lundi 15 avril 2024

Changements de vie pour Jessica Ch. 23

 Traduction du texte de Cathartico : "Jessica's Change Management"

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Bière-pong pour Jessica.

*** Semaine 3 – Samedi ***

Jessica ADDAMS, Consultante senior, responsable du département de gestion des changements, c’est ce que dit ma carte de visite. Mais à me regarder maintenant, ça ne peut être plus éloigné de cette description. Miss Face de salope, cougar sexy, serveuse simple d’esprit, c’est ce qu’annonce ma tenue. D’une manière, ça semble plus approprié.

Nous sommes samedi soir et je suis debout dans la cuisine d’une maison de la  fraternité « YAMOS » de garçons de l’université. Un des stagiaires de ma société, Matt, organise une fête d’anniversaire ou plutôt une fête « Alcool et salope » comme les garçons aiment appeler ça. Je suis ici comme cadeau d’anniversaire pour Matt et je dois servir ses amis. Par conséquent, le stagiaire m’a habillé avec un débardeur blanc, un mini short en polyester orange vif et des baskets compensées à talons hauts. Comme si l’uniforme n’était pas assez humiliant pour moi, Matt vient de pisser partout sur mon débardeur il y a quelques instants.

En entrant dans la cuisine, je tombe sur Justin. Matt vient de me laisser prendre une petite pause pour me rafraîchir, donc il était venu chercher de nouvelles boissons. Quand je tombe sur lui, je sais bien ce que je dois faire, mais j’hésite.

Je ne veux pas le faire. La simple pensée est trop embarrassante. Et j’ai ma fierté. Néanmoins je ne veux pas défier Matt, ça serait trop embêtant. Après tout je suis la serveuse et le cadeau de Matt aujourd’hui.

- Hé Justin ! Comment trouvez-vous mon uniforme ? Matt m’en a donné un nouveau ! Dis-je au stagiaire en réussissant à ravaler mon aversion.

Mon Dieu ! Quelle tirade ! J’ai essayé de dire ce que je suis censée dire, mais je ne l’ai pas fait. Je suis trop nerveuse.

- Tu devrais le porter au travail la semaine prochaine, salope. Ça te va beaucoup mieux que tes costumes de femme d’affaires. Répond-il avec un petit rire.

Sa remarque me fait rougir, même si je suis déjà bien gênée. C’est une suggestion de merde. Ça nie complètement ma position de directrice d’entreprise.

- Vous savez, c’est l’uniforme de Matt ! Dis-je pour essayer de suivre les instructions du stagiaire arrogant.

Cependant, je n’arrive toujours pas à dire à haute voix les mots qu’il veut que je dise.

- Pourquoi n’ouvririez-vous pas une nouvelle bouteille de vin pétillant pour moi, Justin, pendant que je remplis le plateau pour vous. Dis-je.

- Tu es la salope de la fête, n’est-ce pas, petite idiote ? Mais je ne m’attendais pas à ce que tu sois si calme, Miss Directrice d’entreprise. Me répond le stagiaire grossier.

Et il ajoute :

- Les mecs sont passés de la bière à quelque chose de plus fort. C’est le moment pour les bombes Jäger.

Et il ouvre la bouteille de Prosseco pendant que je mets des verres à liqueur et une bouteille de Jägermeister sur le plateau. Quand j’ai fini, Justin me tend une coupe que j’avale rapidement. Je n’ai même pas pensé à goûter. Mon cœur bat très vite et j’ai besoin de quelque chose pour calmer mes nerfs.

Ouf, voilà ! La douce sensation d’ivresse revient. Et mon esprit est de nouveau engourdi.

- Vous savez Justin, cet uniforme est spécial car Matt l’a marqué ! Dis-je finalement.

Puis je rigole en montrant la tache sombre sur mon débardeur avec mes faux ongles :

- Il a fait pipi partout sur mon haut ! Hi hi !

Le stagiaire me fait alors remarquer :

- Alors Matt a finalement marqué son territoire. Tu es sa chienne maintenant, hein ?

- Euhhh… Pour la fête, je suppose. Dis-je en me sentant trompée.

Je n’avais pas encore pensé aux conséquences. Après tout, Daniel est mon homme, et pas Matt. Et je ne veux pas que ça change. Il faut que je le dise à ce salaud arrogant.

- Buvons à ça, salope pisseuse ! S’exclame Justin soudainement.

Il verse un verre de Jägermeister et me le tend. Je ne suis pas sûre de vouloir continuer à boire pour continuer à être sous la domination de Matt. Et puis le nom que vient de me donner Justin est vulgaire non ? Avant de continuer à réfléchir cependant, le liquide fort brûle ma gorge.

L’effet est immédiat. Tout devient plus léger, moins important et plus animé. Allez tout le monde, faisons la fête ! Hi hi !

Soulevant le plateau rempli, je suis Justin et j’entre dans la salle de loisirs. Je remarque que ni Taylor ni Matt ne sont présents. Je suppose qu’ils sont restés dans une des autres salles. Les garçons présents ne me remarquent pas au début. Après tout, je suis juste la serveuse qui vient leur servir de nouvelles boissons, non ?

La salle de loisir ressemble littéralement au rêve de n’importe quel garçon. Une table de ping-pong est placée au centre. Deux flippers sont alignés sur un mur et un jeu de fléchettes est accroché de l’autre côté. Sur chaque mur latéral se trouve des canapés gris qui semblent super vieux et super usés. Le groupe de garçons est rassemblé autour de la table de ping-pong. Bien sûr, ils jouent à Bière-Pong avec dix gobelets en plastique rouge de chaque côté.

-  Bombes Jäger ! Qui est prêt pour les bombes Jäger préparées par une salope ! Dit Justin quand nous approchons de la table.

Bien sûr, il attire immédiatement l’attention des garçons. Ils arrêtent de jouer et m’encerclent. Je vois qu’ils regardent mon haut. Je sais alors ce que je dois faire même si c’est super dégradant.

- Hé les garçons, mon débardeur est mouillé oui. C’est parce que Matt a fait pipi partout. Hi hi ! Il m’a marqué comme sa salope d’anniversaire. Ronronné-je.

Fiou, c’est si facile maintenant ! Pourquoi était-ce si difficile auparavant ?

- Ah ah ah ah ! Une salope à pisse !  Ah ah ah ah ! Quelle pute idiote !

Les rires bruyants des gars résonnent dans mon oreille. Mais je ne les écoute pas vraiment et je leur distribue un petit verre à liqueur chacun.

- Hé les gars, je crois que cette petite pute a hâte que nous la marquions nous aussi. S’exclame un des garçons appelé Cody

- Nous prenons une bombe Jäger, Miss Face de Salope prend une bombe pisseuse ! Hé hé hé !

- Ah ah ah ah ! Bombe pisseuse ! Ah ah ah ah ! Bombe pisseuse !

Le rire des gars montent d’un cran, donc je ne peux pas les ignorer. Je plisse le nez et je réponds :

- Hummm… Nooonnn ! C’est horrible et c’est seulement pour le garçon qui fête son anniversaire !

- Hé hé hé ! Attends que ce soit mon anniversaire petite idiote ! Hé hé hé ! Me répond Cody.

C’est alors que Justin change de sujet pendant que le groupe continue à rire :

- Hé salope, j’ai entendu dire que tu avais participé au jeu à boire dans la grande salle ?

- Oui ! Nous avons passé un moment génial ! Vous savez les garçons, je peux faire bien plus que servir les boissons. Babillé-je en réponse, trop heureuse de changer de sujet.

Bien sûr, cette déclaration me vaut un autre verre de liqueur que je descends sans hésitation. Waouh, que je me sens bien !

- Les gars, c’est le moment d’avoir des couilles ! Voyons la pute en action ! S’exclame Justin quand tous les gars ont bu leur verre.

Bien sûr, ils n’attendent que ça. Saisissant les chaînes qui relient mon cou à mes poignets, le stagiaire grossier me tire vers la table de ping-pong. Quel salaud ! Et dire qu’il n’est même pas membre de cette fraternité. Pourtant il prend les choses en main et les autres gars le laissent faire.

- Le jeu est assez facile, même pour toi ! Tu as droit à trois lancers pour entrer dans un gobelet. Si tu le fais l’autre équipe doit le boire. La première équipe à avoir réussi à atteindre tous les gobelets de l’autre a gagné. Compris ? M’explique Justin.

C’est alors que l’un des garçons appelé Zach dit :

- Hé gars ! Cette pute n’est pas habituée à ça ! Elle est sûrement meilleure dans une autre matière ! Hé hé hé !

Malgré ce sous-entendu un peu insultant, il faut que je montre que je suis d’accord avec lui, alors je dis :

- Hum les garçons, je ne suis pas vraiment douée pour lancer, hi hi ! Ça a l’air dur et je ne l’ai jamais fait. Vous devez me laisser une chance non ?

Bon Dieu, est-ce que je suis une petite écervelée qui n’arrive pas à suivre les garçons ou quoi ? Pas du tout ! Je suis la plus âgée ici non ? Quoi qu’il en soit, le gars a raison, je n’ai jamais été habile, même à l’université.

- Peut-être que nous pouvons changer les règles alors. Tu penses être meilleure comme assistante d’équipe, poupée. Dit Justin pour venir à mon secours.

- Bien sûr, je peux vous aider dans le jeu. Accepté-je rapidement.

Ouf ! J’échappe à ça ! Je suis contente de ne pas avoir à lancer, car je suis vraiment maladroite. Je me serais rendue encore plus bête. J’ai déjà un uniforme qui me ridiculise, je n’ai pas envie de devenir la cible de plaisanteries.

- Super poupée ! Alors tu seras l’assistante de l’équipe ! Tu sais que nous ne changeons pas les règles pour tout le monde ? Nous sommes gentils de te permettre de nous aider. N’est-ce pas les mecs ? Dit Justin

Puis il suggère :

- Mais je pense que nous devrions être récompensés pour ça. C’est juste tu ne crois pas, petite idiote ?

Je ne sais pas. Y a-t-il vraiment des règles stricts ? Si oui alors je suppose que c’est juste. Peu importe ! Tout vaut mieux que je me ridiculise à jouer à ce jeu stupide. Alors je hoche la tête en signe d’approbation.

- Super, la salope est prête, les gars ! Nous n’avons besoin que d’un gobelet alors ! Conclut Justin.

Pendant que les autres garçons débarrassent les gobelets en plastique, le stagiaire utilise les chaînes pour me conduire vers le bord d’un petit côté de la table de ping-pong. Prenant le gobelet restant, il…

… Je reste la bouche ouverte d’étonnement.

Putain ! Il vient de fourrer le gobelet entre mes gros seins. Il l’a placé dans mon décolleté. Comme le débardeur sale serre mes nichons, le gobelet est parfaitement maintenu.

Oh non ! Pas question ! C’est vraiment trop humiliant !

- Mais Justin… Qu’est-ce que vous faites ? Laissé-je échapper quand je retrouve ma voix.

- Tu aides les équipes ma petite ! C’est ce que tu voulais non ? C’est ce que tu as accepté de faire, souviens-toi petite idiote !

- Mais… Mais…

Je ne peux que bégayer en réponse. Mais quoi ? Il a raison. J’ai accepté d’être l’assistante de l’équipe et de les aider dans le jeu. Toutefois, je ne m’attendais pas à quelque chose comme ça, quelque chose d’autant dégradant.

Le stagiaire grogne alors :

- Sois contente que nous te laissions nous aider, salope. Tu ne veux pas partir maintenant poupée ? Tu ne veux pas laisser tomber les invités ?

Bon sang ! J’ai promis de m’occuper des invités de Matt, donc il est important de leur faire plaisir ,non ? De plus je leur avais dit que je les aiderais.

- Oh… Ok… d’accord alors ! Mais seulement pour un match, d’accord ? Cédé-je finalement.

- Bien sûr, ne t’inquiète pas poupée. Nous ne voulons pas t’exploiter. Nous te demandons de faire juste ce que tu as accepté.

Putain, je ne devrais pas accepter leurs suggestions aussi rapidement, n’est-ce pas ? Peu importe ! Je ne dois pas non plus porter de jugement hâtif. Le jeu n’a même pas commencé. Peut-être que ça va être amusant après tout.

Comme je ne proteste plus, Justin ouvre les bracelets qui relie les chaîne à mon cou pour les enlever de mes poignets. Puis tirant les chaînes vers le bas, il me fait légèrement me pencher. Puis il passe les chaînes à travers les pieds de la table de ping-pong. Enfin il me fait écarter les bras et il refixe les bracelets à mes poignets.

Ohhhh ! Il vient de m’attacher à la table dans une position penchée qui offre une superbe vue sur ma poitrine. De plus, ça m’empêche totalement de bouger pour échapper aux lancers.

Ça va bien arriver. Je vais être le point de mire dans une partie de bière-pong. Je vais être la cible à atteindre. Je suis réduite à un simple objet. Trop vicieux ! Mais c’est de ma faute.

Je suis un peu étourdie. Mais je ne peux pas vraiment dire si c’est à cause de l’humiliation ou de l’alcool. Quoi qu’il en soit, des picotements électriques traversent ma chatte.

Je me retrouve attachée à une table de ping-pong dans un uniforme de salope avec un gobelet en plastique entre les seins attendant que l’on me tire dessus. Grrr, c’est totalement dégradant. En plus chaque équipe est composée de trois joueurs et chacun d’eux a droit à trois lancers. Je sens que ça va être long, un long jeu d’humiliation.

- Habituellement c’est l’autre équipe qui boit le gobelet. Toutefois en tant qu’assistante, ça va être ton travail ma petite ! Dit Justin.

Hein ? Je ne peux pas boire autant d’alcool, je vais perdre totalement le contrôle.

- S’il vous plaît Justin, je ne peux pas boire autant d’alcool. Je suis juste une fille. Protesté-je sans enthousiasme.

Et tout en boudant en plissant mes lèvres pour un meilleur effet, j’ajoute :

- Puis-je faire quelque chose d’autre ? S’il vous plaît Justin ?

- Qu’est-ce que vous en dites les gars ? Vous pensez que notre assistante mérite une boisson spéciale ? Demande le garçon aux autres joueurs.

La réaction des autres garçons de la fraternité est plutôt mitigée au début. Mais à la fin ils sont tous d’accord. Bon sang ! Justin répond à sa question en levant la main très rapidement et en poussant deux doigts dans ma bouche. Pas ça ? Il ne pense pas…

- C’est ton choix, petite salope ! Dit-il avec un haussement d’épaules quand il me voit me débattre dans mes chaînes.

Je veux me révolter, mais je ne dis rien. Il a raison, j’ai accepté tout plutôt que de l’alcool. Encore une fois, j’ai parlé avant de vraiment réfléchir.

Avec ses doigts attaquant ma luette, ma salive me fait étouffer et j’ai du mal à respirer pendant quelques secondes. Arghhh ! Je grimace tellement et j’étouffe encore. Même si je plisse les yeux, les larmes commencent à couler. Mon mascara noir dégouline sur mes joues pendant que je secoue, impuissante, mes bras et que je fais trembler la table. Des brins de bave commencent à couler bientôt de mes lèvres. Pendant ce temps ma bouche se remplit de salive. La bave coule le long de mon menton très lentement et finit par tomber dans le gobelet en plastique rouge. En de longs fils visqueux. C’est dégoûtant.

Justin pousse très loin ses doigts dans ma gorge, me donnant des haut-le-cœur pitoyables. Et tout le contenu de ma bouche gicle et atterrit sur la courbe intérieure de mon sein droit. De là, il coule lentement dans le gobelet. Dégueulasse !

Après avoir sondé la profondeur de ma gorge, le stagiaire commence à baiser mon gosier jusqu’à ce que la bave jaillisse littéralement de ma bouche. Quand il retire finalement ses doigts de ma gorge, ils sont complètement couverts de bave, salive et remontée de bile. Il les essuie sur le bord du gobelet. Le dessus de ma poitrine est éclaboussé de ce mélange et le gobelet est rempli de bave. En fait les deux tiers sont pleins. C’est bien suffisant.

A présent, trois garçons de la fraternité se tiennent prêts de l’autre côté de la table de ping-pong. Le premier s’appelle Josh. C’est un étudiant de première année vêtu d’une chemise à carreaux boutonnée. Il tient à peine debout à cause de l’alcool.

Son premier lancer est complètement ridicule. Il est beaucoup trop court. Il ne m’atteint pas et rebondit sur la table devant moi. Le second tir n’est pas mieux car il me dépasse sur la droite. Le troisième lancer se rapproche et il touche le haut de mon sein gauche. L’impact ne me fait pas vraiment mal , mais il me fait sursauter.

Bon sang, un étudiant vient de lancer une balle de ping-pong sur mon sein !

Mais au moins, il n’a pas atteint le gobelet, donc je ne suis pas obligée de boire ma propre bave. Beurk ! Mais je ne suis pas sûre d’être aussi chanceuse tout le temps, car le prochain gars a l’air beaucoup moins ivre.

C’est Zach, un des garçons qui s’était moqué de moi. Du premier regard je n’ai pas aimé ce gars. Avec son polo rose et ses chaussures chics, il fait trop bon chic bon genre. Son premier lancer touche le haut de mon épaule. Encore une fois, mon corps est touché par une balle de ping-pong. Pfffff !

Son deuxième essai est habile, il atterrit directement dans le gobelet. Bon sang, ça y est ! Je jette un coup d’œil à Justin. Mon visage est tout rouge et j’ouvre de grands yeux. J’espère qu’il va me sauver de cette épreuve. Mais non, il ne l’a pas fait !

Cet enfoiré se contente de hausser les épaules et il me dit que je n’ai pas le choix. Il ne détache même pas mes poignets pour me laisser prendre le gobelet moi-même. Non, il s’approche de moi et le sort de mon décolleté. Puis il le tient devant mon visage pour me laisser regarder la masse baveuse à l’intérieur.

- Eurrrggghhhh !

Je pousse un cri de dégoût quand il incline le gobelet de gauche à droite.

En voyant la masse dégueulasse de bave, je ne peux m’empêcher de cligner et fermer les yeux. Sans rien voir je tire lentement la langue et j’attends que le mélange coule dessus. Toutefois, ça ne vient pas !

J’ouvre alors les yeux et je vois la bave descendre lentement sur le côté du gobelet. La masse blanchâtre et visqueuse est bien épaisse, donc à peine liquide. Très lentement elle glisse vers ma bouche. Beurkkk !

Cette attente m’énerve. Finalement un premier filet de bave touche ma langue et me fait aussitôt frémir de dégoût. Alors que ma bouche se remplit de cette mélasse dégoûtante, je ne peux m’empêcher de trembler.

Une fois que tout est accumulé dans ma bouche, je l’avale d’un seul coup. Je n’aurais pas pu supporter le faire en plusieurs fois. Quand la bave coule dans ma gorge, mon corps convulse de dégoût. Pouahhh !

Maintenant le gobelet est vide, j’ai réussi. Mais que va-t-il se passer ? Le jeu n’est pas fini. Je n’y ai pas pensé du tout. Cependant je comprends très vite, c’est le gars au polo rose qui a gagné, donc c’est à lui de me faire remplir le gobelet à nouveau. Et comme je suis toujours attachée à la table, je ne peux résister. En regardant Zach approcher de moi, je ne peux éviter d’afficher ma répulsion sur mon visage. Mais ça ne le freine pas, au contraire, je crois que ça le stimule.

- Eurggghhhh, eurggghhh, EUURGGHHH !

Très vite, j’étouffe et j’ai des haut-le-cœur alors qu’il enfonce ses doigts dans ma gorge. Il est très dur et il me fait cracher bave et bile dans le gobelet jusqu’à ce qu’il le trouve assez plein pour la suite du jeu. Puis il contourne la table de ping-pong et il prend la balle.
- Aiie !

Putain, la balle vient de me frapper en plein visage ! Elle a heurté ma joue droite. Sérieux ?

Je me débats et les chaînes cliquettent, mais ça ne m’aide pas à me calmer. L’impact de la balle ne m’a pas vraiment fait mal, mais de toute façon qui s’en soucie ? C’est trop avilissant, trop irrespectueux !

Je trouve que c’est pire que de boire ma propre bave. C’est comme une gifle au visage, un traitement encore plus humiliant qu’une tape au cul pour une salope. Ça me réduit à l’état d’un simple objet d’amusement, et rend ma position de cible pour un jeu encore plus évident. C’est un amusement en or pour les gars de la fraternité. La façon dont ils se moquent de la serveuse contraste totalement avec mon état émotionnel.

Je me suis à peine calmée que le garçon suivant a ramassé la balle de ping-pong. Il s’agit de Cody, celui qui a parlé de « bombes pisseuses ». Il porte un tee-shirt bordeaux avec une inscription dorée « YAMOS ». Il est vraiment bronzé, tout aussi snobinard et peu aimable que son prédécesseur. Mais le plus important est qu’il est le dernier de son équipe. Il a l’air un peu bourré, mais il reste quand même droit.

- Hé les gars! Bronzage en spray contre bronzage en salon ! c’est le duel des bronzés ! Hé hé hé ! Plaisante l’un des membres de l’équipe de Justin.

Évidemment il essaie de déstabiliser Cody. Le reste de l’équipe de Justin se plie de rire. Même les coéquipiers du jeune garçon bronzé ne peuvent s’empêcher de rire.

Mais attendez ! C’est autant une raillerie pour le garçon de la fraternité que pour moi. Je suis celle avec le faux bronzage en spray. Mais peu importe, mon bronzage fait de l’effet et me fait plus ressembler à une poupée glamour, non ? Ces jeunes étudiants n’ont vraiment pas de goût.

- Mec, ce n’est bronzage contre bronzage, mais plutôt gobelet ou visage. Je n’arrive pas à me décider lequel je veux viser ! Hé hé hé ! Répond le jeune gars bronzé qui ne se laisse pas influencer par ses copains.

Quoi ? Ai-je bien entendu ? Je voudrais me plaindre, mais je reste silencieuse. J’ai l’impression que ce crétin est du genre qui aimerait que je pleure ou que je geigne.

- Quel est son nom déjà ? Ah oui c’est ça… Face de salope ! Dit-il vicieusement.

Au moment où il prononce la dernière syllabe il lance la balle et fait ce que je redoutais. Il jette la balle directement dans mon visage et il frappe mon front. Est-il sérieux ? Je me déplace d’un pied sur l’autre. Je cherche un soulagement pour mon humiliation. Quel enculé !

- Aiiiie ! Dis-je encore quand il lance une deuxième fois.

Encore une fois, droit dans ma figure ! Cette fois c’est ma joue gauche qui reçoit l’impact de la balle. Quel salaud ! Je voudrais pouvoir faire le tour de la table et gifler ce mec pour son comportement méchant. Mais je suis piégée dans ma position, complètement impuissante, condamnée à attendre son prochain lancer. Il ne va quand même pas lancer une troisième fois dans ma face ?

Il ne l’a pas fait.

Avec précision, cet idiot bronzé lance la balle dans le gobelet en plastique rouge. Je gémis, il faut que je boive encore cette affreuse mixture. Cette fois je ne me donne même pas la peine de regarder Justin, je me contente de hausser les épaules.

De toute façon, j’ai à peine le temps de faire quoi que ce soit, parce Cody est à côté de moi en quelques secondes. Il prend le gobelet et le tient au-dessus de ma bouche ouverte. J’essaie de regarder ailleurs que dans le récipient.

CLAC !

Ce salaud bronzé n’aime pas ça, alors il vient de me donner une claque sur le cul. Il m’a fait mal alors je me concentre et je regarde la bave dans le gobelet pour éviter un autre coup. Encore une fois, il faut beaucoup de temps pour que le liquide épais descende le long du gobelet. Je n’en peux plus d’attendre, alors je commence à lécher la bave collante et mousseuse dès sa sortie du récipient.

Même si je tremble entièrement de dégoût, je me débrouille bien et je finis ma « récompense » en un temps record. C’est tellement dégoûtant que je ne peux m’empêcher d’avoir des haut-le-cœur tout le temps. Je suis tellement mal que j’ai l’impression que je vais vomir d’un moment à l’autre.

Pourtant je résiste. Il n’est pas question que je me déshonore en vomissant, je suis bien trop fière. Bien sûr, finir mon verre signifie que le salaud bronzé va avoir sa chance de me le faire remplir à nouveau de ma bave. Il va sûrement aimer ça.

- Hé les gars, c’est une bonne chose que je ne me sois pas lavé les mains quand je suis allée pisser tout à l’heure. Hé hé hé ! Plaisante-t-il en poussant trois doigts dans ma gorge.

- Eurggghhhh, eurggghhh, BEUUURRRKKK !

Je gémis de dégoût lorsque le goût rance de ses doigts confirme sa remarque. Je peux même confirmer que ce goût rance est celui de l’urine, car la pute d’anniversaire de Matt est une salope à pisse. Quoi qu’il en soit, ça n’améliore pas ma situation, au contraire.

Et le gars bronzé ne se soucie pas de mes nausées. Au lieu de ça, il essaie de me faire vomir sur sa main. Il garde les doigts bien enfoncés dans ma gorge jusqu’à ce que mon corps commence à se tordre de façon incontrôlable. Putain, ce garçon n’a aucune pitié.

Sans me laisser de pause pour cracher la bave, elle jaillit de ma bouche à chaque fois que mon corps convulse violemment. J’en mets partout ! La bave épaisse éclabousse ma poitrine, trempant mon décolleté, mais elle ne remplit pas le gobelet. Cody continue pendant un moment pour enfin remplir la moitié du récipient.

- Hé gars, la façon font tu utilises les trois compétences de cette salope à la fois est totalement géniale. De toute façon elle n’a que cinq compétences. Don trois sur cinq c’est bien.

Il s’agit de Matt que je viens d’entendre soudainement.

Le roi de la fête d’anniversaire vient juste d’entrer dans la salle de loisirs. Bien sûr, il faut qu’il se moque immédiatement de moi. Grrrr !! Me voir habillée comme une serveuse idiote lui fait obligatoirement parler de mes compétences. Je frissonne quand j’y pense. Je suppose qu’il parle de mes trois trous et de mes deux seins ? Non ? C’est tout ce que je suis pour lui, des trous et une paire de seins.

Le gobelet rempli, c’est au tour de l’équipe de Justin de jouer. Ils sont obligés de marquer, car l’autre équipe mène 2 à 0. Ryan, le gars qui m’a pris mon smartphone est le premier à jouer. Son premier tir est bien trop court et ne me touche même pas. Je pense qu’avec son look « juste sorti du lit » soigneusement stylé, il est plus un gars cool qu’un athlète. Son deuxième lancer frappe le bord du gobelet.

- Aiee ! Crié-je quand le troisième lancer frappe directement mon mamelon.

Comme mon téton est super dur, l’impact envoie un frisson très agréable dans tout mon corps et électrise ma chatte. Je ferme les yeux et je gémis d’excitation. Putain de merde, je prends du plaisir à cette situation avilissante.

- Hé les gars, cette salope aime ça ! Nous devrions avoir un point pour ça ! Déclare Stylé-Boy.

Non, non, je n’aime pas ça ! Non, non pas de points supplémentaires. Mais contrairement à ce que je pense, l’équipe de Justin apprécie l’idée. L’autre équipe est néanmoins de mon côté et proteste comme de juste. Pendant que les équipes se chamaillent, Justin réfléchit et dit :

- Non, tu ne peux pas obtenir un point en faisant gémir la pute de service, ça serait trop facile. Toutefois l’idée était géniale. Que pensez-vous d’un peu de bave gratuite les gars ?

Ohh, je crois que cette proposition ne m’enchante pas. Mais on ne me demande pas mon avis.

- Yèèèèèè ! Crient les garçons de la fraternité pour donner leur accord.

Quand je vois Ryan s’approcher rapidement de moi, j’ouvre la bouche par réflexe pour protester. C’est une mauvaise idée, car je n’ai pas le temps de prononcer un mot.

RRRKK… PFUUUTTTTT

- Aaahhhh !

Il vient de cracher directement dans ma bouche ouverte. Je sens la moitié de son crachat frapper l’arrière de ma bouche, et l’autre moitié coller à ma lèvre inférieure ? Pouah ! C’est horrible ! Maintenant ils me crachent dessus après m’avoir envoyé la balle dans la figure.

- Justin n’a rien dit sur le fait de cracher dans le gobelet, n’est-ce pas ? Dit Ryan quand je lui lance un regard furieux.

Puis il ajoute :

- Sois heureuse d’avoir déjà de la salive dans la bouche, comme ça il faudra moins forcer ta gorge.

Hum, je suppose qu’il a raison ? Mais ça reste dégueulasse quand même. Quoi qu’il en soit, un autre garçon est prêt à lancer la balle de ping-pong pour l’équipe de Justin. Il s’appelle Ben et il est beaucoup moins élégant que son prédécesseur. Il porte des tongs et un tee-shirt noir avec le slogan « FBI – FEMALE BODY INSPECTOR » dessus. Ce n’est pas sexiste du tout, pfff ! Tenant la balle dans une main, il a l’air indécis. Il faut dire qu’il y a trop de cibles à présent : le gobelet, mon visage ou mes tétons.

- Aiiee !

Son premier lancer atterrit sur mon visage. Par réflexe, je recule jusqu’à ce que mes poignets attachés à la table arrêtent mon déplacement. Oh mince, je viens de déplacer la table de quelques centimètres. Bon sang, que je n’aime pas que l’on frappe mon visage avec ces balles. Je ne peux pas m’empêcher de pousser de petits cris et de me plaindre, même si ça ne fait que rire encore plus les garçons et les inciter à continuer.

TAP ! TAP !

Rapidement, le deuxième coup frappe mon mamelon gauche et le troisième mon mamelon droit. Cet enfoiré n’a même pas visé le gobelet. Grrr, plus ces gars s’énervent et plus ça devient n’importe quoi. Je ne sais pas comment ça va finir. En fait je ne peux qu’espérer que Daniel arrive et mette son plan en marche. Oui Daniel, j’avais totalement oublié mon homme et son plan. Oups, que je suis bête !

Avec un sourire triomphant, le garçon portant le titre d’Inspecteur de Corps Féminin fait le tour de la table. Est-ce qu’il est possible de croire qu’un gars portant un tee-shirt avec un tel slogan puisse un jour toucher une fille ? N’importe quoi ! Cependant, il est sur le point de cracher sur une femme.

- Demande-moi gentiment que tu veux ma salive, salope !

Enfoiré ! Il est sur le point de m’humilier et il veut que je le supplie de le faire.

- S’il vous plaît, hi hi hi ! Crachez-moi dessus, hi hi hi ! Dis-je en rigolant bêtement.

PFUUUTTTTT

Beurk ! Il vient de cracher un gros mollard sur ma joue gauche. Je le sens dégouliner sur ma peau douce. c’est totalement idiot.

- Tu ne me l’as pas demandé assez gentiment, salope ! Me gronde le garçon.

Du coin des yeux, je vois le regard déçu de Matt. Oh oh, je ne veux pas l’énerver. Jusqu’à présent il a à peu près respecté mes limites.

- Merci Monsieur d’avoir rendu mon visage de salope stupide plus joli. Dis-je en m’avilissant encore plus.

Et j’ajoute :

- Ma bouche est tellement sèche. S’il vous plaît Monsieur, pouvez-vous faire en sorte de mouiller la bouche de cette salope !

PFUUUTTTTT

Oui ! Non, je veux dire non ! Ma supplication fait l’affaire. Pourtant je ne peux m’empêcher de frissonner quand l’épais crachat heurte mon palais. Eurgghhh ! Toutefois, je baisse la tête et je laisse couler la salive dans le gobelet rouge.

L’autre équipe mène toujours 2 à 0. Avec seulement trois tirs restants, ils semblent qu’ils sont sur le point de gagner le match. Je n’aime pas ça. L’autre salaud bronzé a agit avec moi comme une vraie merde, je ne veux pas que son équipe gagne.

C’est le tour du joueur final, c’est le tour de Justin. Merci mon Dieu ! Ou pas ! Il ne va pas me laisser tomber n’est-ce pas ? C’est mon stagiaire après tout et je l’ai servi consciencieusement la semaine dernière non ?

Il prend trois balles dans sa main et il lance rapidement la première. Dans une belle courbe, elle entre directement dans le gobelet. Super, il vise le récipient, et il réussit.

La deuxième balle frappe ma poitrine juste au-dessus du gobelet. Non, en la regardant rebondir sur mon corps, je me crispe très fort pour qu’elle tombe dans le verre. Elle tombe, mais rebondit sur l’intérieur de mon sein gauche qui la dévie. C’était si proche !

Le troisième lancer est bien trop court. La balle rebondit au milieu de la table de ping-pong. Toutefois, dans son rebond, elle vient vers moi et heurte le bord arrière du gobelet. Puis elle touche l’avant et atterrit à l’intérieur. Justin vient de gagner le dernier coup.

- Yes ! Yes ! Applaudissent Stylé-Boy et FBI-Boy.

- Et merde ! Gémit l’autre équipe.

Qu’est ce qui se passe maintenant ? Je suis confuse et je regarde les deux équipes. Elles ont fait deux points chacune, ça doit être un match nul non ? Est-ce qu’ils vont continuer ?

- C’est la fin du match ? Est-ce que nous avons un gagnant ? Demandé-je perplexe.

- Stupide salope ! c’est deux points avec un rebond. Donc 3 à 2, c’est l’équipe de Justin qui remporte la victoire ! Dit Matt qui vient de remarquer ma confusion.

- Oh d’accord ! Je ne suis pas une experte des règles, Hi hi hi ! Gloussé-je d’embarras en admettant mon ignorance.

Les garçons ricanent de ma bêtise. Oui je ne connais pas toutes les règles de ce jeu. Mais c’est un jeu stupide de toute façon. Mais peu importe, il y a un gagnant et l’autre bronzé n’a pas gagné.

- Espèce d’idiote ! Si une balle rebondit, tu peux l’attraper. Tu aurais dû le faire ! Me réprimande le garçon au polo rose.

- Le résultat ne compte pas ! La salope de service est de leur côté, elle les a aidés à gagner ! Proteste le garçon bronzé.

Hein ? Quoi ? Personne ne m’a parlé de ce truc de rebond. Je n’ai rien fait exprès. Pourtant ils rejettent totalement la faute sur moi. Sérieux ? Je suis indignée, même si je ne le montre pas trop, car je ne veux pas paraître trop stupide de ne pas connaître les règles de leur jeu.

- De toute façon cette idiote n’aurait pas réussi à l’attraper. Alors qui s’en soucie ? Nous sommes les gagnants et les gagnants emportent tout. Dit FBI-Boy pour insister sur la victoire de son équipe.

- Occupons-nous de ce cul les gars ! Crie-t-il en se plaçant derrière moi et en attrapant mes hanches.

Hein ? Hein ? Attendez ! Quoi ?

Personne ne s’occupera de mon cul ici. En dépit de mon agitation et de mon ivresse je me souviens vaguement que j’ai fixé des limites pour cette fête. Il y avait quoi d’autre ? Ah oui, je m’étais engagée à ne pas baiser les garçons de la fraternité.

- Je vous l’ai dit Matt, je ne baise pas vos copains. Dis-je en tapant du pied pour montrer mon agacement.

En lançant un regard furieux au stagiaire, j’essaie de m’éloigner de FBI-Boy, ce qui n’est pas vraiment facile à cause des chaînes.

- Tu as raison, tu l’as dit.

Étonnamment Matt est d’accord avec moi. J’ai l’impression qu’il est de bonne humeur, peut-être parce que c’est son anniversaire.

- Bien que… Tu as également accepté de donner un prix , Miss Face de Salope. Tu affiches déjà tes compétences et tu as laissé déjà mes amis te toucher. Qu’est-ce que tu peux offrir d’autre, petite pute ? Argumente-t-il.

Merde ! Cet enfoiré a raison dans un sens. J’ai accepté la suggestion de Justin, mais je ne m’attendais pas à ce que le prix soit une baise pour l’équipe gagnante. En vérité, j’avais espéré qu’ils m’oublient. En fait j’ai moi-même oublié que j’avais promis une récompense. Bien sûr, Matt s’en rappelle.

Bon sang, j’agis vraiment comme une serveuse docile, habillée en salope et complètement stupide, non ? J’avais accepté l’idée sans en mesurer les conséquences. Enfin, peu importe ! En tant que cadre, je suis totalement habituée à me sortir des faux pas et à donner des directives à mes employés. Je pense que je peux trouver quelques alternatives très rapidement n’est-ce pas ?

Ouais, c’est plus facile à dire qu’à faire. Que puis-je offrir ? Tous les gars ont vu mes seins. Ils ont vu mes compétences. Les laisser me baiser complètement est la prochaine étape logique dans la soirée. Il n’y a qu’une seule idée qui me vient à l’esprit. Ce n’est pas beaucoup mieux, mais au moins je serais préparé. J’ai fait tout mon possible jusqu’à maintenant pour ne pas montrer mes talents de lanceur, mais on doit faire des concessions parfois, non ?

- Bon les gars, soyez sport et laissez-moi lancer trois fois ! S’il vous plaît : Supplié-je en ronronnant de façon sexy.

Et j’ajoute :

- Si je réussis les trois coups, je fais un strip-tease pour l’équipe gagnante. Vous pourrez regarder, mais pas toucher ! Hi hi hi ! Si je réussis deux fois, l’équipe gagnante pourra jouir sur moi, m’arroser, mais pas me toucher. Si je réussis une fois, l’équipe gagnante pourra baiser ma bouche ! Hi hi hi ! Et si je loupe tout, les gagnants pourront m’enculer totalement.

- Waou ! Applaudit FBI-Boy.

C’est mauvais signe.

- Non Non ! Se plaint l’équipe perdante.

Encore mauvais signe.

- Si si !

Justin et Zach se disputent, ce n’est pas bon signe. C’est alors que Cody dit alors :

- Nous avons gagné au fair-play alors laissons. De toute façon nous arriverons bien à avoir une partie de cette salope.

- Oui mec ! Sa proposition est juste une échappatoire. Dit Justin.

- Je parie que Miss Face de Salope nous a menti sur ses talents de joueuse. Elle veut nous avoir les gars. Et si elle réussit ses trois lancers ? Nous avons déjà vu ses atouts. Où sera la récompense ?

Connerie ! Je n’ai pas menti sur mes talents de joueurs de bière-pong. Et j’ai proposé quelque chose de tout à fait équitable non ? Les garçons de la fraternité ne semblent pas convaincus cependant. L’équipe de Justin continue à parler tandis que l’équipe gagnante continue de protester de leur défaite.

Finalement Matt prend la parole et fait taire tout le monde.

- Vous voulez un compromis les gars ? En fait l’idée de Miss Face de Salope est plutôt bien. Toutefois nous avons besoin d’une meilleure motivation.

C’est alors qu’il suggère :

- Si Petite Pute réussit ses trois lancers, les gagnants obtiennent seulement sa bouche. Si elle en réussit deux, les gagnants ont droit à son trou du cul. Pour un seul lancer réussi, les gagnants obtiennent à la fois sa bouche et son cul… Et les perdants obtiennent eux une revanche. Si elle ne gagne rien, tout est gratuit pour tous.

Tout Gratuit pour tous ? Sérieux ? Une revanche ? C’est pas sérieux. Non, non, non, ça ne peut pas arriver. On passe à un tout autre niveau là.

- OUAIS ! OUAIS ! OUAIS ! Crient les six joueurs.

- C’est une bonne idée mec ! S’exclame Cody.

- Ça devrait être son propre jeu à boire, Salope-pong, le jeu ultime pour les salopes de fraternité. Ajoute Zach

Hein ? Comment me jugent-ils ? Évidemment ils ne croient à mes talents de lanceurs. J’essaie désespérément de trouver une autre suggestion. Mais mon intelligence est partie. Quoi qu’il en soit, l’approbation de tous ces garçons est tellement imposante que toute objection est vaine. Ils se contenteraient de rire de mes autres idées.

- Très bien Matt, Si tu penses sérieusement que je vais assurer. Dis-je en espérant qu’il change d’avis.

Mais comme il ne réagit pas du tout, je me vois obligée d’accepter la suggestion de cet enfoiré :

- D’accord ! Je vais le faire !

Mon consentement provoque un vacarme d’acclamation qui me fait sourire involontairement. Après tout, c’est mon travail de m’occuper des invités et de faire en sorte qu’ils soient heureux, non ?

Maintenant qu’ils ont ce qu’ils veulent, les étudiants placent rapidement trois gobelets en plastique de l’autre côté de la table de ping-pong. Pendant ce temps, Justin me détache des pieds de la table. Tout en frottant mes poignets, j’essaie de me concentrer pour les lancers. C’est important, j’ai mon destin en main.

Je prends la première balle, je lève le bras et je vise précautionneusement. Je trouve que la table de ping-pong est longue et donc que les gobelets sont loin. En lançant, je surestime la distance et la balle va très loin sans même toucher la table.

Perdu pour le premier tir !

Je veux alors obtenir le meilleur résultat. Je décide donc d’utiliser la règle du rebond. En lançant, je mets moins de force. Le tir est court et la balle rebondit sur la table. Mince, l’angle n’est pas bon et la balle tombe devant la tasse.

Zut, mon deuxième essai est gaspillé.

Il me reste un seul coup. Je suis tellement nerveuse que ma main tremble. Il faut que je sois sûre maintenant et que j’arrête de faire n’importe quoi. Pour ce dernier lancer, je ferme mon œil gauche pour être plus précise et j’essaie de doser ma force entre le premier et le deuxième coup. Je lance. La balle fait une belle courbe dans les airs et tombe directement dans le gobelet.

- Oui ! J’ai gagné le troisième lancer.

- Sa bouche et son cul ! Voilà pour les gagnants ! Annonce Matt à tout le monde.

C’est décidé. Les trois membres de l’équipe de Justin vont me baiser la bouche et le cul. Et les limites que j’avais imposées ? Je crois qu’elles n’existent plus. Cependant, j’avais combattu longtemps et durement pour qu’elles soient respectées, non ? Ce n’est pas de ma faute n’est-ce pas ?

Une fois la sentence déclamée, les trois étudiants se jettent sur moi en seulement quelques secondes. Justin attrape mes chaînes et il me pousse à genoux brutalement.

Saisissant le débardeur blanc, il le tire très fort vers le bas jusqu’à ce que mes gros nichons en sortent. Il fait de même avec mon short orange qu’il descend jusqu’à mes pieds. Bon sang, je suis maintenant complètement exposée. Puis il prend les chaînes qui pendent du collier autour de mon cou et il les entoure autour de chacun de mes gros seins. Il fait trois tours en serrant bien, mes seins gonflent de façon obscène. Ensuite Justin fait passer les chaînes sous mes aisselles. Pourquoi ?

Oh je comprends ! Il saisit mes poignets et tire mes bras dans mon dos pour les menotter. Je suis encore enchaînée. Cette fois mes mains sont attachées dans le dos et elles deviennent inutiles.

Pendant que Justin me met en place, j’entends le son de deux fermetures éclair ainsi que le babillage excité des deux autres gagnants, Stylé-Boy et FBI-Boy. Toutefois, Justin reste le maître du jeu et se place devant moi.

- Tu veux ma bite poupée ? Qu’est-ce que tu veux que j’en fasse ? Demande-t-il en agitant son sexe.

Putain ! Un groupe de garçons étudiants me regarde alors que je suis à genoux dans leur maison, les bras menottés dans le dos. Un tas de gamins arrogants qui vient de s’amuser avec moi comme une cible de jeu idiot ! Pourtant je suis tellement excitée que ma bouche salive d’envie à la vue d’une bite bien dure. Je gémis :

- S’il vous plaît Monsieur, je suis une vieille salope, vous savez et je suis à la recherche de jeunes bites. j’en ai besoin, tellement besoin…

Je suis si excitée que je ne sais même plus ce que je dis. C’est vraiment embarrassant, mais je dis la vérité. Dire que j’étais déterminée à ne me laisser baiser par aucun des garçons. Et que je voulais qu’aucun d’eux ne me regarde me faire baiser. Je crois que la tournure des évènements ne s’est pas bien passée. Car maintenant, je suis à genoux, excitée et la chatte humide, en train d’implorer pour avoir des bites de jeunes garçons. Au moins, ça me donne l’occasion de montrer que je suis bien plus qu’une simple serveuse.

- Bien salope ! Montre à ces gars à quel point tu es une suceuse bien entraînée, Miss Face de Salope ! Ordonne Justin.

Pour renforcer son ordre, il est de nouveau très brutal. Il saisit mon collier et attire mon visage sur sa bite. Avec les bras attachés dans le dos, je serais sûrement tombé en avant s’il ne m’avait pas tenue en place.

- Allez poupée, fais AH et montre-nous comment tu utilises ta bouche de pute ! Dit Justin.

Il se montre très humiliant comme d’habitude. Je le méprise. Pourtant je tiens mes lèvres ouvertes à son service. Le stagiaire continue de s’amuser avec les chaînes en me tirant. Il a le contrôle total de mon corps. En fait je suis pour lui simplement un jouet de sexe qu’il peut diriger et utiliser comme il l’entend.

En tirant sur les chaînes, il serre encore plus douloureusement mes seins. Puis il tire ma bouche sur sa bite bien dure. Il continue jusqu’à ce que son membre glisse au fond de ma gorge.

Son sexe étant complètement au fond de ma bouche, les muscles de ma gorge ont commencé à se contracter. Ils se resserrent et se détendent à un rythme rapide, massant ainsi sa bite.

- Eurghhhh ! Euurgghhh ! Eurgghhhh !

J’ai des haut le cœur et j’étouffe. Mon corps tremble tout entier pendant que Justin me maintient en place en tirant sur les chaînes. Mon corps réagit à ce traitement avec une danse obscène et saccadée autour de sa bite. Et comme ma gorge est entièrement remplie par la queue du garçon, aucune bave ne peut s’échapper. Tout d’un coup cet enfoiré agrippe ma queue de cheval et tire violemment dessus. Son membre sort de ma bouche, suivi d’un jet de bave qui se déverse sur mes seins.

Pouah, c’est dégoûtant une fois de plus. Et avec mes bras enchaînés dans mon dos, je ne peux rien essuyer.

Tandis que j’essaie de reprendre mon souffle, Justin recommence à tirer sur les chaînes et il embroche mon visage sur sa bite très lentement. Dans ma position, je ne peux pas résister. Le reste des garçons de la fraternité semble apprécier le spectacle. Je bouge nerveusement sur mes genoux tandis que la tige dure descend dans ma gorge. Mon corps recommence à convulser à cause de l’étouffement provoqué.

Cette fois, Justin ne garde pas longtemps sa bite dans ma gueule. Il recommence à tirer violemment sur ma queue de cheval pour sortir sa bite. Utilisant à la fois les chaînes et ma chevelure il commence à bouger ma tête d’avant en arrière sur sa queue.

Queue de cheval ! Chaînes ! Queue de cheval ! Chaînes !

En arrière ! En avant ! En arrière ! En avant !

- Eurghhhh ! Aaargghhh ! Eurgghhhh ! Aaargghhh !

Chaque poussée et chaque traction me font rejeter une grande quantité de bave et de remontée de bile. C’est extrêmement brutal. Ma tête est violemment tirée d’avant en arrière et mes boucles d’oreilles se balancent sauvagement.

Un mélange de sons humides et spongieux remplit la pièce pendant qu’il baise ma gorge.

A chaque poussé, ma bouche se remplit de bave. La bite de Justin se transforme en mixeur qui remue le mélange dans ma bouche. C’est trop vicieux. Quand la bave a bien moussé, le stagiaire retire sa bite et me fait cracher le liquide épais. Où ? Oh, c’est vrai, le gobelet en plastique repose toujours entre mes gros nichons enserrés par les chaînes.

Avec une autre traction sur les chaînes, Justin tire ma tête sur la droite vers Stylé-Boy. Justin garde son emprise sur les chaînes et il guide ma bouche sur la bite de l’autre étudiant. La façon dont il me manipule me fait me sentir petite et impuissante. Toutefois ça envoie plein de picotements dans ma chatte.

Avec mon visage empalé sur son outil charnu, Stylé-Boy ne bouge pas et se tient là, les mains sur les hanches. Est-ce que l’on peut se montrer aussi paresseux ? Il ne bouge pas du tout, laissant Justin bouger ma tête sur son membre en tirant alternativement sur ma queue de cheval et les chaînes. Quel crétin ! Il baise ma bouche sans lever le petit doigt.

- Eurghhhh ! Aaargghhh ! Eurgghhhh ! Aaargghhh !

J’étouffe à nouveau. La bite de Stylé-Boy est plus courte mais plus épaisse, donc elle remplit facilement ma bouche et me coupe la respiration.

Les bruits de succions et de mes haut-le-cœur augmentent alors que Justin pousse fort ma tête sur la bite de l’étudiant.

Quand il en a assez de remuer la bave dans ma bouche, il tire violemment ma tête en arrière et me fait cracher une grosse quantité de bave. Cette fois, je me souviens qu’elle tombe dans le gobelet en plastique rouge coincé dans mon décolleté.

Avec un autre tiraillement sur les chaînes, mon stagiaire guide ma tête vers la gauche et pousse mon visage sur la bite de FBI-Boy. Son membre dressé est beaucoup plus long que celui de son ami, même s’il est moins épais. De toute façon, rien n’arrête Justin, car il empale brusquement ma bouche sur la longue queue.

- Eurghhhh ! Aaargghhh ! Eurgghhhh ! Aaargghhh ! AAARGGGGHHHH ! EURRGGGHHH !

Mes haut-le-cœur deviennent plus violents alors que la longueur de la bite chatouille littéralement mes amygdales.

Fidèle au slogan sur son tee-shirt, l’inspecteur des corps féminins ne reste pas immobile et ne laisse pas quelqu’un d’autre faire tout le travail. Au contraire, il se penche et commence à serrer mes seins enchaînés. Au rythme de la baise de ma bouche, il pince et tord mes mamelons rudement ce qui me provoque des gémissements de douleur.

- Eurghhhh ! Aaargghhh ! UMMMM ! Eurgghhhh ! Aaargghhh !

J’ai tellement envie de gifler les mains de ce petit con pour les enlever de mes seins, mais je suis impuissante avec mes bras attachés dans le dos. Sa bite est plus fine que les deux auparavant et ne remplit pas totalement ma bouche, alors ma bave commence à couler sur mon menton en filets épais.

C’est alors que Justin tire ma tête en arrière et laisse son copain ramasser cette bave avec sa bite. Puis FBI-Boy rigole en secouant son sexe et en le frappant contre la chair bombée de mes nichons. J’entends des bruits d’éclaboussures, c’est dégoûtant.

Les étudiants répètent la procédure jusqu’à ce que le gobelet en plastique rouge soit rempli jusqu’au bord. Bon sang, je n’aurais jamais pensé produire autant de bave que ça. Toutefois ce n’est pas la quantité qui est impressionnante, mais son aspect visqueux. Je frissonne de dégoût.

Mais au moins, Justin a fini d’utiliser ma bouche comme un réceptacle à leur bite. Il me laisse à genoux devant la table de ping-pong et j’essaie de reprendre mon souffle et mes esprits. Cette baise de bouche avait été épuisante. Mais je n’ai pas vraiment le temps de me reposer.

A suivre….

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