètes.

- Vise-moi ces délicieux tétons Jérôme. Bordel !

Caroline sentit une langue fraîche se poser sur son anus accueillant, et un doigt épais fureter dans sa chagatte.

- Installe-la ici qu'elle puise nous tailler des pipes !

Caroline regardait Junior molester sa tendre fille. Laura verrouillait maintenant ses jambes sur le torse de Junior alors que sa bite s'engouffrait dans sa foufoune.

- Ca fait mal. Oh mon Dieu que j'ai mal. Arrêtez ! Arrêtez ! Je vous en prie !

Bobby lui fourra sa grosse mentule en bouche, étouffant ses plaintes. Caroline était maintenant baisée à couilles rabattues par un colosse noir, elle avait une bite en bouche et branlait un troisième comparse.

- Baisez-moi salope. Que ta chatte est accueillante ! T'as vraiment raison de la raser, on dirait une minette de petite fille ! 

- Aaaaaaaaahhhhhhhhhh. Mmmmmmmm. Ahhhhhh. 

Un premier orgasme submergeait Caroline, d'autres n'allaient pas tarder à se succéder. Les spectateurs explosèrent de rire, cette femme si élégante jouissait entre leurs bras.

- Hey les filles regardez votre mère jouir. C'est vraiment une somptueuse pute ! Allez petites salopes, regardez-la attentivement !

- Hey Jérôme maintenant que tu as sauté la mère, tu pourras comparer ses charmes à ceux de sa mignonne fille !

- Aaaaaaaahhhhhhhh. Ooooooohhhhhh. Mon Dieuuuuuuu !

Caroline ne pouvait s'empêcher d'enfiler les orgasmes sous les yeux de ses filles abasourdies.

- Aaaaaaaaahhhhhhhhh. Oooooooohhhhhhh. 

Caroline baissa les yeux sur Junior qui se vidait les couilles au fin fond de l'utérus de son petit ange.

- Allez bordel, pousse-toi de là Junior. Je veux me la faire à mon tour ! lui hurla Bobby dans l'oreille.

- Une fois que tu en auras terminé avec elle, je veux l'enculer. Ajouta un troisième acolyte.

Caroline vit alors Bobby molester rudement sa petite fille chérie. Caroline jeta un œil sur ses autres filles, elles avaient tout deux une bite fourrée en bouche, Sue se faisait en con alors qu'un colosse noir enculait âprement carole. Elles étaient toutes deux entourées d'hommes qui se régalaient du spectacle.

- hey les gars, j'adore me faire ces jeunes donzelles. Ces délicieux minous pas encore distendus. Je vais me faire la plus jeune ! Restez ou vous êtes espèces de trous du cul, il y en a trois qui doivent passer avant vous. Prenez la queue !

Quatre noirs n'avaient pas encore joui, ils prirent Caroline en main.

- Viens ici salope ! On va monter à l'étage. Installe-toi dans la baignoire. Allez magne-toi.

Caroline, entièrement nue, couverte de foutre de la tête aux cuisses, s'installa servilement dans la baignoire. Les 4 noirs qui encerclaient la baignoire sortirent leurs bites et lui pissèrent à pleins bouillons sur le visage. Elle ouvrit la bouche en grand. Ils rirent en chœur.

- Regardez la bien cette salope. Elle avale la pisse à pleine bouche. Elle a l'air d'adorer l'urine ! Quelle charmante pissotière ! Allez salope nettoie-nous les bites correctement.

Servilement elle lécha minutieusement leurs bites et leurs couilles, les nettoyant de toute trace de pisse. Entièrement nue, elle redescendit au rez-de-chaussée. Elle ne parvenait pas à voir ses malheureuses filles. Elles étaient cernées par les tourmenteurs de jeunes femmes se réjouissant de se faire des jeunes filles aussi inexpérimentées.

- Ooooohhhhhh mon Dieuuuuuuu ! Je vais jouir. Suce-moi encore la bite salope. T'es une bonne petite pute ! Hurlaient-ils tous en chœur.

Une main noire empoigna Caroline et la força à s'agenouiller.

- Lèche ma bite salope ! Ouvre bien ta bouche que je te fourre mon chibre dans la gorge. Tu vas pouvoir savourer son goût ! Elle sort tout droit du trou du cul de ta charmante cadette. Aaaaaaahhhhhhh. Mmmmmmmmmmm. Je vais jouir !

Caroline ne pouvait s'empêcher d'exulter. Explosé de rire il hurla à l'adresse de ses comparses :

- Hey les mecs, cette salope viens de nettoyer ma bite de la merde tapissant le trou du cul de sa cadette ! Quelle salope ! Aaaaahhhhhhhhhh. C'est ça avale mon foutre maintenant !

Lorsque Caroline se réveilla, Bobby et Junior s'étaient assoupis dans un coin de la pièce. Caroline chercha des yeux ses vêtements. Ramassant ses fringues, elle rassembla celles de ses filles.

Un vieil homme léchait le trou du cul de la jeune Laura un autre se branlait énergiquement dans la bouche de Sue, cependant, la pièce était vraiment calme. Quant à Carole, elle curait son visage de l'épaisse couche de foutre qui la recouvrait puis elle suçait ses doigts.

- Viens ici ma chérie. Rhabille-toi !

Caroline arracha quelques grosses gouttes de foutre de ses cheveux et les dégusta. Le vieil homme se désintéressa de Sue après avoir giclé dans sa bouche, il alluma un joint et entreprit de le fumer. Sue sourit à sa mère en gloussant, on voyait qu'elle était ravie de son sort.

- Viens ici chérie et rhabille-toi aussi. On va rentrer à la maison.

Sue continuait à déguster le foutre qui lui couvrait le visage. Elles se levèrent toutes trois reluquant le vieil homme qui finissait de lécher le trou du cul de Laura.

- Relève-toi petite salope ! j'en ai fini avec toi.

Caroline était fière de sa petite Laura, elle suçait maintenant de façon fort correcte la grosse bite qui lui encombrait la bouche.

- Aaaaaaahhhhhhh, Mmmmmmmmaaaaaa. C'est ma petite pute. Avale mon foutre !

Laura savoura chaque jet qui lui éclaboussait la gorge. Il délaissa enfin Laura, Caroline put s'approcher d'elle.

- Hey ma petite maman. Murmura-t-elle faiblement.

- Viens ma petite chérie. Viens te rhabiller.

Les jambes de Laura tremblaient alors qu'elle enfilait difficilement sa petite culotte sur ses fesses trempées de foutre. Elles se taisaient toutes quatre dans la voiture. Carole jeta un œil sur sa mère.

- Veux-tu nous parler de ce qui s'est passé à l'école. Murmura-t-elle d'une voix inquiète.

Caroline rit à pleins poumons.

- Ma fille je ne pense pas que ce soit un problème majeur après les événements de cette nuit ! Répliqua Caroline d'une voix sourde.

Carole hocha la tête.

- Merci maman.

Dès qu'elles pénétrèrent dans la maison, le révérend Mike James comprit ce qui venait de se passer. Il resta calme tandis que les filles regagnaient leurs chambres. Dès qu'elles eurent pris leur douche, elles se mirent au lit.

Caroline aussi prit une douche, dès qu'elle regagna sa chambre et se mit au lit, son mari lui écarta les cuisses en grand pour lécher sa minette imprégnée du foutre de ses différents suborneurs alors qu'elle entreprenait le récit de leur longue nuit de débauche.

Il ne fallut pas très longtemps pour que le révérend James crache son foutre sur ses cuisses et les draps. Se relevant, il dit à Caroline que Linda, la jeune serveuse viendrait les visiter la semaine suivante, et que la principale du lycée voulait lui parler.

Caroline se retourna vers lui.

- Merci chéri.

Et fermant ses yeux elle se demanda :

- Combien de fois ai-je joui cette nuit ?

Le sommeil vint rapidement alors qu'elle évoquait la tendre Linda.

FIN.

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