La déchéance de ma mère - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte
Déchéance finale.La sonnerie retentit dans l'appartement. Farida alla ouvrir se cachant derrière la porte. Ma tante et ma sœur entrèrent. Elles restèrent interdites en nous découvrant ligotés et bâillonnés sur la chaise. Maman et moi nous grognons et nous gémissons tout en tentant de nous détacher. Les filles se jetèrent sur elles... Les maîtrisant en leurs tenants fermement les poignets. Elles crièrent avec un air apeuré. Entourées par ces furies à moitié nues!
- Mais.... Qu'est ce qui se passe ici? Qui êtes vous?
- Vos gueules les salopes!
Charlotte, ma sœur, est habillé d'un Tee-shirt moulant ses seins. Elle porte une mini-jupe en jean sur un leggins noir et des ballerines. Ma tante est habillée d'un chemisier blanc sur une jupe en cuir s'arrêtant au dessus du genou. Ses jambes sont gainées de bas clairs satinés. Ses talons aiguilles noirs la grandissent encore plus. Ma tante pour son âge, elle a 56 ans, est encore une superbe femme. Charlotte à 25 ans, elle vient de se marier à un gendarme. Les deux femmes se débattent tentant d'échapper aux mains de Farida et de ses copines. On malaxe les seins de ma sœur à travers le Tee-shirt, on lui soulève sa jupe. Ma tante tenta de s'échapper et courut vers la porte. Elle fut vite rattrapée par 4 filles qui la plaquèrent au sol. Une des filles s'accroupit sur son visage en lui hurlant de lui sucer la chatte. On soulève la jupe en cuir de Claudine et on lui arrache son string; Ma tante hurle et une des filles lui enfonce un gode dans la bouche. Une autre enfonce ses doigts dans sa fente, les faisant coulisser, tout en lui titillant le clitoris avec sa langue. Une autre déchire son chemisier, baisse les balconnets de son soutien-gorge, et suce les pointes de ses seins. Celle qui s'était accroupie sur elle lui agrippe les cheveux et soulève son visage la contraignant à lui sucer la chatte. Ma tante sort timidement sa langue et donne de petits coups, léchant la vulve dégoulinante de sa tortionnaire...
Charlotte fut traînée vers la table du salon et allongée dessus. On lui lia les poignets et les chevilles aux pieds de la table l'immobilisant. Ma sœur donne des ruades et supplie qu'on la détache. Elle fut bâillonnée avec une boule en latex enfoncé dans la bouche. Farida lui déchira son leggins et écarta le string. Elle s'agenouilla devant ma sœur et commença à lui caresser la vulve. Agaçant le clitoris avec son ongle. Puis, elle introduisit son index puis son majeur la branlant. Ma sœur donne des coups de reins en secouant la tête de droite à gauche. Farida se releva, pointant le gland en plastique de son gode sur l'ouverture de sa chatte et elle la pénétra arrachant un grognement désespéré à ma sœur. Farida la pris aux hanches et commença à la besogner à grand coups de reins....
Maman et moi nous sommes horrifiés. Nous sommes les témoins de l'humiliation de ma tante et ma sœur. Elles sont baisées par ces furies comme nous l'avons été quelques heures auparavant. Ma tante, le visage ravagée, a été positionnée à quatre pattes et elle se fait défoncée par une des filles qui la ramone à grand coups de gode-ceinture. Les seins de Claudine ballottent dans tous les sens sous ses puissants coups de reins. La bouche ouverte ma tante gémit sourdement. Farida s'est retiré et une autre fille a pris sa place bourrant ma sœur. Farida se met à l'écart, prend son téléphone portable et appelle Momo.
Je l'entends distinctement lui dire qu'elle a une surprise pour lui et qu'il devrait venir avec Brahim et Rachid et surtout ramenés des renforts....
On nous détacha et on obligea maman, Claudine et Charlotte a s'allonger sur la table cote à cote, les jambes bien écartés dévoilant leurs fentes. Puis, on les contraignit à se branler mutuellement. Sylviane a du enfoncer ses doigts dans la fente de sa fille pendant que Charlotte fait de même avec sa tante...Charlotte doit également enfoncer ses doigts dans la chatte de maman... On leur hurle dessus pour qu'elles agitent les doigts avec conviction. Très vite, j'entends les trois femmes gémirent.... On empoigne les cheveux de ma tante et elle doit embrasser ma sœur sur la bouche. Écœuré, je vois leurs langues se mélanger. Comble de l'horreur, on obligea ensuite ma mère à embrasser sa fille. Voulant faire une variante, Sylviane et Charlotte furent positionnées tête-bêche et elles durent se sucer la chatte. Je vois distinctement ma sœur sortir sa langue et fouiller la fente de ma mère pendant que Sylviane suce le clitoris de Charlotte qui gémit de plaisir... Ma tante fut traînée devant moi et elle dut me sucer la bite. Elle me prit en bouche, me pompant la bite. On lui fessa le cul parce qu'on trouvait qu'elle ne mettait pas assez de conviction. Elle s'appliqua me léchant les couilles, me reprenant en bouche, me titillant le gland avec sa langue. J'ai une érection d'enfer mais je tente désespérément de ne pas éjaculer. Ce serait trop humiliant! Je fus ensuite allongé sur la table et chaque femme fut obligée de venir me sucer. Ma mère, ma sœur et ma tante s'exécutèrent sans un mot me donnant des coups de langue sur mon gland ou me masturbant. A chaque passage, j'étais contraint d'enfoncer mes doigts dans leurs chattes...
Momo débarqua avec Rachid et Brahim ainsi qu'une dizaine de gars. Je reconnaissais certains qui avaient déjà baisé ma mère dans la cave de la citée ou nous nous étions égarés. Quand tout avait commencé....Ils ricanent en découvrant le spectacle de ces trois femelles qui vont leur être livrées. Maman est toujours vêtue de son corset, Charlotte est toute nue et ma tante, Claudine, est simplement vêtue de ses bas et ses escarpins...
Momo prend la parole...
- Vous voyez les gars, je ne vous ai pas raconté des histoires. Trois bourgeoises rien que pour vous, vous pouvez en faire ce que vous voulez... Mais il faut payer!
Devant Sylviane, Charlotte et Claudine horrifiées d'êtres louées comme de vulgaires putains, les types payèrent Momo qui encaissa les gains avec un sourire.
Les mâles en rut se précipitent et se déchaînent sous l'œil bienveillant de Momo. Les trois femmes sont malmenées par ces brutes. On leurs palpent les seins et on les doigte. Deux types s'avance vers ma mère qui s'empresse de s'agenouiller pour les piper. Charlotte se retrouve à quatre pattes en train de pomper un black pendant qu'un autre type la pilonne violemment par derrière. Claudine, à genoux, branle deux bites, une dans chaque main, en haletant, le regard fixe. Tout ça est filmé par Rachid et Brahim....Je suis contraint de leur servir à boire sauf quand je suis pris à partie par Farida et ses copines qui s'amuse à me masturber et à me sucer.... Ma tante est baisée avec sauvagerie, empalée sur une bite, enculée par une autre pendant qu'elle suce deux bites à la fois, lui déformant la mâchoire. ...Un cri me fait tourner la tête, ma sœur Charlotte, en sueur, décoiffée, à quatre pattes se fait enculer par le grand black. Sa queue d'Ebène lui perfore son anus. Il la tient aux hanches et la bourre comme un sauvage. Les seins de ma sœur ballottent dans tout les sens.
Ma mère, debout sur ses escarpins, se fait baiser comme une truie par 3 types. Un la pilonne la tenant aux hanches, son ventre venant claquer contre ses fesses, pendant que, penchée en avant, elle suce les deux autres. C'est une véritable orgie qui se déroule dans notre luxueux appartement. Si les voisins pouvaient s'imaginer... peut être qu'ils entendent les cris d'ailleurs? J'entends des râles... Les hommes éjaculent, libérant des quantités de sperme sur leurs esclaves sexuelles. Ma mère a son visage recouvert de foutre et ma tante en a partout sur le corps. Pour Charlotte, le black lui a déversé son foutre dans sa bouche... On oblige ma sœur à venir me sucer la bite. Elle proteste au début puis, à genoux devant moi, me regardant avec un regard de totale soumission, elle me donne de petits coups de langues sur le gland, me masturbant, me léchant les couilles. Les hommes se reposent un peu buvant comme des trous et ma mère se fait goder par les filles. Elle doit lécher la chatte de Farida qui jouit très vite en poussant un hurlement.... Je résiste tant bien que mal mais je ne peux me retenir plus longtemps et je jute sur le visage de ma sœur...
Les heures passent. La nuit est tombée. Durant tout le week-end, ma mère, ma sœur et ma tante ont du subir de multiples pénétrations. Faire des dizaines de fellations. Momo fit venir des renforts le lendemain matin, une trentaine de types des cités débarquèrent dans notre appartement et baisèrent comme des sauvages ma mère et ma tante. Elles furent emmené dans la cave du concierge qui en profita largement avec son fils. Le pire, c'est que j'ai l'impression qu'à force, elles y ont pris du plaisir. Je les entendais distinctement jouir en se faisant baisées et fouettées attachées sur la Croix de Saint André. Le samedi soir et tout le dimanche ma mère et ma tante, on avait autorisé ma sœur a rentré retrouvé son petit mari, furent conduit dans la cité ou nous nous étions égaré Sylviane et moi au tout début. Uniquement vêtues de bas résilles et de talons aiguilles, un collier autour du cou et tenues en laisse par Rachida et Momo, elles furent prostituées dans les caves, livrées à des dizaines et des dizaines de mâles en rut... De bourgeoises distinguées ces ignobles pervers ont réussi à les transformer en putes soumises...
FIN
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