mardi 3 novembre 2020

Confession d’une femme au foyer Ch. 09

 Traduction d'un récit de Quin.

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Avec des hommes plus âgés.

Il n'était pas étonnant que ma femme, qui était à l'époque ma petite copine, soit mouillée entre ses jambes. La jeune fille timide et naïve avait masturbé et s'était laissée doigter par un homme de cinquante ans, ami de son père.

Maintenant, elle était sur le point de me dire ce qu'elle avait fait d'autre avec lui. Bien que malgré toutes les autres choses qu'elle m'avait avouées, j'eus l'impression que ça allait plus me déranger. Des le début je ne m'étais jamais rendu compte de sa sexualité. Après toutes ces années, je venais juste d'apprendre la vérité.

Elle continua son histoire :

- Environ deux semaine plus tard, M. JAMES était chez moi. J'étais sur le point de sortir de la maison quand il a eu l'occasion de me parler en tête à tête dans le couloir. Je l'avais évité jusque là. Je dois admettre que chaque fois que j'y pensais, je me régalais de ce qu'il m'avait laissé faire. Et j'avais apprécié qu'il me doigte et me fasse jouir. Sa queue était si grosse. Mais j'avais décidé que c'était trop risqué avec cet homme si vieux, et marié de surcroît. Qu'est-ce qui se serait passé si mes parents découvraient que j'avais laissé leur ami mettre sa main dans ma culotte.

Quoi qu'il en soit, il m'a demandé où j'allais. Je lui ai dit que j'avais une soirée avec des amis au club de jeunes. Il a voulu savoir à quelle heure je devais être rentrée chez moi. Je lui ai dit 23 heures. Il me propose alors que je parte à 21 heures de chez mes amis, il ajoute qu'il sera garé pas loin pour m'attendre. J'ai refusé en lui rappelant qu'il était plus âgé que mon père.

Je ne suis pas sortie du club à 21 heures, mais à 21 heures 30. Ne me demande pas pourquoi, mais j'ai dit à mes amis que je devais rentrer chez moi et j'ai pris mon manteau. Je pensais à cet homme. Il y avait quelque chose de très excitant à voir un homme âgé sortir sa bite et vouloir que je le masturbe. Et contrairement aux garçons que j'avais laissés me toucher, il savait comment me donner du plaisir.

J'ai marché lentement dans la rue quand il s'est approché de moi en voiture et a ouvert la porte. Il m'a dit : « J'espérais bien que tu changes d'avis. Tu dois être chez toi à 23 heures non? Roulons un peu et trouvons un coin tranquille ». Je lui ai répondu : « oui si vous voulez ».

Quand nous sommes arrivés dans un endroit isolé, il m'a embrassé et m'a dit d'aller m'asseoir à l'arrière. J'ai voulu ouvrir la porte, mais il m'a dit de monter par-dessus le siège avant. Quand je me suis agenouillée sur le siège et que je me suis relevé pour passer par-dessus, il en a profité pour baisser ma culotte. J'ai du lever une jambe après l'autre pour qu'il la retire complètement. Il m'a demandé de rester penchée sur le siège et il a embrassé mes fesses tout en me doigtant. Puis il est sorti de la voiture et j'ai fini de passer par-dessus le siège alors qu'il s'asseyait à l'arrière.

Il avait enlevé sa veste et au lieu de simplement ouvrir sa braguette, il avait baissé son pantalon et son slip à ses genoux. Je pouvais bien voir sa bite et ses couilles. Ça m'a paru encore plus gros.

- Donc tu savais qu'il voulait te baiser cette fois-ci. C'est pour ça que tu lui a laissé enlever ta culotte?

- Je suppose que oui. Admit-elle.

- Est-ce que d'y penser t'excite encore?

- Oui. Dit-elle timidement.

Puis elle continua :

- Il m'a dit d'enlever mon manteau, puis il a mis ma main sur sa queue. Il n'avait pas besoin de me dire quoi faire. Pendant que je le caressais, il a défait ma robe et a dégrafé mon soutien-gorge. Ensuite il a retiré ma robe de mes épaules pour que je sois seins nus. S'il l'avait complètement retirée, j'aurais été totalement nue. Mais il m'a dit de la garder comme ça au cas où quelqu'un vienne, je pourrais la remettre rapidement.

J'ai caressé sa queue et il a léché et sucé mes seins. Il a pincé mes mamelons entre ses doigts et il a posé une main sur ma chatte. Il a titillé mon clitoris. J'étais très excitée et j'ai écarté les jambes le plus possible.

Il a continué comme l'autre fois de me poser des questions vicieuses : Si j'aimais jouer avec des bites, si je me touchais, s'il me donnait plus de plaisir que les garçons de mon âge, si j'aimais bien me faire sucer les seins.

- Alors, quelles ont été tes réponses ,

- Je n'arrêtais pas de dire oui. Puis il a fait quelque chose que personne d'autre n'avait fait auparavant. Il m'a demandé de m'allonger le plus possible sur le siège et il s'est agenouillé par terre pour me lécher la fente. C'était génial. Il a soulevé mes jambes et les a écartées et je l'ai senti me lécher le trou du cul. Il est revenu lentement sur ma chatte. Comme j'étais vraiment excitée, j'ai posé mes mains sur sa nuque et j'ai appuyé en avançant mes hanches. J'étais presque sur le point de jouir quand il m'a dit : « Veux-tu que je te baise? Veux-tu sentir ma bite en toi? Comme je ne savais plus où j'étais avec mon excitation j'ai crié « oui ».

Il s'est assis bien droit et m'a soulevé sur ses genoux avec une jambe de chaque côté de lui. Il m'a tenu dans ses bras et il a guidé sa queue dans ma chatte avant de me faire descendre dessus. Putain, son sexe était gros! Mais c'était génial. Je me suis mis à rebondir sur lui sans qu'il me le dise. Il appuyais son visage entre les seins. Puis il m'a tiré en arrière car il voulait regarder mes seins rebondir et sa queue glisser dans et hors de moi. Il a de nouveau parlé de façon vicieuse en me disant que j'étais une petite salope folle de sexe. Il m'a demandé : « Tu aimes être baisée par l'ami de ton père, n'est-ce pas? ». J'ai répondu « oui ». Il me dit alors : « Est-ce que tu vas me laisser te baiser plus souvent? Et vas-tu être une bonne petite salope et faire des choses pour moi? ». J'étais tellement excitée et tellement bien baisée que je n'arrêtais pas de dire oui.

Quand j'ai senti son sperme gicler en moi, j'ai joui en même temps. Il m'a fait rebondir sur sa queue très fort. Quand il a fini d'éjaculer, il m'a reposé sur le siège puis a guidé ma tête sur sa queue en disant : « Tu peux être une bonne vicieuse maintenant et nettoyer ma bite ».

- L'as-tu fait?

- Oui, le goût était salé.

- Alors tu avais bien l'intention d'être une bonne salope pour lui?

- J'étais excité par ce qu'il me faisait faire...Et quand il était autoritaire et me commandait.

- Mais tu ne m'as toujours pas dit quand tu a sucé quelqu'un. Et qu'est-ce que tu as voulu dire avec « en quelque sorte »? Ce n'est pas le premier homme que tu as sucé?

- Je l'ai revu quelques semaines plus tard et nous avons fait plus ou moins la même chose. Quelque fois il me retrouvait à la sortie du bus quand je t'avais quitté. Il me tripotait rapidement et je le branlais avant qu'il me ramène à la maison. Et un fois, en me quittant, il m'a dit que je le verrais la semaine prochaine après ma visite au club de jeunes. Il m'a dit que sa femme serait absente et que nous pourrions aller chez lui pour être plus à l'aise. J'ai accepté sa suggestion, mais j'avais peur que quelqu'un me voir entrer chez lui.

Quoi qu'il en soit, la semaine suivante, je l'ai retrouvé et je me suis cachée dans la voiture pendant qu'il roulait dans sa rue et rentrait dans son garage. Il m'a ensuite emmenée dans la pièce principale où il a mis de la musique. Il s'est assis sur le canapé à côté de moi et m'a proposé une boisson alcoolisée. J'ai refusé alors il m'a donné un jus d'orange. Il a commencé à m'embrasser et tâter mes seins. Il m'a demandé de sortir sa queue. Après quelques minutes, j'ai entendu sonner à la porte. J'ai paniqué et je me suis levé pour fuir par la porte de derrière. Mais M. JAMES m'a rattrapé et m'a dit que tout allait bien. Il m'a demandé de me rasseoir et il m'a dit qu'il savait qui était là et qu'il l'attendait. J'étais sur le point de lui demander des explications, mais il a disparu pour aller ouvrir.

J'étais confuse. Je savais qu'il avait pris beaucoup de précautions pour qu'on ne se fasse pas prendre et il ne voulait pas que je raconte notre histoire. Mais il m'avait amenée chez lui tout en sachant qu'il aurait un visiteur.

Lorsque celui-ci est entré dans la pièce, j'étais sidérée. A l'époque c'était le maire de notre petite ville. Il avait beaucoup d'influence et les gens avaient un peu peur de lui. Mon père m'avait dit qu'il était membre de tous les comités et que c'était un magistrat. En bref, c'était un homme puissant, il s'appelait SMITH.

- Je me souviens de lui. N'était-il pas très vieux?

- Il était plus âgé que M. JAMES. J'ai appris plus tard qu'il avait soixante-deux ans.

- Mon Dieu! Tu ne vas pas me dire que tu as fait des choses avec lui, n'est-ce pas?

Elle se mordit les ongles et baissa les yeux. J'essayai de me calmer pour qu'elle ne se braque pas. Je lui dit :

- Continue s'il te plaît, je vais rester tranquille.

- M. JAMES m'a dit que c'était un ami et il lui a offert un verre. J'ai été très surprise qu'il lui dise de s'asseoir et de rester. M. JAMES s'est assis sur le canapé, aussi proche de moi qu'il l'était auparavant. M. SMITH ne semblait ni choqué, ni gêné qu'une jeune fille soit dans la maison. Il s'y attendait.

Il a juste continué de me regarder de haut en bas. J'étais nerveuse et embarrassée. Les deux hommes ont parlé d'affaires et d'autres choses, mais je n'écoutais pas, étant trop mal à l'aise.

J'ai bu mon jus d'orange et je me préparais à, dire que je devais rentrer à la maison. Mais soudainement, M. JAMES a mis sa main sur ma cuisse et a changé de sujet en disant : « Avant votre arrivée, nous nous détendions ». Puis il m'a regardé et m'a dit : « N'est-ce pas?». Tout ce que j'ai pu faire c'est de hocher la tête. J'ai vu M. SMITH retenir son souffle avant de dire : « Ne me laissez pas vous déranger, nous ne devons pas négliger votre jeune amie en parlant affaires ».

M. JAMES a posé sa main sur ma jambe et l'a remonté sous ma robe juste en-dessous de ma culotte. J'étais trop choquée pour l'arrêter et enlever sa main. C'était différent que d'avoir quelques garçons qui vous touchent. J'étais avec deux vieux hommes vicieux. Et l'un était assez vieux pour être mon grand-père. M. JAMES a attendu de voir si je le repoussais, puis il dit : « Nous étions en train de nous faire une petit câlin ». Puis il a passé son bras autour de moi et s'est avancé pour m'embrasser. J'ai mis mes mains entre nous pour l'arrêter, mais son autre main s'est posé sur ma poitrine. Il m'a dit de me détendre avant de mettre sa bouche sur la mienne. J'ai entendu alors M. SMITH rire et dire : « Je pense qu'elle est un peu timide parce que je suis ici. Ne fais pas attention à moi ma petite chérie, sois une bonne fille pour JAMES. Personne ne le saura. »

Je ne peux m'empêcher d'intervenir :

- Mais tu aurais pu t'enfuir. En avais-tu vraiment la volonté?

- Je ne sais pas. M. JAMES m'a dit que son ami aimait admirer les jolies jeunes filles et que je ne devais pas avoir peur. Il m'a mordillé et léché l'oreille, car il savait que ça m'excitait et me rendait faible. Il a commencé à défaire ma robe et il a murmuré : « Nous allons laisser M. SMITH regarder tes sous-vêtements sexy ». Il a baissé ma robe sur mon ventre, puis il a remonté l'ourlet et m'a dit de lever mon cul du canapé. Il a roulé ma robe à la taille comme une ceinture puis il posé sa main sur mon ventre nu en me demandant d'écarter les jambes. J'ai obéi. Il a commenté : « N'est-elle pas une fille bien obéissante. Et elle aime porter des bas plutôt que des collants.

Il m'a frotté le ventre et m'a fait tourner pour que l'autre homme puisse mieux voir. J'ai remarqué que M. SMITH se touchait l'entrejambe. Soudainement, la main de M. JAMES s'est enfoncé dans ma culotte pour ouvrir un peu mes petites lèvres. Il a caressé ma chatte pendant que M. SMITH commençait à respirer plus vite alors que sa main frottait son entrejambe.

Puis M. JAMES m'a dit : « Montre tes tétons à M. SMITH ». C'était comme un ordre donc j'ai obéi. J'ai soulevé mon soutien-gorge et j'ai exposé mes seins pour qu'ils puissent les voir. Il me dit de les serrer pendant qu'ils les regardaient. Je l'ai fait.

Après un moment, M. JAMES m'a demandé : « Vas-tu laisser M. SMITH s'asseoir à côté de toi pour qu'il puisse jouer avec toi aussi? ». J'ai hoché la tête, alors il a continué ; « Vas-tu jouer avec nous aussi? Vas-tu nous montrer quelle petite salope tu peux être? ».

Je ne sais pas pour quelle raison, mais l'idée d'être utilisée par deux vieux bonhommes m'a excité. C'est à partir de là que j'ai pris le goût du sexe à plusieurs et que plus tard j'ai apprécié ma situation avec les ouvriers. Pour toi, j'ai prétendu que j'étais inexpérimenté en amour parce que tu étais mon mari.

- Pourquoi?

- Parce que je t'aime. Mais si l'occasion se présentait, j'encourageais les hommes à avoir des relations sexuelles avec moi. Et s'il y avait plus d'un homme à la fois c'était mieux.

- Continue ton histoire!

- M. SMITH est venu s'asseoir à côté de moi et a tout de suite commencé à me tripoter les seins. Il m'a demandé de l'embrasser. C'était drôle de faire un baiser passionné à un homme de plus de soixante ans. Pendant que je l'embrassais, M. JAMES avait toujours sa main dans ma culotte. Je voulais être baisée, je voulais une bite en moi. Donc sans qu'on me le demande, j'ai défait le pantalon de M. SMITH et j'ai sorti sa bite. Lui aussi était bien doté. Je n'avais jamais réalisé que les hommes de cet âge pouvaient bander aussi dur.

M. SMITH m'a dit : « Tu as raison JAMES, c'est une vrais salope. Suce moi! ». Il a mis sa main derrière mon cou et a baissé ma tête vers son membre. Je ne l'avais jamais fait auparavant , mais je n'eus pas besoin de cours. Je l'ai sucé et branlé avec ferveur pendant que l'autre me masturbait. M. SMITH respirait très fort et il m'a fallu un temps four pour le faire jouir, je pense que c'était à cause de son grand âge, même s'il bandait dur. Quand il a enfin éjaculé, il m'a dit de garder son sexe dans ma bouche. Je me suis sentie vraiment salope de le laisser gicler dans ma gorge. C'était chaud et salé et je n'ai pas pu m'empêcher de tout avaler.

M. JAMES continuait de travailler ma chatte, mais comme il était sur le point de jouir, il s'est dégagé et m'a retourné. Il a mis sa bite dans ma bouche avant de commencer à éjaculer. Il m'a agrippé ma tête et s'est masturbé dans ma bouche jusqu'à épuisement.

Mais nous n'en avons pas fini là. M. JAMES m'a dit : « Nous ne t'avons pas fait jouir encore, nous n'avons pas atteint le paroxysme. Allez, on va t'emmener en haut pour te mettre sur le lit ». Ils m'ont emmenée dans une chambre à coucher et ils m'ont totalement déshabillée à l'exception de mes bas. Ils se sont déshabillés également et ils se sont allongés sur le lit de chaque côté de moi.

Ils m'ont fait toutes sortes de choses. Ils m'ont léchée, doigtée, caressée, tripotée, massée. Ils ont tordu mes tétons et bien d'autres choses. Quelques fois ils ont eu besoin d'aller faire pipi. Quand ils revenaient, ils m'ont fait sucer ou lécher leur bite, j'ai pu goûter leur urine. Ça ne faisait que m'exciter encore plus. Je les ai sucé encore te encore et si un peu de liquide sortait de leur queue, je l'avalait. Ils m'ont obligée d'ouvrir les jambes et de me masturber pendant qu'ils regardaient et se branlaient. Je devenais de plus en plus excitée Et bientôt je me suis faite jouir. Ils ne sont pas arrivés à bander de nouveau avant l'heure de rentrer. C'était vraiment dommage, je voulais qu'ils me baisent.

Donc voilà! C'est ce que voulait dire « en quelque sorte ». Il y avait M. SMITH et M. JAMES. Comme je te l'ai dit, j'ai toujours eu une vie secrète.

- Je suppose que ça a duré longtemps non?

- Oui, je peux bien te le dire maintenant. Ca a commencé avant notre mariage et ça a duré pendant quelques années après, de temps en temps.

- Quelques années après? Sont-ils venus à la maison pendant que je travaillais? Et quand tu étais enceinte?

- S'ils venaient à la maison, c'était généralement seul. La plupart du temps, je les retrouvais dans leur voitures ou au magasin de meubles de M. SMITH.

- Et quand tu étais enceinte ou que tu avais les bébés?

- Je les suçais ou je les masturbais. Quelque fois je les ai laissé me baiser. Ils aimaient regarder mon corps alors que j'étais enceinte. Ils aimaient me déshabiller, me tripoter la poitrine ou jouer avec mon clitoris. Quand j'avais fini d'allaiter le bébé, je les laissais me sucer le sein et avaler mon lait. Ils voulaient que je les branle pendant ce temps.

Parfois j'emmenais le bébé au magasin de M. SMITH. Et quand il fermait pour le déjeuner, nous allions dans la réserve et je nourrissais le bébé pendant qu'il regardait.

Avant de nous marier, quand je revenais de chez toi, parfois je descendais du bus pour monter dans leur voiture. Généralement M. SMITH était à l'arrière, et quand je disais que je devais rentrer chez moi, ils se contentaient de faire le tour de la ville pendant que j'étais la tête baissée pour sucer sa queue. Il aimait que j'avale tout. Parfois, ils échangeaient leurs places et je suçais M. JAMES.

- Dis-moi une chose? Pourquoi leur dis-tu toujours Monsieur? Pourquoi n'utilise-tu pas leur prénom.

- Ils m'ont interdit de les appeler par leur prénom. Ils savaient que comme ils étaient des gens influents avec mes parents, il serait évident qu'ils se passaient des choses entre nous si j'étais familier avec eux alors qu'il y avait d'autres personnes. C'était probablement le secret le mieux gardé de cette ville.

- Donc parce que tu as gardé secret ta sexualité débridée, je n'ai jamais pu en faire partie. Je me suis toujours retenu parce que je te croyais timide et prude. Je ne pouvais pas être vicieux. Et pendant ce temps, tu avais des relations sexuelles perverses avec d'autres hommes. Merci pour tout ça!

- Je croyais que tu n'aimerais pas une femme comme ça, alors j'ai fait semblant d'être réservée. Et après avoir cessé de voir M. JAMES et M . SMITH, j'ai bien essayée d'être normale jusqu'à ce que les ouvriers arrivent. Même si une fois avec le réparateur de la machine à laver...

Maintenant cette histoire me paraît si ordinaire après tout ce qu'elle a dit que je ne voulus pas en savoir plus sur le réparateur de la machine à laver.

FIN.

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