dimanche 29 novembre 2020

Cauchemar à la villa de campagne Ch. 08

 Histoire de Méfistho

Fin des vacances.

Suite à cette nuit d'une perversité sans nom, nous nous levons très tard. Les deux paysans et le serveur sont rentrés terminer de décuver. Ils ont emmené Jules avec eux ; Jules c'est l'âne qui a enculé tante Claudine.

Le métis et ma sœur ont baisé toute la nuit et sont restés dans la voiture. Tante Claudine s’est levée avec un mal de cul pas possible. Elle semble en souffrir même si, ayant appris à la connaître, je sais que c'est pas la honte d'avoir été enculée par un âne mais la douleur elle-même qui l'a fait souffrir. Peut-être même qu'elle ne s'en souvient même pas tant elle était ivre. En la voyant, on se demande ce qu'elle a pu faire. Souillée de toute part avec de la boue séchée suite à la séance d'arrosage, elle fait penser à une sauvage. Ses cheveux sont maculés de boue. Je m'étonne encore qu'elle n'ait pas plus mal au cul après Jules. Mais il est vrai que des bites dans le cul, elle en a eu pas mal. Après son mariage raté, elle n'a pas perdu son temps et malgré son manque d'attribut féminin, elle compensait par sa réputation de femme facile. Michèle, ma cousine a vomi toute la nuit tant elle a bu et baisée. Elle suivait les traces de sa mère en dépravation. Elles ont une certaine complicité marquée par une rivalité. En boite, Michèle attirait les mecs car plus jeune et mieux fournie. Mais tante Claudine se débrouillait pour mettre le grappin si possible sur les petits copains de sa fille. Des fois ça marchait, d'autre fois non.

Il ne manque que ma mère, Isabelle, et le gitan. Le métis me confirme qu'il l'a emmenée à Marseille. Il me dit aussi, sans sourcilier, qu'il l'a emmené voir quelques amis très spéciaux et qu'il est sûr à cent pour cent qu'ils vont lui faire faire la pute à la sortie des bars. Je suis dépité : ma mère qui va faire comme les putes alors qu'elle ne les aimait pas. Si elle avait su qu'elle-même un jour serait obligée de le faire. 

Nous rassemblons nos affaires et retournons à la maison de campagne. Le métis prend les choses en main. En arrivant, tous le monde se succède à la douche. Tante Claudine a droit au jet d'eau. Je prends Liza à part et lui demande de parler au métis, car mon père arrive demain en fin de journée. Ce serait horrible s'il voyait tout ça. Mais voilà qu'elle me regarde droit dans les yeux.

- Ils ont tout prévu ! maman sera de retour à temps et tout sera rangé !

- quoi ?

- Ils vont tout ranger. Ils ne veulent pas laisser des traces de quoi que ce soit et veulent faire croire que l'on était toutes consentantes ! c'est pour ça qu'ils ont mis les paysans et le vendeur dans le coup !

- Tu veux dire que ces salauds vont s'en tirer ?

- Oui ! et regarde tata Claudine et Michèle ! elles étaient d'accords à tout ça ! pour elles , ce n'était qu'une sauterie de plus ! Moi, j'ai joué le jeu avec le métis pour éviter d'être baisée par les autres !

- Et comment oser porter plainte, ce serait oser révéler que j'ai baisé avec ma sœur, ma mère, ma cousine et ma tante ! Ce serait honteux !

- Je sais. Par contre ce soir, ce sera dur pour nous ! mais le pire , ce sera maman à Marseille ! le gitan va lui faire faire la pute, tu te rends compte ?

- Tu es sûre qu'ils vont la prostituer ?

- Oui !

- Mais pourquoi elle ?

- C'est le gitan qui se venge des bourgeoises ! Il a été traumatisé dans son enfance par une famille qui exploitait ses parents !

- Je n'y crois pas ! je pense que c'est sa perversité qui l'a poussé ! il a pas d'excuse !

Je savais que dès lors, tout changerait dans ma famille à cause de cette maudite maison et de ces salauds. J'observais les gars s'afférer au rangement avec la collaboration de tante Claudine et Michèle. Ce sont elles qui auraient dû faire les putes et non ma mère. Elles semblent se ficher du sort d'Isabelle. Après ça , les rapports familiaux ne seront plus les même. Je me rendais compte qu'en plus, tous s'en tireraient.

Nous sommes obligés de participer au rangement Lysa et moi. Je regarde ma tante Claudine : Elle est restée nue comme si c'était normal. Le soleil commence à taper. Michèle et Lysa sont en maillot de bain. Les filles font leur bronzage et en particulier Tante Claudine qui a quand même mis des lunettes de soleil. Avec ses 55 kilos pour son 1M70, elle ressemblait à une crevette. Sa peau était devenue très foncée et elle était difficilement reconnaissable.

Michèle, n'avait juste que le bas en maillot. Ses seins menus et fermes étaient offerts aux rayons du soleil. Lysa tente de se préserver. Elle se savait protégée par le métis, mais on ne sait jamais.

En une heure et demie, tout était propre. Les dizaines de bouteilles d'alcool vides dans des sacs. Rapidement, les derniers gars commencent à boire le reste des stocks de bières et de whisky. Avec la chaleur et l'ivresse, leur besoin de sexe les reprennent. Michèle se retrouve prise en levrette sans qu'elle ait le temps de dire ouf.

Lysa s'est éclipsée. Tous sont focalisés sur ma cousine qui en prend plein les orifices d'un seul coup. Tante Claudine s'occupe des fellations car bien que moins attirante, elle connaît l'art de donner du plaisir. Michèle se retrouve à quatre pattes avec deux sexes dans la bouche. Entre temps, un gars s'est glissé en dessous elle. Il est passé entre ses jambes et lui à d'abord léché la chatte. Il est resté un bon moment à chercher et à lui exciter le clito. Elle mouille aussitôt la langue lui effleurant l'organe de jouissance. Ensuite, Il remonte vers les seins et lui mordille les tétons . La poitrine de Michèle n'est certes pas grosse, mais elle est ferme et arrondie, un peu comme celle de ma sœur Lysa. Ainsi, elle se retrouve pénétrée par les trois orifices en même temps car un autre voyou s'est mis derrière elle avec la ferme intention de s'occuper de son anus. Ils éjaculent presque en même temps et Michèle en reçoit tant qu'elle est obligée de recracher le surplus ne pouvant avaler. Je reste à mater ma cousine se faire baiser et j'en arrive à bander de cette situation. Je me rapproche du groupe en train de s'occuper d'elle. Ses gémissements en disent longs. 

Mes derniers scrupules à baiser ma cousine s'effondrent. Surtout lorsque je repense à son comportement : elle et tante Claudine. Je mets mon sexe gonflé à bloc dans sa bouche. Elle me regarde et me suce avec un air malsain et pervers. Elle en rajoute même en me mordillant le gland. Cette gâterie m'excite. La situation grotesque aussi. Je me mets complice avec nos kidnappeurs. Je me retiens de juter dans sa bouche. Mon sexe est alors saisi par tante Claudine. Elle l'englobe aussitôt. A son regard, je peux voir qu'elle me le suce avec envie. Elle me lèche les couilles et me branle avec tout son savoir faire de salope. Là, je suis trop excité pour résister. Je la plaque au sol et me met à la baiser, à baiser ma propre tante sur le gazon desséché. Même si je n'avais aucun attrait pour ma tante Claudine, l'excitation provoquée par Michèle et elle-même m'avait donné envie de baiser. Tante Claudine m'accueillait les cuisses grandes ouvertes. En observant son visage dévoré de plaisir, j'eus un réflexe malsain et pervers. Je me mis à l'insulter de tout les noms et elle semblait aimer ça.

- Tu es vraiment qu'une salope, une traîtresse, une pute.

Sur le coup, je me rends pas compte que je la soulève. Un bref instant, j'ai même eu l'impression que j'allais la casser tant elle était maigre. Son corps nu et bronzé accentue encore sa maigreur. Ma bite est enfoncée au plus profond d'elle et j'entends ses gémissements. J'observe ses seins minuscules aux tétons qui durcissent. Elle a la tête renversée et la bouche ouverte. C'est bizarre. Je me remets à l'insulter copieusement. Dire que cette femme, qui est ma tante, s'est faites enculée par un âne. Je me retire d'elle et la retourne sans ménagement. Elle est surprise. Je regarde alors son anus. Comment une bite aussi énorme a t'elle pu ne pas avoir laissé de trace. A moins que...Que ? Elle a dû se faire sodomiser par des objets bien plus gros. Je me mis à délirer alors et écarte ses deux fesses maigres. J'écarte son trou et là je lui enfourne mon sexe.

- C'est pas un âne, mais c'est la pine de ton neveu, salope !

Elle sort une sorte de râle. Mais comme un gémissement de soulagement, long. Sa peau devient alors toute humide. Elle se met à hurler de ...plaisir. Elle se met alors à dire des insanités pas possible en gémissant.

- Je veux que vous me bourriez tous, tous !

Alors excité par ses encouragements et par les autres autour qui me demandent d'y aller fort, je me mets à la limer. Le corps maigre et bronzé est secoué par mes violents coups de reins. Mon sexe est gonflé comme jamais, avide de jouissance. Je suis au fond d'elle pres à lui juter dans le cul. Après l'avoir bien limée, voilà que je jute en elle tout ce que j'ai en gémissant de plaisir. Elle aussi est heureuse d'être baisée et surtout enculée par son propre neveu, le fils de son frère.

Vidé, Je cède ma place aux autres. Excités par ma prestation et les encouragements de ma tante, Ils lui font passer un mauvais quart d'heure anal. Mais peu m'importe alors le sort de ma tante. Écœuré de sa perversité, de la mienne , je laisse les deux femmes à leur sort et me dirige vers la maison pour prendre une boisson. Voilà que j'entends des gémissements à nouveau : C'est ma sœur Lysa. Elle se fait baiser dans la cuisine par le métis. Elle est à poil sur la table de la cuisine tandis qu'il la prend en levrette. Ses cheveux sont décoiffés et j'ai l'impression qu'elle se comporte comme une vraie salope sous les coups de reins du métis. Ils ne me regardent pas et je fais comme si de rien était. C'est alors que Lysa se tourne vers moi et à son regard, je sus qu'elle prenait un plaisir immense à se faire baiser devant moi. Ça m'étonne d'elle, certes, mais au point d'être heureuse de se faire baiser devant son frère. Remarquez, dans l'état d’écœurement que je suis, je suis pres à tout. Le métis nous observe nous dévisager l'un et l'autre et il semble trouver la situation excitante. Je l'entends gémir en se lâchant en elle. Lysa se met à gémir à son tour. La vue de Lysa à poil et se faisant baiser comme ça me redonne de la vigueur. Le métis regarde ma gaule et me dit :

- Vas-y, baise ta sœur si tu veux ! profites en car après elle va rejoindre les autres !

- J'ai déjà baisé ma tante ! attends un peu !

- Tu la baiseras plus tard alors !

Et il emmène Lysa dehors pour la donner à ses amis. Elle croyait qu'en restant avec lui elle échapperait à ça mais non. Je réalise alors par les comportements de Tante Claudine, Michèle et Lysa, que ces salauds étaient parvenus à leur fin. Les femmes n'éprouvaient même plus d'inhibition à baiser avec n'importe qui. Ils avaient fait de ces bourgeoises de vraies salopes en chaleur mais peut-être l'étaient-elles déjà au fond d'elles même.

Je regarde par la fenêtre en entendant des rires. C'est tante Claudine entrain de « s'amuser » avec les chiens. Elle a vraiment de la vigueur, elle. Mais la venue de Lysa a dû attirer l'attention des autres et ils ont dûla laisser. Lysa est à son tour prise sur l'herbe avec Michèle sur le gazon. Un vrai baisodrome. Les deux jeunes filles se laissent prendre de toutes les façons possibles. Elles en rajoutent encore et encore en gémissant de plaisir : un plaisir malsain. Le comportement de Lysa m'effraie même tant elle semble avide de sexe. Ma cousine, ma tante et ma sœur sont baisées ainsi jusque tard dans la nuit.

Pendant que je dormais, je sentis une forme se glisser prés de moi : Lysa. Aucun mot ne fut échangé, mais nous passons à l'acte immédiatement. Elle était déjà nue, car elle avait passé de mec en mec. Elle s'empala direct sur mon sexe en érection. A moitié endormi, je me laissais dominer par elle. Elle sent le sexe de son propre frère en elle et se met à bouger. Je reprends mes esprits et je vois ce visage de salope au-dessus de moi, ses cheveux tombant, me regarder. Elle fait des petits sauts de reins pour stimuler mon sexe. Je me mets à peloter ses deux seins ronds et ferme. Elle sourit et balance sa tête en arrière en gémissant. Empalé au plus profond de ses entrailles, mon sexe ne peut très longtemps se retenir de répandre son foutre. Son piercing au nombril est vraiment excitant et j'aurais aimé le lui lécher si elle m'avait pas pris par surprise. Je me vide en elle, dans le corps de ma propre sœur. Et il y a quelques heures, j'ai baisé ma tante. Voilà au final ce que ces ignobles salauds ont fait de nous : des pervers, des assoiffés de sexe sans tabou. Aurais-je imaginé un seul jour baiser avec ma propre sœur ? Une fois vidé, elle s'affala sur moi, suante et visiblement satisfaite de s'être tapé son frère, dormit avec moi jusqu'au lendemain.

Après tout se passa vite. Le lendemain midi, les hommes s'en allèrent nous laissant seuls avec ce qui c'était passé durant ces derniers jours. Michèle et Lysa étaient en maillots quand les hommes partirent repus de baise. Tante Claudine était allongée sur l'herbe à prendre le soleil. A poil bien sur. Les femmes ne parlèrent même pas de ce qui s'est passé. L'idée d'appeler les flics n'était même pas envisageable de peur d'avouer ce que l'on avait fait.

Le silence était néanmoins long et pesant. Nous ne voulions pas revenir sur ce qui s'était passé pendant cette semaine. Puis je repense à ma mère : elle est toujours pas là. Ce fut vers 15 heures qu'une grosse BM la déposa. Ma mère en sortit et la voiture démarra en trombe. Elle était fringuée comme une pute et maintenant, plus rien ne laissait à douter qu'elle avait été prostituée la veille : Minijupe, talon haut et décolleté pas possible. Elle n'avait pas de soutien-gorge ni de slip. Sur ses seins et ses cuisses, quelques bleus qui en disaient hélas trop long. Elle alla se servir un verre de whisky puis brisa cet affreux silence.

- Voilà, ils sont partis ! Claude va arriver, il faut nous changer et mettre le reste au propre !

Nous fûmes surpris pas le sang froid d'Isabelle. Personne n'osait lui demander ce qui lui était arrivé et surtout, ce qu'elle avait enduré. 

- Maintenant, je dois aller faire une petite course et je reviens ! Si Claude revient, dites-lui que je suis allé acheter à manger !

- Maman, on peut venir avec toi si tu veux ?

- Non, mon chéri ! Je dois y aller seule !

Elle partit après avoir enfilé une robe décente. En fait, elle allait voir le serveur et les deux paysans pour les convaincre de rester silencieux. Le serveur fut d'accord et ne voulait pas d'ennui. Mais les deux paysans furent plus durs à convaincre et Isabelle dut acheter leur silence en leur offrant son corps. Ils lui firent les plus grosses saloperies qu'ils pouvaient, car ils savaient que c'étaient leur dernière sauterie avec cette bourge aux gros seins. Nue sur une botte de paille, elle fut prise par les deux ivrognes qui déjà avaient entamé la journée avec de l'alcool. C'était des brutes alcooliques et Isabelle en avait hâte de terminer avec cette corvée. Ils avaient malaxé sa poitrine de façon rude et lui avait fait mal. Ils la sodomisèrent mais heureusement, elle évita Jules.

Elle revint presque en même temps que mon père avec des victuailles(offertes par les paysans pour offrir à son mari et soi-disant pour se faire pardonner). Claude sembla ravi de tous nous voir mais s'étonna de nos visages fatigués. Il s'installa donc et fit comme un vacancier normal. Mais nous , nous savions ce qui avait eu lieu ici.

Le soir, il baisa avec ma mère. Nous entendîmes les bruits. Elle avait fait en sorte que cela se passe dans le noir pour éviter qu'il remarque les bleus. S'il savait que sa femme avait eu les orifices souillés par des dizaines et des dizaines de sexes. S'il savait que sa femme, la mère de ses enfants, avait été prostituée la veille et s'était offerte à deux vieux porcs pour qu'ils ne disent rien.

Tante Claudine et Michèle s'en allèrent deux jours plus tard. Nos rapports avec elles avaient changé à cause de leur comportement complice avec les kidnappeurs. Pour moi, ce serait pour toujours de belles salopes ces deux-là. Tous le monde a essayé de se comporter normalement. Ma mère dévia un peu en s'habillant court par réflexe sans doute .Mais elle fut gentiment rappelée à l'ordre par mon père. La fin des vacances arriva et Lysa rejoignit son ami. Elle lui cacha bien entendu ce qui s'était passé. Hélas, les lois de la nature ne purent empêcher de cacher son secret qu'elle transforma en adultère de vacance. Elle fut enceinte (elle le garda) et accoucha 9 mois plus tard d'un petit métis.

Entre-temps , elle avait rompu avec son ami. Lysa est maintenant maman célibataire et exemplaire. Ayant choisi d’élever seule son enfant, elle a arrêté ses études et travaille comme serveuse de bar. Elle a juste des copains occasionnels, car elle a gardé sa passion pour la baise.

De leur côté, Michèle et Tante Claudine continuent leurs sorties. Mais la aussi, Michèle attend un heureux évènement mais n'ayant rien avoir avec la maison de campagne. Il aura suffi d'une nuit sans capote et cela n'a pas loupé. A la naissance du petit garçon, Tante Claudine a changé et est devenue une grande mère parfaite. Michèle est bientôt prof d'anglais et s'est mariée (je plains quand même son mari qui risque d'avoir de sacrées cornes).

Pour mes parents, ce fut autre chose. A la pharmacie, les gens commencèrent à jaser. En effet, Ils ne comprenaient pas le changement d'attitude d'Isabelle. Elle qui était si prude d'habitude. En allant juger par moi-même je vis avec quelle audace elle s'habillait sous sa blouse et surtout avec quelle audace elle mettait ses gros seins en valeur et la clientèle devenait exclusivement masculine. Je savais que ça avait à voir avec la maison de campagne mais comment le dire a mon père ? Les disputes éclatèrent au sein du couple. Ma mère eut quelques aventures avec des clients peu scrupuleux bien qu'elle soit mariée.

Un an après, mes parents divorcèrent. Ma mère choisit de quitter le domicile conjugal et s'installa comme par hasard vers Marseille. J'allais lui rendre visite dans son nouvel appart de temps en temps, car je devais rester dans ma ville natale, avec mon père, pour la suite de mes études. Un soir nous parlâmes de cette semaine de folie. Je décidais alors de lui poser la question de cette fameuse dernière nuit. Elle ne me dit rien. Quelque temps après, Je découvris qu'elle se prostituait . De pharmacienne bourgeoise, ma mère était devenue une pute nymphomane.

Et pour la maison de campagne : elle a été vendue à un jeune couple avec leur deux enfants : Une famille modèle bien sûr. La femme, la trentaine, est plutôt pas mal . Elle est blonde et elle a de gros seins. J'en connais une qui va passer un sale quart d'heure l'été prochain.

FIN.


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