mardi 4 février 2020

La nouvelle vie de Christine Ch. 18

La nouvelle vie de Christine - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Repas au restaurant pour fêter sa promotion.

La fiche de paie pour le premier mois de Christine dans son nouveau travail arriva au courrier. Je l'ouvris pour elle avant qu'elle ne parte au boulot.

- Merde! Regarde ton salaire maintenant. Dis-je en lui tendant la feuille.

Elle ne fut pas aussi enthousiaste que moi, sûrement parce qu'il fallait qu'elle couche avec tous ces hommes.

Je connaissais le nombre de contrats qu'elle avait « facilité » durant ce mois mais je ne connaissais pas la valeur réelle de ces contrats. Elle avait gagné 12 000 euros en acceptant 6 bites d'inconnus ce mois-ci. Au courrier, il y avait avec sa fiche de paie une autre enveloppe qui m'était adressée. C'était ma récompense pour le prêt de ma pute : un chèque de 6 000 euros.

- Si tu continues comme ça, je vais devenir riche. Faire de toi une soumise est la meilleure chose que je n'ai jamais fait. Lui dis-je en la tirant pour lui rouler un patin.

Mais nous dûmes nous séparer car son mari Alain est descendu de l'étage pour se rendre à la cuisine. Il ignora complètement Christine, se fit un thé et revint au salon pour regarder la télé.

Je tirai ma belle-mère à l'écart pour lui chuchoter :

-Nous devons nous débrouiller pour qu'il parte définitivement d'ici. Tu n'appartiens qu'à moi.

- Je ne peux pas le jeter dehors. Il est toujours le père d'Alice. Protesta-t-elle.

- De toute façon il n'est jamais là. Crois-moi, il va devoir partir.

Comme d'habitude je l'accompagnai au travail. Le trajet se fit en silence. Alors qu'elle allait sortir de la voiture, je la retins par le bras et lui dit :

-Ce soir, nous sortirons pour fêter ta réussite au travail Ok?

- Oui maître. Répondit-elle.

Et elle s'éloigna en direction de son bureau. Je passai la reprendre vers 17 heures. Elle avait eu une journée facile car ses collègues étaient en réunion toute la journée. Elle avait seulement déambulé dans son bureau dans une tenue sexy acheté par Michel FAURE.

Je l'emmenai directement à la maison et lui dit que nous irions dîner vers 19 heures. Sa tenue était déjà sur son lit et elle devait raser son pubis afin de laisser une simple petite bande comme j'aimais. Je me préparai et je descendis regarder un match tandis qu'elle s'activait.

A 18 heures 30, Alain rentra en titubant, complètement saoul comme à son habitude, avec un kebab à la main. Il se laissa tomber dans le fauteuil en marmonnant des paroles incohérentes puis il se concentra sur son kebab. Cela me posait un problème car j'avais pensé qu'il ne serait de retour que bien après le match c'est à dire bien après 19 heures.

Alors que l'heure approchait, mon téléphone bipa pour un sms. C'était Christine qui me disait qu'elle ne pouvait descendre tant que son mari était là. Je lui répondis rapidement : « Si tu ne m'obéis pas, je vais lui montrer les vidéos que j'ai faites, alors sois une bonne soumise et ramène ton cul immédiatement! » Je n'allais pas laisser Alain chambouler mon programme. Il fallait qu'il commence à comprendre.

Finalement j'entendis les pas de ma belle-mère dans l'escalier. J'étais impatient de la voir dans la tenue que j'avais choisie. Quand elle apparut, je la trouvais magnifique.

Ses cheveux étaient parfaitement coiffés. Son maquillage était parfait aussi. Sur mes instructions, trois boutons de son chemisier étaient déboutonnés, laissant apparaître un décolleté plongeant sur les bords en dentelle du soutien-gorge demi-tasse. L'avantage de ce genre de soutien-gorge était qu'il laissait apparaître légèrement le haut de l'auréole et le mamelon. La jupe choisie était l'une des plus courtes qu'elle possédait. Elle ne finissait pas beaucoup en dessous de son cul si bien que le haut de ses bas blancs étaient visibles. Je savais pertinemment que si je la faisais asseoir, on apercevrait sa petite culotte toute mince.

Alain leva les yeux et mit un certain temps à réagir. Puis il fit comme d'habitude, il l'insulta :

- Regarde-toi, on dirait une putain de salope, une grosse salope à baiser.

Il cracha dans sa direction.

Christine me demanda par un hochement de tête de partir pour ne pas avoir à se tenir devant son mari et l'écouter.

- Je pense qu'elle est juste sexy Alain.

Je me levai lentement, sous les yeux de ma belle-mère qui me lançaient des éclairs.

Alain tourna sa tête vers moi et cracha à nouveau :

- Va baiser des grosses chattes!

- Je pourrais le faire. Répondis-je en conduisant ma soumise hors de la maison, ma main sur le cul.

Ma belle-mère me demanda pourquoi je disais tout cela à son mari. Je lui expliquai que je la voulais pour moi tout seul et qu'il faudrait bien que son époux dégage. Elle garda le silence jusqu'à ce que nous arrivions dans le parking d'un restaurant à environ trois kilomètres d'où nous habitions.

- Nous ne pouvons pas aller là. Dit Christine alors que j'éteignais le moteur sur le parking à moitié plein.

- Si nous le pouvons. D'ailleurs nous y sommes. Sors de la voiture!

J'attendis qu'elle se lève et sorte du véhicule. Je la laissai attendre une minute avant que je sorte. Je remarquai que l'air frais avait durci ses mamelons qui pointaient contre le tissu mince de son chemisier. Elle me suivit jusqu'à l'entrée du restaurant où nous attendîmes que l'on nous place.

Je remarquai un couple qui nous jeta un regard puis revint à son repas avec des mines désapprobatrices. C'était exactement la réaction que j'espérais. Un jeune homme d'environ 20 ans, s'approcha, nous demanda notre nom et nous conduisit à notre table pour deux dans le coin de la pièce. Je marchai derrière eux deux, constatant que beaucoup de têtes se tournaient et entendant beaucoup de chuchotements. Lorsque nous nous sommes assis, je vis que Christine était clairement gênée et rougissait. Nous avons commandé des apéritifs puis nous examinâmes le menu.

- Soit relax salope! Dis-je, pas trop fort pour que l'on ne nous entende pas.

Elle me répondit avec inquiétude :

- Nous sommes trop près de notre domicile. Et si quelqu'un nous connaissait?

- Alors nous verrons bien....

J'appelai le serveur pour qu'il prenne notre commande. Nous commandâmes notre repas. Je remarquai que le jeune garçon regardait de bas en haut ma compagne tout en notant sur son carnet. Je souris, Christine ne se rendait pas compte qu'elle était désirable.

- Tu sais qu'il ne pouvait pas détacher ses yeux de tes seins en prenant notre commande?

Elle ne répondit pas.

- Tourne-toi sur le côté et appuie-toi sur le mur. Ordonnai-je.

- Hein? Dit-elle

- Tu as bien entendu.

Je la regardai se tourner afin d'avoir le dos au mur. Ainsi elle était en face de la majorité du restaurant. Je rajoutai :

- Tu mets tes deux pieds sur le sol et tu écartes tes jambes de trente centimètres.

- Pas ça s'il vous plaît? Dit-elle

- Fais le salope, sinon je te fais écarter encore plus grand.

Je l'observai quand elle m'obéit.

- Très bien. Je vais aux toilettes. Alors tu restes comme ça jusqu'à mon retour. Compris?

- Oui Maître.

Elle baissa la tête et but un peu de son verre afin de ne pas avoir à croiser les regards des autres tables. Je me levai pour aller aux toilettes qui étaient entre le bar et le restaurant. Quand je revins, je vis Christine toujours assise comme ordonné, les genoux écartés, laissant voir sa petite culotte blanche. Sur le chemin, aux quelques tables qui avaient vu sur ma belle-mère, je vis que certains hommes et femmes avaient des signes de dégoût sur le visage.

Dès que je m'assis, Christine murmura :

- S'il vous plaît, laissez-moi fermer les jambes, je connais l'homme là-bas avec la chemise rouge.

Elle avait un regard un peu paniqué. Je regardai et vis l'homme assis un peu plus loin avec un autre homme sirotant une bière en attendant leurs plats. Il avait l'air d'avoir le même âge que ma belle-mère alors que l'autre, caché à la vue de Christine semblait avoir dix ans de plus. Je demandai :

- Garde tes jambes comme elles sont! Qui est-ce?

- Paul GREUCORE, il vit dans notre ville et sa fille est allée à l'école avec Alice. Elles étaient dans la même classe pendant trois ans. S'il vous plaît, laissez-moi fermer mes jambes. Supplia-t-elle.

- Lorsque nos plats seront servis, tu pourras t'asseoir convenablement et manger.

Je sirotai ma bière tout en gardant un œil sur l'homme à la chemise rouge. Il regarda quatre ou cinq fois dans notre direction. Christine ne le remarqua pas, car elle gardait la tête baissée. Une fois leurs plats mangés, les deux hommes se levèrent. Ma belle-mère sursauta :

- Merde, l'homme qui est avec lui est Nelson GOBERT, ancien professeur de la fille de Paul ainsi que d'Alice.

Elle baissa rapidement la tête quand les deux hommes regardèrent dans notre direction avant de se diriger vers le bar.

Quelques minutes plus tard, notre repas arriva et Christine, prestement, glissa ses jambes sous la table à son grand soulagement. Nous mangeâmes notre dîner dans le silence et finîmes nos boissons avant de régler la facture. Je lui dis de me suivre et nous traversâmes le restaurant jusqu'au bar.

Elle repéra tout de suite les deux hommes qu'elle connaissait et je sentis une tension sur mon bras alors qu'elle essayait de m'arrêter. Mais je continuai et m'assis sur un grand tabouret au bar. Christine se tenait à mes côtés. Je la regardai puis le tabouret à côté de moi. Elle comprit ma volonté. Elle s'assit face au bar mais ce n'était pas exactement ce que je voulais.

- Salope? Tourne-toi face à la pièce, et écarte les jambes pour laisser voir ta culotte.

- S'il vous plaît.... Murmura-t-elle.

- Fais ce que je te dis salope.

Le garçon du bar s'approcha et je commandai :

- Une pinte et une vodka limonade.

Puis je regardai ma belle-mère lentement se tourner sur le tabouret, poser ses pieds sur le repose-pied et écarter un peu les genoux. Je pus voir à la réaction de deux hommes assis en face que sa culotte était bien visible. Le bar n'était pas bondé. Il y avait les deux gars assis en face, les deux hommes que Christine connaissait jouaient au billard et trois hommes étaient à côté du flipper.

Les deux hommes connus de Christine prirent deux sièges pas très loin et ne mirent pas longtemps à verrouiller leurs yeux sur la culotte de ma belle-mère. La chemise rouge chuchota à l'autre. Puis ils levèrent les yeux et sourirent à ma compagne qui faisait semblant de ne rien voir.

Nous restâmes assis le temps de boire nos consommations. Alors que la vodka commençait à produire de l'effet sur Christine, elle ouvrit un peu plus les jambes. Les trois gars près du flipper étaient partis. Lorsqu'ils partirent, l'un des deux hommes en face de nous remercia ma belle-mère tout en posant son verre sur le comptoir. Elle sourit et prit une autre gorgée d'alcool. Il ne restait dans le bar que nous deux et les hommes qu'elle connaissait.

J'eus l'impression que ces hommes n'avaient pas l'intention de quitter le bar tant que Christine ne partirait pas. Je supposai qu'ils n'avaient pas l'habitude de voir une parent d'élève s'exposer ainsi en public avec quelqu'un d'autre que son mari à son bras.

Nous terminâmes nos boissons et je dis à Christine d'aller à la voiture et que je la rejoindrais dans un instant. Une fois qu'elle eut passé la porte, un peu instable sur ses talons, je m'approchai de la table des deux hommes.

- Bonjour. J'ai remarqué que vous nous regardiez souvent et je me demandai si vous connaissiez la dame avec qui j'étais.

- Oui nous la connaissons. N'est-ce pas Christine la mère d'Alice? Me répondit le gars en chemise rouge, Paul.

- Eh bien, si vous attendiez pour ce que je pense que vous voulez, rejoignez-moi au parking dans cinq minutes. Ma voiture est une Ford couleur argent.

Je quittai le bar, les laissant finir leurs bières. Quand je rejoins la voiture, Christine était appuyée contre la portière m'attendant un peu saoulée mais pas complètement ivre. Le froid avait durci ses mamelons qui tendaient son chemisier.

- attends! Ne bouge pas! Dis-je en déboutonnant le reste de son chemisier de sorte que ces seins étaient presque libres dans l'air frais. Puis je la tournai face à moi pendant que je m'appuyais sur la voiture :

- Accroupis-toi sur tes talons et suce ma queue!

Elle m'obéit immédiatement, sa jupe remontant et ses genoux s'écartant pour qu'elle puisse garder l'équilibre. Je défis ma braguette et sortis ma bite qu'elle prit en bouche de suite pour commencer à me sucer.

Quelques minutes plus tard, la porte du restaurant s'ouvrit et Paul et Nelson sortirent et se dirigèrent vers nous. Christine ne les entendit pas jusqu'au moment où le gravier crissa sous leurs pieds. Elle leva les yeux, désespérée, l'alcool lui ayant fait oublier leur présence dans le bar.

- Lève-toi salope! Dis-je pour montrer qu'elle était ma soumise.

Elle se leva entre nous. Je remis mon sexe à l'intérieur de mon pantalon puis je la tirai vers moi en la tournant vers les deux hommes qu'elle connaissait. Elle essaya de fermer son chemisier pour cacher ses seins mais je giflai sa main qu'elle laissa retomber, le chemisier de nouveau grand ouvert.

Nous étions tous dans le coin du parking éclairé par le lampadaire de la rue et une lumière de sécurité le long du restaurant. Ce n'était pas génial mais nous avions assez pour nous voir les uns les autres.

- Sais-tu qui sont ces hommes salope? Demandai-je. - Oui, Paul GREUCORE et Nelson GOBERT. Dit-elle lentement pour ne pas bégayer.

Un soupçon d'ivresse pouvait être détecté dans sa voix. Mais comme elle balançait légèrement les bras, je savais qu'elle était un peu plus que joyeuse.

- Comment les as-tu connus Salope? Questionnai-je.

- La fille de Paul est l'amie d'Alice et Nelson est un enseignant de l'école. J'ai dû le rencontrer deux fois.

Elle semblait plus à l'aise, ayant visiblement oublié que ses seins étaient exposés au milieu du parking.

- Si vous voulez bien sortit vos sexes messieurs! Dis-je.

Instantanément, les deux hommes déboutonnèrent leur pantalon et sortirent leurs bites dans l'air frais.

- S'il vous plaît, ne me faites pas ça! Me supplia Christine en se penchant en arrière sur moi et en inclinant la tête vers mon oreille. Mais je la coupai :

- Accroupis-toi contre la voiture, ouvre les jambes et ouvre la bouche. Dis-je en me mettant sur le côté.

- Oui Maître. Dit-elle en se laissant glisser contre la portière.

Elle écarta les jambes et ouvrit la bouche.

- Elle est prête. Qui sera le premier? Demandai-je aux deux hommes qui serraient leurs bites raides sans leurs poings

-J'y vais. Dit Nelson.

Il avança vers la femme et poussa son membre dans la bouche ouverte. Les lèvres se fermèrent autour de son pieu. Puis il se pencha en avant, mit les mains sur le capot de la voiture et commença des va-et-vient dans la bouche de Christine comme s'il baisait sa chatte.

Paul vint sur le côté pour la voir accepter facilement le sexe de son ami. Il en profita pour commencer à jouer avec les seins énormes et les mamelons sensibles de ma belle-mère. Un gémissement de gratitude devint plus audible.

- Ne sois pas si gourmand Nelson. Dit Paul en poussant son camarade.

Celui-ci laissa sa place à contrecœur. Paul décida de ne pas faire comme son ami. Il laissa Christine prendre le contrôle de la fellation en se tenant voûté la bite dirigée vers elle. Nelson, lui aussi, joua avec les seins de la femme pendant un petit moment. Puis il me regarda et me demanda :

- Puis-je jouer avec sa chatte?

- Euhhh... Pourquoi pas Nelson. Elle vous a allumé avec toute la soirée donc allez-y.

Il prit son manteau et le mit sur le sol à côté d'elle puis il s'agenouilla. Il écarta la culotte de Christine puis il explora son intimité avec ses doigts et localisa son clitoris avec son pouce.

- ummmmmmmmmmmmm. Christine gémit, le sexe de Paul toujours dans sa bouche.

- putain Paul, qu'est-ce qu'elle mouille. Je t'avais bien dit que c'était sûrement une chaude.

Il pompa ses doigts dans son vagin avec une extrême facilité vu que sa chatte était complètement humide. Et il continua à exciter le petit bouton avec son pouce.

Je restai en arrière et regardai ces deux hommes que connaissait très bien Christine, l'utiliser de façon obscène contre ma voiture sur un parking à trois kilomètres de son domicile. Le spectacle était incroyable et ma bite était dur comme du béton. Paul et Nelson échangèrent trois fois de place pendant les quinze prochaines minutes se faisant sucer ou pénétrant sa chatte qui acceptait maintenant facilement trois doigts.

Alors qu'ils étaient encore sur le point de changer, je m'avançai et demandai à Christine de se lever :

- Demi-tour, face à la voiture et mets tes mains sur la fenêtre Salope.

J'attendis qu'elle suive mes instructions ce qu'elle fit presque instantanément.

- Maintenant, recule ton derrière et écarte les jambes.

Elle continua à obéir. Je saisis sa jupe et je la roulai autour de sa taille. Je descendis sa culotte au niveau des genoux puis lui fit écarter les jambes un peu plus large afin que la culotte soit tendue entre les deux. J'aimai la voir dans cette position, la culotte à demi baissée pour se faire baiser. On aurait dit qu'elle n'avait pas eu le temps de l'enlever complètement tellement elle était pressée de se faire prendre.

Je me retournai ver Paul et Nelson qui tenaient toujours leur bite en mains.

- je suppose que vous voulez tous les deux la baiser?

- Ah je ne dirais pas non. Souris Nelson.

- Eh bien qu'attendez-vous. Dis-je en me déplaçant sur le côté.

Nelson se précipita. Il saisit les hanches et présenta sa queue à l'entrée de la chatte de la mère de son élève.

- UMMMMMMMM. Gémit-elle pendant que son sexe acceptait la bite du professeur d'Alice.

Je souris en pensant que c'était la dix-neuvième bite qui disparaissait dans sa chatte. Une fois complètement à l'intérieur de Christine, Nelson savoura la sensation de chaleur et d'humidité sur sa queue et dit :

- De toutes les mères de mes élèves, je n'aurais jamais pensé fourrer ma queue dans la distinguée et guindée Christine.

Ce fut ses prochaines paroles qui retinrent mon attention.

- Imagine-toi si les autres enseignants ou parents le savaient hein Paul? Demanda-t-il par dessus son épaule à son ami.

Nelson commença à baiser Christine qui eut du mal à contrôler ses gémissements. Il la pilonnait, faisant vibrer son corps et ballotter ses gros seins magnifiques. Avec tous ces efforts, les gémissements de ma belle-mère devinrent des cris jusqu'au moment où elle jouit bruyamment en demandant à son partenaire de la baiser plus fort. Ce que fit Nelson avec entrain. Il la baisait si fort que son corps tremblait et ses jambes flageolaient. Elle baissa la tête vers le bas si bien qu'au prochain coup de rein de l'homme, elle trébucha et se retrouva les épaules contre la portière, la tête presque entre ses jambes. Ainsi elle put sûrement voir Paul, la bite à la main, attendre son tour.

Nelson la pilonna encore pendant une minute, utilisant sa position repliée pour donner des coups de reins de plus en plus fort tout en sachant qu'elle ne pouvait s'échapper. Après une poussée finale, il se retira, la laissant béante et gémissante contre la voiture. Avant qu'elle ne puisse bouger, Paul prit la place, positionna sa bite (la numéro 20) entre les lèvres de sa chatte. Il prit une ou deux minutes pour bien lubrifier son membre en le glissant et le retirant du trou à quelques reprises. Puis comme son ami, il commença un assaut impitoyable du sexe de ma belle-mère. Il s'appliqua à bien entrer toute la longueur de son engin à chaque poussée puissante.

- Oh mon Dieu..... oh mon Dieu..... oh mon Dieu.


Christine le répéta plusieurs fois tandis qu'elle était pilonnée avec ardeur par Paul qui ne voulait pas fléchit avant de la faire jouir comme l'avait fait son collègue. Je savais, à voir la façon de gémir de ma belle-mère, que ce ne serait pas long.

- UMMMM ARGHHHH Faites-moi jouir... baisez-moi...

Elle supplia Paul de faire comme son ami Nelson.

- je vais te faire jouir, ne t'inquiète pas. Dit l'homme tout en accélérant la cadence.

Si bien que Christine apprécia et hurla de plaisir trois minutes plus tard quand elle jouit à nouveau. Je pensai que le personnel du restaurant allait être alerté par ses cris donc je dis à Nelson de lui remplir la bouche. Ce que fit l'homme en lui mettant son sexe dans la bouche la faisant taire pendant que son orgasme passait. Lorsque Paul sentit que ma belle-mère se détendait, il sortit sa bite, poussa son ami, déplia Christine de sa position inconfortable, tira sa tête vers le bas sur sa queue.

- nettoie ton jus! Ordonna-t-il en remplissant sa bouche.

Elle obéit et fit de même avec Nelson qui apprécia longuement. Mais les hommes en voulaient plus. Ils la traînèrent lentement avec sa culotte entre les genoux jusqu'au-devant de ma voiture. Puis ils la soulevèrent pour l'asseoir sur le capot. Je fis le tour pour mieux voir tandis qu'ils l'allongeaient sur le dos et lui enlevaient complètement sa culotte afin de pouvoir mieux lui écarter les jambes.

- Regarde-moi cette chatte Nelson, elle est faite pour des bites. Dit Paul en fourrant trois doigts dans la chatte dégoulinante.

Nelson se mit en face d'elle, entre ses jambes et il la tira un peu vers le bas afin que son gland pointe à l'entrée de la chatte. Puis il poussa sa queue tout à l'intérieur jusqu'à ce que sa région pubienne poilue vienne s'écraser contre les lèvres gonflées. Christine laissa échapper un souffle d'approbation. Nelson la pénétra pendant plus de dix minutes puis laissa sa place à Paul.

Celui-ci la baisa durement pendant le même laps de temps avant de grogner qu'il était sur le point de venir. Puis il éjacula, remplissant le vagin de ma belle-mère de son sperme crémeux. Il se retira lorsque sa bite commença à se faner. Avant de la pénétrer à nouveau, Nelson regarda la semence de son ami commencer à s'écouler lentement du sexe étiré de Christine. Enfin il la baisa à nouveau jusqu'au moment où il ne put plus se retenir. Il remplit avec une autre décharge le ventre de la femme.

Une fois qu'ils eurent fini de s'habiller, les deux hommes vinrent me serrer la main et me remercier, Christine étant toujours étendue sur le capot, les jambes écartées, du liquide séminal s'écoulant de sa chatte.

Nelson sortit son téléphone et dit :

- je peux peut-être vous donner mon numéro ainsi que celui de Paul. Nous aimerions pouvoir encore baiser cette pute si c'était possible?

Quand il avait parlé d'autres enseignants ou parents qui pourraient découvrir la vie sexuelle de ma belle-mère, cela m'avait intéressé donc je pris les numéros de portable et je leur remis le mien :

- je vous donnerai sûrement un coup de fil Nelson. Car je pourrais avoir besoin de vous pour organiser quelque chose. Un chose que vous avez dite me fait réfléchir.

- Pas de problème, après ce soir je vous dois bien un service.

Les deux hommes s'éloignèrent à travers le parking. Je regardai Christine, toujours affalée, les jambes écartées. Elle me regarda et me demanda :

- Venez me baiser. J'ai besoin de votre grosse bite en moi, je veux encore jouir.

Elle ne pouvait pas nier qu'elle était ma pute et ma soumise. Donc je sortis mon sexe et pénétrai sa chatte remplie du sperme de Paul et Nelson. Je la baisai pendant dix minutes même si elle avait joui au bout de quatre. Et je rajoutai ma dose de semence dans son ventre. Je rangeai mon sexe et fit asseoir ma belle-mère sur le siège du passager, les seins à l'air, les jambes encore écartées, sans culotte. Nous arrivâmes devant la maison et elle me suivit à l'intérieur dans cette tenue.


Heureusement pour elle, Alain était déjà couché. Mais j'étais prêt sinon à lui faire comprendre que Christine était maintenant ma propriété. Cela attendrait.

A suivre...

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