mercredi 17 avril 2024

Une femme au foyer tout à fait soumise Ch. 02

 Texte de Monique2.

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Les artisans couvreurs.

A la suite de la grande tempête de fin d’année, notre toiture avait été abîmée, donc des couvreurs devaient venir pour une semaine pour réparer. Le dimanche avant leur arrivée mon mari me dit :

- Ma chérie, trois ouvriers vont venir lundi, et ça serait bien que tu les accueilles comme tu sais le faire si bien !

Le lundi matin, trois hommes arrivent vers 8 heures. Le chef vient me saluer, il a un large sourire en me voyant en robe de chambre, je me rends compte tout de suite que je suis à son goût surtout que la robe de chambre est échancrée suffisamment pour ne presque rien dissimuler de ma poitrine. Il n’est pas très grand, 40 ans, un peu dégarni. Les autres sont plus jeunes, je sens que si je me débrouille bien, je vais bien m’amuser.

Ils mettent tout en place, les deux plus jeunes montent sur le toit et le chef revient me voir pour pouvoir se brancher électriquement. Je lui fais voir les prises dans le garage et je lui propose un café qu’il accepte. Nous nous retrouvons dans la cuisine. Il a un mal fou à détacher ses yeux de mes seins. Je lui fais comprendre avec les yeux que je m’en suis rendu compte. Il a l’air gêné et il va pour excuser. Je lui dis alors :

- J’ai impression que vous appréciez ce que vous voyez !

Il me répond oui un peu décontenancé. A ce moment, j’ouvre ma robe de chambre et je lui dis :

- Qu’est que vous en pensez ?

Je vois ses yeux s’ouvrirent très surpris, il reprend ses esprits très vite. Il me répond :

- Je vous trouve superbe, vous êtes comme j’aime les femmes, grosse poitrine, un cul qu’on a envie de pétrir !

Il se lève et s’approche de moi, me prend les deux seins et me roule une pelle. Je sens ses mains descendre, il caresse ma chatte puis passe derrière et caresse mon cul. Il me dit :

- J’ai envie de te prendre tout de suite !

Je le repousse un peu, et je lui dis :

- Tu pourras me prendre par tous les trous, mais il faut avant avancer le travail sur le toit !

Il accepte un peu déçu, mais il ajoute :

- Comment je vais faire avec mes deux gars la- haut ?

- pour eux c’est pareil, je suis à leur disposition. Je resterai en robe de chambre et si vous travaillez bien, mes trois trous seront ouverts à toutes vos envies et pour commencer, pour toi, je vais te faire une gâterie parce que tu es le chef !

Je me mis à genoux, sortis sa queue de son bleu et me mis à le pomper avec force. Il jouit assez rapidement dans ma bouche, puis je m’appliquai à lui lécher le bout du gland. En me relevant, il se mit à me tripoter les seins, mais je lui dis :

- Bien entendu c’est toi le chef, et tu décides quand tes gars pourront descendre me voir. Et maintenant tu vas travailler sinon tu ne profiteras pas de mes deux autres trous !

Il partit en me mettant une claque sur les fesses et en disant :

- Ça, c’est un chantier qui va me plaire et les gars ne discuteront pas les heures supplémentaires !

- Mais il faudra partir avant que mon mari revienne du travail ! Dis-je.

Il me fait oui de la tête avec un grand sourire. Vers 11 heures 30 les deux jeunes sont partis, et je vois arriver le chef, je lui demande :

- Où sont partis tes gars ?

- Ils vont chercher du matériel, ils reviennent vers 14 heures, ça me laisse 2 heures pour profiter de toi. Maintenant mets-toi à poil, j’ai trop envie de toi !

Je fis tomber ma robe de chambre, il me prit dans ses bras et me roula une pelle. En même temps il mit ses deux mains sur mes fesses pour me soulever et me poser sur la table. Je me mis sur le dos les jambes pendantes. Il commença à sucer mes seins et descendit sur la chatte où il mit deux doigts et se mit à fouiller a l’intérieur tout en me léchant le cul et la chatte.

- Ça t’arrive souvent de te faire enculer ma salope, car j’ai l’impression que ton cul est bien dilaté ?

- Pratiquement tous les soirs, mon mari adore ça, limer dans mon gros cul !

Il se mit a me dilater le cul en rentrant trois doigts et faisant un va-et-vient énergique.

- Je n’en peux plus, viens me pomper la queue !

Je descendis de la table et me mis à genoux. Il avait enlevé son bleu de travail et il me fourra sa queue dans la bouche et commença à limer ma bouche en me tenant la tête, puis il s’assit dans le canapé et me dit de venir s’asseoir sur sa queue face à lui. Il dirigea sa queue vers mon cul et je m’empalai sur sa bite. Je m’appliquai à monter et descendre sur cette queue bien raide. Lui il me tripotait les seins en tout sens en répétant :

- J’adore les gros nichons, quelle chance a ton mari d’avoir dans son lit tous les soirs une grosse salope comme toi !

Je continuai à me faire enculer un bon moment, puis il me demanda de lui faire un sandwich. Toujours à poil, j’allai dans la cuisine lui préparer. Lui alla se laver la queue dans la salle d’eau, il revint s’asseoir dans le canapé, il prit son sandwich et me demanda de me mettre a genoux entre ses jambes pour le pomper pendant qu’il mangeait, ce que je fis. Je le suçai depuis un bon moment, quand il se mit debout et me dit :

- Lèche-moi le cul, j’adore ça !

Je lui écartai les deux fesses et commençai à lécher de plus en plus profond la rondelle. Il prenait vraiment son pied. Puis il se retourna et mit sa bite dans ma bouche et lima une dizaine de fois puis déchargea son foutre au fond de ma gorge. Je me fis un devoir de tout avaler et de lui lécher la queue pour tout essuyer le reste de foutre. Il se rhabilla pour repartir au boulot et il me dit :

- On pourrait faire ça tous les midis !

- Oui bien sûr, mais tes collègues il faut qu’ils en profitent aussi !

Il eut un sourire.

- T’es vraiment une grosse salope, toi, ok je mettrai les choses au point avec eux !

Et avant qu’il parte, j’ajoute :

- Et puis vendredi, à la fin du chantier, on pourrait faire une petite fête à quatre ?

- Ok, comme ça tu pourras avoir une queue dans chaque trou !

Vers 16 heures 30, un des garçons frappa à la porte-fenêtre. Je lui ouvris et il entra.

- Bonsoir Madame, je viens pour…

- Je sais, comment t’appelles-tu ?

- Laurent, Madame !

- Tu peux m’appeler Monique, tu viens voir et toucher ?

Je fis glisser ma robe de chambre.

- Putain ! J’ai toujours voulu me taper une grosse comme vous !

Il prit mes deux seins dans ses mains et joua avec, puis il mit une main entre mes jambes.

- Vous êtes rasée ! J’aimerai tant que ma copine en fasse autant !

- Alors profites-en, tu peux tout me demander !

- Sucez-moi !

Je me mis à genoux et sortis sa queue, elle était courte mais très large. Il l’enfourna dans ma bouche et je commençai à le sucer en lui caressant les couilles. Il jouit très rapidement.

- Excusez-moi, j’étais trop excitée !

Je finis d’avaler son foutre et ensuite léchai le reste sur son gland.

- Ce n’est pas grave, mais tu peux jouer avec tes doigts dans mes trous !

- Ce que j’aimerai Monique, c’est de vous voir vous branler, ma copine ne veut jamais le faire devant moi !

Je l’invitai à s’asseoir dans le canapé et tournai le fauteuil vers lui. Je m’assis et mis mes jambes chacune sur un des accoudoirs pour qu’il ait une vue totale sur ma chatte rasée, et je commençai à me tripoter. Je mis un puis deux puis trois doigts dans ma chatte, je voyais que sa vigueur revenait de plus en plus.

- Est-ce que tu veux me baiser ou m’enculer,  Laurent ?

- J’ai envie de vous baiser !

Je me mis à genoux sur le canapé, les coudes posés sur le dossier. Laurent passa derrière moi et m’enfila. Il me besogna un bon moment et jouit sur mon dos.

- On recommencera demain, Laurent !

- Oui, Madame, je peux appeler mon copain pour venir !

- Oui, bien sûr !

En attendant son copain je m’essuyai le foutre que j’avais sur le dos. Son copain arrivât très vite. Me voyant à poil, il s’approcha de moi !

- Salut, il paraît qu’on suce gratis, alors tu vas commencer toute suite ma grosse pute, mets-toi à genoux, j’ai un gros biberon pour toi !

Il sortit sa queue, et je peux vous dire qu’elle est grosse et longue. Il me l’a mise dans la bouche et je commençai à le sucer en lui tripotant les couilles.

- Il y a pas à dire, une grosse, avec de gros nichons, un gros cul et de plus rasée de près, et au fait qui t’a dit de te raser ?

Je sortis la queue de ma bouche.

- Mon mari ! Ça te plaît ?

Je repris sa queue dans la bouche.

- Ah ! Voilà un mec qui a raison. Avec une pute soumise comme toi il a bien fait de te dresser, dommage pour lui qu’il soit cocu !

Il ne peut pas imaginer que c’est ce cocu qui m’oblige à jouer la pute, et que je lui raconte tout le soir venu.

- Bon on va passer à autre chose ! lève-toi que je fouille ta chatte et ton gros cul !

Je m’exécutai, il me mit plusieurs doigts dans la chatte et aussi plusieurs dans le cul tout en me bouffant les seins. Cela dura un bon moment, puis il me dit de me mettre à quatre pattes par terre. Il se mit derrière moi et me baisa avec force. Au bout d’un certain temps je me mis a jouir.

- Tu peux crier grosse salope, les gars sur le toit savent que tu es une pute qui aime la bite !

Après m’avoir fait bien jouir, il sortit sa queue et la présenta en m’écartant mes fesses pour forcer ma rondelle, mon cul avait été tellement dilaté qu’il n’avait pas beaucoup à forcer.

-  Le chef m’a dit que t’aime te faire enculer, ce serait dommage que je n’en profite pas !

- Oui, vas-y, défonce-moi le cul, j’adore ça !

Il rentra d’un seul coup sa queue dans mon cul et se mit à limer comme un fou pendant un moment, puis il la sortit et retira le préservatif me demandant de me retourner. Tout en se branlant il se mit à jouir sur mon visage. Dès qu’il eut fini de décharger, je me mis à lui nettoyer la queue avec de petits coups de langue, je sentais le foutre couler dans mes yeux et sur mes joues.

- Bon, c’est bien salope, tu m’as bien lavé la queue, mais il ne faudrait pas perdre ce bon foutre qui coule sur ton visage. Tiens regarde, il y a mon chef et mon collègue qui te regarde par la porte-fenêtre ! Lève-toi et va près de la fenêtre et avec tes doigts tu récupères le foutre et tu les suces comme une bonne grosse pute !

Je m’exécutai et me dirigeai vers la porte-fenêtre, et je récupérai tout le foutre. Je me mis à sucer mes doigts, le spectacle plut énormément. Après ils sont remontés sur le toit en se racontant leurs exploits. Quand ils partirent, chacun leur tour ils vinrent me rouler une pelle tout en caressant mes seins. Le chef fit de même et me dit :

- On remet ça demain, prépare-toi a te faire ramoner !

- J’espère bien, reposez-vous bien cette nuit, mes trois trous vous attendent !

A suivre...

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