mardi 7 septembre 2021

Isabelle Ch. 06

 Texte de Aldo37.

 *****

Une autre journée de travail.

Isabelle et Marc se rendirent donc dans divers magasins, afin d'acheter force lingerie et vêtements, tous plus sexy les uns que les autres. Serge, le patron, avait donné des instructions précises : Isabelle devait être désirable, et constamment accessible à ses désirs sexuels.

Isabelle avait bien suggéré les périodes menstruelles, où elle serait indisposée, Serge lui avait objecté qu'il pourrait alors fort bien se servir et jouir de sa bouche et de son cul.

Le lendemain, Isabelle mit un joli tailleur, avec jupe courte et veste croisée, et juste ses sous-vêtements dessous, agrémentés d'un porte-jarretelles et de bas noirs. Elle portait des hauts talons, Serge ne voulait plus qu'elle porte d'autres chaussures au bureau ou lorsqu'elle sortirait avec elle.

- Très joli ensemble, Isabelle ! Félicitations !! Vous avez du chien ! Vous feriez bander un centenaire !

Serge se leva de son bureau, s'approcha d'Isabelle, l'embrassa, tout en passant la main dans l'échancrure de la veste, pour lui peloter les seins.

- Humm. En plus, tu n'as rien dessous. Rien que ton soutien-gorge. Tu es quand même une sacrée salope !!

Il continua à passer sa main dans la veste, Isabelle se laissait faire, puis il lui caressa le sexe à travers la jupe, puis remonta la jupe pour la caresser à travers le slip, pour finalement insinuer sa main dans la culotte.

- Tu commences à m'exciter, toi !

Il continuait sa manœuvre.

- Qu'est ce que tu attends, petite gourde ?? Dépêche-toi de te déshabiller !! Tu ne vois pas que tu me donnes la trique ??

Isabelle enleva sa veste, sa jupe. Serge était déjà nu.

- Très jolis sous-vêtements !! Mais j'ai envie de baiser ! Vire le sous-tif et le slip !

Isabelle dégrafa son soutien-gorge, retira son slip. Elle demeura en escarpins, porte-jarretelles en dentelle noire, bas noirs. Elle sait ce que son patron voulait. Elle s'agenouilla devant lui. Le masturba. Le prit en bouche.

- Humm une pipe pareille dès le matin, rien de tel pour bien démarrer la journée. Suce-moi bien ! Oui ! Comme ça !  Doucement ! Doucement !

Isabelle s'appliquait. Le sexe gonflait entre ses lèvres, devenait de plus en plus dur, de plus en plus long.

- Arrête maintenant ! Je vais te prendre !

Isabelle se leva, se pencha, prit appui avec ses deux mains sur le bureau.

- Oui offre bien ton cul voilà !

Serge pointa sa queue à l'entrée du vagin et la pénétra. 

- Ahhhhh !

Il commença à aller et venir dans le sexe de la jeune femme.

- Huuum. Oui, tu es bonne !

Serge limait doucement, accélérant peu à peu le rythme, arrachant des soupirs à la jeune femme qui sentait le sexe, dur et gonflé, bouger en elle. Soudain, alors que Serge était en train de faire son travail de mâle, bien planté dans Isabelle, la tenant vigoureusement par les hanches, la secouant comme il fallait, tapant son ventre et ses couilles contre ses fesses, faisant balancer ses seins en cadence des allers et retours frénétiques, la porte s'ouvrît, laissant entrer le vaguemestre de la société, qui venait apporter le courrier du directeur.

Michel, le vaguemestre, était un homme de 50 ans, célibataire endurci, qui vivait chez ses parents, et ne dédaignait pas lorgner les jeunes femmes qui passaient dans son champ de vision. Il se plaisait également à quelques plaisanteries graveleuses sur les femmes et la sexualité, comme les célibataires en ont le secret. 

Isabelle se releva brusquement, le sexe qui la pénétrait sortit d'un coup de sa chatte, elle plaça ses bras devant ses seins. Mais Serge ne l'entendit pas de cette oreille.

- Qu'est ce que tu fais petite imbécile !

Il prit les bras de la jeune femme qu'il replaça en position sur le bureau, prit sa queue à la main.

- Tends ton cul !!

Isabelle obéit, et il la pénétra, sans ménagement, d'un coup, et la posséda vigoureusement. Il donnait de furieux coups de reins, plantant sa bite au fond de la chatte, pour presque la ressortir à chaque fois. C'est ainsi que Michel entra, et déposa le courrier sur le bureau, tout en contemplant le spectacle qui s'offrait à ses yeux : une jeune femme nue, juste parée d'un porte-jarretelles et de bas, perchée sur ses hauts talons, en train de se faire saillir, debout, fesses offertes, par son directeur.

Serge limait, tenant fermement Isabelle aux hanches, qui, malgré la situation, ne pouvait rester insensible aux attentions de son baiseur, et la nature étant ce qu'elle est, elle participait malgré elle à la situation, ne pouvant s'empêcher de laisser échapper quelques gémissements et quelques cris, au rythme de la queue qui lui envahissait le vagin, et la faisait frémir.

- Humm. Ah. Hummm.. AHH ! !

- Oui tu aimes ça ! Tiens prends ma queue ! Tiens !

- Michel ! Préparez-moi donc un café en plus, vous profiterez du spectacle !

Michel, ravi de l'aubaine, alla dans le coin du bureau, brancha la bouilloire, et prépara un café lyophilisé à son directeur.

- La demoiselle en prendra un aussi ??

Serge répondit, tout en limant le sexe offert.

- Oui, ça la remettra de ses émotions. Mais je veux que ce soit elle qui réponde.

- Regarde le et réponds-lui !!

Isabelle hésita, subissant les assauts du mâle.

- Eh bien alors, réponds-lui !!

Isabelle se força à tourner la tête, regarda avec honte l'homme qui la dévorait du regard.

- Oui... Ou..i. Ah !. j'en boirai un au..ssi !

Serge se retira brusquement.

- Allonge-toi sur le bureau !

- Ecarte les cuisses, imbécile ! Comment veux-tu que je te pénètre ?

Isabelle, morte de honte, dut écarter largement les cuisses, offrant ainsi son sexe à la vue de Michel. Serge la pénétra immédiatement, et leva les jambes sur ses épaules. Il cramponna Isabelle, et la prit. Michel prit la parole :

- Dites donc, Monsieur, elle n'aura pas perdu de temps !

- Vous avez raison Michel ! A peine arrivée, elle y passait ! Une vraie putain ! Et je peux vous assurer qu'elle aime ça !!

Michel surenchérit.

- En tout cas, son mari ne doit pas s'ennuyer !!

- Oh vous savez, avec ce que je lui mets tous les jours, ça doit la calmer un peu. Mais c'est une chaude du cul, il lui en faut !

Isabelle n'en pouvait plus, elle avait atteint plusieurs fois l'orgasme, qu'elle avait manifesté bruyamment par des cris, devant ce voyeur. Soudain, Serge se retira.

- AHH ! Ca y est ! Je jouis ! Tiens.! Tiens salope !

Les deux premiers jets de sperme atterrirent près du nombril en deux larges flaques, puis les trois suivants fusèrent sur la toison, en de longues traînées gluantes et blanchâtres qui coulèrent légèrement le long de la fente et le long des cuisses. Isabelle resta, épuisée, le ventre, le sexe et les cuisses maculées, allongée sur le bureau. Serge alla dans le cabinet de toilette, revînt avec de l'essuie-mains, et le plaça à côté d'Isabelle.

- Tiens, essuie-toi et vas faire ta toilette, tu en as bien besoin !!

Isabelle se releva légèrement, prit le papier, et essuya le sperme, sous les yeux de Michel qui ne perdait pas une miette de la scène. Isabelle se rendit dans le cabinet de toilette, se lava et rajusta son maquillage, quand elle revint, elle voulut reprendre ses vêtements.

- Non, non ! tu restes comme ça ! Tu vas nous faire encore un peu profiter de tes charmes !!

Serge s'approcha d'elle, la fit pivoter, pour offrir son dos à la vue de Michel.

- Que pensez-vous de ses fesses ?? Magnifiques, non ??

Il la fit se retourner :

- Et devant, ce n'est pas mal non plus. Vous avez vu cette poitrine ?? Et cette adorable petite touffe blonde en triangle ??

- En plus, elle suce bien !!

- Je l'appelle R-A-J ! Rien A Jeter !!

Michel hocha la tête.

- Elle est vraiment magnifique Tout ce qu'il faut là où il faut.

- Oui, je vais en faire quelque chose, de cette petite !

Isabelle buvait sa tasse de café, pendant que Serge, négligemment, et devant Michel, lui caressait distraitement les fesses. Michel termina sa tasse de café, puis sortit du bureau. Isabelle, debout, se mit à pleurer.

- Pourquoi avez vous fait cela ??

- Quoi donc, fait cela ???

- Devant devant lui ??

- Ma petite, tu es là pour MON plaisir. Donc, tu feras ce que j'ai envie, c'est compris ??

Isabelle, vaincue, obéit.

- Oui monsieur oui !

- Très bien ! Rhabille-toi et va travailler !!

Isabelle passa une très mauvaise journée. Avoir été ainsi exhibée, nue, baisée, humiliée devant un autre que son patron, elle avait bien tenté de résister, mais elle avait gémit, crié sous les coups de boutoirs qui lui martelaient la chatte. Elle avait dû, devant cet inconnu, tendre ses fesses, écarter les cuisses largement, offrant la vue de son sexe ouvert et pénétré, recevoir le sperme de son amant, le corps maculé, et s'essuyer, avant d'aller faire sa toilette intime. Vraiment, elle se sentait très humiliée.

Serge l'appela vers 16 h 30. Elle dut juste enlever sa veste et son soutien-gorge, et se mettre à genoux, pour lui pratiquer une fellation. Il était pressé, devait partir en rendez-vous extérieur. La bouche habile d'Isabelle eut tôt fait de rendre le sexe long et dur, Serge arriva bientôt à l'extase, prit son sexe en main, se masturba un moment et se soulagea sur les seins de la jeune femme. Les jets longs et épais se succédèrent en longues traînées qui formèrent bientôt de larges flaques blanchâtres et dégoulinantes. Isabelle, les seins maculés, couverts de sperme, traversa le bureau, vers le cabinet de toilette, ou pas moins de quatre essuie-mains furent nécessaires pour essuyer la masse gluante. Elle prit alors une lingette parfumée pour nettoyer la peau.

Serge prit soin, à son retour, de l'embrasser goulûment, de lui peloter et sucer les seins, ce qui fît gémir la jeune femme. Isabelle rentra chez elle, après être passée à l'hypermarché faire quelques courses, et retrouva Marc qui venait de rentrer de son travail.

Le téléphone sonna : Jean-Paul !!

Il avait fait développer les photos, et nous priait de venir après dîner voir ce qu'elles donnaient. Ces satanées photos, où Isabelle avait dû enfiler toute sa lingerie, prendre des poses obscènes, se montrer nue, ouvrir ses fesses et son sexe, comme les filles que l'on voit dans les magazines porno ! Sans oublier la partie hard, où Jean-Paul l'avait prise, baisée et sodomisée, puis aspergée de sperme !! Elle allait devoir revivre cela, avec sans doute les commentaires salaces de son baiseur.


Les pizzas avalées, ils arrivèrent chez Jean-Paul vers 21 heures.
- Ah vous voilà ! Entrez !

Il nous fît asseoir dans le canapé, et alla chercher trois albums photo remplis des clichés d'Isabelle. Une coupe de champagne à la main, il détailla chaque cliché, s'extasiant, commentant, appréciant la qualité des photos et les charmes à Isabelle.

- Regarde celle-ci, comme tes tétons pointent bien sous la nuisette !

- Celle-là ne cache rien de ton corps !

- Tu ouvres bien ta chatte, on voit même ton bouton !

Il passa à l'album " hard ".

- Il n'y a pas à dire, tu es une sacrée pompeuse ! Regarde-moi cette pipe que tu me tailles !

- Là, tu es bien enfilée ! Il n'y a pas à dire, la levrette, il n'y a que çà ! 

- Là, tu la prends dans le cul !

- Regarde comme tu la prends à fond ! Tu l'as jusqu'aux couilles dis donc !

- Celle-là, empalée dos à moi, on voit bien ta chatte qui est libre, tu es empalée dans le cul ! Dans le cul la demoiselle !

- Voilà le foutre qui arrive ! Eh bien, tu m'as vidé les burnes ce soir là ! Tu en as partout, regarde-moi ça ! Tu es pleine de sperme !

L'examen des photos prit plus d'une heure, heure pendant laquelle Isabelle et Marc furent morts de honte. Isabelle parce qu'elle était l'actrice principale, et Marc parce qu'il devait subir les commentaires vicieux et les photos de sa femme en pleine action avec son amant.

Il versa le reste de la bouteille de champagne dans les coupes.

- Ces photos sont superbes ! Félicitations Isabelle ! Nous en referons d'autres prochainement !

- Cela constitue un press-book, si je veux te présenter à quelqu'un !

Marc intervint :

- Comment, à quelqu'un ???? Je ne veux pas que des autres voient ces photos !!! Isabelle est ma femme quand même !!!

- Toi, tu ferme ta gueule, je te l'ai déjà dis ! Ta femme m'appartient ! Tu es cocu, tu regardes, et tu laisses faire ! C'est compris ??

Marc hocha la tête plusieurs fois.

- Bien ! J'aimerais ne plus le répéter !

Il s'adressa à Isabelle :

- Tu as déjà fait l'amour avec plusieurs hommes à la fois ?

Isabelle bafouilla.

- Comment quoi ?

- Oui, tu m'as bien compris : toi avec trois ou quatre hommes pour toi seule, ça t'es déjà arrivé ?

- Euh... non... non...

- Je te demande cela, parce que je vais montrer tes photos à plusieurs de mes amis. Et les connaissant comme je les connais, ils vont vouloir te connaître, et que j'organise une petite soirée.

- Mais vous êtes fou ! Je ne veux pas ! Je ne suis pas une putain !

- Ca, ma petite, que tu veuilles ou non, ce n'est franchement pas le problème ! Tu feras ce que je dirai !  Quant à ce que tu dis, que tu n'es pas une putain, excuse-moi, mais lorsqu'on voit tes photos, on peut penser le contraire, non ?? En plus, quand on s'envoie en l'air avec son voisin et son patron, on peut dire qu'on a chaud au cul, non ??

Isabelle se mit à sangloter.

- Ne commences pas à pleurnicher ! Je te laisse quelques jours pour te préparer à cette soirée ! Tu verras, ce sera sympa. Un matelas près de la cheminée, du champagne, et trois ou quatre hommes qui ne demandent qu'à te faire du bien. - Cela va durer toute la nuit, tu seras épuisée et heureuse au petit matin pour les croissants.  Quant à ton mari, comme il n'est pas sage, il restera à la maison, il ne profitera pas du spectacle ! Tu verras, Marc, tu vas bien te branler en pensant que ta petite femme est avec ces messieurs, en train de dévorer leurs queues et d'en prendre dans tous les trous ! Je suis sûr que tu vas être épuisé toi aussi à force de t'astiquer !! Tu mériterais que je garde ta femme pour la nuit, mais je ne vais pas être vache ! Rentrez vous coucher, et toi, imbécile, pine la bien ! Mets-lui en, au lieu de toujours regarder les autres faire ton travail !

Nous rentrâmes à la maison. Isabelle pleura un moment, la honte des photos, et surtout l'annonce de la soirée prévue. Isabelle livrée en pâture à un groupe d'hommes ! Livrée et offerte comme une putain !!

- Je vais aller lui péter la gueule à ce salaud !!

- Non non ne fais rien, ne fais rien, je t'en prie ! Nous perdrions tout, tu le sais bien. Nous trouverons bien un moyen d'échapper à ce qu'il manigance. Je dirai que je suis malade, j'inventerai.

Isabelle et Marc mirent du temps à s'endormir ce soir là. Mais la fatigue aidant, ils finirent par sombrer dans un profond sommeil.

A suivre...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Merci de vos retours