lundi 27 septembre 2021

Isabelle Ch. 08

   Texte de Aldo37.

 *****

Obligée de se faire enculer par l'employé du courrier.

7h00.

Marc fît sa toilette, déjeuna, et partit au travail Il était 8 heures. Isabelle savait qu’elle devait se préparer. Se préparer à se donner, à s’offrir aux caprices de son patron. Se donner à Michel, cet homme qui la répugnait.

Elle prit un long bain, qui la relaxa et lui fît oublier un instant le programme de la journée. Puis elle se maquilla, se coiffa, et fît le choix de sa lingerie. Un slip brésilien en dentelle noire, en " V ", qui lui passait entre les fesses, et laissait celles-ci bien visibles, un soutien-gorge balconnets, un porte-jarretelles, et des bas noirs à couture. Elle choisit un t-shirt en velours, très moulant et très échancré, qui ne laissait rien ignorer de la poitrine et du sous-vêtement, puis enfila la mini-jupe en cuir. Elle était tellement courte qu’elle arrivait juste là où les attaches du porte-jarretelles fixaient les bas.

Isabelle réalisa soudain qu’elle ne pouvait passer toute la journée, jusqu’à 15 heures, dans son bureau en cette tenue, et décida d’appeler son directeur pour lui exposer la situation. Serge accéda à sa requête.

— Tu as raison Isabelle. Cela ne ferait pas très sérieux ! Je vais prévenir vos collègues de bureau que vous êtes en rendez-vous extérieur aujourd’hui. Cet après-midi, vous monterez directement dans mon bureau par l’accès parking. Au fait Isabelle, Michel vient juste de m’apporter le courrier. Il ne le sait pas encore, mais je vais lui faire un beau cadeau !!

Serge se mit à rire. Isabelle raccrocha.

La matinée passa très rapidement. Elle ne put rien avaler, et l’heure d’aller au bureau arriva.

14H15.

Isabelle, depuis le parking, monta directement dans le bureau du directeur. La secrétaire ne put s’empêcher de faire une réflexion.

— Eh bien dis donc Isabelle, aujourd’hui, tu es en tenue de combat !! Essaie de ne pas ameuter tout l’étage cette fois !!

Elle se mit à rire tandis qu’Isabelle entrait dans le bureau.

— Waouhhh !!!!! Parfait !!! Vraiment parfait !!! Tu es exactement comme je le voulais, c’est bien ! Je vois que tu es obéissante, cela m’évitera de te punir. Par contre, tout à l’heure, sois bonne au lit ! Ne le déçois pas !! Tu as intérêt à le satisfaire, je te préviens. Et n’oublie pas ce que je t’ai ordonné hier : tu lui fais mettre dans le cul ! Je veux qu’il t’encule ! Tu as bien compris ??

Isabelle hésita un instant et hocha la tête.

— Très bien ! Il est 14H30, il ne va pas tarder.

Isabelle eût le temps de boire un whisky, pour se donner du courage, non sans que Serge n’en profite pour lui peloter les fesses et la poitrine, quand soudain :

— Tiens ! Le voilà ! Je l’entends au service du personnel !

On entendit frapper à la porte.

— Entrez !

Michel pénétra dans le bureau, déposa quelques plis. Il détailla longuement Isabelle, et on put deviner à son regard ce qu’il pensait à ce moment précis.

— Michel, vous partez en courses je pense ?

— Oui, je termine et je vais en ville.

— Bon ! Vous allez emmener Isabelle, elle doit déposer un dossier urgent chez notre conseil !

Michel sourit.

— Ca monsieur, c’est avec grand plaisir que j’emmènerai Isabelle !! Je vais chercher le courrier, et je pars. Qu’elle vienne dans la voiture, je l’attends en bas.

— Très bien, Isabelle arrive, Michel !

Il sortit.

— Tu vois Isabelle, rien que de savoir que tu vas avec lui en ville en cette tenue, je suis sûr qu’il a déjà une belle bosse dans le pantalon !!

— Monsieur.je vous en prie, j’ai envie de rester ici avec vous J’ai envie de faire l’amour.

— Tu as envie de faire l’amour petite Isabelle ?? C’est fantastique ! Tu vas pouvoir t’éclater avec Michel !!!

Isabelle se mit à sangloter.

— Ah non ! Tu ne commences pas à chialer !! Tu ne vas pas nous en faire une cathédrale parce que tu vas prendre un coup de bite dans le cul ! Vas te faire une retouche de maquillage, et descends le rejoindre ! Il t’attend !

Isabelle s’exécuta, se mit un trait de crayon, sortit du cabinet de toilette.

— Tu y vas, tu baises, et tu rentres directement chez toi, tu m’appelles et tu me racontes tout en détails !!! Ne reviens pas ici, parce que je suis certain que je vais te défoncer !! Et avec ce que tu auras déjà pris avec Michel, il vaut mieux te reposer pour être en forme demain !

— Allez, au travail !

Isabelle, la mort dans l’âme, sortit. Arrivée dehors, Michel l’attendait dans la voiture de la société. Elle ouvrit la porte, s’assit à côté de Michel.

— Bonjour Isabelle, on y va !

La voiture démarra. Ils furent bientôt en ville. Michel paraissait très jovial.

— Dites donc, Isabelle, aujourd’hui, vous avez fait fort !! Vous voudriez exciter les hommes que vous ne vous y seriez pas prise autrement. Mini-jupe, t-shirt moulant, collants noirs, hauts talons, vous êtes très féminine, très aguichante.

Michel roulait toujours. Arrêtés à un feu rouge, il plaça soudain sa main sur la cuisse d’Isabelle. Il démarra, garda sa main sur la cuisse. Voyant que la jeune femme ne réagissait pas, il se mit à la caresser doucement.

— Dis donc, tu n’es pas farouche, toi !

Isabelle se rappelait les ordres du directeur. Il fallait concrétiser. Et même si Michel la répugnait, il fallait obéir, et ce le plus vite possible. Plus vite ce serait fait, plus vite ce serait terminé. Michel continuait à caresser sa cuisse. Isabelle, comme dans un rêve, s’entendit murmurer :

— J’ai envie de faire l’amour tout de suite. J’ai envie de faire l’amour avec vous !

Michel fût vraiment très surpris ! Une pareille occasion qui s’offrait à lui ! Si vite, il ne comprenait pas.

— Eh bien dis donc, tu ne perds pas de temps toi au moins ! Tu es directe ! 

Il arrêta la voiture. Tout de suite, il embrassa Isabelle dans le cou, et empoigna ses seins à pleines mains. Il tenta d’embrasser la jeune femme sur la bouche. Elle se déroba.

— Et alors ?? Dis tout de suite que je ne te plais pas ? Tu ne veux pas m’embrasser ??? Tu viens pourtant de dire que tu avais envie de moi. Allez, embrasse-moi ! Ne joue pas la dégoûtée !

Isabelle céda. La langue de Michel s’insinua bientôt dans sa bouche, s’enroula autour de la sienne, tandis que ses mains avides pétrissaient sa poitrine. Bientôt, elles passèrent sous la jupe.

— En plus, tu as mis des bas !! Tu fais réellement tout pour m’exciter, toi !!

Les caresses se faisaient plus précises, sur l’étoffe du slip.

— Non Non. pas ici. pas ici.

— Tu as raison ! On va trouver un lieu plus tranquille !

Michel démarra, ils roulèrent un moment, puis il s’arrêta. Isabelle le vit aller près d’une pharmacie et mettre une pièce dans un distributeur de préservatifs. Elle comprit qu’elle n’échapperait pas à ce qui l’attendait. Il revint, redémarra, puis le véhicule quitta la ville, arriva en banlieue, et ils se garèrent sur le parking d’une chaîne d’hôtels bon marché, à réception automatique.

— Ici, nous serons bien ! Et tu pourras gueuler autant que tu voudras. Dans ce genre d’hôtels, ils sont habitués à ce genre de rendez-vous !

Il paya la chambre, et ils arrivèrent à la 302. Ils entrèrent. Michel, tout de suite, se déshabilla. Une fois qu’il fût nu, Isabelle remarqua qu’il avait un long et gros sexe qui pendait entre ses jambes. Il alla à la salle d’eau prendre une douche et se laver le sexe. Pendant ce temps, machinalement, Isabelle alluma la télévision qui diffusait un feuilleton insipide. Michel réapparût au bout de 10 minutes, propre et sec.

— Eh bien poupée ! Ce n’est plus le moment de regarder la télévision ! Dépêche-toi de te déshabiller !

Isabelle éteignit le récepteur, se leva. Elle commença par enlever le t-shirt, puis la jupe. Elle apparût en sous-vêtements, sous l’œil admiratif de Michel qui émit un sifflement.

— Allez ! Désape-toi ! Vire le soutif et le slip !

Une fois seins et sexe nus, il la contempla.

— Humm dis donc, tu es bien gaulée, toi !!

Après l’avoir contemplée, il ordonna :

— Enlève ton machin, là, et tes bas ! Je veux te baiser complètement à poil !

Isabelle retira le porte-jarretelles, les bas, et les escarpins. Elle était maintenant nue devant lui.

— Super ! Viens t’allonger sur le lit, je vais m’occuper de toi !

Isabelle s’allongea. Michel grimpa sur le lit, l’embrassa longuement sur la bouche, puis l’embrassa dans le cou, descendit, embrassa et se mit à sucer les seins, embrassa le ventre.

— Je vais te bouffer la chatte !! Tu vas voir, je vais te faire monter au plafond !!

Il entreprit un cunnilingus, qui, au bout d’un moment, fit gémir Isabelle.

— OhOH ! .. ahhh. ohhh.. oui.oui.

— Tu vois, tu aimes ça, tu y prends goût Tu mouilles comme une salope. Maintenant, à toi de t’occuper de moi ! Je t’ai assez bouffé la motte, tu vas me sucer la queue !

Il s’allongea et Isabelle dut venir s’occuper de lui. Bientôt, elle lui prodigua une savante fellation.

— OH oui tu es experte toi, tu m’avales la queue ! Continue, lèche bien !

Le sexe était maintenant luisant de salive, il avait doublé de volume, était dressé, et prêt à l’emploi. Michel se leva soudain.

— Ca suffit ! Je vais te prendre !

Il bondit hors du lit, fouilla dans la poche de sa veste, et sortit la boîte de préservatifs.

— Tu vois, j’ai ce qu’il faut !

Il ouvrit un préservatif, l’enfila sur la verge.

— Mets-toi à quatre pattes ! Tends bien ton cul !

Isabelle se mit en position, et le sentit arriver derrière elle. Il la pénétra d’un coup brusque.

— HAN ! Tiens !

— Ah ! aie !

— AH OUI ! elle est bonne ta chatte, elle est trempée, ça glisse bien ! Humm tu sens ma grosse bite ?? tu la sens bien ???

Isabelle gémissait. Elle subissait le pilonnage de l’énorme sexe qui prenait possession de son vagin, qui allait et venait dans son ventre. De temps à autre, l’homme lui donnait de petites claques sur les fesses, et s’enfonçait encore plus loin en elle. Il changea de position, l’allongea, lui leva les jambes sur ses épaules, les rabattit vers elle tout en la prenant.

— Ah salope c’est encore mieux comme ça ! je te la mets encore mieux !

Il la prenait depuis déjà plusieurs minutes, il se retira,

— Allez ! remets toi à quatre pattes !!

Isabelle fût pénétrée rapidement.

— Tu te fais bien secouer, hein salope tu l’aimes ma queue !!

Isabelle se faisait prendre en levrette, elle se rappela de ce que Serge avait ordonné. Elle n’en avait vraiment aucune envie, mais elle s’entendit demander :

— Ahh. Prend moi par derrière, j’ai envie...

— QUOI ? Tu veux que je te la mette DANS LE CUL ???

Il continua à limer.

— Tu es vraiment une petite pute toi !!! Eh bien je vais te la mettre au cul puisque tu insistes !

Il se retira. Isabelle sentit le gros gland se poser sur son anneau.

— Doucement je vous en prie !

— T’inquiète poupée ! On va aller doucement !

Elle sentit la douleur, le gland s’insinuer, et tout à coup, le sexe pénétra en entier. Elle crût perdre connaissance, mais sentit le va-et-vient dans son anus, et la satisfaction de son baiseur.

— Ca y est ! Tu prends tout dans le cul, tu l’as presque à fond !!

Il débitait des obscénités en la possédant, ne s’occupant pas d’elle.

— Ah salope ! Si je m’étais douté voici quelques jours que je baiserais une nana pareille, la nana du patron en plus  ! Et si je m’étais douté que je lui casserais le cul ! TIENS ! Mais prends ça salope ! prends ma grosse bite !

Il s’agita plus rapidement, et Isabelle sentit qu’il jouissait. Il éjaculait dans le préservatif. Il se retira d’un coup, ce qui arracha un cri à Isabelle, qui s’affala à plat ventre sur le lit. Elle sentit un liquide chaud couler sur ses fesses et s’insinuer entre elles. Elle tourna la tête pour voir Michel vider le contenu du préservatif sur elle. Epuisée, elle ne pût réagir, et il le vida entièrement sur elle. Le sperme s’insinua entre ses fesses, coulant sur l’anus et les lèvres du sexe.

— Voilà ma puce ! Tu as pris tout mon foutre.

Il alla prendre une douche pendant que Isabelle était étendue, enspermée et épuisée sur le lit. Quand il revînt, il lui dit :

— Allez, debout ! Dépêche-toi, nous sommes en retard, et il faut encore passer chez l’avocat !

Isabelle passa sous la douche, et constata que Michel était là, ne perdant pas une miette de sa toilette intime. En sortant, il la coinça contre le mur, l’embrassa longuement, la pelotant partout, passant sa main sur la toison.

— Toi, tu as de la chance qu’on soit en retard, parce que je t’en remettrais bien un coup ! Mais ce n’est que partie remise, rassure toi !

Ils sortirent de la chambre, firent les courses, et Isabelle prit directement sa voiture sur le parking et rentra chez elle. Elle appela tout de suite son directeur.

— Oui, je sais ! Il vient de m’apporter du courrier, il m’a raconté votre escapade ! Il m’a dit que tu étais une sacrée salope, mais il ne m’a pas donné les détails. Je t’écoute ? Il a une grosse bite, au moins ?

— Oui oui son sexe est long et épais il est dur !

— Tu l’as bien sucé ?

— Oui, et il a apprécié.

— Il t’a prise en quelles positions ?

— Euh, allongée les jambes levées et deux fois en levrette je crois.

— Et pour la punition que je t’ai ordonnée ?

— C’est fait. Il me l’a fait.

— Il t’a fait quoi ??

—  la sodomie.

— Je veux t’entendre dire le mot, salope ! Dis-le !

— Il m’a enculée.

— BIEN ! Il te l’a mise où ?

— Il me l’a mise dans le CUL !

— Très bien !

— Il a éjaculé dans ta bouche ?

— Non, il a joui en moi, dans mon anus.

— Super ! Il a joui dans ton cul ?

— Oui dans le préservatif, et il l’a vidé ensuite sur mes fesses.

— Très bien ! Tu étais pleine de foutre alors ?

— Oui, j’avais son sperme qui coulait entre mes fesses.

— Humm...

— Ensuite, il m’a regardée faire toute ma toilette.

— Le salaud ! J’étais sûr qu’il était vicieux !! Bon, tu m’en as assez raconté, sois très sexy demain. Je vais m’occuper de toi.

Isabelle raccrocha. Elle eût juste le temps de se changer, et Marc rentra du travail.

A suivre...

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