lundi 24 février 2020

Le bistro Ch. 01

Texte écrit en 2009 par Nadi69.

Découverte du bistro.

Hello, je m’appelle Nadine, j’ai 25 ans, petits seins, mince et mes fesses sont le fantasme de beaucoup d’hommes. En tous cas c’est ce que l’on me dit souvent. De nature soumise et obéissante, (l’un ne va pas sans l’autre) je corresponds, par Internet, avec Maîtresse Marie.
Celle-ci me demande de faire des tas de choses sexuelles et d’en apporter les preuves en lui envoyant des photos. Ce n’est pas toujours évident de lui obéir, surtout pour les photos, mais je fais de mon mieux pour la satisfaire.
Cette semaine elle m’a ordonnée de trouver un chantier et de me donner gratuitement aux ouvriers, de faire des photos et une description de ce qui se sera passé, puis, de lui envoyer, tout cela, via son e-mail.

C’est la première fois qu’elle me demande un truc de ce genre et j’ai une trouille pas possible, me rendant compte des risques encourus et de mon avenir, en acceptant cela.
Mais comment ne pas la décevoir si je ne m’exécute pas. Je me suis même demandé si ma Maîtresse n’était pas, en fait, un Maître car, ce genre de chose est un fantasme d’homme en général. Mais voilà, je suis une esclave obéissante et me voilà à la recherche d’un grand chantier.

En sortant de chez moi et me dirigeant vers l’arrêt du bus, je dois passer devant plusieurs petits bistrots de quartier, surtout fréquentés par des ouvriers et autres alcooliques notoires.
Un de ces bistrots est principalement fréquenté par des arabes et quelques noirs aussi. Comme quoi dans ce genre d’endroit, l’Islam n’a pas vraiment sa place.

Il fait assez beau en ce début avril et je me suis habillée courte et légère, un petit sac à dos pour mes affaires personnelles. Au moment de passer devant ce bistrot et comme d’habitude, je me fais « vanner » et « charrier » :

- Hé ! Ma jolie ! Vient donc goûter mon sucre d’orge

- Ta jupe est trop longue ! On ne voit rien !

- A ton âge on prend encore la sucette !

Et d’autres « vannes » tout aussi débiles, que les hommes un peu ivres et en groupes lancent aux filles pour les faire fuir. Mais, je ralentis le pas et une idée me vient tout à coup. Et si…

Et si, pour plaire à ma maîtresse, au lieu du chantier j’allais dans ce bistrot voir si leurs paroles valent leurs gestes.

Une grosse boule me monte à la gorge, mon estomac se noue mais, je sens les muscles de mon vagin se contracter par à coup. Je m’arrête, les quolibets se raréfient et lorsque je me retourne toute tremblante d’angoisse, ils s’arrêtent.
Je reviens sur mes pas et sans regarder personne, les yeux fixant le sol, je pénètre dans ce bistrot. Un silence total et impressionnant s’installe au fur et à mesure que j’avance à l’intérieur. Mon ventre n’est plus qu’un gros nœud, ma gorge est tellement sèche que j’ai l’impression de m’assécher complètement et pourtant mon entre-jambe me trahit.

- Ma parole !... Mais, je mouille ! Pensais-je

Mon angoisse diminue un peu et j’ose lever mon regard vers le bar. Derrière ce dernier se tient un homme assez fort d’une quarantaine d’années qui me regarde l’air méfiant et mauvais.

Enfin, après avoir lutté pour, ne pas faire demi-tour et me sauver au plus vite et au plus loin, je parvins contre le bar, enlevai mon mini sac à dos et le déposai à mes pieds. Trois hommes y sont accoudés et me regarde comme une extra-terrestre.

- Bon… Bonjour ! Fis-je avec une voix de petite fille

- ….

Le silence, le plus glaciale de mon existence, me répond. Dans le bistrot, je n’ose regarder personne et le silence est toujours aussi palpable.

- Je… Je… Je voudrais…. Je voudrais un café crème, s’il vous plaît. Demandais-je toujours avec une petite voix.

- Avec beaucoup de crème s’il vous plaît ! Continuais-je.

J’ai l’impression que ma voix a explosé dans ce silence et pourtant la dernière phrase, je l’ai chuchotée.

L’homme derrière le bar me regarde ou plutôt son regard à l’air de m’explorer. J’ai un petit rictus qui voudrait être un sourire qui se forme sur mes lèvres et mes yeux redescendent sur la poitrine de l’homme.
Quelques instant encore de silence et d’observation et l’homme se retourne pour faire mon café. Une parole, puis deux, puis trois emplissent le silence derrière moi mais elles semblent être chuchotées.

- Que vient faire une jolie fille comme toi dans ce bistrot ? Dit une voix à ma droite.

- Surtout avec si peu de vêtement ! Dit une autre derrière moi.

- Et avec des fesses pareilles ! Fis une voix très, très proche de moi sur la gauche.

En attendant qu’on me serve, j’ai baissé les yeux vers le comptoir et senti que l’homme sur ma gauche s’est rapproché de moi. Je sursaute lorsqu’une main épaisse et forte se pose sur ma fesse gauche et presse celle-ci.

Seul, la barrière de tissu de mon short très court et moulant sépare la paume de cette main à la peau de ma fesse. Mon ventre se noue encore et l’angoisse de ma gorge s’amplifie. Mais, je ne me dérobe pas de ce touché osé.

- C’est un peu dangereux ici pour une petite salope dans ton genre. Me dit la voix de gauche presque sur mon oreille.

- Voici votre café Mademoiselle ! Dit le patron.

- Et avec beaucoup de crème. Continue-t-il avec une voix plus forte pour que tout le bistrot puisse entendre.

- Mer… Merci beaucoup. Fis-je d’une voix angoissée.

L’homme à ma gauche me malaxe la fesse sans plus aucune retenue et tous les clients du bistrot doivent jouir d’un spectacle gratuit. C’est aussi à ce moment qu’une autre main se pose sur ma fesse droite et le bout des doigts glissent entre mes jambes. Les deux hommes sur ma droite se sont rapprochés au point de se tenir contre et derrière moi.

Je sens le souffle de l’homme derrière moi me chauffer la nuque et une main s’aventure sur mon sein droit, seulement protégé par un body moulant. Comme, je ne porte jamais de soutien-gorge, mon téton est accessible facilement et ne tarde pas à subir pincement et étirement.
Levant mes yeux paniqué vers le patron du bar, je vois ce dernier faire signe aux hommes qui m’entourent et me tripotent d’aller vers les toilettes.

Sans aucune violence mais avec fermeté, je suis entraînée vers les toilettes du bistrot. En fait, c’est l’homme qui me maintient par la fesse gauche qui, uniquement en me tenant celle-ci, me tire vers les WC. Les deux autres hommes suivent. Le bourdonnement des conversations reprend avant que je ne franchisse la porte séparant le bistrot des toilettes.

Mon sort ne semble plus intéresser que les trois hommes qui m’entraînent. Quelle erreur de jugement venais-je de faire ! Mais cela je ne le savais pas encore.

Celui qui me tient la fesse tout en me poussant vers l’avant, dans le couloir menant aux toilettes, glisse sa main dans mon short et malaxe ma fesse à même la peau cette fois.
Je suis poussée sur des casiers de bière qui encombrent ce couloir, un peu sombre et pas très propre. Mon body disparaît en moins d’une seconde. Des mains et des langues se collent à mes seins et mes lèvres. Une langue grasse et très humide pénètre ma bouche, pendant que des dents mordillent mon téton.
Mon short m’est enlevé aussi rapidement que mon body et c’est en string et baskets que les trois hommes continuent de me tripoter partout. Des doigts s’enfoncent dans mon anus et mon vagin et je me rends compte que mon angoisse se transforme en une jouissance énorme.

- Assied-toi petite ! Je vais t’en donner de la crème. Fait un des hommes en me poussant, par les épaules, vers le bas.

Les doigts et mains se retirent de mes orifices et je dois m’asseoir sur les casiers de bière. Une bouteille mal rangée dans le casier vient se placer juste sur mon anus alors qu’un sexe se pose contre ma bouche.

- Allez ! Suce petite ! Vient boire ton lait !

- Ah ! Putain ! Quelle salope cette gamine ! S’écrie une voix.

Deux mains ont empoigné ma tête et le sexe coulisse dans ma bouche au rythme que m’impose l’homme. En fait il me baise la bouche. Son sexe devient de plus en plus dur et une vingtaine de va-et-vient suffise avant que je sente son sexe avoir des soubresauts. L’homme place son sexe au bord de ma bouche afin que celle-ci se remplisse de sperme.
Mon excitation s’accentue de cette situation.
Un doigt vient de pénétrer l’entrée de mon vagin et caresse mon clitoris. La bouteille à l’entrée de mon anus semble vouloir s’enfoncer encore. Mes mains poussent sur, d’un côté une pile de casier de boisson et l’autre sur un mur rapetissant le couloir.

- Hé les gars, elle s’est mise une bouteille dans le cul, la salope !

- Enfonce-la à fond. Dit l’autre homme qui me tripote depuis le début.

Les sons qui sortent de la bouche de l’homme qui se vide dans ma bouche sont entrecoupés d’ordre :

- Haaaaaa ! B…Bois…Hoooooo ! Av…Avale ! Haaa aaa !

Et à chaque fois un jet remplit ma bouche et j’avale aussitôt. Mon excitation atteint son comble lorsque je me sens soulevée et reposée vivement afin que la bouteille s’enfonce vraiment dans mon derrière.

- Quelle salope ! Elle prend toute la bouteille dans son cul.

- Vite, je ne vais pas me retenir plus longtemps. Dit une voix en poussant celui qui finit de se vider dans ma bouche.

Il se retire et je reçois un autre sexe bien odorant pour remplacer celui qui vient de me quitter. La situation, l’odeur, la bouteille, les caresses, le sperme qui descend dans mon ventre et ce nouveau sexe dans ma bouche ont raison de moi et c’est un formidable orgasme qui me secoue dans tous les sens
.
Pendant plusieurs secondes voire deux ou trois minutes, je ne suis qu’un robot qui accepte tout ce qui se présente. Lorsqu’à travers mes yeux embués et mon excitation permanente, je vois que plusieurs hommes ont rejoint les trois autres et qu’ils font la file pour se vider dans ma bouche, je peux enfin me rendre compte de la situation dans laquelle je viens de me mettre moi-même
.
Assise sur le bac de bière, une bouteille coincée à fond dans mon cul et les sexes défilant et se vidant dans ma bouche sont pour moi une réelle révélation de ma nature profonde. Je peux donc me comporter comme une vulgaire pute à bar, avec tous les risques et en tirer une fabuleuse jouissance.

Maîtresse Marie aurait-elle découverte ma vraie nature rien qu’en discutant sur Internet avec moi ?

Je me pose toutes ces questions alors que le dernier homme me laisse la bouche pleine de son sperme et que la bouteille de bière dans mon cul commence à se faire douloureuse.

Je descends de la pile de bac et cherche mon body et mon short. Je trouve assez rapidement mon short et retire délicatement la bouteille de bière de mon derrière.

C’est à ce moment, penchée vers l’avant, dans ma main droite la bouteille de bière que je viens juste de retirer de mon cul et dans la main gauche mon short, que deux mains se posent sur mes hanches, qu’un sexe se présente à l’entrée de mon anus complètement distendu et qu’il me pénètre d’un coup de rein assez brutal.

Mon cri de surprise et de douleur est stoppé net par le spasme de ma respiration du à cette pénétration brutale.

- Voilà un petit cul comme je les aime. Fait la voix du patron.

Il commence à me ramoner les intestins, son sexe étant assez volumineux pour me faire mal; même si la bouteille de bière a élargi mon conduit anal.
La sodomie que je subis, fait monter en moi un nouvel orgasme. Je lâche la bouteille, qui résonne sur le carrelage et pousse mon cul vers le sexe qui semble battre tous les records de vitesse pour me pénétrer.

- C’est que t’aime vraiment cela ! Hein Salope ?

- Ou… ou…oui,… mon…sieur. Balbutié-je à chaque choc de son pubis sur mes fesses
.
- T’en fait pas petite, tu vas en avoir pour ton argent !

Il raffermit ses mains sur ma taille et son sexe devint dur comme de l’acier et dans un dernier enfoncement, il me maintient contre lui et je peux sentir chacun de ses jets dans mon ventre.
Je perds toute notion du temps et de l’espace pour sentir mon corps secouer par un orgasme sans précédent.

Lorsque je reprends mes esprits, je suis allongé en chien de fusil sur le carrelage froid et sale du couloir. Mon entre-jambe est humide de ma jouissance et du sperme suinte de mon anus distendu.

Je me relève péniblement et dans un brouillard de larme je cherche mes vêtements. Je trouve mon short à côté de moi et mon body dans le local des toilettes, pendu au bord d’un urinoir sale et malodorant.

Avançant vers l’unique évier du local, je m’appuie dessus pour me tenir passablement droite et je me regarde dans un miroir presque sans tain et complètement griffé. L’image que me renvoie ce miroir me met très mal à l’aise car mon visage est ravagé de salive et probablement de sperme. La saleté de mon visage va de pair avec la saleté du local et j’ouvre le robinet pour me rincer la figure.

Je remets mon short et mon body mais cette fois l’image que me renvoie le miroir est celui d’une vraie salope.

Le pensée que j’ai à cet instant précis est d’espérer que Maîtresse Marie soit fier de moi. Je n’ai évidement aucune photo à lui envoyer.

C’est le derrière meurtri et les mâchoires douloureuses que je reviens dans la salle du bistrot. Je n’ose regarder personne et me dirige vers la sortie.

- Héla petite ! tu n’oublies rien ?

- Je… Je… Dis-je en me retournant et regardant le patron du bar

- Tu ne penses quand même pas que je vais t’offrir ton café ?

- Heu… Je… balbutié-je en retournant vers le comptoir.

Je fais les quelques pas jusqu’au bar sur lequel traîne mon mini sac à dos, dont le contenu est étalé sur le comptoir. Dans un brouillard de larmes et de honte, je cherche mon porte-monnaie que je trouve ouvert et vide.

- Je… Je… j’ai plus d’argent, Hoqueté-je.

- Ben… je ne vois pas beaucoup de solution pour payer. Fais le patron, parlant assez fort pour que tout le bistrot entende ses paroles.

- Je… Je… Je vais chercher… de l’argent… et je viendrai… vous payer. Dis-je avec une petite voix de fille prise en faute.

- Donne-moi ta carte d’identité, je la garde jusqu’au paiement. Dit le patron.

Puis dans un geste sadique, il prend le bout de papier et lis à haute et forte voix mon nom et mon adresse. Je suis rouge de honte et furieuse en même temps.

- Tu vois petite quand on veut jouer à la pute, il faut le faire totalement, sauf que toi, tu le feras gratuitement. A partir de maintenant… Dit-il en laissant en suspend sa phrase
.
- Mais… Mais…

- A partir de maintenant tu viendras ici tous les soirs et tu soulageras ma clientèle. Il faut que le commerce marche. Tu pourras boire autant de café crème que tu veux. Termine-t-il en rigolant.

Je sors du bistrot en étant obligée de remercier le patron, pour sa gentillesse de bien vouloir me laisser rentrer chez moi sans payer mon café.

Je rentre chez moi et me met sous la douche toute habillée. Je laisse couler l’eau longtemps sur moi avant de me déshabiller et de me laver au savon.
Je sors de ma douche et me prépare un repas léger, lorsque la sonnette de mon appartement retentit.

Complètement hypnotisée par ce bruit de sonnette, je reste regarder la porte de mon appartement sans aucune réaction. C’est la deuxième sonnerie qui me fait sursauter et je me dirige vers la porte d’un pas hésitant. Je n’attends personne et je ne suis pas dans une tenue pour recevoir des amies ou amis.

- C’est qui ? Demandé-je.

- Ouvre salope ! Crie une voix.

Je comprends que mon cauchemar n’est pas terminé. De peur qu’il n’ameute mes voisins, j’ouvre la porte et c’est deux noirs qui entrent en me poussant. L’un d’eux s’adosse à ma porte et l’autre fait rapidement le tour de mon appartement.


A suivre ….

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