mardi 4 février 2020

Ecole privée Ch. 07

Ecole privée - - Soumission - chantage - récit érotique

14 -- Un long week-end.

Les jours suivants furent irréels. Chaque fois qu'elle entrait dans sa classe, elle s'attendait à ce que les garçons l'attendent avec leur bite à l'air et lui demande de se pencher sur le bureau pour la baiser rapidement avant le cours. Mais au lieu de cela, il était extrêmement sage, à part un simple coup d'œil occasionnel sur sa poitrine qui lui rappelait ce qui s'était passé. Elle essaya de ne pas y penser et se plongea dans son travail préparant les cours avec grand soin. Et, lorsqu'à la fin de la semaine, M. BONHOMME, le directeur, vint observer son travail, il la couvrit d'éloges.

Mais quand, après le dernier cours du vendredi, MAURICE et Belinda sont restés dans la classe et se sont approchés d'elle, elle a vu la lueur dans leurs yeux. MAURICE fit un mouvement du doigt vers le haut, et immédiatement elle leva son haut pour montrer ses seins. Un autre mouvement du doigt lui fit relever sa jupe et un petit tourbillon de doigt lui indiqua de se tourner et de présenter son cul nu. Pendant que le garçon l'inspectait, Belinda s'assit sur une chaise.

- J'ai des instructions pour toi pour le week-end, salope. Mais pendant que tu écoutes, tu peux travailler. Fais plaisir à Belinda.

Souriante, la jeune fille ouvrit les jambes et Anne se laissa tomber à genoux. C'était déjà assez pénible de s'occuper de la fille sous les ordres de MAURICE, mais le faire dans sa propre classe, à genoux, ajoutait à l'humiliation. Anne enfouit son visage dans le buisson roux et lécha la chatte de la jeune fille.

- Maintenant écoute salope. C'est de nouveau une nuit de service pour toi au dortoir. Mais pourquoi ne le ferais-tu pas tout le week-end? Tu vas aller dans la salle des professeurs quand tu en auras fini avec Belinda et tu diras aux autres, que comme tu as du travail, tu veux bien prendre leur tout du week-end. Il y a beaucoup de bites bien raides qui attendent, alors tu te débrouilles pour être disponible tout le week-end. Compris?

Elle marmonna son assentiment sans sortir la langue de la chatte humide de la jeune fille. Celle-ci attrapa sa tête et frotta son visage sur sa chatte à plusieurs reprises, puis elle la repoussa.

- Allez Éric, je suis bien mouillée et excitée maintenant. Je suis impatiente d'avoir ta grosse bite dans ma chatte.

Les deux étudiants quittèrent précipitamment la classe, laissant Anne agenouillée sur le sol. Plus tard dans l'après-midi, quand elle arriva dans sa petite chambre au dortoir, David GRIFFON l'attendait déjà. Il entra juste derrière elle et baissa sa braguette.

- Suce! Commanda-t-il sèchement.

Anne fut sur le point de lui dire de se débrouiller tout seul, mais après avoir pris quelques secondes pour se calmer, elle s'agenouilla et prit sa queue dans sa bouche. Ça sera ça le reste du week-end (et le reste de l'année)? Elle sera une professeure respectée dans sa classe et baisée ailleurs. Au moins, il aurait pu demander gentiment.

- Dépêche-toi putain, je veux vider mes couilles. Grogna David.

Soupirant, elle obéit et s'appliqua avant d'avaler rapidement la première décharge de sperme du week-end. David attendit assez longtemps pour qu'elle suce les dernières gouttes de sperme de sa queue, puis il se retourna, remonta sa braguette et se dirigea vers la porte. Dans l'encadrement, il laissa passer Tom LIERE et lui dit avant de partir :

- Sa bouche est très bonne, et elle a l'air impatiente de jouir. Amuse-toi bien avec cette garce.

Anne resta où elle était et ouvrit la bouche. Charles fut le troisième, mais alors qu'elle était toujours occupée à le sucer, la porte s'ouvrit à nouveau et Guillaume BETON entra.

- Désolé Charles, mais je m'ennuie à attendre. Ça te dérange si j'utilise son autre extrémité?

- Pas du tout camarade. Ça devrait être amusant quand tu vas la pilonner et pousser son visage plus profondément sur ma bite.

Le garçon noir attrapa ses cheveux et se laissa tomber à genoux en s'assurant que sa bouche reste là où elle était. Anne sentit Guillaume relever sa jupe et sentit une pointe d'excitation. Elle allait se faire baiser à nouveau. Cela faisait seulement cinq jours qu'ils l'avaient tous eue, mais elle mouilla immédiatement. Elle entendit le bruit d'un pantalon qu'on laisse tomber et le garçon s'agenouilla derrière elle.

- Rappelle-toi qu'Éric ne veut pas qu'elle jouisse. Il veut qu'elle reste en chaleur. Déclara Charles à Guillaume avant de gémir lorsque la langue de Anne trouva un point particulièrement sensible. Elle entendit Guillaume rigoler alors qu'il lui saisissait les hanches.

- Oui je sais. Et je n'ai pas l'intention de laisser notre pute jouir. C'est pourquoi je vais passer ailleurs.

Ailleurs? Il n'allait pas... Le corps d'Anne sursauta lorsqu'elle sentit le sexe dur de Guillaume se presser contre son anus. Elle tortilla du cul, mais les mains du garçon la tenaient fermement et son petit trou étroit commença à s'ouvrir sous la poussée.

- AIEEE! Arrête! Cria-t-elle.

- Oh merde ; tu m'as mordu la bite, salope!

Anne n'entendit même pas l'exclamation de Charles. Elle se libéra et repoussa Guillaume.

- Eloigne toi de moi pervers. Je ne te laisserai pas m'enculer.

Le garçon la regarda et un fin sourire se dessina sur son visage.

- Ah bon? Bien, on verra ce que Éric dira à ce sujet, salope!

Il partit. Anne vit Charles qui tenait toujours sa bite douloureuse.

- Je suis désolé Charles. Je ne voulais pas te faire de mal. S'il te plaît, laisse moi te sucer à nouveau.

Le garçon la regarda et secoua la tête.

- Pas maintenant putain. D'abord je veux voir ce qui va se passer.

Sachant qu'elle allait probablement avoir des problèmes avec Éric, mais déterminée à ne pas souffrir d'une nouvelle humiliation, elle attendit qu'il apparaisse quelques minutes plus tard.

- Charles, peux-tu nous laisser seuls. Nous avons des choses à discuter. Demanda Éric.

- Oui ok, mais ensuite j'aurais aussi des choses intimes à discuter avec cette chienne. Sourit Charles alors qu'il se dirigeait vers la porte.

- Bon, nous avons un petit problème ici. Tu as refusé de servir un des gars et tu en as mordu un autre. Ce qui fait deux problèmes en vérité. Alors qu'est-ce que tu vas faire à propos de ces deux problèmes chienne? Dit MAURICE pensif.

Anne avait eu quelques minutes pour préparer sa défense.

- Ecoutez, je suis désolé d'avoir mordu Charles. C'était une réaction instinctive quand Guillaume a essayé de me sodomiser. Je vais me faire pardonner par Charles, et si vous le voulez, je supplierai d'être punie. Mais je ne les laisserai pas me baiser le cul. Et c'est définitif.

Le garçon leva un sourcil.

- C'est définitif? Alors tu veux être fouettée? Mais parlons d'abord de ton problème avec Charles. Tu lui présenteras des excuses en public. Et tu le feras en embrassant son cul noir. Compris salope?

- Oui M. MAURICE.

Elle se dit que ça s'était mieux passé qu'elle ne l'avait prévu.

- Maintenant le problème avec ton cul. Tu vois, j'ai un dilemme. J'ai promis aux gars qu'ils pouvaient t'avoir quand ils le voudraient, et ils n'aiment pas faire la queue pour une simple fellation. Et je ne peux pas les laisser baiser ta chatte ou alors tu vas jouir plusieurs fois par jour. Et nous ne pouvons pas laisser faire ça, n'est-ce pas? Mais si tu ne veux pas te faire enculer, tu ne le veux pas. Seulement, ton cul doit servir à quelque chose, et si ce n'est pas pour le baiser, c'est pourquoi alors? La seule chose amusante avec le cul d'une salope c'est de fourrer sa bite dedans ou de le voir fouetté. Je vais donc te donner le choix. Les gars vont vouloir te sodomiser, donc tu pourras les supplier de te donner des coups sur les fesses, disons 25. Ça devrait les garder occupés en attendant d'être sucé. Fous toi à poil et prépare toi à présenter des excuses à Charles.

Anne ne savait pas trop quoi penser. Pas de sodomie mais le cul fouetté! Était-ce bien? Elle se déshabilla rapidement et suivit MAURICE hors de sa chambre, complètement nue. Anne chercha nerveusement les autres garçons qui n'étaient pas au courant de ce qui se passait, mais il n'y avait personne. MAURICE l'amena à la chambre de Charles. Quand ils entrèrent, le garçon noir était en train de raconter à son camarade de chambre ce qui s'était passé. Ils levèrent les yeux et sourirent quand Anne entra, complètement nue. MAURICE la poussa dans le dos et elle avança vers Charles.

- Je... je suis désolé de t'avoir mordu Charles. Ce n'était pas intentionnel. Je veux me faire pardonner.

Il y eut un moment de silence.

- Allez salope! Gronda MAURICE.

- Je veux me faire pardonner en embrassant ton cul, Charles.

Tom éclata de rire et Charles eut un grand sourire. Il se leva et laissa tomber son pantalon. Mais au lieu de se placer devant Anne, il s'assit sur son lit et leva les jambes.

- Vas-y alors, embrasse mon cul noir. Dit-il en souriant.

Anne fut forcée de s'agenouiller et de se baisser. Le garçon écarta les jambes pour qu'elle puisse mieux voir. En même temps ça ouvrit la raie et Anne se retrouva à regarder son trou du cul. Elle prit une profonde inspiration et planta deux rapides baisers sur ses fesses. Tout de suite MAURICE la corrigea d'une voix sévère :

- Ah non salope! Nous ne parlons pas d'un rapide baiser amical sur la joue. Quand tu embrasses, tu le fais comme une pute, avec ta langue. Et on a dit le cul, pas les fesses. Mets ton visage dans cette raie et nous voulons voir l'action de ta langue sur son cul. Et juste au cas où tu envisages de refuser et de supplier d'être punie à la place, la peine serait de 25 coups avec la cravache direct sur ton trou du cul.

Anne déglutit et chercha ardemment une échappatoire tout en sachant qu'il n'y en avait pas. Elle se pencha et lécha timidement le trou du cul de Charles. Elle fut récompensée par un gémissement et elle vit la main du garçon saisir sa bite et la branler lentement.

- Oh oui, bouffe mon cul! Gémit-il.

Elle obéit et poussa son visage plus profondément dans sa raie. Après sa première hésitation, elle se dit que ce n'était pas si grave si elle ne pensait pas à ce qu'elle léchait exactement. Elle entendit des bruits derrière elle et fut bousculée.

- Ça ne va pas les gars, c'est un peu encombré ici. Allons quelque part où il y aura plus de place pour les spectateurs.

Charles sembla déçu quand MAURICE entraîna Anne en la tenant par les cheveux. Quand elle se leva et se retourna, elle vit les trois autres garçons entassés dans la chambre. MAURICE la fit sortit dans le couloir et la dirigea vers les toilettes. Charles suivit en tenant son pantalon avec ses mains. Anne pâlit quand il s'assit sur une cuvette de WC.

- Maintenant, tu vas pouvoir t'excuser correctement.

MAURICE la fit tomber à genoux devant Charles qui leva une jambe et l'appuya sur une cloison. Anne ferma les yeux et essaya d'oublier ce qui se passait alors qu'elle reprenait son travail sur le cul du garçon noir. Toutefois, les remarques grossières que faisaient les autres garçons la tenaient trop consciente de sa position dégradante.

- Mec, regarde cette langue, elle aime vraiment ça.

- Mets la dedans salope!

- je vais lui laisser manger mon trou à merde tous les jours.

Elle perdit la notion du temps en se concentrant sur sa tâche. Après un moment, MAURICE considéra qu'elle avait fait ses excuses. Il demanda à son camarade :

- Tu veux qu'elle te suce ou garder ton érection pour après le spectacle.

Charles sourit.

- J'attends depuis si longtemps qu'il serait dommage de gâcher mon érection maintenant si notre petite garce veut nous donner un show.

- Ok, allons-y les gars! A quatre pattes salope!

Anne n'essaya pas de se lever et suivit MAURICE hors des toilettes. Avec horreur, elle vit qu'il ne la menait pas dans sa chambre, mais dans la salle commune des garçons. Il lui demanda ensuite de se mettre à genoux, les jambes écartées.

- Tu fais un seul mouvement sans ma permission salope, et tu te feras fouetter les seins. Compris?

- Oui M. MAURICE.

Tant qu'elle était à genoux, au moins, ils n'essayaient pas de lui défoncer le cul. MAURICE murmura quelque chose aux autres et Tom et David quittèrent la pièce. David revint un moment plus tard avec une cravache avec laquelle il fouetta l'air avant de la remettre à son compagnon de chambrée.

Toutefois, les garçons semblaient toujours attendre quelque chose. Quand Anne entendit des voix et des pas s'approcher, ses yeux s'écarquillèrent. Non, il ne pouvait pas... Avant qu'elle ne puisse achever sa pensée, la porte s'ouvrit et les autres garçons de sa classe entrèrent. La silhouette haute et athlétique de Frédéric MAQUERON était suivie de son colocataire et camarade, Olivier GRAND. Les deux étudiants, étant là dans le cadre d'échange entre pensionnat, Maxime BIERE et Pierre ROUSSEAU suivaient, et enfin, la grande forme noire de Robert COUPET suivait son compagnon de chambre Ali MOKTAR. Chaque garçon resta ébahi en entrant. Mais Anne eut l'impression qu'ils n'étaient pas entièrement surpris par ce qu'ils voyaient. Peut-être que la folle histoire que leur avait raconté Tom était vraie en réalité. MAURICE leur fit signe de s'asseoir.

- Maintenant Mme POISTOUT, nos derniers amis ne connaissent pas encore la vérité sur vous. Veuillez leur expliquer s'il vous plaît.

C'était horrible. Les autres garçons avaient aussi entendu l'histoire de MAURICE à son sujet. Mais maintenant, elle devait expliquer elle-même tous ces détails humiliants. Elle devait s'en tenir à l'histoire inventée par MAURICE bien sûr. Elle se blinda et commença :

- Vous voyez, je...

Sa voix faiblit, mais un coup d'œil à son bourreau la remit en route.

- Je suis souvent très excitée et au bout d'un moment, il faut que je me fasse jouir. J'ai donc demandé à M. MAURICE de me contrôler. Donc effectivement, en dehors des cours scolaires, je fais ce qu'il dit. Il a déjà décidé que je dois faire plaisir à six garçons de la classe quand ils le souhaitent. Mais je ne dois pas jouir sans la permission de M. MAURICE.

- Dites Mme POISTOUT?

La voix de MAURICE était étonnamment douce.

- Vous avez dit que vous étiez souvent excitée. Pensez-vous à un mot qui pourrait vous décrire?

Anne se mordit la langue et cracha ce qu'il voulait entendre.

- Salope.

- Exactement salope, c'est ce que tu es. Et je veillerai à ce que tu sois utilisée de la façon dont tu as besoin et que tu n'aies pas de problèmes.

Il se tourna vers ses camarades de classe.

- Ok les gars, vous pouvez tous l'avoir comme vous voulez, mais assurez-vous que notre petit arrangement reste entre ces murs. Avoir notre professeure comme putain est une trop bonne chose pour la perdre. En dehors de cela, utilisez-la comme vous le souhaitez. Mais avant cela, je pense que ceux qui la voient comme ça pour la première fois, veulent mieux la connaître. Montrez ce que vous avez à offrir, putain de professeure.

Comme en transe, Anne se leva et se mit au milieu de la pièce. Lentement, elle tourna pour que tout le monde puisse bien regarder son corps.

- Non, non salope! On dirait que tu es trop bête pour être une bonne salope. Il y a douze queues dans cette pièce et ta tâche est de les faire bander. C'est vraiment dur de t'entraîner à être une vraie pute pour nous. Commence par faire rebondir tes mamelles! Saute!

Anne sentit tous les regards se poser sur sa poitrine alors qu'elle obéissait. Il la fit continuer jusqu'à ce qu'elle transpire. Puis il lui dit de se pencher jusqu'à ce que ses mains touchent ses pieds. Après dix répétitions de ce mouvement, elle dut écarter légèrement les jambes pour en faire dix autres. Chaque fois qu'elle touchait ses pieds, elle savait que sa chatte et son cul devaient être clairement visible.

- Sur le sol, jambes écartées! Et assure toi de nous montrer combien tu apprécies en souriant! Commanda MAURICE.

- Oui Monsieur. Haleta-t-elle.

A bout de souffle, elle pouvait voir les renflements dans les pantalons des garçons. Son bourreau continua à lui faire prendre des positions toutes aussi obscènes les unes que les autres pendant une demi-heure. Finalement il lui dit de s'asseoir en gardant les jambes grandes ouvertes.

- Bon les gars, j'espère que vous avez apprécié le spectacle. Et maintenant c'est à vous. Mais pour des raisons d'équité nous devons laisser Charles et Guillaume commencer, car ils ont été brutalement interrompus dans leur activité de temps libre il y a une heure. Vous voulez quoi?

Charles hésita un instant, mais Guillaume n'avait aucun doute.

- J'allais lui baiser le cul et je veux le faire maintenant.

Charles haussa les épaules et indiqua qu'il laissait Guillaume commencer. MAURICE sourit à Anne.

- Eh bien salope, tu as entendu le monsieur. Il veut s'amuser avec ton cul. La question est de savoir comment?

Anne se mordit la lèvre.

- Je ne vais pas me laisser m'enculer. S'il veut me fouetter qu'il le fasse.

MAURICE expliqua le choix qu'il avait donné à l'enseignante. Certains furent incrédules, mais Guillaume se leva et prit la cravache que MAURICE lui tendait.

- Ok salope, je vais te décoiffer le cul puis te baiser la bouche. Penche-toi et montre ton cul!

Le cœur battant, Anne obéit. Mais au lieu d'utiliser la cravache, le garçon attrapa ses fesses et les écarta.

- Regardez le morceau les gars. Quelle chatte et quel joli petit cul serré. Attends un peu, j'aurai tout bientôt. Maintenant compte salope!

Le premier coup parcourut le corps d'Anne comme une langue de feu.

- Un.

Elle s'efforça de se concentrer sur le comptage et d'ignorer la douleur dans ses fesses. Les dix premiers coups tombèrent en parallèle. Sur les suivants, il changea légèrement de position afin que ses coups croisent les précédents. Et là où il touchait la zone de peau déjà frappée, la douleur était double. Une larme coula sur son visage, mais elle réussit à continuer de compter. Les trois ou quatre derniers coups furent un enfer. Elle avait l'impression que son cul était en flammes. Mais le fait de savoir que ça serait bientôt fini lui fit l'endurer.

- Vingt-cinq. Souffla-t-elle presque triomphante.

- Tourne toi et ouvre la bouche, salope! Commanda sévèrement Guillaume.

Son cul toujours douloureux, elle se retourna et s'agenouilla. Il lui attrapa la tête et enfonça sa bite dans sa bouche ouverte, la faisant immédiatement étouffer. Mais il ne lui laissa même pas le temps de protester, il baisa son visage comme il aurait baisé sa chatte. Elle se débattit pour avoir de l'air alors que la bite dure lui coupait la respiration. Toutefois, la séance de fouet l'avait excité et avant que Anne ne soit désespérée, elle le sentit vider sa semence au fond de sa gorge. Au dernier il sortit et jeta sa dernière décharge au visage.

Il fut immédiatement remplacé par Charles, qui prit plus de temps. Anne fit de son mieux en essayant de lui faire une bonne fellation pour se faire pardonner de l'avoir mordu. Sa queue était plus grosse que celle de Guillaume, mais il semblait heureux qu'Anne ne s'occupe que de son gland. Maintenant, certains des autres garçons avaient leur bite en main, et quand Charles eut fini d'éjaculer sur son visage, d'autres prirent sa place. Elle ne pouvait pas se rappeler combien de pipes elle avait fait. Mais quand il n'y eut plus de volontaires, sa langue était engourdie et son visage était couvert de sperme.

Elle était à peu près sûre de ne pas avoir sucé tous les garçons. Elle regarda autour d'elle. La plupart des jeunes avaient remis leur bite dans leur pantalon, mais Maxime, l'étudiant dans le cadre d'échange, vint vers elle avec sa queue se balançant devant lui.

- J'ai déjà eu une fellation, mais je ne l'ai pas enculée. Qu'est-ce que tu en penses, je t'encule? Lui dit-il en se léchant les lèvres.

Anne se fâcha :

- J'ai dit que je ne voulais pas être sodomisée. J'ai été fouettée pour ça, alors n'essaie même pas!

MAURICE, assis dans un fauteuil, intervint en souriant :

- Mais salope, tu as été fouettée parce que tu ne voulais pas te faire enculer par Guillaume. Maintenant c'est Maxime qui veut le faire. Alors tu choisis, la cravache ou alors sa queue dans ton cul?

Anne répondit et cria sans vraiment réfléchir :

- Je ne me ferai pas enculer par un de ces pervers!

MAURICE haussa les épaules :

- Fais comme tu veux!

Il lança la cravache à Maxime qui l'attrapa adroitement. Le garçon tira la professeure vers une table.

- Courbe-toi et mets-toi sur la pointe des pieds, ça sera plus agréable.

Mordillant ses lèvres en attente de la douleur à venir, Anne tint la position tandis que l'étudiant visait prudemment.

- AAAIIIIIIIEEEEEEE! Cria-t-elle quand le premier coup tomba sur son cul déjà torturé.

- Tu as oublié de compter chienne, on recommence. Jugea MAURICE.

Avant qu'elle ne puisse protester, le prochain coup tomba exactement à l'endroit du premier. Anne s'effondra en tenant ses fesses douloureuses.

- Tu n'as toujours pas compté et tu n'es pas restée en position. Donc tu vas avoir encore 26 coups de cravache.

Anne savait qu'elle ne les supporterait pas. Elle resta pelotonnée sur le sol en sanglotant.

- Faites ce que vous voulez avec moi alors. Murmura-t-elle.

- Ce n'est pas aussi simple que ça, salope.

La voix de MAURICE trahit son triomphe.

- Tu as dis à Maxime que tu préférais la cravache et il a déjà commencé. Tu vas donc devoir le supplier gentiment qu'il arrête de te fouetter et qu'il te baise le cul. Très gentiment.

Anne eut une dernière lueur de résistance afin de ne pas être encore plus humiliée, mais un léger coup de cravache sur son cul la fit haleter. Toute résistance disparut. N'importe quoi pour échapper à ces coups. Elle se remit à genoux.

- S'il vous plaît Monsieur BIERE, ne me fouettez plus. S'il vous plaît, enculez-moi. Je suis désolé d'avoir rendu la situation difficile pour vous. Excusez-moi.

Comme elle eut peur de ne pas pouvoir faire cesser la punition, elle rampa et passa derrière le garçon. Puis elle colla son visage entre ses fesses, et sa langue taquina son trou du cul. Il y eut un rire incrédule et une voix qu'elle ne reconnut pas dit :

- Incroyable, elle doit vraiment aimer mettre sa langue dans nos culs. C'est la salope la plus vicieuse que j'ai jamais rencontrée.

L'étudiant ne réagit pas, mais la laissa lécher son trou du cul pendant un long moment. Finalement, il se retourna et la poussa de manière que son visage soit sur le tapis et son cul à l'air.

- Voici son premier enculage. Annonça-t-il.


A suivre...

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