jeudi 25 avril 2024

Changements de vie pour Jessica Ch. 24

Traduction du texte de Cathartico : "Jessica's Change Management"

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Jessica et son cul à la fête d'anniversaire.

*** Semaine 3 – Toujours samedi soir***

Les trois étudiants gagnant du jeu de lancer de balles de ping-pong viennent de me baiser la bouche violemment. Je reste à genoux sur le sol, espérant pouvoir reprendre mon souffle et me reposer.

Justin détache mes poignets et mes bras. Ouf, ceux-ci sont enfin libres. Mais mon stagiaire tire les chaînes vers l’avant en les gardant enroulées autour de mes seins gonflés. Puis il les descend et les passe entre mes jambes. Puis de nouveau il saisit mes poignets et me tord les bras dans le dos pour remettre les menottes. Je suis encore attachée, impuissante.

Bon sang, Justin tire sur mon collier et me force à me pencher. Si bien que mes poignets remontent dans mon dos et tire les chaînes dans mon entrejambe. Elles pressent brutalement ma pauvre chatte.

- Ouillle ! Crié-je.

La façon dont les chaînes sont entourées autour de mon corps font qu’elles rentrent dans ma chatte. Au lieu de le faire comme précédemment avec mon short, il utilise cette fois des chaînes en métal. c’est douloureux.

Tandis que je pleurniche sur le mauvais traitement infligé à ma chatte, Justin me tire par le collier jusqu’à un canapé. Il est tellement vieux et usé que la couleur blanche a jauni et s’est transformée en crème. Ce canapé a sûrement connu des temps meilleurs.

Quoi qu’il en soit, Justin me pousse dessus, la tête dans le dossier. Le derrière en l’air, mon cul rond doit faire sensation. En regardant entre mes jambes, les gars ont une vue imprenable sur mes bijoux au nombril qui se balancent et mes nichons pressés contre le tissu jauni. Le stagiaire me dit :

- Allez Face de salope, mes copains ont vu trois de tes compétences. Montre-leur la quatrième. Prouve que tu es une pute anale bien entraînée. !

Je viens de subir un jeu ultra avilissant, alors je peux bien continuer. Les poignets attachés dans le dos j’arrive à atteindre mes fesses facilement. J’obéis donc à Justin.

Je saisis mes fesses avec mes doigts et j’appuie mes faux ongles longs sur ma chair tendre. Je pousse fort dessus avant de laisser mon cul se remettre en place en tremblant de façon sexy.

Puis j’écarte mes fesses pour montrer mon petit trou du cul plissé. Je passe mon index droit tout autour de mon sphincter, puis je l’enfonce dans mon anus. Lentement j’ajoute mon index gauche, puis mes deux majeurs l’un après l’autre.

Woaw, je me sens déjà bien remplie, mais il n’est pas question que j’arrête maintenant. En écartant les doigts j’ouvre peu à peu mon anneau anal. Mon trou du cul fait un clin d’œil aux garçons de la fraternité. Hi hi !

Lentement, je laisse mes doigts glisser à l’extérieur de mon trou du cul pour leur le montrer fièrement. Puis de nouveau je le poignarde avec mes quatre doigts. Encore une fois, je les écarte pour montrer mon trou du cul béant.

Justin s’approche de moi et dit :

- Ça baille pas mal poupée ! Mais nous ferions mieux de te mener à un autre niveau, hein les gars ?

Mince, j’ai un mauvais pressentiment. Bien sûr, sa suggestion est accueillie par les hurlements bruyants des autres garçons de la fraternité.

- D’abord, il faut que nous lubrifiions tout ça, non ? Continue le stagiaire.

- OOOOHHHHH ! Crié-je en réponse.

Alors que mes doigts étirent toujours mon trou du cul, je sens soudainement une humidité hyper collante sur mon anus. Justin vient d’incliner le gobelet rouge et il laisse couler le contenu de bave gluante. Celle-ci coule essentiellement dans mon cul, mais une partie reste collée à mes mains et mes faux ongles. Mon Dieu, je frissonne de dégoût.

- Allez salope, Fais des bulles pour nous ! Ordonne le stagiaire.

Hein ? Quoi ? Qu’est-ce qu’il veut ? Des bulles ? Sérieux ? Il plaisante ou non ?

Je comprends vite qu’il ne plaisante pas. Il me fait voir à quel point il est sérieux en se montrant brutal à la place.

CLAC

CLAC

- Héhé ! Voyons si ça clapote ! Commente-t-il en continuant les fessées qui font trembler mon corps de gauche à droite.

Mais il conclut :

- Non, je ne peux rien entendre. Tu dois essayer plus fort  de faire des bulles, Miss Face de Salope !

En regardant derrière moi, je peux voir les visages des six garçons qui regardent. Ils semblent apprécier le spectacle. Bon sang, j’ai l’impression qu’ils veulent me dévorer. Ça devrait me faire peur, mais au contraire ça m’encourage. Vous vous rappelez de mon lavage de voiture devant des membres du gang « LGZ » ? j’ai survécu à ça, donc je pense pouvoir gérer un groupe d’étudiants.

Sortant mes doigts avec mes faux ongles de mon trou du cul, je garde mes mains sur mes fesses pour les écarter largement et pour commencer à appuyer. Mais rien ne se passe. Alors je serre mon sphincter très fort avant de le desserrer. Mais toujours rien ne se passe. Je commence à serrer mon trou du cul et à le détendre plusieurs fois, mais toujours sans succès.

Je serre, je desserre, je serre, je desserre. Mon trou du cul clignote lamentablement. Le spectacle doit être génial pour les garçons de la fraternité parce qu’ils commencent à se branler en regardant. Mais je n’y arrive pas. La bave a coulé le long de mon cul, il ne doit pas y avoir assez dans mon petit trou pour que je réussisse à faire des bulles. Quoi qu’il en soit , mon salaud de stagiaire n’abandonne pas aussi facilement.

- Bon les gars, je crois que nous devons élargir ce trou avant qu’il ne puisse faire de vraies bulles ! S’exclame-t-il.

S’appuyant sur moi, Justin ne perd pas de temps et plonge directement son membre rigide entre mes fesses. Même si j’ai étiré mon trou du cul avec mes doigts, il résiste fortement à l’intrusion brutale. Mais ça ne dure pas longtemps, car mon stagiaire force et sa bite me pénètre très rapidement.

A cheval sur mon cul, cet enfoiré reste au-dessus de moi dans un angle parfait pour m’enculer. Chacun de ses coups de rein pousse mon corps dans le canapé. Je sens l’assise se comprimer. Je l’entends même commencer à grincer sous la pression.

CRIIIII CRIIII CRIIIII

- Ooohhhh ! Oooohhh ! Oooohhhh !

A chaque coup, mes genoux sont poussés dans le canapé, forçant ainsi mes pieds à remonter très haut dans les airs.  A chaque coup, les cuisses de Justin cognent mon cul et secouent mes fesses. Mon corps tout entier bouge de haut en bas intensément. Je suis littéralement bousculé entre la bite du garçon et le coussin du canapé sans pouvoir contrôler mon corps. Tout ce que je peux faire c’est de gémir.

CRIIIII CRIIII CRIIIII

- Ooohhhh ! Putain ! Oooohhhh ! Oui !

Mon Dieu, cette brute laboure mon trou du cul si fort et si vite. Il me prend le cul et me possède totalement. Il essaie de casser le canapé ou quoi ? De tout façon il résiste, donc Justin garde le rythme pendant les dix minutes suivantes.

- Écarte ! Dit le stagiaire en sortant sa bite de mon cul et en s’éloignant.

Rapidement je pose mes mains sur mes fesses et je les écarte pour montrer mon trou du cul béant. Bon sang, j’ai l’impression qu’il est bien ouvert et bien dilaté. En plus mes fesses se contactent et se détendent au rythme de mon souffle que j’essaie de récupérer.

Fermé, détendu, fermé, détendu…

- Ah ah ah ah ! Rigolent les garçons de la fraternité.

- On dirait que le trou du cul de Miss Face de Salope a sa propre vie.Il respire et baille ! Dit Stylé-Boy.

- Oui, mais il est aussi vide que sa tête. Donc il supplie pour être rempli ! Dit Matt pour se moquer encore plus.

- Prêt pour la prochaine vague de bave, poupée ? Demande Justin en positionnant le gobelet rouge au-dessus de mon cul.

Tous les gars applaudissent. Juste au moment où je pousse deux doigts bien manucurés dans mon trou du cul béant, je sens la bave couler dans mon cul et le long de mes mains. Beurrkkkk ! Mon corps entier sursaute et tremble furieusement. Je n’arriverai jamais à m’habituer à cette sensation gluante et collante.

Je n’ai pas l’occasion d’essayer de refaire des bulles, car Stylé-Boy est déjà sur moi. Les gars sont impatients de mettre leur bite dans mon cul. Et maintenant que Justin s’est écarté, ça se transforme un peu en une cohue bruyante.

Saisissant les chaînes, Stylé-Boy pousse mon corps jusqu’à ce que je m’agenouille latéralement sur le canapé. Dans cette position, mon visage est accessible du côté gauche et mon cul du côté droit. FBI-Boy saute alors sur l’occasion et se présente à ma tête. Il agrippe les chaînes et me tire brutalement en avant.

- OUILLLE !

Il a tellement tiré que les chaînes se sont enfoncées dans ma chatte douloureusement. Cependant, mon cri est vite étouffé par la bite du garçon qui me la fourre dans la bouche sans ménagement. Alors que sa longue et mince queue est à moitié passée entre mes lèvres, je suis tirée en arrière. Stylé-Boy a attrapé les chaînes à mes poignets et m’a tiré vers lui.

- Oooohhhhh !

Je gémis alors que mes gros nichons sont pressés contre le canapé. Avec la bave dans mon cul, son membre glisse facilement à l’intérieur. Il entre profondément jusqu’à ce que ses couilles touchent ma chatte. Puis je suis de nouveau tirée en avant. FBI-BOY a de nouveau saisi les chaînes pour empaler ma bouche sur sa longue bite.

En avant ! En arrière ! En avant ! En arrière !

- Umphhhh ! Oohhhh ! Umphhhh ! Ooooohhh !

Je gémis et pousse des cris étouffés pendant que ces salauds utilisent les chaînes pour me tirer d’avant en arrière.

Chaque fois que FBI-Boy tire, il enfonce les chaînes dans mon entrejambe et sa bite profondément et brutalement dans ma bouche. Par contre, Stylé-Boy se contente de tirer les chaînes. Il ne bouge pas du tout, laissant mon trou béant glisser sur son membre. Sa main libre est sur sa hanche dans une posture ultra-décontractée.

- Oohhhh ! UMMMRRRRRGGHHHH !

Mes gémissements se transforment soudainement  en des bruits étouffés. Apparemment FBI-Boy en a marre de la position décontractée de son camarade. Il saisit ma queue de cheval et enfouit son sexe tout au fond de ma gorge et il me tient comme ça. Même si j’ai des haut le cœur et que j’étouffe  avec sa queue dans ma gorge, je préfère ça au style paresseux de Stylé-Boy. Cet enfoiré ne m’utilise pas comme une poupée glamour sexy et haut de gamme, mais plutôt comme un outil de branlette passif. Quel con !

- Allez salope, montre-moi combien tu veux ma bite ! Ordonne FBI-Boy.

Il retire ses mains de ma queue de cheval et sort sa bite de ma bouche, puis il attend que je fasse un mouvement. Pendant ce temps, Stylé-Boy continue paresseusement de me tirer d’avant en arrière avec les chaînes pour m’enculer.

Sans perdre de temps, je me précipite en avant et j’engloutis profondément l’outil épais et charnu de FBI-Boy. Je réussis à lui faire toucher ma luette avant que l’étudiant derrière moi ne me tire vers lui. Mais il ne semble pas réagir continuant nonchalamment sa traction sur les chaînes d’avant en arrière.

Je lutte alors pour garder la queue dans ma bouche, mais Stylé-Boy est trop fort. Les tensions sur les chaînes font qu’elles se resserrent brutalement autour de mes nichons. Malgré la douleur dans ma poitrine, j’essaie de résister. Mais l’étudiant derrière moi arrive peu à peu à retirer mes lèvres du membre raide de son camarade.

- Argghhhh ! UMMMRRRRRGGHHHH !

Je m’étouffe sur la bite de FBI-Boy dès que Stylé-Boy relâche s prise sur les chaînes.

Avec enthousiasme je me laisse baiser la gorge. Je dois être vraiment pathétique en me montrant comme une femme mature qui se jette sur une bite d’étudiant. C’est vicieux et surtout super humiliant.

J’ai toutes sortes de pensées qui traversent mon esprit. Tout d’abord, le mépris total de Stylé-Boy m’excite vraiment beaucoup. Pourtant je me sens complètement inutile. D’un autre côté la baise de ma gorge prouve que je suis une pute de service bien entraînée. Pourtant c’est totalement dégradant. Tout compte fait, la combinaison des deux m’excite énormément, alors j’oublie mes interrogations.

Je remarque à peine que Stylé-Boy retire sa bite de mon cul pour laisser la place à FBI-Boy. Avec une claque sur mes fesses, l’étudiant me demande d’utiliser mes doigts manucurés avec mes ongles longs pour ouvrir mon cul afin qu’il verse encore une bonne quantité de bave hyper gluante dans le trou béant.

Le reste des garçons rugit de nouveau. Bon sang, les deux tiers du gobelet rouge ont du être versé dans mon cul. Il est presque rempli à ras bord !

- Allez petite pute, montre-nous que tu sais te servir de ton cul. Fais des bulles comme une bimbo Miss Face de Salope ! Ordonne Justin.

Hein ? Quoi ? Des bulles comme une bimbo ? Dois-je prendre cela comme une insulte ? Je ne mérite pas ça non ? Peut-être que si ! Après tout, je ne suis pas arrivée à faire des bulles avec mon cul auparavant. Je dois prouver que mon cul est une de mes compétences. Je veux dire que je ne peux absolument pas risque que ces étudiants doutent de mes compétences. Après tout je veux qu’ils me prennent au sérieux et pensent que je suis plus qu’une simple serveuse.

Mais je n’ai aucune idée de la façon dont je peux réussir. Quoi qu’il en soit, j’enfouis mon visage dans le coussin jauni du canapé et je soulève mon cul très haut. En écartant mes fesses, je commence à serrer et détendre mon sphincter à nouveau pour essayer de faire sortir la bave de mon cul.

- Woaw les gars, elle est bien remplie, on dirait une mer de bave la-dedans ! S’exclame Stylé-Boy.

- Ouais, avec une crête blanche mousseuse sur le dessus ! Répond FBI-Boy en accord avec son ami.

Grrrr ! La façon dont tous ces garçons se tiennent autour de moi et inspectent mon trou du cul béant et rempli de bave me fait littéralement sentir comme un morceau de viande.

- Au moins son cul est plus rempli que sa tête ! Se moque encore une fois Matt.

Bon sang, faut-il que je m’oppose aux moqueries constantes du roi de la fête d’anniversaire ? Avec la façon dont j’ai oublié mes limites si facilement, c’est un peu difficile de m’opposer à lui non ?

Même si je me sens bien remplie, ce n’est pas facile. Je serre et desserre mon cul, encore et encore. Mais rien ne se passe. J’essaie de pousser. Il faut que je réussisse, même si c’est vraiment dégradant. Alors je me concentre et je pousse plus forte en serrant mon cul.

BLOP ! BLOP !

Ça y est ! Vous avez entendu ? Quelque comme chose comme des bruits de bouillon sont sortis de mon cul alors qu’une partie de la bave fait des bulles au bord de mon trou du cul.

BLOP ! BLOP !

Maintenant je sens la bave déborder et piquer mon petit anneau. Je fais des bulles ! Je fais des bulles avec mon cul de bimbo ! Quel triomphe ! Non ? C’est dommage !

Blop ! PROOUUUTTT !

Oh non ! Non, non, non ! Je me suis tellement appliquée à faire des bulles que j’ai trop forcé. Un gros pet est sorti de mon trou du cul béant. C’est horrible !

- Ah ah ah ! Trop cool ! Ah ah ah ! Une salope péteuse ! Rigolent les gars.

Leurs rires ne font qu’augmenter mon embarras. Je suis mal à l’aise. Je me sens trop vulgaire. Je me sens totalement humiliée. Ce n’est vraiment pas cool. Quoi qu’il en soit, j’ai réussi à faire des bulles.

- Les gars, voyons si on peut faire en sorte que cette salope soit moins étroite du cul ! Suggère FBI-Boy.

Il a à peine fini de parler qu’il est déjà au-dessus de moi. En tirant sur les chaînes il enfonce totalement mon visage dans les coussins du canapé. Puis, suivant l’idée de Justin, il se met debout sur le coussin au-dessus de moi pour pouvoir m’enculer. Ainsi, il peut enfoncer à la verticale sa queue dans mon trou du cul dilaté et rempli de bave et crachats. Profitant de cette position idéale, il commence à m’enculer avec vigueur.

CRIIIIII CRIIIIII CRIIIIII

- Mmmmmpphhhh ! Mmmm ! Mmmmmpppphhhh !

Le canapé usé grince tandis que mes grognements sont étouffés par les coussins. A chaque coup de rein, mes genoux sont enfoncés dans le rembourrage du canapé et mes pieds sont forcés de monter très haut. Pendant ce temps tout mon corps ainsi que mes fesses tremblent comme si c’était de la gelée. La bite de FBI-Boy remue la bave et provoque de drôle de bruits.

SPLOSH SPLOSH

Quels bruits humiliants ! Quelle honte !

L’étudiant m’encule violemment jusqu’au moment où il retire brusquement sa bite de mon fondement. Un torrent de bave coule partout et mon trou du cul ne se referme pas.

PRRROOOUUUUTTTTT

Ce bruit de pet est provoqué par mon petit trou qui se referme enfin en expulsant encore de la bave.

- Péteuse ! Dit FBI-Boy joyeux.

J’ai honte ! Je crois que je vais mourir d’embarras. Je ne me suis jamais autant senti humiliée. Et entendre les garçons s’amuser de ma situation la rend encore pire.

Dès que FBI-Boy s’est écarté, Stylé-Boy prend la place. Apparemment, le scénario désagréable que je viens de subir l’a aidé à se débarrasser de sa nonchalance. Il est prêt à montrer à quel point il est un jeune taureau. Prenant exemple sur son camarade, il plonge son outil charnu et épais entre mes fesses et il commence à me sodomiser très violemment.

CRIIIIII CRIIIIII CRIIIIII

- Mmmmmpphhhh ! Mmmm ! Mmmmmpppphhhh !

Les bruits de grincement du canapé se mêlent une fois de plus à mes gémissements étouffés. Je commence à devenir enrouée. Avec force, l’étudiant enfonce mon corps dans les coussins. Il me baise si fort qu’il ne va sûrement pas tenir longtemps.

- Ohhhhh ! Soupiré-je quand il me lâche.

Je n’entends pas de bruits lorsqu’il retire sa bite. Si je n’étais pas aussi concentrée sur le plaisir qui commence à parcourir mon corps, j’aurais souri de son échec à faire comme son ami.

Quand Stylé-Boy est redescendu du canapé, Justin se positionne au-dessus de moi et poignarde mon cul avec sa bite. Je n’ai pas eu droit à une pause. Mon cul est là pour la récompense des gagnants du jeu.

Le stagiaire percute mon cul si fort que j’ai l’impression qu’il veut fendre le canapé qui grince. Après trois grands coups de rein, il retire sa queue tout en claquant violemment ma fesse droite. Cette claque me surprend si bien que je serre mon cul autour de sa queue qui se retire.

BLRRRRBBBB !

Un bruit dégueulasse suivi d’une fontaine de bave qui jaillit de mon cul est le résultat de son action. Trop vicieux !

- Péteuse ! S’exclame Justin comme FBI-Boy auparavant.

Ma peau est rouge de honte. Est-ce qu’ils pourraient arrêter de crier ce mot ?

Revenant sur le canapé, Justin recommence à m’enculer. Il me baise encore plus puissamment. Je suis certaine qu’il va arriver à casser le canapé bientôt.

BLRRRRBBBB !

Une fois de plus, le garçon a giflé ma fesse gauche tout en retirant sa bite de mon cul pour provoquer un nouveau son dégradant. Il continue ce manège pendant un moment et à chaque fois qu’il se retire, il me demande de pousser.

BLRRRRBBBB !

En écartant mes fesses, j’essaie d’obéir consciencieusement autant que je le peux. Chaque fois que je ferme et pousse mon cul, une giclée de bave sort de mon cul. Toutefois, ça devient de plus en plus difficile. Je force si fort que j’ai l’impression que je vais faire sortir mes tripes. Bon sang, être transformée en salope avec un trou du cul béant n’est pas seulement humiliant, mais c’est aussi un travail difficile.

Je perds le compte du nombre de fois où Justin m’empale. Vous croyez que compter tout en se faisant enculer est facile ? Comme si ! Quoi qu’il en soit le stagiaire est de nouveau sur moi et pénètre mon cul comme s’il n’arrivait pas à s’en lasser.

CRIIIIII CRIIIIII CRIIIIII

- Ouillllle !!!!

Avec un grincement extra fort, le canapé usé a finalement cédé et il s’est effondré. Il s’est littéralement plié en deux au milieu. Justin a réussi à sauter juste avant. Cependant, je n’ai pas eu cette chance. Avec un grand cris, mon corps a glissé très vite vers le bas.

- Ahahahah ! Ahahahaha !

Les étudiants sont morts de rire quand ils voient mon corps disparaître dans les ruines du canapé.

Mes bras sont coincés dans mon dos. Mon visage et mes genoux sont encastrés dans la structure cassée du canapé. Mes pieds et mes baskets à talons hauts sont les seuls éléments visibles qui sortent du canapé plié en deux. Je suis complètement figée et les rires moqueurs emplissent mes oreilles. C’est totalement dégradant.

Oh merde, Justin vient d’utiliser la pute d’anniversaire pour réduire en morceau le vieux canapé jauni. Il m’a utilisé comme une vraie poupée de baise. J’ai honte !

CLAC !

- Nous n’avons pas fini petite pute !

Justin me crie dessus tout en soulignant ses paroles avec une claque vraiment brutale sur mes fesses.

Vous croyez qu’il est facile de sortir d’un canapé cassé avec les bras enchaînés dans le dos ? Comme si ! En plus aucun des gars ne m’aide à me remettre sur pied. Ils se contentent de rire en me regardant ramper maladroitement pour sortir des restes du canapé.

Quand finalement je suis sortie du canapé, je regarde les vieux coussins et je vois une tâche humide dessus. Apparemment j’ai réussi à expulser toute la bave de mon cul. Mais je n’ai pas terminé, car les garçons n’ont pas encore joui.

Alors que Justin fait une pause, FBI-Boy attrape ma queue de cheval châtain doré et il me pousse à quatre pattes sur l’accoudoir du canapé cassé. Mes gros seins sont pressés sur le tissu. Heureusement il prend des coussins sur un autre canapé et il les place sous mes genoux pour qu’ils ne râpent pas le sol. Qu’il est prévenant !

Il se place ensuite au-dessus de moi et enfonce sa bite dans mon cul. Puis il me baise avec force. Il saisit ma queue de cheval et tire ma tête en arrière ce qui me fait fléchir le dos. A chaque coup de rein, ses cuisses s’écrasent sur mes fesses et me pousse vers le bas violemment. A chaque fois, l’onde de choc traverse mon corps et envoie des picotements dans ma peau. Et à chaque fois, les coussins glissent en arrière sur le sol.

- Arggghhhh ! Arrrgghhh ! Argggghhhh ! Grogné-je sous ce traitement.

FBI-Boy continue de m’enculer et les coussins glissent de plus en plus en arrière. Comme mes genoux sont appuyés dessus, mes jambes glissent sous moi. Quelques coups de rein plus tard, mes jambes sont totalement étirées et mon cul plane en l’air, comme s’il flottait librement.

Mais cela ne fait qu’accentuer l’impact de mon enculage. Mes fesses suspendues en l’air sont frappées ver le bas à chaque fois. Et comme mes bras sont toujours attachés dans mon dos, je ne peux pas non plus me tenir à l’accoudoir. A chaque coup, je suis poussée plus loin du canapé. Mes gros nichons frottent le tissu jauni. Ouille !

- Ohhhh ! Ummppphhh ! Argghhh ! Ohhh ! Je ne peux que grogner et gémit pendant que je suis bien enculée.

- AAAAAAAHHHHHHH ! Hurlé-je sur un coup de rein plus puissant que les autres.

Mon corps tombe. Et je ne peux pas contrôler ma chute, je ne peux pas la ralentir, car je ne peux pas utiliser mes mains. Je suis en chute libre.

- AAIIIIEEEEEEE ! Crié-je très fort lorsque l’étudiant saisit ma queue de cheval.

Ouille ! Il arrête ma chute une seconde avant que mon visage ne touche le sol. Ce coup sec renvoie ma tête en arrière tandis que ma poitrine s’aplatit sur le sol. Cette secousse est douloureuse.

Mais comme si de rien n’était, FBI-Boy continue à m’enculer tout en serrant très fort ma queue de cheval. Avec les jambes totalement étirées et largement écartées, je suis allongée sur le sol, mes seins aplatis. Dans cette position, chaque fois que sa bite pénètre mon trou du cul, elle s’enfonce plus profondément et je ressens beaucoup plus l’impact.

Mon Dieu, quelle sodomie ! FBI-Boy a plus de résistance que je me l’imaginais. Je suppose que c’est la jeunesse. Comme tous les étudiants, il a de l’endurance en excès.

- Écarte ! Commande-t-il simplement après avoir sorti sa bite de mon trou du cul ravagé.

Avec mes mains toujours attachées dans le dos, j’écarte mes fesses largement. Bon sang, je me sens vraiment dilatée et je veux montrer à ces gars que mon trou du cul peut vraiment bailler, une compétence de plus. Hi hi !

- Ouvre ! Ordonne Stylé-Boy en échangeant de place avec FBI-Boy.

Seigneur ! De toute évidence il n’est pas satisfait de la taille de mon trou. Je plonge alors mes deux index avec mes faux ongles dans mon anus déjà ouvert et j’écarte les parois. Mon Dieu, j’ai l’impression que mon trou du cul est devenu un gouffre.

L’étudiant passe alors les mains sous mon ventre et il relève mes hanches pour que mon cul se retrouve en l’air bien que mes jambes soient encore allongées. Il agrippe mes poignets et il enfonce férocement son outil bien raide dans mon trou du cul.

Il m’encule alors que mes doigts sont toujours en train d’écarter mon trou du cul. Stylé-Boy n’est plus paresseux, il me sodomise avec entrain. Penché sur mon corps son entrejambe cogne mon cul et pousse mon corps vers le bas.

Il m’écrase sur le sol alors que mes bras sont toujours liés et mes index sont dans mon cul. Coup de rein après coup de rein, il me tabasse jusqu’à ce que mon corps soit littéralement pressé sur le sol comme une crêpe. Mais cette fois-ci, l’étudiant pèse de tout son corps sur moi. Bon sang, j’ai même du mal à respirer.

Quand finalement il sort sa bite de mon cul, Justin attrape ma queue de cheval. Dès que stylé-Boy se déplace de dessus moi, le stagiaire tire sur mes cheveux. Je suis complètement épuisée et mon corps est tout mou. Justin se contente de me remettre à genoux.

Puis cet enfoiré se place devant moi en tenant sa bite. Il la relève contre son ventre pour laisser ses couilles pendre devant mes yeux. Docilement, j’avance la tête et je commence à prendre ses boules l’une après l’autre dans ma bouche pendant qu’il caresse sa queue.

Quand il pointe son engin sur mon visage, j’ouvre la bouche consciencieusement. Sa première giclée frappe mon palais. Les deux giclées suivantes atterrissent également entre mes lèvres. Seul la dernière touche ma lèvre supérieure. Je pense qu’il veut un pro de l’éjaculation.

Regarder ma bouche se remplir de sperme pousse les deux autres étudiants à leur paroxysme. J’ai à peine le temps d’avaler le foutre de Justin qu’ils se positionnent à droite et à gauche de moi à genoux et ils commencent à gicler. Leur objectif toutefois n’est pas aussi réussi que celui de leur copain. Même si une partie de leur sperme atterrit dans ma bouche, Stylé-Boy éclabousse son foutre sur mon nez tandis que FBI-Boy gicle principalement sur mon menton.

Justin libère alors mes bras dans mon dos, mais il remet les chaînes comme au début, mes poignets reliés au collier de mon cou. Mais maintenant j’ai les mains presque libres, donc je peux ramasser le foutre sur mon visage pour le mettre dans ma bouche. Je donne le spectacle de lécher mes doigts recouverts de sperme et d’avaler la semence des garçons. Cela me vaut des applaudissements des étudiants.

- Merde ! Quelle putain de vraie salope ! Où as-tu trouvé une telle pute ? Demande le gars au polo rose à Matt.

Bien sûr celui-ci répond en déformant complètement les faits :

- En fait, je ne l’ai pas vraiment trouvée. Dès qu’elle m’a vu dans le bureau, elle a été pressée que je la baise. Je veux dire que c’est une gonzesse assoiffée de sexe. Elle s’est transformée en jouet de baise juste pour attirer notre attention.

Quels mensonges ! N’importe quoi ! C’est vraiment éloigné de la vérité. Me faire poser toutes ces améliorations juste pour aguicher ces jeunes étudiants ? Comme si ! Quelle idée vicieuse ! Quoi qu’il en soit, cette histoire correspond au rôle que je joue ici à la fête d’anniversaire de Matt en tant que serveuse sexy et pute de service. Mais est-ce vraiment un rôle ? Je n’en suis plus si sûre, alors je me contente de sourire plutôt que de protester.

- Bien ! Toutefois n’oublions pas les règles de notre jeu ! Vous vous souvenez tous ? Nous étions d’accord que si cette salope ne réussissait qu’un lancer, les perdants obtenaient une revanche. Rappelle-t-il.

Puis Matt se tourne vers moi et dit avec colère :

- Tu ne veux pas te défiler n’est-ce pas face de salope ?

Zut, J’ai totalement oublié. J’imagine que mon esprit s’est perdu dans mes ébats sexuels. Hi hi !

Mais c’est vrai que j’ai accepté cette règle. Tout du moins, je n’ai pu m’y opposer. Je suis ici comme une simple serveuse et non comme une femme d’affaires. Est-ce que j’ai vraiment le choix de toute façon ?

Et puis peu importe ! Une autre tournée de bière-pong va prendre du temps non ? C’est une chance pour moi de me reposer. De toute façon, qui me dit que l’équipe de Cody, l’étudiant bronzé va gagner cette fois ? Justin et ses amis m’ont déjà baisé, donc ça n’a pas d’importance qu’ils me baisent une deuxième fois non ?

- Tu es sûr que tu vas gagner cette fois ? Dit Stylé-Boy à Cody.

- Oh, je ne parlais pas d’une revanche à bière-pong. Je parlais d’un match-revanche à salope-pong. Répond le garçon bronzé.

Hein ? qu’est-ce qu’il dit ? Non c’est pas possible ! Pas ça ! Quel enfoiré !

- OUAISSSS ! OUAISSSSS ! Crie le groupe de garçons en l’entendant.

- Mais…

- OUAISSSSS ! Salope-Pong ! Continuent-ils tous à crier.

- Mais…

-  OUAISSSSS ! Salope-Pong ! OUAISSSS !

Leur enthousiasme est si écrasant que je n’arrive pas à dire quoi que ce soit. Ils sont en train de me rouler. Je n’ai pas compris les règles comme eux. Mais je ne le ferais pas ! Pas ça ! Mais après tout, je suis ici en tant que serveuse un peu idiote non ? Ce n’est pas de ma faute si je me trompe, ce sont eux qui exagèrent.

Mais ce n’est pas vraiment leur faute non plus si j’ai mal compris les règles. Je suis intelligente et j’aurais du savoir. Alors que dois-je faire ? En fin de compte, je suis ici pour répondre aux souhaits des gars de la fête, et un autre match de Salope-Pong est en tête de leur liste de souhait non ?

- Ok ! Alors faisons un match-revanche de Salope-Pong ! s’exclame finalement Justin.

Mais mon stagiaire ajoute à l’adresse du garçon bronzé :

- Tu as quand même perdu le match. Alors que faisons-nous ? Je te propose que si la petite pute marque moins de points que ton équipe, vous pourrez gicler sur son visage, ça te va ?

Est-ce mieux ? Euhhh je ne crois pas.

- OUAISSSSSS ! Crient les gars pour accepter le deal.

C’est alors que Justin ajoute :

- Bien sûr, il faut que cette idiote puisse utiliser ses compétences. Miss Face de Salope nous a pas montré une grande habilité la première fois n’est-ce pas ?

Il s’exclame alors :

- Mais elle nous a montré qu’elle est une vraie salope. Alors elle va tirer les balles avec son cul !

Hein ? Quoi ? C’est quoi ça ? Tirer des balle de ping-pong avec mon cul ? Je le crois pas !

- OUAISSSS ! OUAISSSSS ! OUAISSSSS !

Bon sang, ils ne vont jamais arrêter de hurler ? Quoi qu’il en soit, je suis totalement défaite. Quelle idée vicieuse ! C’est trop humiliant ! Merde, Justin est en train de devenir un vrai salaud.

- OUAISSSS ! OUAISSSSS !

Les gars n’arrêtent pas de crier leur joie. Au lieu de cela, leurs cris deviennent de plus en plus forts, ils m’assourdissent. Je crois que l’affaire est scellée. Apparemment, étant donné que je suis une salope, je dois le faire.

- Alors Miss Face de Salope, tu ne veux pas impressionner tous ces gars ? Mais si tu le veux. Alors n’est-ce pas la meilleure façon en marquant des points avec ton cul ! Me dit Justin quand il remarque mes réticences.

Bien sûr, tous les étudiants continuent de crier. Justin est un vrai salaud. Il sait que j’aime que les hommes me m‘admirent, comme toutes les femmes d’ailleurs, alors il exploite cette faiblesse. Je veux dire que je sais qu’il me manipule. Mais même, je ressens le besoin de continuer et de taquiner les gars. Ils n’oublieront jamais Miss Face de salope, si je réussis ce coup, non ? Cette idée est bien trop tentante pour que je refuse.

Alors, en essayant de paraître audacieuse et effrontée, je prends l’initiative et je me dirige vers la table de ping-pong. En tirant sur mes chaînes, je m’appuie sur le bord et je remue mon cul d’un côté à l’autre. Tous les garçons de la fraternité se taisent et concentrent leur attention sur mes jolies fesses. Je suis contente.

Oh mince, leur attention m’encourage. j’oublie même pendant un moment à quel point cette situation est ridicule. Je grimpe rapidement sur la table. Dans mon état de surexcitation, je veux vraiment donner un beau spectacle à mes admirateurs, alors je rampe jusqu’à la première balle qui se trouve sur la table.

Je baisse mon visage et je la prends avec ma bouche. Pouahhh, cette balle a roulé sur le sol sale, elle est tombée dans des gobelets de bière et même dans certains remplis de bave. Elle n’est sûrement pas propre. Pourtant, je suis bien trop excitée pour laisser ce détail m’arrêter.

Même si le goût me fait avoir des hauts le cœur, je garde la balle blanche dans ma bouche avec une extrême soumission et je rampe jusqu’à Cody qui se trouve sur le côté gauche de la table. Bien sûr, mon côté soumis a choisi le gars bronzé comme premier gars.

Avec un sourire vicieux, je laisse la balle de ping-pong tomber de ma bouche dans sa main. Je donne l’impression d’être une chienne qui a été ramassée une balle. Bon sang ! Ensuite je rampe jusqu’à la balle suivante et je répète l’action jusqu’à ce que les trois joueurs de l’autre équipe tiennent une balle dans la main.

Enfin, je rampe au milieu de la table jusqu’à ce que mon ventre soit au milieu du filet. Puis je baisse mon visage et relève mon cul. Je suis contente de pouvoir prendre l’initiative et exciter ces jeunes garçons.

- Allez les gars, chargez mon lanceur ! Ronronné-je en appréciant la lubricité du moment.

Cody ne se laisse pas dire deux fois. Il a un rire méchant en se plaçant derrière moi. Il fait rouler la balle de ping-pong blanche sur ma chatte humide et dans la raie de mon cul jusqu’à mon petit trou. La balle reste bloquée entre mes fesses, même quand il enlève sa main.

- Putain les gars, regardez la balle. Ce trou du cul bien baisé a quand même l’air petit à côté. Génial ! S’exclame-t-il.

Oh seigneur, je n’ai pas réfléchi à la taille de la balle de ping-pong. Mais en la sentant coincée entre mes fesses dodues, je la sens énorme. Quel diamètre a une de ces balles ? C’est plus que gros non ? Il faut que j’apprenne à me taire. Vais-je pouvoir prendre quelque chose d’aussi énorme ? Ai-je dépassé mes limites ?

Peu importe, je ne peux plus revenir en arrière maintenant. Les étudiants sont beaucoup trop excités. Alors je bouge mon cul avec la balle blanche coincée entre mes fesses. Je dois donner un spectacle vraiment vicieux.

-Mmmmmm, allez, poussez-la à l’intérieur. Allez-y les garçons, chargez la salope, bourrez-la bien ! Soupiré-je.

Bon sang, ces mots sont vulgaires, ils m’ont échappé. Je ne voulais pas vraiment le dire de cette façon ! L’étudiant bronzé me prend au mot, et saisit la balle. J’ai à peine le temps de tendre la main pour écarter mes fesses avec mes faux ongles longs qu’il commence à appuyer.

- Ohhh ouille ! Grogné-je en sentant la pression sur mon sphincter déjà bien utilisé.

Comme si mon cul n’avait pas assez vu d’action aujourd’hui ! Toutefois il n’est pas encore assez lâche pour accueillir la balle. Mon trou du cul résiste et ne veut pas s’ouvrir. Tout en écartant plus mes fesses, j’essaie de me détendre au maximum.


- Ooohhhh… Uuummmm… Grogné-je encore.

Puis la pression est devenue trop forte et mon trou du cul s’est brusquement ouvert pour laisser la balle de ping-pong entrer. Oh seigneur, ça m’écarte vraiment le cul. Et j’ai l’impression que ça agrandit aussi mes intestins. C’est tellement inconfortable que je veux jouer rapidement. Je regarde par-dessus mon épaule pour chercher le gobelet en plastique rouge que je dois viser.

CLAC !

Une gifle cinglante vient de tomber sur mon cul et m’arrête.

- Tu n’as pas dit que tu voulais que ton gros cul soit chargé ? Attends d’avoir toutes les balles ou alors on considère que tu as perdu. Me dit Cody.

Hein ? Oui je l’ai demandé, mais pas comme ça, pas totalement. Mais bien sûr, le gars a compris comme il le voulait. Alors je me contente d’obéir. Je me retourne et je rampe jusqu’à l’autre côté de la table où se trouve Zach dans son polo rose. Je n’aime pas trop ce snobinard, mais il doit aussi m’enfoncer une balle de ping-pong dans le cul. Et Merde !

J’abaisse mon visage vers le bas et je redresse mon cul en écartant mes fesses avec mes mains pour lui présenter mon trou du cul. Le polo rose coince la balle entre mes fesses comme l’avait fait son copain, mais il ne pousse pas. Au lieu de cela, il attrape mes chaînes sous mes poignets et tire dessus pour que je me relève. En fait, il veut que la balle entre dans mon cul en m’empalant dessus.

La traction sur les chaînes me force à lever le visage de la table. La balle ne bouge pas. Quand il tire de nouveau, je cambre le dos. La balle ne bouge pas. Il tire alors d’un coup sec  et brutal qui me fait reculer de plusieurs centimètres sur la table. Mais la balle ne bouge toujours pas. Malgré tout il continue de tirer, bien que mes pieds pendent en dehors de la table.

PLOC

Finalement, la deuxième balle de ping-pong entre dans mon trou du cul. Enfin ! Elle étire encore plus mon cul en poussant la première balle plus profondément dans mes intestins. Vous pensez que j’avais besoin d’une nouvelle invitation pour ramper vers Josh dans sa chemise boutonnée à carreau ? N’importe quoi ! Consciencieusement, je rampe jusqu’au troisième membre de l’équipe perdante et je lui présente mon trou du cul déjà bien rempli.

- OOOHHHH Crié-je.

Au lieu de pousser la troisième balle dans mon anus, cet enfoiré vient d’enfoncer deux doigts dans ma chatte. Mais comme mon cul est bien plein, j’ai du mal à le supporter.

- Ouais, nous avons bien rempli le réservoir à merde de cette salope. Son trou du cul ne se ferme plus. On peut voir les balles dedans.

Alors que je grogne d’embarras et que je deviens rouge pivoine, il fait signe à tous les étudiants de jeter un coup d’œil dans mon cul grand ouvert.

- Ooooohhhhh… Aahhhhh…

Je gémis à moitié quand il presse ses doigts contre les balles à l’intérieur de ma chatte et qu’il les pousse.

- Ahahahahahah !

Tous les gars rigolent en voyant les balles bouger dans ma cavité anale.

Bizarre ! C’est une sensation tellement étrange. Je me sens douloureusement bien remplie, pourtant je suis excitée. Bon sang ! Je suis bien au-dessus de la simple excitation.

Josh continue à enfoncer ses doigts dans et hors de ma chatte jusqu’à ce que je puisse plus me retenir et que je commence à bouger des hanches sur sa main. Oh putain, quel amusement pour le groupe ! Finalement il garde ses doigts profondément enfoncés dans ma chatte et il presse la troisième balle de ping-pong contre mon cul.

A présent mon petit trou est complètement soumis. Sans bruit, la boule blanche glisse à l’intérieur. Toutefois elle ne rentre pas complètement. Mon cul est si plein qu’un tiers de la dernière balle de ping-pong reste en dehors de mon anneau anal dilaté.

- La machine à baiser, euhhh… La machine à lancer est complètement chargé ! S’exclame Justin théâtralement.

Donc, après m’avoir mise en place, la tête vers le filet et le cul de l’autre, il place un gobelet en plastique rouge près du bord de la table avec un geste dramatique. Je suppose que le moment est venu pour moi de tester ma compétence de tir anal. C’est gentil de la part de Justin de ne pas avoir placé le gobelet trop loin. Mais je suis vraiment nerveuse.

Alors je me dis : « Tu n’es pas la pour diriger, tu n’es pas là pour réfléchir. Tu es ici pour servir les garçons ». Cela me calme un peu, je m’inquiéterai des conséquences un autre jour. Pour le moment je suis ici comme jouet pour les étudiants.

Je regarde par-dessus mon épaule et je me déplace de quelques centimètres à droite. Un peu à droite, un peu à gauche, un peu à droite. J’essaie de placer mon cul en ligne avec le gobelet, mais j’ai l’impression de ne pas trouver le bon angle.

CLAC !

Une grosse claque donnée par Cody me fait arrêter mes mouvements. Je suppose que les gars commencent à perdre patience. Alors je vais tenter mon premier coup. En écartant mes fesses, je fléchis le dos pour lancer la balle. J’ai besoin de lui faire parcourir une certaine distance alors je force un peu. Je pousse soudainement et la balle gicle.

BBRRRRLLLBBBB !

La balle sort de mon cul et un reste de bave est expulsé avec bruyamment avec. C’est vraiment humiliant ! Toutefois la balle fait une courbe et je la vois se diriger vers le gobelet. Presque… presque… Mais elle atterrit sur la table juste devant le gobelet. Le rebond ? Je me souviens de la règle du rebond. Mais la balle rebondit au-dessus du gobelet rouge. Loupé ! J’ai raté mon premier coup, mais la direction n’était pas mauvaise du tout.

Bon, il faut que je m’y prenne autrement. Alors je me penche en avant jusqu’à ce que mes seins se balancent sous moi et que mes tétons touchent la table. C’est une meilleure position pour un tir en cloche. Du moins, je l’espère.

Je pousse brusquement, mais la balle ne sort pas ! Oh mince, elle est enfoncée trop profondément dans mon cul. Je pousse fortement et je sens la balle de ping-pong sortir lentement. En fait mon sphincter s’ouvre et se ferme autour de la balle au rythme de mes poussées.

- Clignote ! Clignote ! Crient les étudiants en voyant mes efforts.

Hein ? Clignote ? Sérieux ? Il pense à un clignotant en voyant mon petit trou s’ouvrir et se fermer. C’est dégradant. Je donne une dernière poussée et finalement la balle est éjectée. Je la regarde faire un arc de cercle, voler… Voler… Elle se rapproche du gobelet… De plus en plus près… Mais elle arrive et survole le récipient. J’ai poussé trop fort.

Bon sang de bon sang ! Deux essais et pas de points. J’ai déjà perdu. Je ne peux plus échapper aux conséquences, car l’équipe de Cody avait marqué deux points.

CLAC !

Bien sûr, Justin s’assure que j’ai compris le résultat en assénant une grosse claque sur mes fesses.Il me dit :

- Tu as perdu, petite pute ! Dommage ! Essaie de faire du dernier lancer un beau spectacle. Dis « clignotant » à chaque fois que tu nous fais un clin d’œil avec ton cul, Miss face de salope !

Quoi ? C’est idiot ! Je vais avoir l’air complètement stupide ! Mais je suppose que c’est ce qu’il recherche. Avec mes doigts manucurés et mes ongles longs écartant mes fesses, je baisse mon visage sur la table et je pousse. Mais rien ne se passe. J’ai l’impression que la balle est coincée dans mes intestins. Je pousse fort et je me contacte. Mon sphincter s’ouvre et se ferme violemment. La balle ne sort pas. Rassemblant toutes mes forces à nouveau, je pousse encore.

- Clignotannnnttt ! Pleuré-je en sentant mon trou du cul béer comme jamais.

- Clignotanntttt hihihi ! Dis-je en poussant à nouveau, le mot se transformant en un rire nerveux et embarrassé.

Oh seigneur, la balle est bien coincée dans mes entrailles et elle ne veut pas sortir. Je me prépare et je force à nouveau. Il faut que ça fonctionne, je ne suis pas stupide au point de ne pas pouvoir faire sortir une balle de ping-pong de mon cul.

- FFFFRRRRRTTTT ! GGGGGRRRRRRLLLGEEE !

Au lieu de la balle, ce sont des bruits inconvenants qui sortent de mon cul.

- Péteuse ! Crient les gars de la fraternité.

Oh non ! Je ne peux pas dire ce qui est le plus humiliant entre crier « Clignotant » ou faire des bruits de pets. La honte commence à me submerger totalement. Il n’est pas question que je n’y arrive pas, alors je me concentre sur la prochaine poussée.

- Clignooootttaaaaannnnt…hihihihihi !

FRRRRRTTTTTTT ! PLOC ! FFFRRRRTTTT !

Finalement, la balle sort de mon cul avec d’autres bruits dégradants. Mais ils ont été couverts par mes rires stupides et gênés. Ce tir a beaucoup plus de puissance alors la balle a survolé le gobelet en plastique rouge et elle est tombée sur le sol.

Mince, je n’ai pas réussi à marquer un seul point. Mais peu importe, ça n’a plus vraiment d’importance. Je suis ici pour divertir les garçons et non pas pour gagner un jeu à boire. Je pense avoir gagné au niveau du divertissement non ?

Dès que la balle touche le sol, les trois gars de l’équipe de Cody se dirigent vers l’un des vieux canapés usés.

Le jeune gars bronzé me dit alors :

- Viens ici salope ! Tu dois nous faire bien juter, mais d’abord tu dois nous faire bien bander. N’est-ce pas Miss Face de salope ?

Je peux voir que chacun des trois étudiants a un énorme renflement dans son pantalon. Toutefois ils n’ont pas encore sorti leur engin. Bon oui, je dois les faire jouir d’une manière ou d’une autre. Mais il n’est pas question que je les baise ou que je les suce. Donc il faut que je danse érotiquement non ?

Alors je descends de la table et je chancelle sur mes baskets compensés tout en balançant mes hanches d’un côté à l’autre de façon exagérée. Avec mon short court et moulant orange vif baissé et ma poitrine sortie du débardeur, il ne me reste pas grand-chose à enlever.

Mais tant pis, la perspective de danser pour ces étudiants me fait me sentir salope. J’ai déjà dansé pour les membres du gang de Daniel. C’est un bon boulot pour une poupée glamour non ? C’est mieux que de servir de la bière.

Alors que je m’approche de l’équipe perdante, les trois garçons se mettent à l’aise sur le canapé et écartent les jambes rapidement. Je me place entre les jambes de Snob-Boy et je m’accroupis. Posant mes mains sur ses jambes, je me penche en avant jusqu’à ce que mes gros nichons touchent son jean.

Bougeant les épaules, je fais littéralement rebondir es gros seins. En augmentant la vitesse, ils commencent à se balancer à droite et à gauche comme une pendule. Peut-être arriverais-je à hypnotiser les garçons hihihi ! Quoi qu’il en soit la chair tendre de ma poitrine gratte le tissu rugueux du jean ainsi que l’énorme renflement dessous.

A gauche ! A droite ! A gauche ! A droite !

Je secoue les épaules et j’essaie de le faire le plus rapidement possible sur l’entrejambe de l’étudiant au polo rose. Bon sang, j’ai l’impression que mes gros seins vont se détacher de mon corps. Bientôt, je sens que sa bite palpite à travers son pantalon, alors je m’arrête, il est prêt.

Saisissant la fermeture éclair de sa braguette avec mes faux ongles, je la descends et je sors sa bite de son jean avant de la branler deux fois. C’est tout ce qu’il lui faut pour jouir.

Même si j’ouvre la bouche consciencieusement et que je sors la langue très loin pour accueillir son sperme, la première giclée arrose ma joue droite et laisse une longue traînée blanche sous l’œil. Les deux giclées suivantes ne sont pas plus précises et éclaboussent encore ma joue droite.

Avec le côté droit de mon visage complètement plâtré, je me redresse et je me mets entre les jambes écartées de Josh. En me retournant, je lui présente mon cul nu et je commence à faire rebondir mes fesses comme si j’avais un mécanisme hydraulique dans les cuisses.

En reculant, je presse mes fesses contre sa poitrine et j’écrase ma douce chair contre son torse. Je m’accroupis en laissant glisser mon cul vers le bas de sa chemise jusqu’à ce que j’atteigne son entrejambe. En bougeant mes hanches, je frotte mes fesses sur le renflement de son pantalon.

Les mains posées sur les jambes du garçon, je reste dans cette position accroupie, mon cul en arrière et je commence à cogner son entrejambe. Je frappe le renflement dur de sa bite avec mon gros cul comme si j’essaie de déchirer son jean.

Balancer ! Frotter ! Frapper !

Je frotte mon derrière sur les genoux de Josh comme la meilleure strip-teaseuse de tous les temps. Pendant ce temps, le foutre gluant de Snob-Boy coule sur ma joue droite. Je sens la bite sous le pantalon devenir de plus en plus dure. Et soudainement l’étudiant saisit ma queue de cheval et m’oblige à faire demi-tour brutalement.

Avant même que mes genoux touchent le sol, il sort sa bite de son jean et il éjacule. Guidant ma tête en tenant fort ma queue de cheval, il tourne mon visage. Oh putain il ne gicle qu’une seule fois une quantité impressionnante de sperme qui recouvre ma joue gauche. Maintenant, mes deux joues sont tellement couvertes de foutre que j’ai l’impression de porter un masque au sperme.

Voilà, j’ai déjà fait jouir deux gars, il ne m’en reste plus qu’un. Lorsque je me positionne entre les jambes de Cody, l’étudiant bronzé, mon côté soumis reprend le dessus. C’est un connard tellement odieux et avec une estime de soi si imposante que la salope soumise en moi ne peut s’empêcher de ramper vers lui.

Accroupie entre ses jambes, je me penche et je prends mes seins par-dessous. Puis je presse fermement ma poitrine contre son entrejambe. Lentement il se laisse glisser, laissant mes gros nichons glisser sur son ventre et sa poitrine.

De haut en bas, je presse mes seins sur le haut de son corps jusqu’à ce que mes tétons soient bien durs. Je pense idiotement qu’ils pourraient couper le tissu de son polo tellement ils sont durs et pointus. Bien sûr cet enfoiré bronzé décide de ne pas me laisser faire. Il saisit brutalement mes seins pour les serrer violemment. Tout en les tenant, il prend le contrôle de mon corps pour le guider vers le haut.

Il n’arrête pas de tirer dessus jusqu’à ce que ma poitrine soit au niveau de sa tête. Il colle alors son visage entre mes nichons, puis il bouge rapidement sa tête d’un côté à l’autre tout en soufflant sur ma chair. Bon sang, ça fait claquer mes seins sur ses joues en créant un bruit bizarre. On dirait un moteur de bateau . Il s’amuse avec moi et mon côté soumis le laisse faire ce qu’il veut.

BRRRRRRMM ! BRRRRRMM ! BRRRMM !

Puis il commence à gifler mes seins des deux côtés, ce qui fait que ma chair tendre cogne fortement contre ses joues alors qu’il continue à faire du bruit de bateau à moteur. Finalement il se lasse de cet amusement et il resserre à nouveau ses mains sur mes nichons. Il serre fort et tire mon corps vers le bas en utilisant mes seins comme poignées. Il me plie de plus en plus bas !

- Ouvre ! Ordonne-t-il soudainement.

Ce n’est qu’un mot, mais je suis totalement sous son emprise alors je comprends immédiatement. Ma tête planant sur son entrejambe, je me précipite en avant et j’essaie de saisir la fermeture éclair de sa braguette avec mes lèvres. Mais je la rate. J’essaie une deuxième fois, mais je rate à nouveau.

S’impatientant de la stupidité de la pute de service, Cody serre encore plus fort mes seins et me tire en avant jusqu’à ce que mon visage soit fermement pressé contre son entrejambe. Ouvrant les lèvres, j’utilise ma langue pour tenir la fermeture éclair avant de tirer dessus. J’ouvre alors sa braguette et je laisse sa bite sortir.

- Branle-moi avec tes nichons, petite pute !

Son ordre ne fait pas partie de ce qui était convenu. Mais je n’objecte pas du tout. Je prends mes deux seins et je les enroule autour de sa bite déjà bien raide et gonflée. Puis je les fais glisser de haut en bas. En appuyant très fort, la chair de mes seins gonfle autour de sa bite pour lui fait un massage parfait.

Avec un grognement profond, il garde sa queue entre mes seins alors que ses couilles sont en train de bouillonner. Je suis en train de le traire et il éjacule contre mon menton, me prenant ainsi au dépourvu. Puis il sort sa bite de ma poitrine et pulvérise le reste de son foutre sur mes gros seins. Oh seigneur, le sperme de ces garçons recouvre mes joues ainsi que mes deux gros nichons.

 Comme les gars se sont bien vidés les couilles sur moi, Matt passe alors derrière moi et me remet sur pieds en tirant sur ma queue de cheval. Ouillle !

Les étudiants sont déjà occupés à commencer une autre partie de bière-pong. Ils se sont vidés et la pute de service est déjà oubliée. C’est vraiment dégradant d’être traitée ainsi. Maintenant, ils ne pensent plus qu’à s’amuser et boire.

- Bien, Miss Face de Salope a été bien enculée et arrosée ! Tu ne ressembles plus à rien. Va te nettoyer, puis occupe-toi du service, petite pute ! M’ordonne Matt après que je lui ai fait face avec un gros tiraillement sur ma queue de cheval.

Au moins, cet enfoiré reste concentré sur moi et non sur un jeu alcoolisé idiot. Quoi qu’il en soit, je lui suis un peu reconnaissant de son ordre, car je vais pouvoir faire une courte pause. A la hâte, je cherche mon short dans la pièce. Justin l’a simplement jeté dans un coin après me l’avoir enlevé.

Finalement, je le vois traîner sous la table de ping-pong. Oh Non ! Sérieux ? Je dois absolument me mettre à quatre pattes et ramper sous la table pour le récupérer pendant que le groupe d’étudiants joue à bière-pong. Bien sûr, mon cul reçoit une claque de chaque garçon que je croise sur mon chemin. Je me dépêche alors de remettre le short orange avant d’emporter toutes les bouteilles de bière vide avec précaution dans la cuisine.

Je suis complètement seule dans cette petite pièce. Tous les étudiants sont en train de danser ou de jouer dans les différentes pièces. J’ai donc un peu de temps devant moi ! Bon Dieu, que vient-il de se passer ?

Le jeu de salope-pong ? Complètement humiliant ! La séance de baise ? Au maximum ! Cependant, je ne me sens pas aussi humiliée que je le devrais. Au lieu de ça, j’ai apprécié l’attention de tous ces garçons. Bien sûr, je me suis conduite comme une strip-teaseuse professionnelle. Mais je parie qu’ils n’avaient jamais vu une meilleure pute et strip-teaseuse dans leurs soirées « alccol et salope ». J’ai vraiment prouvé que je suis bien plus qu’une simple serveuse.

Toutefois, je peux maintenant ressentir les conséquences de cette débauche géniale. Je veux dire que je suis toujours un peu éméchée et étourdie, mais je me sens aussi vraiment épuisée. Pendant toute cette session, j’ai agi de manière pétillante et énervée, babillant et gloussant tout le temps. Quelle idiote !

CLAC

Hein ? Quoi ? Qu’est-ce que c’est que ça ? Je sors de ma rêverie. Qu’est-ce qui se passe ?

A suivre…

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